Economie

71,3 % de prélèvements fiscaux et sociaux. Social, social, social……

Des injustices renforcées et non corrigées par cet excès de dépenses publiques improductives qui font les dérives et les délices des mille-feuilles territoriaux aujourd'hui contrôlé par la gauche. Face a nos mini réformes que certains appellent une politique de rigueur. Je proposerais plutôt de la nommer politique de remise en forme. Avant la purge douloureuse inévitable.

En France, les prélèvements fiscaux et sociaux sur le travail représentent 71,3 % du salaire moyen. Un pourcentage hallucinant…….reste 28,7 % dans notre poche !

Ils s'élèvent à 63,4 % en Suède, à 62,7 % en Allemagne, à 60,5 % en Italie, à 51 % en Espagne, à 42,6 % aux Pays-Bas, à 37 % au Royaume-Uni et à 31,4 % aux Etats-Unis.

Nul besoin de « sortir les dents » pour aller chercher la croissance et le pouvoir d'achat. Il suffit de sortir la calculette. Si la France avait le même pourcentage de dépenses publiques que ses voisins, soit 6 % de moins de son PIB, elle pourrait mieux redistribuer plus de 100 milliards d'euros de pouvoir d'achat.

Vu l'état de la France et les inerties qui encombrent les esprits de ses dirigeants, étrangement coalisés dans leur conservatisme, revenir à la norme ne serait pas une réforme, mais une révolution populaire. De droite, donc, évidemment.

Le projet 2012 du PS: ou la "société du bien-être" le take care signifie "prendre soin" ! Ou la prise en main de nos vies du berceau au cercueil ! par un état nounou bienveillant ! bien sur avec nos sous ! Je crains donc le pire……dans la surenchère générale......cela avec une augmentation inévitable des impôts !

La France prend le chemin de la Grèce…….

La crise grecque envoie à la France un message beaucoup plus profond que ne le laisse supposer le plan de sauvetage organisé par les autres pays de la zone euro et le FMI.

Qui dit plan de sauvetage dit qu’un sauvetage est possible en Grèce, que des mesures fortes comme celles qu’ont prises en d’autres temps et d’autres lieux le Mexique, l’Argentine ou la Nouvelle-Zélande, suffiront à rétablir l’équilibre budgétaire.

On peut douter des possibilités d’un tel redressement, car le rôle central du gouvernement et le clientélisme qu’il génère font que 70% des Grecs vivent d’emplois d’Etat, des privilèges qu’il distribue ou des taxes qu’il prélève au profit de certaines catégories.

De ce fait, les Grecs sont plus occupés à rechercher des rentes de situation distribuées par l’Etat qu’à créer des richesses ! 70 % en Grèce! 71% en France ? Pays ou 70 % des jeunes souhaitent faire carrière dans les fonctions publique. Ce qui en dit long sur notre déclin moral et économique

Bonsoir,

Il serait juste et honnête d'écrire, après le chiffre des 71% de prélèvement, d'écrire que ce prélèvement est redistribué en services (éducation, santé, par exemple...) et en revenu indirect (prime à l'emploi, dégrèvement fiscaux pour des travaux, par exemple...) Cela fait aussi partie des revenus des ménages.

Disons donc halte à la caricature. Loin de moi l'idée d'encourager au gaspillage, mais il faut tout de même savoir observer quelque mesure sur ces sujets. D'autre part, un fil de discussion a été un brin plus été constructif dans ce thème économique, avec des propositions des intervenants. Je t'invite à le lire et, pourquoi pas, à y participer =)

Comment diminuer la dette

Néanmoins, sur ton sujet général, je pense que si l'on en croit les différents sondages (TNS-Sofres en avait fait un en 2009 ce le semble), les français sont très attachés à leur système de protection social, et en font même une composante de leur identité.

Bonne soirée

Vous ne pouvez pas dire qu'on touche 28% d'un salaire.

L'impôt sur le revenu est faible pour un smicard, inexistant au-dessous.

Là où c'est vrai, c'est pour les taxe d'habitation et foncière. Les régions sont autrement plus riches que l'Etat.

On ne deviendra pas riche dans un pays endetté, pas d'emploi, pas d'économie.

Restent les fonctionnaires.

Les 71% ne comprennent pas que les impôts directs en fait... Sont prises en compte les taxes : TVA, carburant, etc. devant lesquelles personne ne peut se soustraire.

Des injustices renforcées et non corrigées par cet excès de dépenses publiques

Les dépenses publiques sont constituées en effet à 70% de transfert vers les riches et les entreprises, sous forme de service de la dette, de libéralités, et d’achat de biens et de services à des entreprises.

Par contre, les dépenses sociales (assurance maladie, retraites, et allocations familiales), financées par les cotisations sociales, réduisent considérablement les inégalités.

En France, les prélèvements fiscaux et sociaux sur le travail représentent 71,3 % du salaire moyen.

Non. Pas 71%.

40% de cotisations sociales (en comptant la part patronale et la part salariale) + 10% d’impôt sur le revenu pour le salarié moyen, ça fait 50%.

Un pourcentage hallucinant…….reste 28,7 % dans notre poche !

28% (ou plutôt 50%) + la sécu + la retraite + l’école publique financé par l’impôt etc.

La France prend le chemin de la Grèce…….

Tous les pays capitalistes qui vivent sous perfusion d’argent public prennent le chemin de la Grèce.

71% en France ? Pays ou 70 % des jeunes souhaitent faire carrière dans les fonctions publique. Ce qui en dit long sur notre déclin moral et économique

C’est immoral de vouloir travailler à l’hôpital ou à l’école pour un salaire médiocre qui diminue chaque année ?

Je ne trouve pas.