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La corrida inscrite au patrimoine immatériel français

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Invité David Web

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Invité Celoone
Invités, Posté(e)
Invité Celoone
Invité Celoone Invités 0 message
Posté(e)
L'ignorance devrait l'être aussi !!!... cette race taurine aurait complètement disparu sans la corrida ...

On ne pratique pas la corrida sur les cons, et pourtant ils perdurent.

Que pourrait devenir un taureau de combat sans ce merveilleux "spectacle"... huuuuum ......................... réfléchissons ............................................................................................................... oh ! un animal de compagnie ? Au même titre que le chien, le chat, la biquette, le cheval .... l'imbécile (c'est un NAC, mais il faut une autorisation spéciale pour en détenir, car particulièrement dangereux) ...

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Invité Marinelou
Invités, Posté(e)
Invité Marinelou
Invité Marinelou Invités 0 message
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Cool la tauromachie au patrimoine français. heart.gif

Vive la Corrida et la fête.

Pour les amlateurs, tous à Vic à la pentecôte smile.gif

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Membre, Dégonfleur de baudruches, 68ans Posté(e)
Dinosaure marin Membre 24 125 messages
68ans‚ Dégonfleur de baudruches,
Posté(e)

... l'imbécile (c'est un NAC, mais il faut une autorisation spéciale pour en détenir, car particulièrement dangereux) ...

:bravo: :bravo: :bravo:

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Membre, Posté(e)
williama Membre 3 892 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Que la violence et la bêtise soient inscrite au patrimoine immateriel est assez cohérent malheureusement :(

L'ignorance devrait l'être aussi !!!... cette race taurine aurait complètement disparu sans la corrida ...

ne défense du règne animal qui va jusqu'à provoquer la disparition pure et simple de cette race taurine

L'existence des taureaux ne tient qu'au loisir sanguinaire qu'est la corrida?

Sans taureaux, pas de vaches. Je te laisse méditer sur la pérénité de la race taurine.

commence par visiter les élevages ou te rendre toi-même à une corrida ... tu verras qu'il y a des codes, des règles et des valeurs à respecter. Les taureaux de combat sont une race spécifique élevés dans les près jamais en batterie... Au combat, un taureau vaincu n'est jamais raillé ... s'il se montre valeureux il est gracié et parfois même à vie. Ce sont des règles qui te semblent primitives ou antiques mais au moins elles ne sont jamais humiliantes ou hypocrites ... La corrida est un art et une culture. Garcia Lorca qui n'avait rien d'un fou sanguinaire lui a consacré de très belles pages ...

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Membre, Dégonfleur de baudruches, 68ans Posté(e)
Dinosaure marin Membre 24 125 messages
68ans‚ Dégonfleur de baudruches,
Posté(e)

En leurs temps, les combats de gladiateurs étaient également loués, et considérés par certains, comme un art.

:plus:

Et la "race sportive" n'a pas disparue parce qu'on a arrêté de faire s'entretuer des gens.

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Invité Celoone
Invités, Posté(e)
Invité Celoone
Invité Celoone Invités 0 message
Posté(e)
Au combat, un taureau vaincu n'est jamais raillé ..

à mon avis, il en a rien à secouer d'être raillé ou non

des règles

ouais ... un petit limage de cornes par ci (vu de mes yeux), un petit sédatif par là, de la térébenthine dans les yeux, un peu sur les sabots, ... je continue ?

s'il se montre valeureux il est gracié et parfois même à vie

à 50 contre 1, il lui faut quand même une sacrée chance. et puis, il en a rien à faire de votre grâce, brouter dans son pré lui convenait je pense pas mal.

Ce sont des règles qui te semblent primitives ou antiques mais au moins elles ne sont jamais humiliantes ou hypocrites

ca va alors ...

La corrida est un art et une culture

« La corrida n’est ni un art, ni une culture, mais la torture d’une victime

désignée, avec, autour, des badauds qui regardent. » Emile ZOLA

Garcia Lorca qui n'avait rien d'un fou sanguinaire lui a consacré de très belles pages

C'est quoi alors, un fou sanguinaire ?

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Membre, In girum imus nocte et consumimur igni , 52ans Posté(e)
PASDEPARANOIA Membre 27 326 messages
52ans‚ In girum imus nocte et consumimur igni ,
Posté(e)

La bestiole est élevée à l'herbe, dans un pré, et assassinée par l'acier, dans la poussière.

