Pervers narcissiques et leurs victimes

j'ai remarqué :)

c'est mieux ainsi

Je ne pense pas que le pervers narcissique ait un problème vis-à-vis du bien et du mal personnellement. Je dirais plutôt qu'il a un problème vis-à-vis de l'autrui. Il sait ce qui est bien ou mal. Mais il ne reporte pas sur autrui ce qu'il sait être pour lui. À la limite on pourrait dire qu'il nie autrui en tant qu'égal, ce qui pourrait faire poser la question suivante: Un pervers narcissique est-il quelqu'un qui se hait tellement qu'il en découle une haine d'autrui laquelle le pousse à refuser à autrui les droits qu'il s'accorde ?

Ne confondons pas pervers narcissique et psychopathe manipulateur cependant.

Je ne pense pas que le pervers narcissique ait un problème vis-à-vis du bien et du mal personnellement.

Pourquoi ? :gurp:

Topic intéressant. Et qui me touche d'assez près.

Je n'aime pas "diagnostiquer" des gens sans formation aboutie, mais puisqu'il est évident qu'un PN ne poussera jamais la porte d'un psy (rapport au déni, toussa)... je peux avouer presque sans honte que je pense sincèrement que mon ex a un problème correspondant sûrement à la perversité narcissique.

Notre histoire est tellement compliquée, il y'a eu tellement de choses floues et moins floues, comprises de suite, d'autres à posteriori et d'autres encore jamais... que j'en suis encore perdue. Où démêler le vrai du faux, la comédie de la sincérité, la culpabilité de la culpabilisation... ? M'a t'il jamais aimé ? Tout ça n'était donc que séduction, culpabilisation (son arme favorite) et destruction ? Je ne sais pas, je crois, je ne sais plus, je ne suis pas sûre...

Il m'a laissée anéantie après des mois de cache-cache où à chaque fois je revenais vers lui comme une grande parce que... ben connement je l'aimais. Et le pire c'est que je l'aime toujours. Et que même si c'est une des personnes qui m'a le plus fait souffrir dans ma vie, hé bien j'ai tendance à ne pas regretter notre histoire car cela a été intense et même parfois bon. Il m'a fait perdre beaucoup de choses en définitive : une année universitaire, une partie de ma vie sociale et affective, le peu d'estime que j'avais pour moi... Mais il m'a aussi appris à mieux me connaitre grâce aux épreuves qu'il a spécialement érigées pour moi, à dépasser les limites de la souffrance, à prendre conscience de ma dépendance affective chronique, à me remettre en question...

A la réflexion : j'étais une proie idéale pour lui (en admettant qu'il soit PN, chose dont nous ne seront jamais sûr).

Je ne pense pas que mon avis subjectif puisse être pris en compte dans la discussion théorique de la perversité narcissique. Je pense en fait que je suis justement trop proche de cette expérience pour avoir assez de recul concernant cette pathologie et ce qu'il pourrait en découler.

Dans la vie, on n'affronte que les épreuves que l'on peut surmonter et dépasser.

C'est plus ou moins difficile, mais c'est grâce à elles que l'on se forge et qu'on évolue.

Si l'on fait face à une épreuve ou un problème, c'est qu'on a quelque chose à apprendre sur la vie ou sur nous-même, c'est pourquoi je pense que rien n'est véritablement "mauvais" dans la vie.

Je vais terminer une fois de plus par ce que je dis souvent et que je trouve au fur et à mesure de plus en plus juste : "Si tu suis ce que te dit ton coeur, jamais tu ne seras dans l'erreur."

Conclusion: bon, alors Encéphale? C'est toujours moi qui était le PN? La personne qui culpabilisait? Qui éloignait alors?Qui refusait de communiquer?

Votre histoire ne prouve rien, vous vous êtes barrer sa lui a pas plus, faut-t-il vraiment être un PN pour sa :gurp: ? Mais sa ne m'étonne pas de vous, j'avais deja remarquer que votre égo avait tendance à prendre toute la place, une personne qui 'aime pas vos décision est forcement dans la pathologie et c'est toujours forcement vous la victime.

