Après l'Allemagne, la Suisse...

Décision historique en Suisse : le Conseil fédéral s’est prononcé hier pour la sortie du nucléaire. Les cinq réacteurs situés en Suisse alémanique devraient être débranchés progressivement à partir de 2019, après 50 ans d’exploitation.

Si le scénario annoncé hier par le Conseil fédéral (gouvernement) est approuvé par le parlement de Berne et n’est pas remis en cause par la suite lors d’un référendum, le réacteur numéro 1 de la centrale nucléaire de Beznau, dans le canton d’Argovie (voir infographie) sera arrêté en 2019. Il s’agit du plus ancien réacteur à eau pressurisée au monde en service depuis 1969, soit neuf ans avant le couplage de Fessenheim 1 au réseau EDF. Dans huit ans, Beznau 1 arrivera, si tout va bien d’ici là, au terme de sa durée d’exploitation que le gouvernement suisse veut limiter à 50 ans.

En appliquant cette durée limite, Beznau 2 et Mühleberg seront arrêtés en 2022, Gösgen en 2029 et Leibstadt, la plus récente des quatre centrales suisses, en 2034. Cette date devrait marquer la fin du nucléaire en Suisse. Les sept membres du conseil fédéral ont opté pour le deuxième scénario prévoyant le non-remplacement des centrales nucléaires existantes à la fin de leur durée d’exploitation. Ils ont rejeté le premier scénario envisageant le statu quo avec le remplacement des trois centrales nucléaires les plus anciennes, afin de garantir un maximum de sécurité. Ainsi que la troisième variante, le plus radical des scénarios de l’après-Fukushima, prévoyant l’abandon anticipé de l’énergie nucléaire et la mise hors service des centrales avant la fin de leur période d’exploitation normale.

Doris Leuthard, la conseillère fédérale chargée de l’énergie et de l’environnement a expliqué au cours d’une conférence de presse que le Conseil fédéral a voulu ainsi prendre en compte l’aspiration du peuple suisse, exprimée par des sondages, à « restreindre les risques résiduels liés à l’énergie nucléaire, tout en continuant de garantir l’approvisionnement électrique du pays Le nucléaire fournit aujourd’hui 39 % de la production d’électricité en Suisse contre 56 % pour l’hydraulique, à travers 1 600 centrales hydroélectriques et 190 barrages, et environ 5 % pour les centrales thermiques conventionnelles. Pour compenser l’énergie nucléaire, le Conseil fédéral table sur des économies accrues d’énergie, le développe- ment de l’hydraulique et des nouvelles énergies renouvelable, la production d’électricité par des centrales à gaz, ainsi que sur les importations.

L’abandon progressif de l’énergie nucléaire aura un coût économique important pour la Suisse : la facture pour couvrir les besoins électriques autrement, en restructurant le parc de production et en important davantage d’électricité, est estimée entre 0,4 et 0,7 % du produit intérieur brut (PIB) soit entre 2 et 4 milliards de francs suisses (1,6 à 3,2 milliards d’euros) par an. Pour financer la sortie du nucléaire, le Conseil fédéral envisage l’instauration d’une redevance d’incitation aux économies d’énergie ou d’un impôt sur l’énergie. L’augmentation de la part de l’énergie fossile thermique devrait entraîner une hausse sensible des émissions de gaz à effet de serre, considérée comme un moindre mal par rapport aux risques résiduels du nucléaire.

Décision historique en Suisse : le Conseil fédéral s’est prononcé hier pour la sortie du nucléaire. Les cinq réacteurs situés en Suisse alémanique devraient être débranchés progressivement à partir de 2019, après 50 ans d’exploitation.

