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merci la boxe


bouttali

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Membre, 70ans Posté(e)
bouttali Membre 51 messages
Baby Forumeur‚ 70ans‚
Posté(e)

Bonjour

pourriez vous me donner votre avis sur ce passage

Merci d'avance

Alain

Heureusement pour lui, la Boxe hante cesnuits et lui rappelle son engagement.Rester dehors et, ne pas trahir les gens qui lui font confiance. Pas simpletout ça, lorsque dans sa tête tout sebrouille, et qu’il broie du noir. Ces moments de doute sont terribles, car, ilest seul face à lui-même, et, il sombre à chaque fois. Tous les soirs, il serend dans une salle, pour souffrir et essayer de chasser tous les démons qui lehantent et, qui l’empêchent d’avancer. Parfois, cela se complique, et, Steveest obligé de se faire mal, pour ne passombrer. Ces moments de doute sont trèsdifficiles à vivre, mais, il sait qu’il faut passer par là, pour obtenir cequ’il veut. Devenir un type bien, comme ses Amis Boxeurs. Le prix à payer estlourd, mais, c’est ainsi que Steve voitla chose. Il lui faut tenir à tout prix, contre toutes les tentations.Lorsqu’il se met au sac, Steve, s’imagine en face de l’alcool, et il cognecomme un sourd en espérant terrasser, ce coriace adversaire. Il tape si fort,qu’il en a mal aux mains, mais il s’acharne comme si pour lui c’était unequestion de survie. Le combat est inégal. Le souffle lui manque, mais il estcontent. Dés, qu’il ressort de la salle, son adversaire reprend le dessus surlui, et le combat est difficile, très difficile. Inégal même… La seuleéchappatoire pour Steve, c’est la salle de Boxe. Rien, ne peut lui arriver, lesac et le ring sont ses alliés, dans cette rude bataille. Cela, il le sait, etne triche pas, il se livre à fond, entre les quatre murs des salles qu’ilfréquente. Il se fait mal, car, il sait que c’est seulement ainsi, qu’il a unechance de gagner contre l’alcool, sans tricher. De plus désormais, beaucoup degens lui font confiance, et la plupart ignore ce qu’endure Steve. Seulsquelques uns l’on vu parfois ivre. Il ne veut pas donner une mauvaise image delui, et il s’efforce de ne pas montrerlorsqu’il a bu. Le problème, est qu’il encaisse bien l’alcool et que les dosesaugmentent un peu plus chaque semaine qui passe. Il est donc obligé de selivrer encore plus à la Boxe pour se dépenser et, compenser. Il lui arrive, de pleurer tout seul, à l’hôtel, ou dans sachambre, car il doute, et, ne sait pas s’il va gagner ce terrible combat.Lorsque le doute le surprend. Il a hontede lui, car il se croit fort, mais ne peut lutter contre l’alcool. Pourtant, àla salle personne ne peut se douter de ce qu’il vit. Rien ne transpire de lui.Pour l’instant, sa seule raison de vivre, c’est la Boxe et cela les gens leressentent. Il a la chance de croiser tous les champions qui sont sur Paris ouen région parisienne. Certains deviennent de bons potes à lui. Tous les soirs,il a hâte de rejoindre la salle pour évacuer, tout ce qu’il a en lui. Sa rage,se ressent lorsqu’il tape sur le sac, ou lors des mises de gants. Il n’a pastrop de technique, mais c’est un battant, un teigneux comme dit Louis Acaries.Il se vide littéralement lors del’entrainement, il ressort lessivé de la salle. Ce n’est pas pour autantqu’il dort bien, loin de là. Les démons le rattrapentbien vite, ainsi que de noires pensées, qui lui bouffent ses nuits. Mais, Stevepense encore et toujours à la Boxe et c’est ainsi qu’il tient. Il se fait unecollection de photos dédicacées, de ses champions préférés et lorsqu’il le peutil récupère des gants ayant appartenus à des cracs. Même Léonard Tavarez luien donne une paire. Léo qui est d’une extrêmegentillesse avec lui .Allant jusqu'à consacrer de son temps le midi, pourbavarder avec lui. Steve est admiratif, de la sérénité que dégage Léo. Désqu’il le voit, il est apaisé. Léo est quelqu’un qui compte beaucoup pour Steve. Jean Matéo aussi est gentil avec lui. Ils ont un point commun lesud ouest, et souvent ils bavardent ensemble. (Tous les deux sont décédés et,ils manquent beaucoup à Steve). Lemilieu de la Boxe convient bien à Steve.Les gens sont sympas, et il évacue son agressivité dans les salles. Un soir, lors d’une mise de gants avec J BPiedvache, Steve ayant déconné et, cela étant parvenu aux oreilles de J B celui ci appuie un peu ses coups, volontairement.Steve serre les dents et, répond. L’échange dure deux rounds et, ceux-ci,paraissent très longs. Il puise dans ces réserves pour rester en face de J B qui reconnait au moins unequalité à Steve, le courage. Ce courage qui souvent lui fait défaut face al’alcool. Autant, sur le Ring, Steve fait preuve de qualités essentielles pour ce sport, autant face à l’alcool, il estfragile. C’est là, toute la complexité de la situation. Très souvent, sur leRing face à des adversaires beaucoup plus forts que lui, il a su faire faceavec honneur, face a l’alcool, il sombre. C’est là son réel problème. Pourtant,sur le Ring, il se surpasse, et, arrive à maitriser, face a l’alcool, rien àfaire. Le trou. Dés qu’il est sorti de la salle, Steve est rattrapé par laboisson. C’est pour cela que parfois, il aimerait dormir dans la salle… ce quin’est pas possible, et il le regrette