raison de vivre

Bonjour, il m’est arrivé de vouloir en finir avec la vie, mais je suis une battante, ce qui fait que je me relève toujours. Raison de vivre, ma fille. Et dans les moments douloureux, on a souvent un petit espoir qui arrive au bon moment. Un sourire, un ami qui appelle, une résolution d’un problème, un soutien, un ami qui souffre et qui a besoin de nous, un désir de combattre, un espoir, une joie.

Raison de vivre, aimer, partager, donner, se rendre utile, c’est souvent auprès des autres que l’on trouve la joie de vivre. Raison de vivre, s’aimer, c’est aimer la vie et ce qui nous entoure, même la nature, il m’arrive à certains moments, rien qu’en sortant dehors, d’apprécier le soleil, les arbres, les oiseaux que j’entends…tout ce qui vit autour de moi. Raison de vivre, vivre intensément le présent et apprécier tous ses petits riens qui peuvent nous combler de bonheur, il suffit de les voir.

Vivre, c’est ressentir des émotions, de la joie, de la tristesse, de la colère, de la haine, de l’amour, je ne suis pas sûr que l’on pourrait être heureux si l’on ne savait pas ce que c’est qu’être malheureux. C’est à nous de construire notre bonheur, mais il faut se battre pour y arriver.

ça c'est malin comme réponse, tiens. Alors pour toi : on fait des études de psycho, ça y'est, on connait tout sur tout ? Osef du niveau d'études (je suis en L1, je ne connais pas encore grand chose hein). Ok, t'as 17 piges, mais je sais pas, réfléchir avant d'écrire des conneries pareilles ?

Oui je le prends mal, oui je suis énervée. Merde, c'est pas forcément un truc à dire quand on badde. Encore heureux que je l'ai lu cet aprem et pas cette nuit.

Je me doute que c'est une réponse naïve, que t'as pas fait attention à la formulation ou au sens que tu donnais à cette phrase, mais bon, vlà quoi.

C'est pas parce que j'étudie la psychologie que deja je connais tout, et qu'en plus je saurais l'appliquer à moi. Faire des études de psychologie ne garantit jamais une santé mentale parfaite, bien au contraire. On ne vient jamais en psycho par hasard.

Bref, tu vois, le sujet n'a rien a voir avec mes études.

(moi aussi j'ai fait psycho, moi aussi je suis un psychonévropathe anxio-dépressif :cool:)

Ma raison de vivre j'en c'est rien je me met en danger en ce nomment donc j'ai pas de réponse malheureusement

Pour les autres membres : j'ai lu tous vos messages et je vais vous répondre cet après-midi. En tout cas, merci d'avoir été si nombreux à avoir fait part de vos avis. J'apprécie. :)

Hum hummmmmm..............................

Wait and see.... mais ça fait un bail...

T'en es où...?

Bonjour, il m’est arrivé de vouloir en finir avec la vie, mais je suis une battante, ce qui fait que je me relève toujours. Raison de vivre, ma fille. Et dans les moments douloureux, on a souvent un petit espoir qui arrive au bon moment. Un sourire, un ami qui appelle, une résolution d’un problème, un soutien, un ami qui souffre et qui a besoin de nous, un désir de combattre, un espoir, une joie.

Raison de vivre, aimer, partager, donner, se rendre utile, c’est souvent auprès des autres que l’on trouve la joie de vivre. Raison de vivre, s’aimer, c’est aimer la vie et ce qui nous entoure, même la nature, il m’arrive à certains moments, rien qu’en sortant dehors, d’apprécier le soleil, les arbres, les oiseaux que j’entends…tout ce qui vit autour de moi. Raison de vivre, vivre intensément le présent et apprécier tous ses petits riens qui peuvent nous combler de bonheur, il suffit de les voir.

Vivre, c’est ressentir des émotions, de la joie, de la tristesse, de la colère, de la haine, de l’amour, je ne suis pas sûr que l’on pourrait être heureux si l’on ne savait pas ce que c’est qu’être malheureux. C’est à nous de construire notre bonheur, mais il faut se battre pour y arriver.

c'est sur que si tu as une fille , finir ta vie n'aurait aucun sens.

:(

Pour les autres membres : j'ai lu tous vos messages et je vais vous répondre cet après-midi. En tout cas, merci d'avoir été si nombreux à avoir fait part de vos avis. J'apprécie. :)

Hum hummmmmm..............................

