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Que redoute t-on dans la blessure morale ?


SSOMW

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Invité morphee_
Invités, Posté(e)
Invité morphee_
Invité morphee_ Invités 0 message
Posté(e)

:dort:

en effet une lecture dite "à froid"n'est pas agréable : "l'autre" ne recherche alors que son propre intérêt...

mais en se penchant sur le délit de "harcèlement moral" on s'aperçoit qu'il faut quand même que ça soit matraqué, réitératif sans cesse afin que cela puisse infliger une blessure reconnue

cela empêche d'évoluer au sein d'un groupe de personnes, impose des barrières imaginaires à la manière de l'attitude raciste..

:dort:

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Membre, Forumeur confit, Posté(e)
Enchantant Membre 17 920 messages
Forumeur confit,
Posté(e)
On donne des définition à des mots, on les qualifie comme insultant, et quand autrui les utilisent sur nous, cela nous provoque de la douleur morale. On serait tenté de dire que c'est la définition même de l'insulte qui fait mal, mais on ne peut pas se blesser moralement en s'insultant soi-même.

Bon philosophons un peu...

D'abord l'insulte n'est pas forcément perçue comme une blessure, mais bien souvent comme un manque de respect, de sang froid, de bassesse et / ou de faiblesse.

En gros, puisque dans la blessure morale, autrui n'entre en contact avec nous que symboliquement, une insulte aurait comme commande d'entrée "tape-toi", et cette commande serait alors respecté par le psychisme, comme conditionné par la raison, le savoir, le contexte ?

Tu peux répéter la question ?

Bon j'ai passé tout le reste de ta dissertation, j'ai lu mais franchement, ça ne m'inspire qu'une chose : blablabla...

Tu veux parler de blessures morales, de ceux qui aussi te caresse le poil dans le bon sens, spa trop mon truc, mais bon....

La morale, les injures, les insultes, les caresses, les courbettes, les hypocrisies pour bien se faire voir, ne sont que le fruit que de ceux qui aiment être admirés pour ce qu'ils ne sont pas.

La vie est autre chose heureusement ou malheureusement, suivant ce qu'on en fait et non ce que pensent les autres de nous.

S'il n'y a point de remède contre la souffrance que peut nous infliger autrui, il n'en reste pas moins qu'il n'y a point non plus de vaccins contre le bonheur que nous apportent bien d'autres et c'est à ceci et non à celà à quoi j'accorde de la valeur...

Bien à toi.

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