fortement. A force de s’entrainer, arriveun moment ou Steve dispute son premier combat. A la pesée, son adversaire lechambre un peu, en plantant son regard dans le sien à dix centimètres de sonvisage, en l’insultant. Cela a pour cause, de faire dire à Steve, je vais letuer ce soir !!! Il reste tranquille, et l’heure combat arrive. Lorsqu’ilenjambe les cordes du Ring, Steve est livide. Mélange de trac et de peur de malfaire. Dés que le gong sonne, il se jette sur son adversaire avec une telle violence que celui-ci ne peutque reculer. Il est martelé de crochets et de directs. Steve ne le lâche pas.L’arbitre les sépare et compte son rival.Celui-ci ne comprend rien à ce qui lui arrive. Il reçoit sur lui toute la rageet la haine que Steve a emmagasinée depuis des années. Lorsque le combatreprend, Steve, se jette à nouveau sur lui et le met ko d’un beau crochet dugauche. S’en est fini, Steve saute en l’air comme un cabri, il est aux anges.Son entraineur est content, mais lui dit, qu’il faudra faire attention lors desprochains combats. Ne pas trop se jeter, sinon !!!, cela pourrait bienêtre lui, qui serait ko la prochaine fois. Steve écoute, mais il est ailleurs.Ce soir, il savoure sa victoire et, la partage avec ceux qui l’on aidé, et, ontcru en lui. Il se repose quelques jours,et reprend l’entrainement. La salle est le seul endroit où, il est bien. Ilaime sentir le vieux cuir, regarder les vieilles photos sur les murs. Il seplait aussi, à taper dans les sacs en imaginant la tète de certains gars. Cela est pour lui une façon de passer sa ragecontre certaines personnes qui n’ont pas été cool avec lui. Lorsqu’ilsert de sparring les Boxeurs en face delui, voient vite, s’il a eu des ennuis ou pas. Quand Steve est hargneux, ilssavent que la journée c’est mal passée. Donc ils appuient un peu plus les coupsafin qu’il puisse bien se défouler. Cela aussi Steve l’apprécie. Il se préparepour son deuxième combat. Son adversaire est un frappeur, quatre combats quatrevictoires par ko. Cela motive Steve au plus haut point. Il met les gants avecdes gars plus lourds que lui pour travailler en puissance. Il est pressé d’endécoudre, tant on parle de son adversaire. Le jour de la pesée arrive. Stevetoise son opposant. Celui se rapprocheet met son visage à dix centimètres du sien. Le regard que Steve luirenvoi est telle une balle. Il letraverse de part en part. Steve a gagné, l’autre baisse la tête. Ce soir, lecombat sera rude. Arrive l’heure fatidique. Les deux combattants montent sur lering mais on sent que cela n’ira pasloin. Tous deux sont tendus comme des cordes d’arc. L’arbitre fait lesprésentations et Steve dévisage son rival une fois de plus. Premiercoup de gong. Steve allonge sa droite en jab et cherche la bonne distance.Soudain, il lâche un crochet gauche terrible au foie. L’autre s’écroule. L’arbitre le compte huit etcourageusement il se relève. Il essaied’éviter les coups de massue de Steve, mais rien n’y fait. Il est repiquer par deux crochets et, Steve termine par un uppercut au menton. Il s’écroule ko L’arbitrepourrait le compter cent, tant il est sonné. Son coin vient le chercher sur lering et le raccompagne dans son coin. Steve va le voir et reconnais soncourage. Son rival lui dit, bravo tu iras loin tu as des marteaux dans lesmains ! Steve trouve sa place sur le ring. Il y est à l’aise. Il savouresa victoire mais, il sait fort bien querien n’est jamais acquis. Il avance doucement. Tout peut s’arrêter très vite.Le ring est un endroit magique ou l’onne peut pas tricher. Steve aime bien tout ça. Son pire adversaire étantlui-même, il essaie de connaitre ses limites. De plus, c’est un cogneur. Très dur au mal. Il s’est forgé cette résistance dans son enfance. Lesparring lui convient car ainsi, il peutpiocher dans ses réserves faces aux champions. Il prend beaucoup de coups mais,il est fier de se mesurer avec eux. Il sait que sa vie n’est rien sans la Boxe et que s’il tient debout, c’est grâce aelle. Sans elle, il serait à nouveau incarcéré voir mort. Cela, il ne l’oublie pas. Pour son troisièmecombat, son adversaire est plutôt coriace. Dix combats dix victoires donthuit avant la limite. Beau challengepour Steve. Comme il sort de prison et, a besoin de se défouler, Steve nerefuse personne. Il décide d’aller incognito voir son adversaire s’entrainer.Ce qu’il voit, le fait un peu flipper mais en même temps le motive à bloc. Tous les sparrings du gars finissent àterre. Il ne fait de cadeau à personne. Steve sait à quoi s’en tenir. Ilreprend l’entrainement et travaille sa vitesse et sa précision. Il sait que ce combat sera décisif pour lui.Plus le jour du combat approche plus Steve est sur les dents. Il ne supporterien ni personne. La veille du combat a lieu la pesée. Celle-ci a failli seterminée en pugilat. En effet sonadversaire le chambre et lui fait desdoigts d’honneur Steve n’apprécie pas du tout et dévisage le gars. Celui s’approchepour soutenir le regard. L’entraineur de Steve voit celui ci blêmir et saitqu’il va se passer quelque chose. Les yeux de Steve sont de vrais révolvers.Son adversaire ne flambe plus et Steve est retenu par son coin avant qu’il ne lui saute dessus. Il estcomme un fou, très bon signe avant ce combat.