D'ailleurs on voit bien sur se topic que tout le monde voit un PN sur le pallier de sa porte, c'est visiblement un concept qui permet de se déculpabilisé tout en légitimant des actes envers des personnes qu'on qualifie de PN.

Je vois pas pourquoi tu te justifies en donnant autant de détails sur ton histoire personnelle. Tu sais très bien qui a été victime, point barre.

Si elle le dit c'est que c'est vrai.... Quelle naïveté, vous seriez une bonne victime je suppose.

Dans la vie, on n'affronte que les épreuves que l'on peut surmonter et dépasser.

Bien sur, qu'est-ce qu'elles sont gentilles ces épreuves, elles nous laisses toujours gagner.

Je vais terminer une fois de plus par ce que je dis souvent et que je trouve au fur et à mesure de plus en plus juste : "Si tu suis ce que te dit ton coeur, jamais tu ne seras dans l'erreur."

J'entend rarement des choses aussi supides, mais dites moi vous avez décider de battre le record du plus grand nombre de lieu commun bateau en un message?

Conclusion: bon, alors Encéphale? C'est toujours moi qui était le PN? La personne qui culpabilisait? Qui éloignait alors?Qui refusait de communiquer?

Votre histoire ne prouve rien, vous vous êtes barrer sa lui a pas plus, faut-t-il vraiment être un PN pour sa :gurp: ? Mais sa ne m'étonne pas de vous, j'avais deja remarquer que votre égo avait tendance à prendre toute la place, une personne qui 'aime pas vos décision est forcement dans la pathologie et c'est toujours forcement vous la victime.

D'ailleurs on voit bien sur se topic que tout le monde voit un PN sur le pallier de sa porte, c'est visiblement un concept qui permet de se déculpabilisé tout en légitimant des actes envers des personnes qu'on qualifie de PN.

Je vois pas pourquoi tu te justifies en donnant autant de détails sur ton histoire personnelle. Tu sais très bien qui a été victime, point barre.

Si elle le dit c'est que c'est vrai.... Quelle naïveté, vous seriez une bonne victime je suppose.

Dans la vie, on n'affronte que les épreuves que l'on peut surmonter et dépasser.

Bien sur, qu'est-ce qu'elles sont gentilles ces épreuves, elles nous laisses toujours gagner.

Je vais terminer une fois de plus par ce que je dis souvent et que je trouve au fur et à mesure de plus en plus juste : "Si tu suis ce que te dit ton coeur, jamais tu ne seras dans l'erreur."

J'entend rarement des choses aussi supides, mais dites moi vous avez décider de battre le record du plus grand nombre de lieu commun bateau en un message?

Excuse-moi, ça ne doit pas être de ton niveau de réflexion...

Je vais terminer une fois de plus par ce que je dis souvent et que je trouve au fur et à mesure de plus en plus juste : "Si tu suis ce que te dit ton coeur, jamais tu ne seras dans l'erreur."

Vous supposez donc que le coeur est infaillible.

Mais pourquoi ?

En outre, cette croyance est dangereuse, car elle nous pousse à suivre aveuglément un coeur qui, peut-être, s'est trompé.

Je vous trouve bien agressif Encephale.

D'ailleurs on voit bien sur se topic que tout le monde voit un PN sur le pallier de sa porte, c'est visiblement un concept qui permet de se déculpabilisé tout en légitimant des actes envers des personnes qu'on qualifie de PN.

Pour ma part j'y ai pensé bien avant la lecture de ce topic. Et si je nie pas ma responsabilité dans cette histoire, celle d'avoir persisté, je n'en bâme pas pour autant mon ex (toujours en admettant qu'il soit PN bien sûr). Sans aucun doute qu'il devait avoir sa part de souffrance dans sa vie, d'ailleurs son enfance, de ce qu'il m'a dit, en est un bon exemple.

Ceci dit je peux comprendre votre réticence, mais je crois qu'il y'a plus de PN que l'on ne pourrait le penser. Faudrait trouver la prévalence de cette pathologie pour se donner une idée.