Wait and see.... mais ça fait un bail...

T'en es où...?

Je procrastine. Je n'ose pas répondre... :( Pardon.

Je ne sais pas comment formuler les choses, celles que je penses. Ce n'est pas évident.

Non ça ne va pas vraiment mieux mais comment le dire ? Pourquoi le dire ici ?

Et puis j'ai honte d'avoir eu ce moment de faiblesse et d'avoir posté ce topic. Honte de m'être livrée ainsi.

Pourtant, la plupart des membres sont formidables.

Rapidement : à quoi cela sert de programmer ma guérison puisque je sais que je vais forcément rechuter de par ma maladie ? En fait, c'est ça qui me turlupine. C'est un combat perdu d'avance, alors pourquoi continuer ?

Oui je sais, c'est débile... Mais ça tourne en rond dans ma tête.

Et par pitié, ne me dites pas de vivre pour les autres. Je l'ai fait tellement de fois que même si ça m'a sauvé la vie jusque ici, je ne me sentais pas mieux, je dirais frustrée en fait.

Y'as pas de solutions...

c'est sur que si tu as une fille , finir ta vie n'aurait aucun sens.

Et la palme de la réplique à deux francs revient à...

:(

Pour les autres membres : j'ai lu tous vos messages et je vais vous répondre cet après-midi. En tout cas, merci d'avoir été si nombreux à avoir fait part de vos avis. J'apprécie. :)

Hum hummmmmm..............................

Wait and see.... mais ça fait un bail...

T'en es où...?

Je procrastine. Je n'ose pas répondre... :( Pardon.

Je ne sais pas comment formuler les choses, celles que je penses. Ce n'est pas évident.

Non ça ne va pas vraiment mieux mais comment le dire ? Pourquoi le dire ici ?

Et puis j'ai honte d'avoir eu ce moment de faiblesse et d'avoir posté ce topic. Honte de m'être livrée ainsi.

Pourtant, la plupart des membres sont formidables.

Rapidement : à quoi cela sert de programmer ma guérison puisque je sais que je vais forcément rechuter de par ma maladie ? En fait, c'est ça qui me turlupine. C'est un combat perdu d'avance, alors pourquoi continuer ?

Oui je sais, c'est débile... Mais ça tourne en rond dans ma tête.

Et par pitié, ne me dites pas de vivre pour les autres. Je l'ai fait tellement de fois que même si ça m'a sauvé la vie jusque ici, je ne me sentais pas mieux, je dirais frustrée en fait.

Y'as pas de solutions...

c'est sur que si tu as une fille , finir ta vie n'aurait aucun sens.

Et la palme de la réplique à deux francs revient à...

Bonjour Mel, pourquoi te mets-tu dans la tête que tu vas forcément rechuter si tu arrives à guérir? Il n'y a jamais rien de définitif, voyons et pour t'en sortir justement, il faut y croire! Il faut trouver un but dans ta vie, n'importe quoi, mais quelque chose qui te motive un peu! Dis-toi que seules tes pensées pourront changer ta façon de voir les choses! alors, change-les ces vilaines pensées. Ne peux-tu, par exemple, partir quelque part, changer d'air, ne pas ressasser tout ce qui te trotte dans ta tête? Partir parfois, aide à se ressourcer, à voir différemment ce qui nous entoure! Ce serait tellement bien de pouvoir t'aider! Fais encore un peu l'effort de venir nous parler! Je reste persuadée que la communication est un pas en avant...

Encore une fois, je te dis "courage" et te répète que "nous sommes là!"...:)

Reste dans ta merde, de toute façon c'est bien fait pour ta gueule.... car tu ne vaux pas mieux...

C'est ce genre de connerie qu'il faut te pondre pour te permettre de baisser les bras pour de bon?

Bah non ma cocotte, c'est pas comme ça que ça marche... car bien que je ne sâche foutre rien de ta vie, je connais cet état qui te ronge...

Il n'y a pas de formule miracle, ni de "fais-le au moins pour untel". Car tu sembles loin d'être conne - malgré le fait que tu en aies envoyé chi** gratuitement quelques uns sur ce topic , ça c'est juste l'aigreur qui parle à ta place même s'ils ont été attentionnés et gentils - et le jour où tu sortiras ta tronche de l'eau, tu sauras ce qu'est la vie.