Quand à l’argument bio éthique selon lequel la tauromachie sauve des espèces, j'en doute. On a sauvé les 44 derniers Baudets du Poitou en 1977 sans les embrocher dans le respect des traditions.

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Invité Elaïs
Invités, Posté(e)
Invité Elaïs
Invité Elaïs Invités 0 message
Posté(e)

... tu verras qu'il y a des codes, des règles et des valeurs à respecter.

Comme assomer le taureau avant de le faire entrer dans l'arene? lui couper le bout des cornes ? l'appeurer pour faire surgir une agressivité? le transpercer de piques acérées ?

Belles valeurs dis donc :).

Les taureaux de combat sont une race spécifique élevés dans les près jamais en batterie...

C'est très bien, dommage que cela ne s'arrete pas là.

. Ce sont des règles qui te semblent primitives ou antiques mais au moins elles ne sont jamais humiliantes ou hypocrites

Oui, cela me semble assez primitif que d'aimer buter un taureau en loisir et encore plus primitif de payer pour aller beugler et visionner le massacre organisé.

La corrida est un art et une culture

C'est vrai, La corrida c'est l'art et la culture de la violence, du mépris et du déni de la souffrance animale, c'est une abjecte vitrine de ce qu'il a de plus cruel en l'Homme.

Garcia Lorca qui n'avait rien d'un fou sanguinaire lui a consacré de très belles pages ...

Rendre beau le laid, ou laid le beau, c'est un talent d'artiste, après ils sont libres de choisir le mal ou pas, de le célébrer ou pas et de s'y corrompre comme Lorca sur la corrida.

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Membre, 49ans Posté(e)
Le fred Membre 158 messages
Baby Forumeur‚ 49ans‚
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Pour l'éventuelle disparition de ce type de taureaux....

Y'a pas des zoos pour ca ?

A moins que cela ne fasse totalement pas partie de leurs attributions.

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Invité s
Invités, Posté(e)
Invité s
Invité s Invités 0 message
Posté(e)

Quant au combat à armes égales, parlons-en. La grandeur de la plazza, la teinte dorée du sable, le soleil qui illumine l'arène, le déchaînement des cuivres, l'habit de lumière, le délire sur les gradins. La porte du torl s'ouvre et voilà que surgit, noir et immense, un taureau impétueux qui s'arrête, aveuglé par le soleil. C'est le silence. Le spectacle commence.

Ce qu'on ne connaît pas, c'est ce qui se passe auparavant. La torture qui précède celle du combat. Avant d'entrer dans l'arène d'or qui deviendra bientôt l'arène sanglante, les préparateurs ont, à tour de rôle, pour ne pas trop se fatiguer, donné des coups de sac de sable sur les reins du taureau (cela ne laisse pas de traces, c'est bien connu) afin de l'épuiser. Puis on lui met dans les yeux un peu de vaseline pour lui troubler la vue et on lui met du coton dans une narine pour freiner sa respiration.

Avant cela, on lui a (un peu, cela peut se voir) limé les cornes tant pour éviter l'embrochage (on n'est jamais assez prudent) que pour désorienter l'animal. Il arrive aussi qu'on lui introduise une aiguille dans les parties génitales pour qu'il ne puisse se laisser tomber par terre.

On ne voit pas où sont les armes égales. Jamais un matador n'a osé affronter un taureau non trafiqué, en pleine possession de ses moyens.

Voulons-nous suivre celui-ci du point de vue du taureau ? Et y chercher ce qu'il offre d'autre que torture et agonie.

Nous en étions restés à l'animal aveuglé par le soleil, déjà fatigué par les « préparateurs. On lui plante une pointe barbelée dans le dos pour le rendre furieux. Puis commence le tour des banderilles dans le cou. Le sang ruisselle. Le taureau cherche ses adversaires. Quelquefois des pétards attachés aux banderilles le brûlent et l'affolent. Il court en tous sens. Il souffre, il est épuisé. Comme cela ne suffit pas, le picador, du haut d'un cheval, lui enfonce la lance qui sectionne les muscles du cou pour qu'il perde encore plus de sang, de force et d'agilité.

