Luxe : un rosé français sans alcool, certifié halal pour l’export

Les rosés ne sont pas de grands vins.

Ce qui me choque c'est que là, tu confirme qu'il existe une notion de "grands vins". Soit je ne comprend pas, soit tu te contredis..

De plus, comment peux-tu juger que les rosés ne sont pas des grand vins puisque, je te cite, "juger pour tous le goût du vin, c'est juste idiot."

Cela permet à la France de s'adapter à de nouveaux marchés.

Si c'est réellement sans alcool, Tropicana fait le même pour 2€!

Si c'est réellement sans alcool, Tropicana fait le même pour 2€!

Oui mais comme le disait Phineas Barnum : "A chaque instant il nait un gogo":smile2:

Personnellement, le rosé, en dehors du Cabernet d'Anjou... Et encore....

Du vin hallal ? C'est bien, cela fait marcher le commerce. Personne n'est obligé d'en boire.

Par contre, je ne suis pas d'accord lorsque je vois ici écrit que les oenologues sont "des charlatans".

Oenologue c'est une véritable profession qui nécessite des études sanctionnées par un diplôme d'état.

Tout le contraire de" critique" par exemple.

Oenologue c'est une véritable profession qui nécessite des études sanctionnées par un diplôme d'état.

Et donc ? Si l'Etat dit que c'est bien alors c'est vrai ?

Vénérons le Dieu Etat qui sait ce qui est bon pour nous.

Ce n'est pas une réponse digne d'un esprit rigoureux tel que le votre cher grenouille.

A ce niveau là, vous auriez tout autant pu extraire de leur contexte les mots :"diplôme", "profession"; ou "études"

Mais soyons clairs : sans rancune

J'ai clairement donné des arguments tangibles contre l'oenologie, notamment le fait que les recepteurs du goûts sont différents d'une personne à l'autre, et que donc, être professionnel du "goût" du vin est un non sens.

Votre seul contre-argument est de dire que sous la pression du lobby du vin, l'Etat reconnaît certaines études d'oenologie.. .

Ce n'est pas une preuve.

En plus, je ne peux que désapprouver les valeurs sous-jacentes : vous confiez votre jugement à l'Etat. C'est un principe très dangereux que je condamne.

Soit, je relève, et je vais tenter de le faire sans smile.

Pour commencer, soyons clairs et loyaux :

En ce qui me concerne, je pense que l'on peut apprécier un vin sans être alcoolique et sans en boire chroniquement.

Ma boisson préférée reste l'eau.

Les récepteurs du goût sont différents d'une personne à l'autre. (C'est vrai, mais nous pourrions disserter sur les composants

chimiques des arômes, mais ceci nous éloignerait du noeud du problème.)

L'oenologie ne se base pas que sur le goût, mais ça vous le savez déjà.

Et j'ai trop de respect envers votre personne pour vous faire un copier-coller du livre des métiers.

Je n'ai jamais utilisé les mots suivants :" sous la pression du lobby du vin, l'Etat reconnaît certaines études d'oenologie"

En ce qui concerne les prétendues valeurs sous-jacentes que ... que quoi au fait ?

Puis, en quoi est-ce que je confie mon jugement à l'Etat ?

Si c'est pour avoir un gage de sérieux, et bien oui je le confesse : je suis un zombi lobotomisé par Big Brother, parce que je

consulte des médecins dont les fins d'études ont été sanctionnées par un diplôme d'Etat, Pourquoi ?

Parce que c'est comme cela que l'on peut le dire, sans pour autant être un inconditionnel d'une société à la Brazil.

Et puis parce que pour ma santé, j'évite de consulter des prétendus "thérapeutes" qui sont en fait des charlatans.

(et là je m'aperçois que nous avons quasiment réussi une épanadiplose argumentaire lors de notre dialogue)

Et puis voilà, toujours pas de smile.

Post Scriptum :

En résumé, "diplôme d'etat", ce n'est pas un gros mot. C'est juste une expression.