Fidélité et infidélité

Tu en connais beaucoup des couples de ce style (des vrais de vrais, amoureux et fidèle à vie) ?

oui ceux de ma génération

Tu en connais beaucoup des couples de ce style (des vrais de vrais, amoureux et fidèle à vie) ?

oui ceux de ma génération

La question est pour qui?

Pourquoi la génération jouerait un rôle dans la fidélité ?

Les jeunes me semblent être beaucoup plus libertins que leurs aînés.

si c'était effectivement juste une question de génération, ça me fait penser à:

poids de l'éducation

de la "morale"

de la religion, en prime, éventuellement

je dis ça je dis rien, mais comme c'est présenté comme une généralité...

Les jeunes me semblent être beaucoup plus libertins que leurs aînés.

alors ça c'est pas gagné!

les gens nés dans les années 40-50

était plus fidèle aux valeurs chretiennes que ne l'est la génération 2000

voilà, on y vient

les gens nés dans les années 40-50

était plus fidèle aux valeurs chretiennes que ne l'est la génération 2000

C'est avec une pointe d'humour que j'ai parlé du controle de naissances, mais ça a été un point de rupture des tabous sexuels. Avant, les filles, comme toute femelle évitaient des rapports non souhaitables pour ne pas tomber grosse et se lier à une personne non désirable par sa chair. Ce n'est que très récement que les filles aussi draguent et proposent des faveurs. Depuis qu'on peut faire l'amour sans risquer de tomber enceinte, on a une perception plus superficielle de la sexualité.

être fidèle pour coller à des valeurs d'une religion, pour moi ce n'est pas vraiment être fidèle...

si c'était effectivement juste une question de génération, ça me fait penser à:

poids de l'éducation

de la "morale"

de la religion, en prime, éventuellement

je dis ça je dis rien, mais comme c'est présenté comme une généralité...

Les jeunes me semblent être beaucoup plus libertins que leurs aînés.

alors ça c'est pas gagné!

des gens sans morale ,sans éducation ,sans valeur tu veux peut etre retouner au néolithique? aux pulsions primaires?

"des gens sans morale ,sans éducation ,sans valeur tu veux peut etre retouner au néolithique? aux pulsions primaires?"

désolée, je ne vois pas le rapport, et je ne peux rien dire sur nos ancêtres du néolithique...:)

être fidèle pour coller à des valeurs d'une religion, pour moi ce n'est pas vraiment être fidèle...

Je suis d'accord avec toi. Si c'est pour répondre à des "lois" qu'elles soient religieuses ou morales, ce n'est plus vraiment un choix mais une obligation... adieu le romantisme de l'Amour éternel et absolu.

C'est avec une pointe d'humour que j'ai parlé du controle de naissances, mais ça a été un point de rupture des tabous sexuels. Avant, les filles, comme toute femelle évitaient des rapports non souhaitables pour ne pas tomber grosse et se lier à une personne non désirable par sa chair. Ce n'est que très récement que les filles aussi draguent et proposent des faveurs. Depuis qu'on peut faire l'amour sans risquer de tomber enceinte, on a une perception plus superficielle de la sexualité.

et donc de la vie de couple ?

si c'était effectivement juste une question de génération, ça me fait penser à:

poids de l'éducation

de la "morale"

de la religion, en prime, éventuellement

je dis ça je dis rien, mais comme c'est présenté comme une généralité...

Les jeunes me semblent être beaucoup plus libertins que leurs aînés.

alors ça c'est pas gagné!

des gens sans morale ,sans éducation ,sans valeur tu veux peut etre retouner au néolithique? aux pulsions primaires?

Alors je veux bien entendre que la morale vient jouer un role dans la fidélité, mais l'éducation ou les valeurs ? ça sonne comme un clivage, les gens fidèles sont des gens bien, avec des valeurs et bien éduqués, les gens infidèles sont des gens dénués de morales, de valeur et mal éduqués. Les bons d'un coté et les méchants de l'autre. N'est ce pas une vision un peu simplifiée de l'Etre humain ?