Puis vient le matador - le tueur - c'est littéralement son nom - qui ose enfin s'approcher. Quelques passes puis c'est l'épée enfoncée dans les poumons car on n'atteint pas souvent le cœur.

L'animal met à mourir plus de temps qu'il n'y paraît. Il est étouffé par son propre sang. S'il ne meurt pas assez vite on lui enfonce un couteau dans la moelle épinière afin qu'il reste immobile. Donc supposé mort et on l'emporte.

On se prend alors à regarder la foule déchaînée et on se demande jusqu'où ira la dégradation de ceux qui participent ou assistent à l'ignominie.

Les matadors apprennent à manier l'épée (le descabello) dans les abattoirs où ils criblent de coups d'épée vaches et taureaux qui meurent bien entendu lentement des blessures infligées au cou et à la nuque.

Modifié par samira123
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Invité Marinelou
Invités, Posté(e)
Invité Marinelou
Invité Marinelou Invités 0 message
Posté(e)

Je comprends pas le débat :

la tauromachie inscrite au patrimoine ne signifie pas que cette activité n'est pas cruelle mais qu'elle représente un art traditionnel.

Ceux à qui cela ne plait pas ont qu'à faire leur pique nique dans les bois en mangeant leur poulet aux hormones et oublier les afficionados...

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Membre, Privé de désert, 36ans Posté(e)
Kégéruniku 8 Membre 8 039 messages
36ans‚ Privé de désert,
Posté(e)

Je comprends pas le débat :

la tauromachie inscrite au patrimoine ne signifie pas que cette activité n'est pas cruelle mais qu'elle représente un art traditionnel.

Ceux à qui cela ne plait pas ont qu'à faire leur pique nique dans les bois en mangeant leur poulet aux hormones et oublier les afficionados...

le débat est simple pourtant. Si la tauromachie peut être inscrite au patrimoine d'un pays, la pêche à la baleine ou les combats de singes le peuvent aussi.

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Membre, In girum imus nocte et consumimur igni , 52ans Posté(e)
PASDEPARANOIA Membre 27 326 messages
52ans‚ In girum imus nocte et consumimur igni ,
Posté(e)

Oui, car le fan est un être pur, un être de lumière, qui ne mange que du poulet bio. Je ne vois pas le rapport entre les habitudes alimentaires discutables de certain et faire l'éloge d'une tradition aussi barbare qu'inutile. Dans certains pays, on pratique l'excision, au nom de la tradition, sur des gamines élevées en plein air. Ça me fait le même effet, une grosse peine pour ma race de cons.

Il y a un mot dont il faudrait saisir toute la portée : Évolution.

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Invité Marinelou
Invités, Posté(e)
Invité Marinelou
Invité Marinelou Invités 0 message
Posté(e)

Oui, car le fan est un être pur, un être de lumière, qui ne mange que du poulet bio. Je ne vois pas le rapport entre les habitudes alimentaires discutables de certain et faire l'éloge d'une tradition aussi barbare qu'inutile. Dans certains pays, on pratique l'excision, au nom de la tradition, sur des gamines élevées en plein air. Ça me fait le même effet, une grosse peine pour ma race de cons.

Il y a un mot dont il faudrait saisir toute la portée : Évolution.

Concernant l'excision des poulettes, les comparaisons anthropomorphiques sont évidemment stupides.

Cette pratique est barbare si on veut oui mais alors tous les carnivores le sont.

Quand à son inutilité : supprimons toutes les activité inutiles. L'Homme d'ailleurs est-il utile ? Et l'univers ?

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Membre, forumeur alchimiste/Honey, Posté(e)
Nightwish Membre 10 322 messages
forumeur alchimiste/Honey,
Posté(e)

Quant au combat à armes égales, parlons-en. La grandeur de la plazza, la teinte dorée du sable, le soleil qui illumine l'arène, le déchaînement des cuivres, l'habit de lumière, le délire sur les gradins. La porte du torl s'ouvre et voilà que surgit, noir et immense, un taureau impétueux qui s'arrête, aveuglé par le soleil. C'est le silence. Le spectacle commence.