Je ne te dis pas que tu vas la savourer, hein, car "youplaboum tout va bien d'un coup" ça n'existe pas.

L'expérience de la vie, ça ne s'acquiert pas grace aux bonnes choses.

"Broyer du noir ça sert à rien. Rester dans cet état ça sert à rien."

Bah tout ça c'est des foutaises, car l'expérience que peut t'apporter cette loooongue étape dans ta vie n'en sera que grande, bénéfique donc.

Je me suis toujours dit qu'un psy fait son boulot pour se conforter sur le fait qu'il y a pire que lui.... tout en pondant le genre de conneries rabâchées tout au long de sa spécialisation, sans même comprendre mais en interprétant pâlement...

Imagine toi, plus tard, tomber sur quelqu'un dans ton état actuel... qui d'autre que toi pourra le comprendre, ne lui sortant pas le baratin officiel?

Non pas que tu le prendras dans tes bras en lui disant "moi aussi, tu sais, je suis passée par là", ni même que la douleur refera surface... non, tout simplement savoir ressentir sa souffrance.... pas de compassion non-plus, ça c'est de la crotte en tube.

Démerde-toi pour tenir, car même si le "youpi" n'arrivera pas de sitôt t'as les épaules pour encaisser.

Et ce même si tu as pondu ton topic, même si tu t'es mise minable et que ton clavier dansait la salsa devant toi, même si on n'est que des étrangers... et alors, vaut mieux parler à des proches qui font semblant de te comprendre, ou parler à des gus comme certains d'entre nous qui sont passés par là?

Je dis une connerie?

Et j'aimerais que tu fasses l'analyse de ton état, sans ouin ouin ni gémissement, haine ou que sais-je encore comme subterfuge.

Juste être honnête avec toi, avec moi, sans chercher à savoir d'où cela vient ni même où se trouve cette putain de porte de sortie.

Analyser, tout bonnement.

Parfois on est fatigué, lassé, épuisé. La vision se trouble, se rétrécit, se fausse. On voit un avenir interminable, sombre, plein de tristesse, de malheurs. On réduit l'avenir à ce qu'on vit depuis trop longtemps : un combat à renouveler sans cesse, sans fin, sans éclaircies plus longues que quelques instants, quelques jours, quelques semaines...

Un truc à trouver tout ça inutile, insupportable, à vouloir en finir.

Mais ce qu'on veut en fait, ce n'est pas mourir, c'est faire cesser cette souffrance, cette vie là. Parce que si l'on avait connaissance d'un avenir rieur, on ne voudrait pas en finir.

Alors moi, ce qui m'a fait tenir, outre l'espoir, c'est la curiosité. Une immense curiosité de l'avenir, de ce que je vais découvrir chez les autres comme chez moi, mes réactions, mes ressources insoupçonnées, des êtres à observer, à détester ou aimer, et le monde, comment va-t-il tourner ?

Au plus près de la mort, j'ai réalisé tout à coup combien j'avais envie de voir, de savoir la suite, et j'ai senti toute l'horreur de ne plus jamais jamais voir ni entendre ceux que j'aime, de ne pas savoir ce qui aurait pu être...

Je n'arrive pas à exprimer ce que j'ai ressenti alors, mais c'était très fort. Je préfère lutter chaque jour que ne plus voir, sentir, goûter, entendre, imaginer, toucher, rire, pleurer, caresser...

Bien sûr je ne dirais peut-être pas cela si j'étais dans des conditions vraiment difficiles, avec des souffrances physiques et/ou morales quotidiennes atroces par exemple. En même temps, je me demande toujours pourquoi toutes ces personnes affamées, gravement malades, blessées, handicapées etc. ne se suicident pas en masse ? Qu'est ce qui les tient elles? Et pourquoi moi, n'arriverais-je pas à aimer ma vie avec ses problèmes ô combien moindres ?....

Je m'interroge... espoir, instinct de survie, amour, fatalisme ?... Chacun trouve en soi "sa" raison, "son" déclic, vers la vie ou vers la mort.

Je t'embrasse.

C'est l'instinct de survie qui fait qu'on s'accroche jusqu'au bout malgré que le quotidien soit un enfer quand on est malade par ex.