Je vais terminer une fois de plus par ce que je dis souvent et que je trouve au fur et à mesure de plus en plus juste : "Si tu suis ce que te dit ton coeur, jamais tu ne seras dans l'erreur."

Vous supposez donc que le coeur est infaillible.

Mais pourquoi ?

En outre, cette croyance est dangereuse, car elle nous pousse à suivre aveuglément un coeur qui, peut-être, s'est trompé.

Après, c'est un avis personnel, mais si on suis son coeur qui nous conduit à une "erreur", c'est qu'on devait vivre cette erreur pour en tirer une expérience et en ressortir grandit. Le chemin de la vie est jalonné d'épreuve, le plus important, c'est le sentier que l'on emprunte pour dépasser ces épreuves et se surpasser.

Je vais terminer une fois de plus par ce que je dis souvent et que je trouve au fur et à mesure de plus en plus juste : "Si tu suis ce que te dit ton coeur, jamais tu ne seras dans l'erreur."

Aie, c'est justement comme ça qu'on se fait avoir, en ne réfléchissant pas, en suivant "ce que notre coeur nous dit" , j'étais quelqu'un qui disait qu'on ne pouvait pas reprocher à une personne d'être trop bonne ... ben justement, une certaine catégorie de PN, surtout des femmes usent de ce stratagème pour piéger leurs proies, mon mari en a été victime et moi à travers lui et j'ai été victime aussi d'un membre proche de ma famille, je m'en sors à peine.

"La perversion manipulatrice au féminin"

Certains hommes peuvent utiliser une perversion plutôt « féminine » alors que certaines femmes présenteront indiscutablement le portrait d’un « pervers masculin ». Ce qui fait la différence au delà du sexe du pervers est la méthode employée.

Dans la perversion masculine l’agressivité, même masquée pour sauver les apparences, est visible à quiconque possèderait l’ensemble des données, c’est à dire pourrait voir à la fois le séducteur (qu’il est à l’extérieur) et le monstre (qu’il est en privé).

La perversion féminine est beaucoup plus vicieuse car elle ne présente pas ou du moins beaucoup moins ce double visage : la perversion féminine se décline sur le mode essentiellement « maternel ». Ainsi ces femmes en privé comme en public se montreront entièrement douces, dévouées, protectrices envers leur victime. Qui verrait à cela le moindre mal, bien au contraire ? Ce sont des « gentilles », des « très gentilles » et on envie l’homme sur lequel elles ont jeté leur dévolu d’être tombé sur une telle « perle rare ». De fait ce sont des mère abusives qui derrière une façade d’admiration inconditionnelle, de dévouement à toute épreuve et d’abnégation totale d’elles-mêmes au profit de l’ « enfant roi » qui est leur victime désignée vont peu à peu jouer avec la dette (comment ne pas tout devoir à un être si dévoué ?), la culpabilité (comment blesser une personne qui nous a fait tant de bien ?) et la valorisation sociale de l’altruisme pour « décérébrer » leur proie et en faire un esclave docile entièrement à leur solde qui bientôt ne pourra plus ni penser, ni désirer en dehors d’elle.

Et si la victime du PN masculin souffre en secret de ce qu’elle endure, même si elle ne peut se soustraire à l’emprise, la victime de la perverse féminine est en général comblée de tant d’attention et d’amour et totalement fascinée par la chance qu’elle a d’être élue par une personne si exceptionnelle ! Ceci fait de cette perversion une arme extrêmement plus dangereuse que la perversion masculine classique car la prise de conscience semble totalement interdite !

Racamier décrit ces deux formes de perversions avec beaucoup d’humour en désignant les pervers masculins sous le nom d’ « avantageux » (allusion au narcissismes prédominant de manière visible chez eux) auxquels il oppose la « phalloïde » (allusion au phallus de ces femmes castratrices par excellence ainsi qu’à leur venimeuse toxicité !) .

