Confrontation réussir sa vie / espérance de vie

je n'arrive pas a comprendre la subjectivité/relativité de ce débat.

la question me parait pourtant si evidente une fois qu'on l'a bien comprise:

QUALITé ou QUANTITé?

laquelle choisir si cela doit etre au detriment de l'autre?

l'homme etant par DEFINITION un etre hédoniste et épicurien (sauf tres tres rare exceptions qui confirment cette règle) il est EVIDENT que toute personne normalement constituée ne se veut pas du mal et ne veut pas d'une vie de souffrance, on se doit donc de choisir la qualité.

la seule difficulté/subtilité de ce débat est de partager le sens du mot QUALITé:

c'est quoi une vie de bonne qualité?

le bonheur? c'est quoi le bonheur?

et c'est là que l'auteur a tenté de donner des exemples illustratifs: (le PDG, la super star ect...)

car EN GENERAL on se represente leur vie comme etant globalement plus facile confortable et donc heureuse.

bien sur il faut rester lucide et comprendre qu'il ne s'agit pas de parler uniquement de l'aspect matériel du bonheur, l'auteur du sujet nous précise bien que sa definition du bonheur inclue aussi des aspects immateriel tels que la santé, la famille,l'amour ect...

enfin il me parait certain que la quantité au sens longévité ne sert a RIEN si elle est vide de bonheur (etat végétatif) voir si elle s'ecoule dans la souffrance (maladie, solitude ect...)

bref en ce qui me concerne ce topic soulève une fausse bonne question:

et je peux deja repondre pour tout le monde que

OUI nous voulons vivre heureux meme si ce n'est qu'un bref instant.

Évidemment, j'ai volontairement choisi une approche de la réussite sociale en phase avec une société de réussite personnelle.

Il va de soi que ma vision de réussite de la vie va de pair avec le fait de faire de grandes choses : la direction d'entreprise, la politique, le cinéma, la musique...etc... j'aurais pu dire que avocat, médecin, ingénieur sont des professions où en général, on peut dire que l'on réussi sa vie. Mais je voulais rester dans le cliché, je voulais vraiment provoquer et dire voilà, "sur-réussir" sa vie si je puis dire, en exploitant au max' les possibilités du capitalisme c'est devenir à la fois riche, célèbre et puissant.

J'avais volontairement choisi une approche clichée et osée de la réussite sociale.

A l'inverse, le cas d'une personne qui est tour à tour en chômage, sous les ponts, en taule.... et qui finit avec une très maigre retraite.

Au final, ma question est de savoir, et c'est philosophique, car cela appelle à une vision du but de chacun dans sa propre vie :

Entre la longévité et la réussite sociale, c'est quoi le plus important ???

J'ai donc fait un croisement :

Faible longévité + Forte réussite sociale.

Forte longévité + Faible réussite sociale.

Mouais... Un clodo qui gagne à euromillion c'est une réussite sociale?

Quelque soit la réponse, j'ai croisé et je croise régulièrement des personnes proche du déclin innévitable qui me tiennent toujours le même discourt... quand ils le peuvent.

La longévité? On s'en bat les couilles je pense vers la fin...