Moeurs, us et coutumes...

Les moeurs, us et coutumes sont ces règles de vie en société qui réglementent nos vies sans loi. Ils sont largement acceptés par habitude, tant quenous nous y accrochons... On n'allonge pas les pieds sur une table devant son patron ou un client. C'est un manque de respect, on ne donne pas un objet ni ne le prends de la main gauche, on on ne demande pas l'âge d'une dame... Ces règles qui s'imposent à nous dès notre tendre enfance ne sont donc réglementées que par nos sociétés. Parfois, les usages changent d'une communauté culturelle à l'autre, alors les règles de bienséances veulent que nous connaissions les codes de l'autre. Parfois on va éviter de croiserun regard, parfois on ne doit pas dévier le regard...

Pourquoi onrespecte ces codes ? Soit parce que nous les avons acceptées, soit par respect de ceux qui les respectent... Parfois pour garder uneplace dans la société simplement. Combien de règles dominent notre quotidien ainsi ? Sans que nous ne nous demandions même le bien fondé de ces usages ancestraux, souvent démodés, voire absurdes ? La plupart des lois sont elles-mêmes codifiées par ces usages. Y compris dans les religions... La loi mosaïque est très proche du code d'Hammourabi, les rites cultuels de ceux d'Egypte Antique. L'islam a hérité d'usages arabes et romains nombreux. La fête de Noël est un rite ancestral sans rapport avec Jésus. Et vous, que faites-vous quand ces moeurs contreviennent à votre propre conception des choses ?

bonjour

nous naissont dans un milieux et une époque ou les règles sont déjas établies .

je ne sai plus dans qu ' elle tribue ou il était de bon ton , dans un diner , de recracher derrière soi les os de poulet et de roter pour faire comprendre à son hote que l ' on était satisfait du repas .

je vois faire cela dans un diner chez nous ,

nous passeriont pour le dernier des gougat , lol .

dans d ' autre éthenie ,

pour honorer son visiteur , on lui offrait sa femme pour la nuit ?

dans certaines tribues indiennes d ' amérique ,

aprés le repas , l ' hote prenait sa pipe et la réccurait , çe qui signifiait que l ' invité devait sans aller .

autres moeurs , autres coutumes .

bonne journée

Mais toi, personellement, tu fais quoi quand tu es devant des moeurs étrangères comme celui qui t'invite à faire gili gili avec sa tendre épouse ?

Parfois il n'y a pas besoin d'aller loin pour voir que certaines habitudes en France choquent... J'ai encore l'image effarée de ma correspondante allemande lorsque j'ai voulu lui faire la bise (pourtant je suis aussi une fille!) Ou bien en période de Ramadan, certains collègues masculins refusaient meme de me serrer la main alors qu'en dehors de cette période, on se fait la bise... Meme si certaines habitudes nous semblent bizarres, l'important est de savoir quelle en est l'origine pour ne plus avoir de (mauvaises) surprises. On ne peut pas effacer des siècles de coutumes, alors autant chercher à les connaitre et à les comprendre, c'est instructif, ça fait réfléchir, parfois ça nous remet en question et ça peut meme etre amusant!

Il y a 25 ans, je vais dans un pub de jeunes avec un copain. Je tiens la porte à deux nanas qui étaient derrière nous. Et l'une des filles dit : "Ca existe encore, çà ?". Il y a trente ans. On aurait du les draguer. Que des cons !!!

Mais toi, personellement, tu fais quoi quand tu es devant des moeurs étrangères comme celui qui t'invite à faire gili gili avec sa tendre épouse ?

bonjour

je respecte les moeurs des autres mais , jusqu ' un certain point ou limite .

dans toute ces coutume et moeurs ' il y à un état d ' esprits et de logique relatif à ces milieux .

disont que l ' offre de la femme pour la nuit , sous-entend un trés grand honneur pour celui qui le reçoit ,

refuser , sous entend que la femme n ' est pas au gout du reçeveur et du mauvais gout de celui qui l ' offre

pour avoir choisis cette femme comme épouse .

dans certaines tribues amazoniennes , l ' ingrédient qui ser à faire une boisson trés prisée ,

celui-çi est malaxé dans la bouche des femmes et recraché dans une sorte de calbasse ?

cette boisson est offerte au visiteur qui ne peut la refuser sans provoquer un incident " diplomatique " local " .

bonne journée .

Bonne journée. En effet, souvent on est amenés à se confronter à des usages très éloignés de nos canons. Il faut bien connaître les moeurs des autres, cet cela fait partie du savoir vivre en collectivité. Certains parlent en criant et en gesticulant, cela perturbe une personne habituée à causer calmement et à plus de 20 cm de l'autre (:D). Parfois, on est mal à l'aise parceque nos propres usages nous empêchent de se concilier à ceux de nos invités ou de nos hôtes, voir de collègues... Il faut donc un repect dans les deux sens pour vivre paisiblement dans la différence. Je ne peux pas me permettre de ne pas serrer la main d'une personne qui m'invite ou de ne pas écouter une instruction de son épouse :(. Il y a un minimum de savoir-vivre pour pouvoir coexister ensembles. Surtout quand nos usages sont très anciennes et incompréhensibles. C'est un plaisir presque enfantin de répéter des coutumes et rites pratiquées depuis des millénaires, et cela es comme un bon vin, qui plus il vieillit plus il gagne en valeur. Mais la vie en communauté hétéroclite nécessite de réformer les moeurs à mesure des changements socio-anthropologiques...

Face à des mœurs inhabituelles, il faut essayer de s'adapter, ce n'est là qu'une question d'éducation. Mais face à des mœurs immorales, il faut faire front. Bien sur, ça sous entend être capable de bâtir sa propre morale, que celle-ci ne soit pas uniquement la copie de celle de notre lieu de naissance.

Mais les mœurs vraiement immorales sont rares. En générale, il vaut mieux suivres les us et coutumes de la majorité pour se faire accepter,.Et ensuite, par le dialogue, il est possible de faire accepter aux autres des mœurs qui seraient plus raisonnables (si les nouvelles de la majorité ne sont pas déjà les plus raisonnables).

Il n'y a pas de moeurs "immorales". Là où je suis d'accord, c'est qu'il ne faut pas appeler à la haine ou la violence, et respecter l'intégrité de l'autre. Mais il faut pouvoir dépasser les moeurs pour pouvoir trouver un milieu d'entente commun avec tous. Parfois, il est plus sage de ne pas pratiquer certains usages pour s'ancrer dans une sérénité plus profonde. Les mitsvoth sont faites pour l'homme, non l'homme pour les mitsvoth.

L’excision me semble pourtant immoral.

C'est une forme de violence physique portant préjudice à l'intégrité des filles. C'est donc un usage condamnable.