Si le scénario annoncé hier par le Conseil fédéral (gouvernement) est approuvé par le parlement de Berne et n’est pas remis en cause par la suite lors d’un référendum, le réacteur numéro 1 de la centrale nucléaire de Beznau, dans le canton d’Argovie (voir infographie) sera arrêté en 2019. Il s’agit du plus ancien réacteur à eau pressurisée au monde en service depuis 1969, soit neuf ans avant le couplage de Fessenheim 1 au réseau EDF. Dans huit ans, Beznau 1 arrivera, si tout va bien d’ici là, au terme de sa durée d’exploitation que le gouvernement suisse veut limiter à 50 ans.

En appliquant cette durée limite, Beznau 2 et Mühleberg seront arrêtés en 2022, Gösgen en 2029 et Leibstadt, la plus récente des quatre centrales suisses, en 2034. Cette date devrait marquer la fin du nucléaire en Suisse. Les sept membres du conseil fédéral ont opté pour le deuxième scénario prévoyant le non-remplacement des centrales nucléaires existantes à la fin de leur durée d’exploitation. Ils ont rejeté le premier scénario envisageant le statu quo avec le remplacement des trois centrales nucléaires les plus anciennes, afin de garantir un maximum de sécurité. Ainsi que la troisième variante, le plus radical des scénarios de l’après-Fukushima, prévoyant l’abandon anticipé de l’énergie nucléaire et la mise hors service des centrales avant la fin de leur période d’exploitation normale.

Doris Leuthard, la conseillère fédérale chargée de l’énergie et de l’environnement a expliqué au cours d’une conférence de presse que le Conseil fédéral a voulu ainsi prendre en compte l’aspiration du peuple suisse, exprimée par des sondages, à « restreindre les risques résiduels liés à l’énergie nucléaire, tout en continuant de garantir l’approvisionnement électrique du pays Le nucléaire fournit aujourd’hui 39 % de la production d’électricité en Suisse contre 56 % pour l’hydraulique, à travers 1 600 centrales hydroélectriques et 190 barrages, et environ 5 % pour les centrales thermiques conventionnelles. Pour compenser l’énergie nucléaire, le Conseil fédéral table sur des économies accrues d’énergie, le développe- ment de l’hydraulique et des nouvelles énergies renouvelable, la production d’électricité par des centrales à gaz, ainsi que sur les importations.

L’abandon progressif de l’énergie nucléaire aura un coût économique important pour la Suisse : la facture pour couvrir les besoins électriques autrement, en restructurant le parc de production et en important davantage d’électricité, est estimée entre 0,4 et 0,7 % du produit intérieur brut (PIB) soit entre 2 et 4 milliards de francs suisses (1,6 à 3,2 milliards d’euros) par an. Pour financer la sortie du nucléaire, le Conseil fédéral envisage l’instauration d’une redevance d’incitation aux économies d’énergie ou d’un impôt sur l’énergie. L’augmentation de la part de l’énergie fossile thermique devrait entraîner une hausse sensible des émissions de gaz à effet de serre, considérée comme un moindre mal par rapport aux risques résiduels du nucléaire.

Que l'allemagne , veuille se préserver du nucléaire est une chose, mais que nous leur vendions de l'électricité en est une autre.

Je pense sérieusement que sortir du nucléaire n'est pas possible tout de suite ( au moins 50 ans):

Aujourd'hui avec l'émergence des pays d'Asie, l'énergie est devenue un sujet encore plus sensible qu'avant. Comment peut on produire plus d'électricité toute l'année avec un faible coût sans trop polluer?

Le pétrole : trop chère, en pénurie en 2030, pollution excessive

Le charbon ; son prix est en constante augmentation et pollue trop

Énergie renouvelable : Petit rendement car (entre autr)e elles ne fonctionnent pas à 100% du temps ( 20% pour une éolienne par exemple), on ne sait pas les recycler, prix aux KW.h excessif!

Nucléaire: faible coût au KW.h , ne pollue pas directement

Problème: problème de santé si incident

Surtout que dans plusieurs années, nos véhicules ne seront plus équipés de moteur à explosion mais électrique. Pour les alimenter il faudra encore plus de centrale de production d'énergie. Même si on améliore les énergie renouvelable pourra t-on produire assez d'énergie sans le nucléaire?