Je sais pa pourquoi j'écris ici ce soir. Voilà 2 ans que je viens sur ce forum et au final je me rends compte que je muy coinfie peu. Vous ne connaissez rien de ma vie.

Beaucoup de gens on t envie de crever ici ?

Si oui, pourquoi vous passez par à l'acte ? Qu'est ce qui vous retiens bordel ?

peut etre par ce que je vis .. moi.. c'est plus le cas pour certain qui ne l'ont pas demandé , qui aimait la vie et voulait la croquer a pleine dent.. peut importe le nombre de pu*** de clak prisent ds la g**** je vie avec cette pensée qui me pousse a avancer. quoi qu'il se passe. la voila ma raison

Moi c'est mes &tude et quelques amis. Mais expliquez moi. Comment des gens peuvent aimer la vie ? Comment ils peuvent aimer souffrir continuellement ? Je ne comprends pas. je comprends rien.

on choisit pas on vit avec l'idée d'un futur meilleurs.

Expliquez moi je vous en prie. je voudrais trouver moi aussi une raison d'exister. ou même deiux.

jE Suyis au bout du rouleau, je ne peux plus, je ne peux plus. Stop !

jE Suyis au bout du rouleau

L'espoir d'un avenir meilleur

Je ne sais pas comment formuler les choses, celles que je penses. Ce n'est pas évident.

Non ça ne va pas vraiment mieux mais comment le dire ? Pourquoi le dire ici ?

Et puis j'ai honte d'avoir eu ce moment de faiblesse et d'avoir posté ce topic. Honte de m'être livrée ainsi.

Pourtant, la plupart des membres sont formidables.

Pourquoi en parler ici ? Parce que c'est un forum de discussion et que vu la qualité des réponses et leur grande sincérité (je peux en témoigner pour certaines), ça valait le coup.

Rapidement : à quoi cela sert de programmer ma guérison puisque je sais que je vais forcément rechuter de par ma maladie ? En fait, c'est ça qui me turlupine. C'est un combat perdu d'avance, alors pourquoi continuer ?

Oui je sais, c'est débile... Mais ça tourne en rond dans ma tête.

Pour faire un parallèle, c'est un peu comme arrêter de fumer. Il ne faut pas viser l'arrêt de fumer et craindre ensuite la rechute, puis arrêter à nouveau et se considérer en sursis jusqu'à la prochaine rechute dans la fumette. C'est un état d'esprit de perdant. Il faut se déclarer non-fumeur (et non fumeur qui essaye d'arrêter), changer de statut, se redéfinir.

Je pense que c'est pour ça que j'ai réussi à arrêter de fumer sans aucune difficulté (pourtant sans aucune motivation particulière), que je ne rechute pas si je fume un cigare occasionnellement... et que mes amis qui essayent d'arrêter ont du mal.

Dans la vie, ça doit fonctionner pareil. On peut user de mantra ou de redéfinitions personnelles performatives (pour utiliser un terme pompeux à mort mais j'aime bien :D).

Si tu as besoin qu'on te le dise : A partir de ce message, tu ne seras plus malade, tu ne seras plus une déprimée prise entre deux coups de blues mais juste une fille normale, qui a parfois des coups de blues comme tout le monde, mais qui ne se laissera pas bouffer par eux.

Y'as pas de solutions...

Interdit de formuler ce mantra de loser. Maintenant, tu vas dire : il y a toujours une solution. Et si tu ne la vois pas à l'horizon, tu la cherches ou tu la crées !

c'est sur que si tu as une fille , finir ta vie n'aurait aucun sens.

Et la palme de la réplique à deux francs revient à...

Et se servir des autres comme exutoire de sa frustration ne sert plus à rien non plus.

Parfois on est fatigué, lassé, épuisé. La vision se trouble, se rétrécit, se fausse. On voit un avenir interminable, sombre, plein de tristesse, de malheurs. On réduit l'avenir à ce qu'on vit depuis trop longtemps : un combat à renouveler sans cesse, sans fin, sans éclaircies plus longues que quelques instants, quelques jours, quelques semaines...

Un truc à trouver tout ça inutile, insupportable, à vouloir en finir.