Jevais le tuer, je vais le tuer ne cesse de répéter Steve a son entraineur. Celuici ne dit mot, il connait Steve et sait que cela va faire un combat trèsviolent. L’heure de vérité approche. Steve est dans le vestiaire bien en avance. Il dort un peu et demande a soncoin de le réveillé trois heures avant le combat. Il se prépareconsciencieusement, et, ce chauffe surtout bien, car il sait qu’il joue grossur le coup. Une fois sur le ring Steveattend son adversaire en faisant du shaddow .Son regard est noir, Stani un de seshommes de coin sourit, il le connaitbien et sait que ce soir on va voir dugrand Steve. Déjà lors des présentations de l’arbitre le regard qu’il jette ason rival en dit long. Le gong libère les deux boxeurs. Steve est surpris parl’agressivité de son adversaire et serre les dents. Celui ci c’est jeté sur luitel un fauve. En le frappant sous tous les angles. Il laisse passer l’orage etplace deux gros crochets du gauche qui refroidissent un peu les ardeurs de sonrival. Le premier round se termine et Steve c’est à quoi s’en tenir. Il a prisbeaucoup de coups et, n’en a donner que quatre…Dans son coin, on lui parlecalmement il sait que se premier round il l’a perdu, y a pas photo !Surtout, il a en face de lui un cogneur qui ne lui fera pas de cadeaux. Coup de gong, il bondi de son tabouret etallonge sa droite qui fait mouche a chaque fois. Il cadre bien et cherche labonne distance avec ses jabs. Soudain, il voit une ouverture et, décoche un puissant crochet gauche au visage. Al’impact, Steve sait qu’il a fait mal. L’autre fléchit les jambes et, sonregard est vague. Steve l’a vu et ne le lâche plus, crochets des deux mains,corps, face, son adversaire va au sol. Il est compté huit. Il se relève maisSteve a décidé d’en finir il place quelques directs et termine, en se désaxant par un uppercutouvert du gauche plein menton. Son adversaire tombe comme une masse. Il tremblede tous ses membres. L’arbitre le compte dix et Steve saute de joie au milieudu ring. Ce soir Il a beaucoup appris soir il a pris des coups maisil sort vainqueur. Il lui faudra retenir la leçon. Il n’est pas le seul àfrapper ! Les coups qu’il a pris ce soir, Steve le sait, ce n’est pas bon. Il se repose quelques jours et reprend deplus belle l’entrainement. Il croise les gants avec quelques pointures et apprend beaucoup de choses à leur contact.Il se prépare pour son quatrième combat. Une formalité, Steve gagne par KO au 1erround. Son adversaire n’a pas apprécié les larges crochets de Steve, ainsi que ces uppercuts, qu’il réussi demieux en mieux. Ce coup est une arme maitresse en Anglaise. Les combatss’enchainent et Steve les gagne tous. Arrive un moment, ou son coin, lui propose untrès dur client, qui lui aussi est uneterreur qui frappe très fort. Steve sait que là les choses vont se corsées. Labarre est mise haute et ce test est très important. L’entourage de Steve leprévient que ce combat ne sera pas comme les autres, il laissera des séquelles,c’est sur, si Steve sous estime son adversaire. Celui ci est un dur qui a descendu tous ses rivaux avant lalimite. Steve sait que cela va être (« la Guerra », comme lui diraplus tard son Ami Génaro Léon. Unguerrier lui aussi). Il s’entraine comme un fou car ce combat sent la poudre.Son adversaire a dit partout qu’il va lebouffer ! Qu’il ne résistera pas longtemps devant lui. Steve aime sessituations ou l’agressivité plane. Il choisi des sparrings durs, très durs même Les combats difficiles,il sait que c’est a l’entrainement qu’on les gagne. Lorsqu’il frappe au sac, ilmet une photo de son adversaire et cogne comme jamais, il ne l’a fait auparavant. Il ne sait jamais fait aussimal à l’entrainement. Le combat approche et Steve est tendu comme une corded’arc. La pesée a lieu dans unhôtel et son adversaire fait leshow. Il mime Steve étant mis ko. Ilparle aussi, je vais te descendre