IVG : un droit menacé

Pour moi la vie se respecte. on n'a pas le droit à partir du moment où une vie est formée de la détruire. Je suis d'accord pour certains cas où l'enfant sera mal venu et malheureux mais par avorter par confort , NON.

Je connais des femmes qui ont avortés parce qu'elles étaient dans de drôles de situations et elles regrettent à présent, en sont toujours perturbées 20 ans après.

Il faut bine l'admettre: ce n'est pas très réjouissant

Je suis d'accord pour certains cas où l'enfant sera mal venu et malheureux mais par avorter par confort , NON.

Je cherche encore un sens à "avorter par confort" si "mal venu" n'est pas le critère le plus simple à accepter ? Pour quelle autre raison un couple choisirait il un tel acte ?

Bonjour madame, je voudrais un thé, un massage et un IVG svp, pour mon ptit confort ?

Faut arrêter la paranoïa les enfants... Tu vas souvent voir ton gyneco par "confort" ? tu connais une seule femme stable psychologiquement qui aurait dans l'idée de se faire un IVG par "confort" ?

Ca se passe au bloc hein ? C'est pas dans un transat avec coktail, soleil et mer à 30°C...

Pour moi la vie se respecte. on n'a pas le droit à partir du moment où une vie est formée de la détruire. Je suis d'accord pour certains cas où l'enfant sera mal venu et malheureux mais par avorter par confort , NON.

Je connais des femmes qui ont avortés parce qu'elles étaient dans de drôles de situations et elles regrettent à présent, en sont toujours perturbées 20 ans après.

Il faut bine l'admettre: ce n'est pas très réjouissant

Il y a donc une contradiction dans ton propos : cet acte n'est jamais anodin et à mon avis rarement pris à la légère, ne serait-ce par l'encadrement et l'accompagnement qu'il y a autour, ainsi que les séquelles psychologiques qu'il peut laisser et dont tu témoignes.

Pour ma part, je ne suis pas dans le manichéisme primaire qui oppose vie et mort à des fins, trop souvent, de morale religieuse. Je pense que le sujet mérite une approche un peu plus sérieuse où les femmes, bien vivantes elles, méritent le respect de leurs choix et de leur corps. Surtout, la question serait peut-être à envisager par une entrée un peu moins réductrices : le combat pour la réduction des inégalités hommes/femmes qui a pris un sacré coup dans l'aile depuis les années 90, et à plus forte raison depuis la crise économique (ex : le temps de travail partiel subi plus important chez les femmes, déséquilibre dans le partage des tâches domestiques accentuées à l'arrivée du premier enfant...). Voila une pression sourde sur les femmes, qu'il serait bon de lever afin de prévenir le recourt à des solutions comme l'IVG.