Ce qu'on ne connaît pas, c'est ce qui se passe auparavant. La torture qui précède celle du combat. Avant d'entrer dans l'arène d'or qui deviendra bientôt l'arène sanglante, les préparateurs ont, à tour de rôle, pour ne pas trop se fatiguer, donné des coups de sac de sable sur les reins du taureau (cela ne laisse pas de traces, c'est bien connu) afin de l'épuiser. Puis on lui met dans les yeux un peu de vaseline pour lui troubler la vue et on lui met du coton dans une narine pour freiner sa respiration.

Avant cela, on lui a (un peu, cela peut se voir) limé les cornes tant pour éviter l'embrochage (on n'est jamais assez prudent) que pour désorienter l'animal. Il arrive aussi qu'on lui introduise une aiguille dans les parties génitales pour qu'il ne puisse se laisser tomber par terre.

On ne voit pas où sont les armes égales. Jamais un matador n'a osé affronter un taureau non trafiqué, en pleine possession de ses moyens.

Voulons-nous suivre celui-ci du point de vue du taureau ? Et y chercher ce qu'il offre d'autre que torture et agonie.

Nous en étions restés à l'animal aveuglé par le soleil, déjà fatigué par les « préparateurs. On lui plante une pointe barbelée dans le dos pour le rendre furieux. Puis commence le tour des banderilles dans le cou. Le sang ruisselle. Le taureau cherche ses adversaires. Quelquefois des pétards attachés aux banderilles le brûlent et l'affolent. Il court en tous sens. Il souffre, il est épuisé. Comme cela ne suffit pas, le picador, du haut d'un cheval, lui enfonce la lance qui sectionne les muscles du cou pour qu'il perde encore plus de sang, de force et d'agilité.

Puis vient le matador - le tueur - c'est littéralement son nom - qui ose enfin s'approcher. Quelques passes puis c'est l'épée enfoncée dans les poumons car on n'atteint pas souvent le cœur.

L'animal met à mourir plus de temps qu'il n'y paraît. Il est étouffé par son propre sang. S'il ne meurt pas assez vite on lui enfonce un couteau dans la moelle épinière afin qu'il reste immobile. Donc supposé mort et on l'emporte.

On se prend alors à regarder la foule déchaînée et on se demande jusqu'où ira la dégradation de ceux qui participent ou assistent à l'ignominie.

Les matadors apprennent à manier l'épée (le descabello) dans les abattoirs où ils criblent de coups d'épée vaches et taureaux qui meurent bien entendu lentement des blessures infligées au cou et à la nuque.

un très grand :plus:

et un très grand merci au passage :bo:

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Membre, 49ans Posté(e)
Le fred Membre 158 messages
Baby Forumeur‚ 49ans‚
Posté(e)

En gros cruauté, plaisir de la souffrance, apologie de la mort, tout ca on s'en tamponne le coquillard.

A ce train là en suivant une évolution "logique" des choses, autant faire une corrida avec son voisin si cela nous chante un de ces quatres vu qu il est plus costaud et que c'est artistique..

Peut etre que dans quelques années cela sera possible pour peu qu'on fasse payer l'event et que l'on en donne une partie à la municipalité. Ou alors faire une soirée inquisition samedi soir ca sera sympa.

En conclusion, etre un hellraiser c'est bien.:bad:

Modifié par Le fred
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Invité Marinelou
Invités, Posté(e)
Invité Marinelou
Invité Marinelou Invités 0 message
Posté(e)

Quant au combat à armes égales, parlons-en. La grandeur de la plazza, la teinte dorée du sable, le soleil qui illumine l'arène, le déchaînement des cuivres, l'habit de lumière, le délire sur les gradins. La porte du torl s'ouvre et voilà que surgit, noir et immense, un taureau impétueux qui s'arrête, aveuglé par le soleil. C'est le silence. Le spectacle commence.

Ce qu'on ne connaît pas, c'est ce qui se passe auparavant. La torture qui précède celle du combat. Avant d'entrer dans l'arène d'or qui deviendra bientôt l'arène sanglante, les préparateurs ont, à tour de rôle, pour ne pas trop se fatiguer, donné des coups de sac de sable sur les reins du taureau (cela ne laisse pas de traces, c'est bien connu) afin de l'épuiser. Puis on lui met dans les yeux un peu de vaseline pour lui troubler la vue et on lui met du coton dans une narine pour freiner sa respiration.