Mais ce qu'on veut en fait, ce n'est pas mourir, c'est faire cesser cette souffrance, cette vie là. Parce que si l'on avait connaissance d'un avenir rieur, on ne voudrait pas en finir.

Alors moi, ce qui m'a fait tenir, outre l'espoir, c'est la curiosité. Une immense curiosité de l'avenir, de ce que je vais découvrir chez les autres comme chez moi, mes réactions, mes ressources insoupçonnées, des êtres à observer, à détester ou aimer, et le monde, comment va-t-il tourner ?

Au plus près de la mort, j'ai réalisé tout à coup combien j'avais envie de voir, de savoir la suite, et j'ai senti toute l'horreur de ne plus jamais jamais voir ni entendre ceux que j'aime, de ne pas savoir ce qui aurait pu être...

Je n'arrive pas à exprimer ce que j'ai ressenti alors, mais c'était très fort. Je préfère lutter chaque jour que ne plus voir, sentir, goûter, entendre, imaginer, toucher, rire, pleurer, caresser...

Bien sûr je ne dirais peut-être pas cela si j'étais dans des conditions vraiment difficiles, avec des souffrances physiques et/ou morales quotidiennes atroces par exemple. En même temps, je me demande toujours pourquoi toutes ces personnes affamées, gravement malades, blessées, handicapées etc. ne se suicident pas en masse ? Qu'est ce qui les tient elles? Et pourquoi moi, n'arriverais-je pas à aimer ma vie avec ses problèmes ô combien moindres ?....

Je m'interroge... espoir, instinct de survie, amour, fatalisme ?... Chacun trouve en soi "sa" raison, "son" déclic, vers la vie ou vers la mort.

Je t'embrasse.

:snif: Chapachounette... :blush: un méga :

salut

Tellemen peu de temlps et tellement de messages privés reçu entre temps. Je répondrais pas à tout le monde ce soir pazrce que je suis fatiguée, bourée et pas d'insipiration, mais merci. Sincèrement merci. ça me va droit au couer. Vous etes des gens formidable, vous saverz ?

ça me touche beaicoup.

Coucou

Ça m'arrive de penser à cette idée sombre mais bon si j'ai pas ppasser à l'acte c'est que ma petite voix me rappel à l'ordre en me disant la vie es unt combat, ne choisis pas la simplicité peut importe les raisons, tu mourras un jour mais tu à encore du chemin à faire , t'as encore beaucoup de choses à apprendre. j'ai pas d'amis dont je vois dans le quotidien donc difficile de m'accrocher à eux mais bon j'essaye de faire appel à mon courage.

J'en doute que des gens aiment souffrir, quoique moi j'aime la souffrance j'ai à me dire avec ce que j'ai vécu, Comment des gens peuvent aimer la vie ?grâce à l'amour de leur leur famille, leur amis, leur partenaire si possible , même si on peut tous avoir des coups de blues, de la dépression, l'amour nous rattrape toujours avant qu'on tombe.

Non c'est pas lâche, sauter de la tour eiffel il faut avoir un sacré courage quoi, bref s'en aller c'est choisir la simplicité que affronter les difficultés de la vie.

Notre vie est fais pour etre belle et parfois moche c'est ainsi et il faut faire avec, la vie est dur à croire qu'elle nous teste.

Moi je dis avant de mettre fin à ces jours c'est de peser le pour et le contre mais je trouve bien celà vraiment triste de partir ainsi, vaut mieux que la mort, une maladie nous emporte que de choisir de partir comme ça .

Et puis me suicider j'ai pas le courage, ça montre bien que je suis pas prête à partir et que intérieurement malgré la dureté de la vie, je dois encore avancer sur le chemin.

Non franchement faut vivre la vie, une chance que nous soyons sur terre malgré tous ce qui se passe, elle est belle notre monde pffff alalla, , la vie passe si vite donc profitez.

Coucou

Ça m'arrive de penser à cette idée sombre mais bon si j'ai pas ppasser à l'acte c'est que ma petite voix me rappel à l'ordre en me disant la vie es unt combat, ne choisis pas la simplicité peut importe les raisons, tu mourras un jour mais tu à encore du chemin à faire , t'as encore beaucoup de choses à apprendre. j'ai pas d'amis dont je vois dans le quotidien donc difficile de m'accrocher à eux mais bon j'essaye de faire appel à mon courage.