Capitulation au féminin.

La mort dans l'âme, je dérapes. Je glisses dans les bras du temps qui fuit. Les cheveux au vent, la poussière des livres dans les yeux je pleures les jours où j'étais aimée. Je suis comme une fillette oubliée par ses parents. Un pincement en mon coeur à peine résistible me rappelle comme je suis seule. Le monde dérape sous mes pieds nus, les étoiles ne m'adressent plus la parole. La mort dans l'âme je cherches en vain après mes poèmes. Ces compagnons fidèles quim'ont abandonnés eux aussi. Le wagon qui déraille est en mon esprit, il me hante et me crache au visage. Je fuis mon reflet dans l'eau du lac. Mes tresses sont défaites, mes habits mouillés par l'eau qui sent le nénuphar. Si je plongeais la tête dans l'eau pour me rafraîchir les idées. Un monde de mystères. Décidément, quand tu nous tiens.

Viens, je suis à toi. Fais de moicomme il te plaira.

Très joli écrit , nous attendons la suite .....

Capituler, c'est perdre une guerre ! Ça ne me parait pas juste là ! A mon sens, il n'est pas question de guerre, d'antagonisme. Il s'agit d'une relation sublime. J'ai peut être mal compris, mais j'ai aimé le style.

C'est un écrit elmou, tout est permis :) ( bon ça empêche de dire ce que tu penses :) )

je suis fan, magnifique.je m'y retrouve. touchant.

C'est l'attaque de la Capitulation du Démon, utilisée par le chevalier de la vierge contre Saga et les autres dans la partie Hadès de saint seiya, donc :

e suis comme une fillette oubliée par ses parents.

ça sent pas la sincérité, loin de là, mais à la lumière de mon analyse on peut dire que c'est pas complètement faux

j'ai trouvé ça beau - mais pour moi capitulation est le contraire de féminin

:cool:

continues à nous faire partager tes écrits -merci

Le feu qui m'anime provient de mon coeur qui bat pour toi. Je suis la voie de la rectitude. Je suis l'amour incarné pour semer la paix sur Terre. Celui qui me trouve a trouvé la lumière, et celui qui me perd est sur le chemin du retour. Je suis la voix qui crie dans le désert, dans les vagues qui transportent le parfum de mon souffle. Je suis la crainte d'un guerrier qui tue, l'espoir de survie d'un enfant avorté. Je suis la Vie. Emmanuelle est mon nom, je suis la grâce qui se dissimule dans la poésie, je suis la flamme qui anime ton âme. Si tu me renies, la mort qui traverse mon coeur est amour.