au deuxième dit il à Steve. Après moi, tu neboxeras plus, lui dit-il. Steve ne dit rien il le regarde simplement dans les yeux. A cet instant plein de chosesse bousculent dans sa tète. Ilavance légèrement Stani à tout vu. Les yeux de Steve ont parlé à sa place. Ils ont fusillé surplace son adversaire qui soudain ne crane plus. Sa superbe adisparue. Il a perdu le premier round en dehors du ring. Steve est satisfait delui. Il a hâte d’être au match. Les dernières heures d’attente sont très longues Steve tourne enrond comme un fauve. Il ronge son frein. Il arrive néanmoins à dormir un peumalgré toute la pression qu’il s’est mise. L‘heure fatidique arrive enfin. Steve est le premier sur le ring tant il a envie d’en découdre. Son adversairese fait attendre et nargue Steve. Celuici sautille sur le ring et, commence .às’impatienter. Enfin l’arbitre fait les présentations. Les yeux de Steveparlent une fois de plus pour lui. Il est prêt pour la guerre. Le mec va payer. Premier round, Steve boxe en jabsdu droit pour préparer sa gauche. Soudain il est surpris par une droite tenduequi lui fait mal. Il accuse le coup. C’est clair son adversaire frappe fort, deplus, il a vu que Steve était touché. Il continue à le frapper il ne le lâchepas. Soudain, une série de violents crochets percute Steve qui pose un genou àterre. Il est surpris et en même temps en colère. C’est la première fois qu’il va àterre ! Il a la rage. Tout ce bouscule dans sa tête, il y a comme un feud’artifice. Il se relève à huit etdécide d’en finir Il lève les mains, Il accélère et commence un travail de sapeau corps avec de larges crochets. Au cours d’un enchainement, il passe soncrochet gauche à la face et fini par un uppercut droit. Son rival reste en suspend. Steveredouble de violence avec ses crochets, qui commencent leur travail de sape. Ilsait que c’est la clef du combat. Fin du premier round. Les deux sonttouchés et savent que le combat n’ira pas à la limite.La minute de repos est très courte Steve a le gout du sang dans la bouche, et,sais que cela va faire mal. Pas bon celasent la poudre ! Début du deuxième round. Steve prend possession du ring,il s’impose au centre de celui-ci par ses longs directs qui touchent leur cibleà chaque fois. Il enchaine avec aisance et le match est entrain de choisir sonvainqueur. Steve accélère une fois encore et coince son adversaire dans soncoin. Il enchaine crochets au corps et à la face et, se permet même de lenarguer. Il martèle les flancs de son adversaire avec une telle violence, quecelui ne peut rien faire. Il sent son adversaire flancher. En un éclair il voitla faille et passe un magistral uppercut du gauche plein fer.*. Un uppercuttrès court, dévastateur ! Steve entend un bruit bizarre, qui lui rappellede bien mauvais souvenirs. Un morceau debois que l’on casse ! Son rival descend tel un pantin désarticulé. Stevesait que c’est fini. Il va dans son coin et Stani lui coupe le ruban des gants.L’arbitre qui n’a pas commencé a compté le rappelle et demande a son coin deremettre le sctoch .Ainsi son adversaire gagne du temps mais il est toujours aterre. Steve le regarde avec mépris, il sait qu’il ne se relèvera pas. L’arbitrele compte enfin après au moins uneminute. Il est bien ko et pour plus que le compte. Son staff le relève et le ramène dans coin. Le médecinl’examine et conclu : gros ko il vafalloir du repos. Steve est très heureux il vient de passer un os comme on ditdans le milieu. Mais sa joie est ternie, car ce soir il a ressenti de la hainepour un adversaire .Une véritable haine qui lui rappelle de bien mauvaissouvenirs carcéraux. Cette soirée de fête est gâchée, car il ne pensait pas se retrouver dans une telle situation. Cesoir, il avait envie de tuer. Il avait un gout de sang dans la bouche, étrangesensation qu’il ne penser pas revivre ànouveau et qui le ramène vers son passé.