Décision historique en Suisse : le Conseil fédéral s’est prononcé hier pour la sortie du nucléaire. Les cinq réacteurs situés en Suisse alémanique devraient être débranchés progressivement à partir de 2019, après 50 ans d’exploitation.

Si le scénario annoncé hier par le Conseil fédéral (gouvernement) est approuvé par le parlement de Berne et n’est pas remis en cause par la suite lors d’un référendum, le réacteur numéro 1 de la centrale nucléaire de Beznau, dans le canton d’Argovie (voir infographie) sera arrêté en 2019. Il s’agit du plus ancien réacteur à eau pressurisée au monde en service depuis 1969, soit neuf ans avant le couplage de Fessenheim 1 au réseau EDF. Dans huit ans, Beznau 1 arrivera, si tout va bien d’ici là, au terme de sa durée d’exploitation que le gouvernement suisse veut limiter à 50 ans.

En appliquant cette durée limite, Beznau 2 et Mühleberg seront arrêtés en 2022, Gösgen en 2029 et Leibstadt, la plus récente des quatre centrales suisses, en 2034. Cette date devrait marquer la fin du nucléaire en Suisse. Les sept membres du conseil fédéral ont opté pour le deuxième scénario prévoyant le non-remplacement des centrales nucléaires existantes à la fin de leur durée d’exploitation. Ils ont rejeté le premier scénario envisageant le statu quo avec le remplacement des trois centrales nucléaires les plus anciennes, afin de garantir un maximum de sécurité. Ainsi que la troisième variante, le plus radical des scénarios de l’après-Fukushima, prévoyant l’abandon anticipé de l’énergie nucléaire et la mise hors service des centrales avant la fin de leur période d’exploitation normale.

Doris Leuthard, la conseillère fédérale chargée de l’énergie et de l’environnement a expliqué au cours d’une conférence de presse que le Conseil fédéral a voulu ainsi prendre en compte l’aspiration du peuple suisse, exprimée par des sondages, à « restreindre les risques résiduels liés à l’énergie nucléaire, tout en continuant de garantir l’approvisionnement électrique du pays Le nucléaire fournit aujourd’hui 39 % de la production d’électricité en Suisse contre 56 % pour l’hydraulique, à travers 1 600 centrales hydroélectriques et 190 barrages, et environ 5 % pour les centrales thermiques conventionnelles. Pour compenser l’énergie nucléaire, le Conseil fédéral table sur des économies accrues d’énergie, le développe- ment de l’hydraulique et des nouvelles énergies renouvelable, la production d’électricité par des centrales à gaz, ainsi que sur les importations.

L’abandon progressif de l’énergie nucléaire aura un coût économique important pour la Suisse : la facture pour couvrir les besoins électriques autrement, en restructurant le parc de production et en important davantage d’électricité, est estimée entre 0,4 et 0,7 % du produit intérieur brut (PIB) soit entre 2 et 4 milliards de francs suisses (1,6 à 3,2 milliards d’euros) par an. Pour financer la sortie du nucléaire, le Conseil fédéral envisage l’instauration d’une redevance d’incitation aux économies d’énergie ou d’un impôt sur l’énergie. L’augmentation de la part de l’énergie fossile thermique devrait entraîner une hausse sensible des émissions de gaz à effet de serre, considérée comme un moindre mal par rapport aux risques résiduels du nucléaire.

