En passant, en pensant ...

la différence entre évasive e oisiveté

les deux s'envolent vers les nuages

en attendant ou entendant d' l'orage

pas facile à entendre, tous les âges

se croient ou se croisent ces rivages

contiennent tant de visages si sages

sous les éclairs je crois si sauvages

ce qu'on peut voir sous les saccages

du ciel sont des esquisses panaches

de nos pensées aux effets à l'arrache

comme des nuages sans différences

au beau temps revenu sous évasives

lucioles oisives la nuit tombée e lascive..

jsens bien que c'est peu clair

mais l'mot zébrage ça ne cadrait

évasif est l'oiseau

qui n' sait ce que oisiveté veut dire

(en dépit que chaque dimanche matin en faisant une grasse matinée la fenêtre ouverte, il arrive que l'on éprouve un irrésistible besoin de se retenir d'étrangler un de ces piafs)

comme ça au passage sans trop réfléchir ; un réveil quelque part vient de retentir, je me tire.. --->

peu clair certes , mais pourtant très joli à lire, et encore , parfois des doubles sens :)

En passant un jour,

Envie de dire bonjour...

C'est un plaisir

De revoir des sourires

Des mots de douceur

Contenant quelque ardeur!

Nous faire retrouver

Un peu de nos pensées

Un brin de nos amitiés

De nos gaietés passées...

C'est la vie qui passe

Le temps qui s'efface...

Au gré de nos envies

Au vent de nos folies...

En passant...en pensant...

Une vie couvertes de pansements...

Gueuler , crier , haut et grand...

Allez va ! souffle le vent !

En riant...en pleurant...

Une éternité emplie de serments...

Vivre, survivre, il est grand temps...

Allons-y ! regardons les tourments !

En naissant ...en mourant...

Un regard en larmes perlant...

Affronter, dédaigner, en râlant...

Qui ira insuffler un chemin chantant ?

Comment feindre l'oubli,

ça y est c'est fait !

je ne pensais pas être dans les omis,

ça y est , je suis au rabais !

Famille, à qui on donne tout,

amis , à qui on donne sans compter,

virtuel, avec pas mal de remous,

autrui, que l' on peut aider.

Un passé, coloré, sûrement pas de rose,

un présent, aux senteurs amères,

un futur on ne peut plus morose,

L'avenir me dirigera en ses airs...

Un peu de toi, beaucoup de moi,

un petit toit, pas mal d'émoi.

Tant de pourquoi, donner de soi,

pour en faire quoi, soit.....

Un peu d'amour, beaucoup de toujours,

au petit jour, t'aimer sans détour.

Tant de séjours, repousser le retour,

aller faire un tour, pour....

Un peu de sincérité, belle amitié,

en toute humilité, t'adorer en simplicité.

Tant de gaieté, de bonheur partagé,

en faire une continuité, aller....

L'automne ne me vaut rien,

cette attente des jours ensoleillés ne me plait guère,

et pourtant , il le faut bien,

subir ce noir , ce gris.... ce rien.

Ecrire ces phrases ne me valent pas grand chose,

sinon de verser encre , plume change de couleur,

passer juste pour déposer idées moroses,

juste ombrager un sujet, pour qu'il ne se meurt.

Écrire...

C'est déposer des mots

C'est oublier ses maux

Pour un peu moins souffrir...:)

lyre

c'est lire sans le y

réfléchir..

Écrire...C'est déposer des motsC'est oublier ses mauxPour un peu moins souffrir...:)

Bonsoir :)

Penser, oser penser et s'exprimer est une façon d'emprisonner l'autre

lyrec'est lire sans le yréfléchir..

Réfléchir....ben là, tout en réfléchissant, je tourne les lettres de ton pseudo dans tous les sens et....... je ne comprends rien, ça veut dire quoi ? :D

"fume ça" ou quelque chose dans le goût

hiver sec : bientôt noël

http://fr.wikipedia.org/wiki/Lyre

Quelque chose qui sert pas à grand chose, mais quand on pince ça fait de la musique.

Les frimas des saisons,

relecture de passages du voyage au bout de la nuit de Céline,

pas de soucis de droits d'auteurs étant donné que c'est encore de moi,

ecume

Clapote entre les vaguelettes

tendresse entonne musiquette

Les âmes

lèvent les rayons du soleil

Au-dessus du lac sans pareil

en charme

Yéménite dorée au réveil

slalome

Toutes les couleurs qui veillent

au ciel mû,

Orchestrées au chant de l'alouette

mi-femme

Nue, mi-deesse, cacahuète

amenée

Le Paradis-matin s'éveille

nommées

Et redorées les choses seyent

terre et lac

Petite femme en l'entrelacs

satiné

Entre ses draps près du lac

dame

Tendresse plus d'un tour en son sac

unit

Il et elle dans son château

les lie

Tous deux comme sur un radeau

amants

Clair-radieux la magie de l'eau

clapotis

résonnent tout autour de leur corps

amènent

plaisir des yeux et sentiments

au cor

ultime du chant des oiseaux

dame nature

(l'acrostiche est étrange je sais, c'était pour faire original, ensuite le pseudo.. ben les pseudos e moi...).

J'ai déjà lu ça, mais je ne sais où.... ou alors, ça y ressemble \o/

Ben ouais tu m'as appris le mot "Yéménite".

Le mot m'a plu, donc je l'ai utilisé.

Après "clayton le petit crapaud" pour évoquer les contes de fées.

C'était une fiction.

Bonne soirée. ^.^

voila comment il se sent:

il est déjà mort mais en vie

tout les jours la mascarade

les sourires forcés et le masque

mais en lui l'hiver est arrivé

et n'est jamais parti

dans sa mémoire il se rappel

sa part de bonheur consommé

alors il vit pour la rédemption

et ce moment qu'il désire

que tout le monde craint

et quand ce moment arrivera

il laissera 2 lignes dans le journal

puis tout sera oublié

En attendant....

le passé est digéré

ou presque...

Le présent est assimilé,

dessine-moi une arabesque...

Le futur est suggéré,

peins moi une fresque...

En attendant...

Hier était presque bonheur,

Aujourd'hui contourner les pleurs,

Demain sera peut -être rancoeurs.

En attendant...

Y en a marre d'attendre,

cessons de prétendre...

conjuguons le mot entendre.

Epice-moi,

je serai toi.

Origan,

apaise mes tourments,

Thym,

réveille mes matins,

Lauriers,

tiens moi éveillée,

Paprika,

encourage mes ébats,

Safran,

froisse moi maintenant,

Cumin,

tiens moi la main,

Estragon,

aime moi sous tension...

et j'en passe,

épice moi,

je serai toi.

Après tout ce temps,

après tous les tourments,

je me pose un moment,

je me rappelle sereinement.

Il suffisait de poser des mots,

pour apaiser les maux,

laisser aller au culot,

comme une seconde peau.

Et puis lentement,

ce temps me surprend,

rien n'est plus ressemblant,

ne plus hanter au présent.

Cela correspond à un avenir,

une promesse ne veut plus rien dire,

J'en ai fini avec mes soupirs,

il y a t-il encore un pire à venir ?

Et puis chut... doucement,

je disparais lamentablement,

les mots sont insignifiants,

je passais , évasivement .