La force des convictions.

bonjour

conviction n'est pas raison .

bien sur , il peut-ètre rassurant d ' admirer le charisme d ' une personne .

mais , cela peut-ètre trompeur et dangereux .

prenont le cas du nazisme et d 'hitler .

l ' idolatrie du peuple allemand pour çe dictateur dont le charisme à entrainé et précipité ceux-çi dans l'horreur et la ruine .

j ' ai aussi eu des convictions , mais , la plupart çe sont noyées dans les abimes du temps et de la déconvenue .

mais il est bon de croire et d ' espérer .

bonne journée

La conviction est une force qui ne se limite pas aux leaders et gourous. Même lors d'un examen oral ou dans le marketing, la convition est une arme prodigieuse. Je ne souhaitais pas parler du charisme qui n'était pas le sujet du topic.

Une conviction est d'autant plus forte qu'elle est mal étayée. En effet, il nest nul besoin de croire fortement en ce qui est prouvé par des preuves évidentes.

En es-tu convaincu ?

Ma conviction sur ce point est inébranlable. :p

Salut. Alors, voici le sujet que je voudrais aborder avec vous. Avez-vous remarqué déjà le poids de la conviction d'un interlocuteur dans les débats et échanges sociaux ? Comment la conviction profonde modèle et modifie littéralement l'atmosphère ? L'aura générée par la puissance de la conviction n'est-elle pas la source du charisme des personnages les plus influents de l'histoire ?

Oui, une forte conviction impressionne. Et plus impressionnant quand c'est une force calme et généreuse, qui écoute et qui peut parfois s'emporter. Mandela, Martin Luther King, Gandhi sont des exemples connus.

C'est la différence avec les criards bornés et très sûrs d'eux qui impressionnent en surface mais qui sont finalement en train de crier pour se rassurer.

La force des convictions peut rendre violent si la personne étaye ses convictions minutieusement pour être en passionné, quand des personnes réfutent ses assertions sans argumentation aussi sophistiquée. J'ai déjà été témoin de grands spécialistes se mettant en colère contre des intervenants dans des débats. Pourtant, le bon sens veut que la force d'une démonstration soit intrinsèque à ladite démonstration, sans besoin que quiconque y adhère.