En effet, d’une mère qui s’occupe à la perfection de son enfant, on ne retiendra souvent que le dévouement exemplaire, sans voir à quel point ce dernier n’a plus d’espace pour exister et est forcé de devenir totalement dépendant de sa mère faute d’avoir la permission de se séparer d’elle en tant qu’individu, prisonnier à jamais de ce qui se présente comme amour démesuré, mais dont la possessivité n’est que volonté d’emprise ! C’est pourquoi les exemples choisis ici mettront l’accent plutôt sur cette perversion particulièrement invisible et particulièrement dangereuse, plutôt que d’emprunter les sentiers battus d’une perversion masculine largement décrite et diffusée par ailleurs.

Le point commun pour les victimes : il est extrêmement difficile de sortir de ce lien destructeur et des plus malsains dès lors qu’elles sont prises au piège. Tout simplement parce que ce lien leur permet de revivre un mode de relation qu’elles connaissent bien !

Ce type de pathologie a été mis en évidence par Paul-Claude Racamier psychanalyste, Alberto Eiguer psychiatre et psychanalyste spécialiste de la thérapie familiale et Marie-France Hirigoyen (entre autres) psychanalyste, psychothérapeute spécialisée dans les violences psychologiques, le harcèlement moral.

http://psycho-perver....over-blog.com/

Voici le tableau que dresse le DSM IV (Diagnostic and Statistical Manuel) outil de classification des troubles mentaux de la personnalité narcissique :

ü A un sens grandiose de sa propre importance.

ü Est absorbé par des fantasmes de pouvoir illimité, de succès illimité

ü Pense être spécial et unique

ü A un besoin excessif d’être admiré et approuvé

ü Pense que tout lui est dû

ü Exploite l’autre dans les relations interpersonnelles

ü Manque d’empathie.(ndlr : A noter toutefois que dans le cas du pervers et surtout de la perverse d’ailleurs, cette absence d’empathie est masquée par une hyper-empathie affichée ; ils donnent l’impression d’être toujours soucieux des autres et de se mettre en quatre pour les aider à leurs propres dépends. Ils ne se privent d’ailleurs pas de montrer à tout l’entourage à quel point ils sont dévoués, tout ce que ça leur coûte en temps et en énergie et le peu de reconnaissance qu’ils reçoivent en échange ! )

ü Envie souvent les autres

ü Fait preuve d’attitudes et de comportements arrogants"

J'ai subi cela.

Pas facile de s'en sortir.

Et puis j'ai rencontré ma compagne actuelle qui m'a remis les pieds sur terre.

Merci à elle.

En disant cela, je voulais dire que mon ex était atteinte de ce dérangement mental, et qu'elle m'en a fait bavé jusqu'à l'extrême limite de mes capacités d'endurance. J'étais devenu une loque qu'elle manipulait au gré de ses humeurs.

Et puis est arrivée ma louve des cévennes qui m'a litéralement sauvé la vie :)

"La perversion manipulatrice au féminin"

Voici le tableau que dresse le DSM IV (Diagnostic and Statistical Manuel) outil de classification des troubles mentaux de la personnalité narcissique :

ü A un sens grandiose de sa propre importance.

ü Est absorbé par des fantasmes de pouvoir illimité, de succès illimité

ü Pense être spécial et unique

ü A un besoin excessif d’être admiré et approuvé

ü Pense que tout lui est dû

ü Exploite l’autre dans les relations interpersonnelles

ü Manque d’empathie.(ndlr : A noter toutefois que dans le cas du pervers et surtout de la perverse d’ailleurs, cette absence d’empathie est masquée par une hyper-empathie affichée ; ils donnent l’impression d’être toujours soucieux des autres et de se mettre en quatre pour les aider à leurs propres dépends. Ils ne se privent d’ailleurs pas de montrer à tout l’entourage à quel point ils sont dévoués, tout ce que ça leur coûte en temps et en énergie et le peu de reconnaissance qu’ils reçoivent en échange ! )

ü Envie souvent les autres

ü Fait preuve d’attitudes et de comportements arrogants"

Ouf ça va, je ne me reconnais pas dans ces aspects

C'est vrai que j'étais devenue une vraie loque comme le dit Bran Ruz

S remetttre les pieds bien sur terre et reprendre sa raison est salvateur