Ce passé qu’il voulait essayer d’oublier surle Ring, le rattrape.

Cela lui rappelle trop de mauvais moments,mais la vie est ainsi faite. On est souvent poursuivi par son passé.

Fer= menton

Ce combat, Steve savait qu’il serait dur,mais, il lui a aussi rappelé que vivaiten lui un sentiment terrible la HAINE. Steve prend beaucoup de repos après cematch et décide de ne plus boxer officiellement du moins. La BOXE ce n’est pas cela. Il aime trop ce sportpour tout gâcher.

Il ne veut plus ressentir une tellesensation. Désormais, il ira croiser les gants dans les salles avec ses potes, mais plus de combat.

La BOXE compte trop pour Steve pour qu’ilgâche tout. C’est un dur sport, mais lorsque l’on éprouve ce qu’il a ressentilors de son dernier combat, il vaut mieux arrêter.

C’est son avis.

La BOXE, lui sert à avancer, pas a retomberdans les travers de violence. Elle l’aide à se canaliser, rester debout et surtout ne pas retomber. Sans elle et les Boxeurs quile soutiennent, il n’y serait pas arrivé.

Sur le Ring, il a lâché ses démons mais, il asurtout appris à se connaitre et il sait que malgré toute la violence qu’ilpeut dégager parfois, Steve est un gentil. Parfois, il a eu beaucoupd’appréhension, il a appris à dépasser la souffrance physique mais dans satête, la détresse l’envahie.