Que l'allemagne , veuille se préserver du nucléaire est une chose, mais que nous leur vendions de l'électricité en est une autre.

une chose devient évidente: les cons de l'histoire, ce sont les Français!

qui bien sûr, se croient bien plus forts que tout le monde

qui ne veulent pas, à leur grande majorité, du nucléaire, mais baissent leur culotte devant des décideurs qui se foutent de leur opinion

qui sont les seuls au monde à croire aux balivernes sécuritaires d'EDF

qui vont peut-être même construire de nouvelles centrales, pour alimenter ceux qui sont moins bêtes et préfèrent voir les centrales aussi loin que possible de chez eux

qui vont se taper les déchets, les risques, les horreurs dans le paysage, les pilules d'iode, etc...

vive la Sss.....euh, la France

une chose devient évidente: les cons de l'histoire, ce sont les Français!

qui bien sûr, se croient bien plus forts que tout le monde

qui ne veulent pas, à leur grande majorité, du nucléaire, mais baissent leur culotte devant des décideurs qui se foutent de leur opinion

qui sont les seuls au monde à croire aux balivernes sécuritaires d'EDF

qui vont peut-être même construire de nouvelles centrales, pour alimenter ceux qui sont moins bêtes et préfèrent voir les centrales aussi loin que possible de chez eux

qui vont se taper les déchets, les risques, les horreurs dans le paysage, les pilules d'iode, etc...

vive la Sss.....euh, la France

Médiocre

Je pense que c'est une bonne nouvelle, et que nous pouvons aussi sortir du nucléaire. L’Allemagne et la Suisse sont des exemples à suivre, mais d'après ce que j'ai cru comprendre le processus sera sans doute plus long chez nous car nous sommes davantage dépendants de l'énergie nucléaire.

Médiocre

c'est parce que c'est vexant pour notre fierté nationale, que tu dis ça? :D

Médiocre

c'est parce que c'est vexant pour notre fierté nationale, que tu dis ça? :D

Héhé Nan

:smile2:

.........

Que l'allemagne , veuille se préserver du nucléaire est une chose, mais que nous leur vendions de l'électricité en est une autre.

l'électricité que nous leur vendons serait perdue de toute façon ...et il ne faut pas oublier que nous en achetons en hiver lorsque les centrales sont au maximum de leur production ....Il faudra même s'inquiéter lorsque l'Allemagne ne pourra plus exporter ,et il faudra trouver des solutions de remplacement ....

"Il faut savoir que la France et l'Allemagne échangent beaucoup d'électricité et que l'Allemagne est historiquement exportatrice vers l'Hexagone. L'arrêt des réacteurs nucléaires, qui produisent l'équivalent de la totalité des exportations habituelles de l'Allemagne sur un an, va obliger la France à trouver des moyens pour combler ce vide."

L'arrêt des réacteurs nucléaires, qui produisent l'équivalent de la totalité des exportations habituelles de l'Allemagne sur un an, va obliger la France à trouver des moyens pour combler ce vide."

je serais curieuse de savoir en vertu de quel traité nous serions obligés de construire des centrales pour alimenter les voisins qui sont assez intelligents pour y renoncer eux-mêmes!

pyrenne ,à mon avis tu as lu en diagonale .....

entre la France et l'Allemagne la balance exportatrice d'énergie penche du côté de l'Allemagne ...

Une centrale thermique fournit de l'énergie immédiatement ,alors qu'il faut des semaines pour arrêter ou mettre en service des centrales nucléaires ..Donc nous fournissons de l'énergie lorsque nos besoins sont moindres en été par exemple ,et L'Allemagne par contre nous fournit de l'énergie lors de pics de demande,en hiver ....

Avec l'arrêt des centrales nucléaires en Allemagne ,ce pays n'aura plus la capacité de nous dépanner en hiver et il faudra trouver soit un autre fournisseur ,soit construire des centrales thermiques .

Il ne s'agit plus de construire des centrales pour exporter ,mais pour satisfaire nos propres besoins ....

