Comment sauver la Grèce?

Oui les grands pontes veulent sauver la grèce, mais la grèce ne veut pas se sauver, enfin les gouvernants.... et chacun pour sa pomme et tu as encore tout faux... bah c'est une habitude chez toi de faire de bonnes analyses et de foirer tes conclusions...

C'est tellement complexe ,éclaire nous ........

Si ça te dérange pas trop!

Je crois avoir déjà donné un lien avant, suffit de cliquer et de mieux voir la situation...

Super,mais avec ton lien on surnage au-dessus du problème .!

Bah disons que c'est un peu le problème de tout le monde, ce n'est pas une crise monétaire mais bien une crise structurelle des dettes des Etats et la monnaie n'a pas trop de choses à voir là dedans même si il faut la rendre moins surévaluée...

Le plus gros problème reste les gaspillages publics de nos chers politiciens qui n'ont su que s'enrichir et leurs copains par la même occasion...

Maintenant que le bateau coule, ils nous sortent leurs bons sentiments, etc... c'est bien beau tout ça mais faut pas prendre la plupart des gens pour des cons, il y en a qui s'interrogent et voient ce qui a été fait et surtout ce qui ne l'a pas été...

Et à qui profite le crime???

A personne ! ils ont juste scié la branche sur laquelle ils étaient assis...

Soit tu es naïf,soit tu es aveugle .....

Vive la suisse !!!

j’espèreque c''est ironique concernant la Suisse, elle a une place centrale niveau financiarisation de l'économie... :smile2:

Bonjour à tous,

Il semble évident que la Grèce ne paiera jamais sa dette publique selon le système actuel.

Une dette publique n’a pas pour fonction d’être remboursée, mais d’enrichir des créanciers sur le dos des contribuables par le biais des intérêts qu’il faut verser aux créanciers.

En l’occurence, les « plans de sauvetage » octroyés tous les ans à la Grèce ne visent pas à lui permettre de rembourser un jour, mais de stabiliser la dette, ET de s’en servir comme prétexte pour approfondir les politiques de privatisations.

Alors quels sont les solutions que vous proposez?

Sa politique actuelle ruine la Grèce ; il lui faut mener une politique exactement contraire.

Il faut bien entendu cesser cette politique absurde et injuste de réduction des salaires et des pensions de retraite.

Il lui faut cesser d’emprunter sur les marchés, et la banque centrale européenne doit prêter aux États à 1 ou 2% les sommes qu’elle prête aujourd’hui aux banques privées. Si la France et l’Allemagne réagissent en excluant la Grèce de l’Euro, il faudra en effet emprunter à une banque centrale grecque restaurée.

Il lui faut supprimer les privilèges fiscaux des riches et des puissants, et non assommer de taxes le plus grand nombre.

Il lui faut nationaliser et multiplier les investissements publics, et non privatiser et distribuer les fonds publics aux entreprises privées.

La Grèce ne pourra pas redresser son économie dans un cadre 100% capitaliste, même en réduisant encore de moitié les salaires. Il lui faut revenir sur les privatisations, plutôt que de les poursuivre pour payer les intérêts de sa dette.

Sa politique actuelle ruine la Grèce ; il lui faut mener une politique exactement contraire.

Il faut bien entendu cesser cette politique absurde et injuste de réduction des salaires et des pensions de retraite.

Il lui faut cesser d’emprunter sur les marchés, et la banque centrale européenne doit prêter aux États à 1 ou 2% les sommes qu’elle prête aujourd’hui aux banques privées. Si la France et l’Allemagne réagissent en excluant la Grèce de l’Euro, il faudra en effet emprunter à une banque centrale grecque restaurée.

Il lui faut supprimer les privilèges fiscaux des riches et des puissants, et non assommer de taxes le plus grand nombre.

Il lui faut nationaliser et multiplier les investissements publics, et non privatiser et distribuer les fonds publics aux entreprises privées.

La Grèce ne pourra pas redresser son économie dans un cadre 100% capitaliste, même en réduisant encore de moitié les salaires. Il lui faut revenir sur les privatisations, plutôt que de les poursuivre pour payer les intérêts de sa dette.

Le modèle allemand que l'on veut appliquer à la Grèce, c'est l'augmentation du bénéfice des entreprises sur le dos des salariés, en gelant leurs salaires par exemple.

Je suis d'accord avec tout ce que tu dis sauf pour la BCE qui doit prêter à 1 % à la Grèce.

Non il faut abolir les interets illégitimes sur le crédit actuel et imposer des réserves fractionnaires à 100 % aux banques privées.

Je suis pour une nationalisation du crédit et de la création monétaire qui rapporteraient au minimum 200 milliards/ an à l'Etat mais je ne connais pas les chiffres du crédit total en une année.

Alors je soutiens cette idée de créer une banque publique prêtant sans interets au peuple et à l'Etat.

Les clients afflueront en masse et les banques seront déforcées. Alors l'Etat pourra les nationaliser à petit prix et les incorporer dans la banque publique.

Les interets sont vicieux et ils mettent toute l'économie en danger:

pour payer les interets des prets précédents, il faut que la banque prete à nouveau de l'argent puisque les interets sont de l'argent qui n'existe pas vraiment. Le jour arrivera où personne ne pourra plus emprunter et donc tout le système bancaire s'écroulera.

Un jour, plus personne ne pourra payer sa dette.

La dette totale ( Etat+ ménages+ entreprises) augmente sans cesse à cause des interets dont j'ai décrit l'effet.

Les interets causent l'effet boule de neige et à la fin, il faut emprunter pour payer les interets précédents.

Notons que la faillite arrive lorsqu'on ne peut plus rembourser les interets des nouveaux emprunts pour payer les précédents.

Les interets rendent toute dette exponentielle: c'est le système de l'argent-dette