"des gens sans morale ,sans éducation ,sans valeur tu veux peut etre retouner au néolithique? aux pulsions primaires?"

désolée, je ne vois pas le rapport, et je ne peux rien dire sur nos ancêtres du néolithique...:)

Je pense qu'au temps du néolithique, il n'y avait pas ces conceptions moralisatrices, l'important étant de reproduire l'espèce qui était très fragile comme mammifère à cette époque là, donc c'était l'instinct de reproduction qui primait. D'autant que je pense qu'ils n'ont pas compris tout de suite comment fonctionnait la reproduction. :) (Dieu n'avait pas fourni le mode d'emploi, c'est curieux....)

La vie de couple dépend autant de l'amour réciproque et du respect mutuel, qu'elle dépend des liens plus matériels qui relient physiquement les partenaires, qui, en mesurant l'impact de l'éventualité d'une séparation, en arrivent tantôt à rester liés malgré leurs différents. Ce peut être le vécu de leurs progénitures communes en cas de séparation, les dégats financiers etc. Outre les avancées dans les moyens de contrôles de naissances, l'enseignement obligatoire, les crèches et autres réformes sociales ont changé la donne, les familles monoparentales ne sont plus si rares.

Je suis d'accord avec toi Frelser, et c'est pourquoi je dis que beaucoup de couples (y compris dans les générations anciennes) sont ensemble non par amour mais pour des raisons matérielles et pour les enfants (excuse bien souvent mis en avant). L'amour n'a donc rien à voir avec la longétivité de ces couples.

Night wish écrit : désolée, je ne vois pas le rapport

Ma génération était à l'époque assujettie aux valeurs dominantes du moment de l’époque, elle en était même conditionner! Et pas uniquement par l'église. J’ai constaté que les gens de mon âge 58 ans et c'est un fait, qu’ils s’étaient plus fidèle dans la durée que celle actuelle.je suppose que l'infidélité ou la fidélité est proportionnel aux valeurs dominantes du moment...de l’époque.

certainement, Phil...

"Je pense qu'au temps du néolithique, il n'y avait pas ces conceptions moralisatrices, l'important étant de reproduire l'espèce qui était très fragile comme mammifère à cette époque là, donc c'était l'instinct de reproduction qui primait. D'autant que je pense qu'ils n'ont pas compris tout de suite comment fonctionnait la reproduction. :) (Dieu n'avait pas fourni le mode d'emploi, c'est curieux....)"

Night wish écrit : désolée, je ne vois pas le rapport

Ma génération était à l'époque assujettie aux valeurs dominantes du moment de l’époque, elle en était même conditionner! Et pas uniquement par l'église. J’ai constaté que les gens de mon âge 58 ans et c'est un fait, qu’ils s’étaient plus fidèle dans la durée que celle actuelle.je suppose que l'infidélité ou la fidélité est proportionnel aux valeurs dominantes du moment...de l’époque.

Plus fidèles ou ils le cachaient mieux (parce que c'étaient honteux) ?. Combien de femmes de cette génération ont enduré en secret les infidélités de leurs époux. Un exemple connu, mitterand, mais ce n'est pas une exception....

Aujourd'hui, les femmes sont plus indépendantes financièrement, des associations leur viennent en aide, le divorce n'est plus un tabou ou une honte, donc je pense que les couples ne restent plus ensemble quand il n'y a plus d'amour. Pour moi, c'est plutot une bonne chose, il y a moins d'hypocrisie.

Je suis d'accord avec toi Frelser, et c'est pourquoi je dis que beaucoup de couples (y compris dans les générations anciennes) sont ensemble non par amour mais pour des raisons matérielles et pour les enfants (excuse bien souvent mis en avant). L'amour n'a donc rien à voir avec la longétivité de ces couples.

Avec l'homme, même l'amour a un côté obscur bien pragmatique. C'est ainsi que des amitiés longues de dixaines d'années sont parfoir rompues après une seule déception. Mais l'amour peut parfois lier un couple à vie, quand il se mue en un respect sincère et réciproque.

un excellent rétropédalage :smile2:

C'est une jolie idée, mais désolée je n'y crois absolument pas.

Les contes de fées devraient finir par "ils marièrent, eurent beaucoup d'enfants, puis au bout de 15 ans divorcèrent, rencontrèrent quelqu'un d'autres et furent une fois de plus amoureux et heureux..."

ce serait plus proche de la réalité.