Au lieu de repartir sur la construction de centrales thermiques ,il faudrait peut être en profiter pour investir sur les parcs éoliens offshore qui en hiver tournent à plein ....Cela nous permettrait de se rapprocher des prévisions d'équipements d'énergie renouvelable que nous avons signé dans la perspective des 20 pour cent d'ici 2015 avec Bruxelles ....

p'tin, ça m'énerve, cette expression: en diagonale! t'es télé-expreshion-victim?:D

oui, nous exportons quand notre production est excédentaire, et vice versa

et oui, il va bien falloir penser sérieusement à se passer du nucléaire allemand

mais se passer du nucléaire allemand ne signifie aucunement se passer de l'électricité allemande

qu'est-ce-que tu crois? que l'Allemagne est assez bête pour devenir dépendante de nos centrales?

l'Allemagne va développer d'autres techniques, et dans quelques années, ou quelques décennies, elle se passera fort bien de nous

elle sera, comme d'hab, à la pointe de la technique, et du respect de l'environnement, et la France, comme d'hab aura l'air d'une cloche avec ses vieilleries

C'est toujours une question d'argent,mais oui il y a d'autres moyen de se procurer de l' électricité. Mais ceux là seraient trop cher au départ et pas assez rentable .

Mais comme il vaut mieux risquer la vie des gens et gagner de l'argent .

Enfin à chacun ses idées mais moi je dit qu'on peut vivre avec d'autres sources d'énergie que le nucléaire.

tout est cher, au départ, il faut faire des recherches, des essais

et surtout, il faut la volonté de changer

parce que le blé, pour faire des conneries, on le trouve, on doit pouvoir le trouver aussi pour faire des choses intelligentes

attendre ne rendra pas moins chère notre conversion du nucléaire aux énergies propres, au contraire, nous accumulerons le retard, et nous serons encore à la ramasse!

j'ai l'impression qu'on ne se comprend pas ...

c'est l'Allemagne qui sera en déficit d'électricité du fait de la fermeture de ses centrales nucléaires,donc nous devrons apprendre à nous passer de ses exportations ....

ça ne signifie pas que sa production ne sera pas suffisante pour ses propres besoins ...les efforts de l'Allemagne pour se tourner vers les énergies renouvelables et les économies d'énergie paiera forcément à terme ,ne serait ce que par les créations d'emploi engendrés ....

De notre côté maintenant.....,notre parc nucléaire est trop important en période normale ,donc nous continuerons à exporter ,mais pas assez en période de forte demande ,l'Allemagne n'exportant plus ,il faudra soit construire des centrales thermique ,soit s'attendre à des délestages importants ,..............

j'ai l'impression qu'on ne se comprend pas ...

désespère pas, on va y arriver :D

c'est l'Allemagne qui sera en déficit d'électricité du fait de la fermeture de ses centrales nucléaires,donc nous devrons apprendre à nous passer de ses exportations ....

jusque là, c'est bon...voyons la suite...

ça ne signifie pas que sa production ne sera pas suffisante pour ses propres besoins ...les efforts de l'Allemagne pour se tourner vers les énergies renouvelables et les économies d'énergie paiera forcément à terme ,ne serait ce que par les créations d'emploi engendrés ....

toujours d'accord!....

De notre côté maintenant.....,notre parc nucléaire est trop important en période normale ,donc nous continuerons à exporter ,mais pas assez en période de forte demande ,l'Allemagne n'exportant plus ,il faudra soit construire des centrales thermique ,soit s'attendre à des délestages importants ,..............

c'est toi qui dit que l'Allemagne sera en déficit, tu n'es pas dans le secret des dieux pour connaitre tous ses projets

et c'est toi qui dit que l'Allemagne n'exportera plus, et je serai curieuse de savoir ce qui t'en rend si sür, c'est pas parce que l'électricité n'est pas nucléaire qu'elle n'est plus exportable!

qui a dit que l'Allemagne ne fera tourner ses usines hydrauliques ou autres, peu importe le mode de fabrication, que pour elle?

ensuite, je te rappelle que c'est un arrêt programmé dans le temps, à nous de nous démerder pour prévoir!

et prévoir pas seulement pour maintenant, prévoir pour le futur, c'est-à-dire prévoir proprement, sans danger, et respectueusement, à la fois pour l'environnement et pour les personnes