Cette détresse qui l’a habité durant sonincarcération et, qui parfois le tacle a nouveau. Il lui faut alors beaucoup devolonté pour ne pas ce laisser aller, en particulier vers l’alcool.

La BOXE et tout ce qui gravite autour, aideSteve à échapper a tout cela. Rien que le fait, qu’il soit dans une salle aubord du Ring l’apaise

Il sait combien, il doit a ce sport, et, neveut en aucun cas retomber dans ses travers de violence gratuite. Désormaistrop de gens lui font confiance et, il se doit d’avancer et, non replonger.

Il est encore une fois seul face à lui-mêmeet tous ces démons.

Il pensait ne plus jamais, revoir ce jour, ouil avait tapé sur les deux détenusvenus pour « l’enculer ». Ce jour la, Steve étaitdevenu un animal et son dernier combat lui a rappelé tout cela. Dommage mais la vie est ainsi faite.

Certaines personnes sont poursuivies parl’ombre de leur passé. Steve fait partie de celles là.

.

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Invité ocxoone
Invités, Posté(e)
Invité ocxoone
Invité ocxoone Invités 0 message
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J'ai signalé qu'il y avait trois sujet identique.

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Membre, Agent Publicitaire, 37ans Posté(e)
LaClandestina Membre 19 730 messages
37ans‚ Agent Publicitaire,
Posté(e)

c'est super chiant à lire, non pas pour ton style mais les mots sont collés 1 fois par ligne :/

genre : cesnuits, simpletout

alors vu la taille du pavé, ça va être un peu dérangeant :/

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Membre, Posté(e)
Nohanne Membre 1 237 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

bonjou r

trop lourd trop répétitif , j'aurais préféré connaître la vie de Steve pourquoi en est il arrivé là ? que fait il en dehors de la boxe, a t'il une famille, une femme ?

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Membre, Posté(e)
Infinitive Membre 127 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bonjour !<BR style="mso-special-character: line-break"><BR style="mso-special-character: line-break">

Tu veux un avis n'est-ce pas ? Un avis objectif se doit d'être sincère.

Ton texte est difficilement lisible. Il n'y a pas de paragraphe bien marqués, les phrases sont confuses, trop de fautes d'orthographes nuisent vraiment à la clarté.

Le sujet est la boxe et/ou l'alcool ?

On ne lit pas la descente aux enfers de ce type. J'ai l'impression en lisant ton texte, que tu t'es contenté de jeter des idées en vrac.

Tu ne développes pas la psychologie du personnage, ses démons sont effleurés mais sans profondeurs, on a du mal à voir venir un roman par devers ces quelques lignes.<BR style="mso-special-character: line-break">

Franchement c'est chiant à lire. Il faudrait que tu le retravailles à fond et que tu nous en postes une nouvelle mouture...

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Membre, nyctalope, 40ans Posté(e)
Criterium Membre 2 874 messages
40ans‚ nyctalope,
Posté(e)

Même avis. Lecteur K.O.

Autant il est possible d'utiliser, comme effet de style, des répétitions et une alternance entre imparfait et présent, autant dans ton texte ces deux procédés apparaissent de façon chaotique, en conséquence de quoi l'on a la sensation d'un style non-maîtrisé (et même plutôt comme une absence complète de style). Quelques conseils très simples mais qui déjà t'aideront beaucoup:

— Relis-toi régulièrement.

— Aère le texte (et là je ne parle pas seulement des inconvénients du couper/coller depuis ton éditeur de texte résultant en des mots concaténés).

— Apprends à éviter les répétitions; non pas parce qu'il ne faudrait jamais en utiliser, mais parce qu'il est apparent que souvent, tu ne sais pas faire autrement que d'avoir recours à une répétition. Apprendre à reformuler instruit beaucoup. Cela concerne non seulement les mots, mais aussi les phrases revenant sans cesse.

— Joue avec les temps des verbes mais de manière consciente. Les transitions passé-présent influent grandement sur ce que ressent le lecteur; apprendre à moduler le ressenti de ton auditoire est indispensable pour apprendre à créer une atmosphère.

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