Avant cela, on lui a (un peu, cela peut se voir) limé les cornes tant pour éviter l'embrochage (on n'est jamais assez prudent) que pour désorienter l'animal. Il arrive aussi qu'on lui introduise une aiguille dans les parties génitales pour qu'il ne puisse se laisser tomber par terre.

On ne voit pas où sont les armes égales. Jamais un matador n'a osé affronter un taureau non trafiqué, en pleine possession de ses moyens.

Voulons-nous suivre celui-ci du point de vue du taureau ? Et y chercher ce qu'il offre d'autre que torture et agonie.

Nous en étions restés à l'animal aveuglé par le soleil, déjà fatigué par les « préparateurs. On lui plante une pointe barbelée dans le dos pour le rendre furieux. Puis commence le tour des banderilles dans le cou. Le sang ruisselle. Le taureau cherche ses adversaires. Quelquefois des pétards attachés aux banderilles le brûlent et l'affolent. Il court en tous sens. Il souffre, il est épuisé. Comme cela ne suffit pas, le picador, du haut d'un cheval, lui enfonce la lance qui sectionne les muscles du cou pour qu'il perde encore plus de sang, de force et d'agilité.

Puis vient le matador - le tueur - c'est littéralement son nom - qui ose enfin s'approcher. Quelques passes puis c'est l'épée enfoncée dans les poumons car on n'atteint pas souvent le cœur.

L'animal met à mourir plus de temps qu'il n'y paraît. Il est étouffé par son propre sang. S'il ne meurt pas assez vite on lui enfonce un couteau dans la moelle épinière afin qu'il reste immobile. Donc supposé mort et on l'emporte.

On se prend alors à regarder la foule déchaînée et on se demande jusqu'où ira la dégradation de ceux qui participent ou assistent à l'ignominie.

Les matadors apprennent à manier l'épée (le descabello) dans les abattoirs où ils criblent de coups d'épée vaches et taureaux qui meurent bien entendu lentement des blessures infligées au cou et à la nuque.

un très grand :plus:

et un très grand merci au passage :bo:

Et un magnifique plagiat... whistling1.gif

Mais quoi faire d'autre quand on a ni idée ni talent...

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Invité David Web
Invités, Posté(e)
Invité David Web
Invité David Web Invités 0 message
Posté(e)

Quelques précisions :

La corrida est un spectacle au cours duquel six taureaux sont lâchés successivement dans une arène. Chaque taureau y reste une vingtaine de minutes, durant lesquelles il est blessé de façon codifiée à l'aide de divers instruments de métal, jusqu'à sa mort.

Dans les plus rares corridas portugaises, durant lesquelles le taureau est blessé par un cavalier, le taureau est abattu après le spectacle.

En France, la corrida est un délit en tant que "sévices graves ou actes de cruauté envers les animaux", mais les auteurs de ce délit bénéficient d'une immunité légale dans certaines zones de onze départements du sud au titre d'une "tradition locale" (alinéa 7 de l'article 521-1 du Code pénal). Précisons qu'une nouvelle proposition de loi visant à supprimer cette dérogation peu constitutionnelle a été déposée en juillet 2010, et déjà co-signée par plusieurs dizaines de députés.

Rappelons enfin que les enquêtes d'opinion montrent que les trois-quarts des Français sont opposés à ce spectacle, et que les deux-tiers souhaitent son interdiction pure et simple.

Les mineurs, quel que soit leur âge, peuvent assister à ces spectacles. Leur entrée est même favorisée par des réductions de prix, voire la gratuité des places.

Pour bien comprendre :

A priori l'article 521.1 du code pénal sanctionne tout acte de violence contre animaux, délit passible de deux ans de prison et de 30 000 euros d'amende. Or cette loi est purement et simplement annulée par l'alinéa 7.

En français cela veut dire, que dans certaines régions de France, les taurins ont le droit de commettre des délits si les leurs parents et grands parents étaient des délinquants eux aussi ! (:D )

Pour exemple : A Paris, si un abrutis maltraite un taureau, il se retrouve devant un tribunal correctionnel, par contre le même abrutis à Nîmes ou à Bayonne...peut, sous couvert de "tradition locale", torturer l'animal sans risquer quoique ce soit...

Et maintenant ça entre dans le patrimoine culturel !!!

:sleep:

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