un jour = une histoire

Super Stéphou...toi qui hésitais à venir écrire ici, tu te débrouilles plutôt bien! Si j'ai un petit conseil à te donner, relis bien tes propos avant de les faire lire à sa destinataire! Parfois, les mots ne sont pas toujours interprétés comme on le voudrait! et nous sommes souvent étonnés, ne pensant pas avoir dit quelque chose de désobligeant!

J'ai reçu, il y a peu de temps, un mp qui m'a vraiment surprise! Une personne croyait que je m'étais adressée à elle dans un post, alors qu'il n'en était absolument rien! Les méprises sont souvent monnaie courante!

Ceci dit, je pense que c'est bien de pouvoir s'exprimer en toute confiance avec ton amie!

Steph_ou, je pense que tu devrais carrément de lui donner, pour la raison simple qu'elle ne préfère pas forcément tout savoir de ce que tu penses d'elle. Cela pourrait se retourner contre toi pour pas grand chose. Non, il vaut mieux t'exprimer comme tu le fais, et si tu le souhaites, lui faire part d'une idée ici et là, sans forcément lui dire que tu as écris tout ça. Hypocrite? Sans doute. Mais tu l'as fait pour te vider la tête. Tu l'as dit toi-même. Il n'est peut-être pas fait pour être inscrit dans sa tête pour autant.

Néanmoins, tu feras le bon choix, j'en suis certain. Bonne chance à toi. L'amour, c'est un peu comme une recette de cuisine : faut y mettre les ingrédients, savoir les doser. Seulement, au début, tu ne connais pas toujours la recette comme il faudrait, et tu passes pour maladroit(la méthaphore était à chier, je sais!).

Et puis, tu sembles vouloir être certain de son amour pour te lancer. Si tel est le cas, je le comprends. Mais je crois bien que c'est une erreur. Car avancer, en amour ou dans la vie, c'est avant tout prendre des risques, risquer ce qu'on a, pour obtenir mieux, que ce soit une leçon par l'échec, ou la satisfaction par la réussite.

Mes amis ! (je me permet :))

Je crois qu'il faut que je vous éclaire plus sur cette histoire, afin d’éviter, tout mal entendu :)

La situation initial de cette histoire (en quelque mots) :

Fin j'dis initial... la situation général dirons nous. (ouai, ca colle mieux au texte :p)

Bref, quoi qu'il en soit, cette personne je la connais donc depuis 3 ans et c'est ma meilleur amie, et nous somme a 854 kilomètre de distance.

Je tiens beaucoup a elle, car elle ma en partie changer, parce que c'est la première fille avec qui j'ai réellement parlé...

Et je tiens a ce que cela reste amicale entre nous 2 :)

Bien que je ne sais pas quel seront mes réel sentiment si on se rencontre un jours...

Enfin voilà...

Après, pour ce qui est de la méthode de transmission, je ne sais pas du tout comment je vais faire... :/

Mais ce que je sais, c'est que ca fait bien trop longtemps qu'on c'est pas parler en "instantanée" et ca me manque vraiment... :/

Ah, et je vous redirige vers un articles de mon blog que j'ai fait pour elle :) (article qui ne sortira pas de blog, et ca pour aucune raison)

http://stephouetcomp...1/07/14/dianou/

huhu, je me rend compte que j'ai tendance a me "dévoiler" dans cette partie... :)

surement que j'ai assez de confiance en vous qui me lisez :)

Et aussi un peut plus en moi :)

merci pour vos conseils jedino et cosette :)

c'est un plaisir de partager tout un bout de ma p'tite vie avec vous :)

(et désolé pour les fautes ^^')

La flamme. Cette intense lourdeur qui me brise les jambes et brouille ma vue. Je la resens jusque dans mon nez qui me fait mal à sa simple vision. Ce feu agité qui incendie mon esprit et y jète un éfroi épouvantable me perturbe toujours jusque dans mes rêves. Elle est comme un serpent qui glisse en mon esprit pour y déposer son venin. Amitié, froideur, salut éternel qui ne fait pas acte de présence mais qui renie cette épaisse fumée qui chante une hymne à la haine.

Steph_ou, je vois pas mal de quoi tu parles. Mais la mienne est plus prêt :D Et bien moins stable que la tienne, je crois. D'ailleurs, elle est partie pour un moment, là. Je crois que j'aime pas la simplicité

Frelser, c'est beau, vraiment. Je ne sais pas trop quoi dire..

Le silence

Je vois sur ton visage

Passer comme un nuage...

Une contrariété?

Un désir inavoué?

Seuls les mots cependant

Libèrent les tourments.

Le silence est un mur!

C'est bien trop dur

De savoir deviner

Pourquoi c'est arrivé!

Tant de malentendus

Parce que tu t'es tu,

Parce que tu as eu peur

De briser un bonheur!

Pourtant, des paroles,

Même un peu folles,

Peuvent démêler

Des noeuds trop serrés!

Brise tous ces non-dits,

Parle de tes soucis,

Exprime-toi sans colère,

Sans haine, sans mystère

Afin de retrouver

La paix dans tes pensées...

Aujourd'hui, je ne sais pas quoi dire. Je dois surement manquer de matière, de consistance, pour trouver l'idée qui fera qu'un paragraphe sera rédigé. Il y a des jours comme ça. Tout simplement. Il faut faire avec, attendre que passe le vent. Dès lors, les mots ne seront plus emportés, et seront prêts à être récoltés, pour être utilisé dans la confection de quelques mots qui seront phrases, qui seront sens.

Un simple petit mot parfois,le petit passage d'une plume amie, même si elle n'a pas grand chose à dire, c'est toujours le plus grand plaisir de la lire...savoir que nous ne sommes pas seuls, que nous pouvons nous dire ce que nous avons sur le coeur...n'est-ce pas un très grand bonheur?

Il y aurait à dire pourtant. Mais certains secrets, on ne souhaite pas forcément les dévoiler. Ou pas aujourd'hui. Et si, c'est un très grand bonheur. Il faut savoir en profiter, le vivre à sa juste valeur

Bonne soirée!

Bizar, tu dis beaucoup pour quelqu'un qui prétend ne pas savoir quoi dire. Peut-être qu'à force de rester dans cette chambre, tu finis par te sentir déboussolé? Néanmoins, je sais qu'on peut sortir de la plus sécurisée de nos prisons : si ce n'est quelqu'un qui vient nous ouvrir la porte, c'est nous, en trouvant la clef. Allez, ne sois pas si dur avec toi-même, et ne te prive pas d'écrire, même si tu peux trouver ça futile ou niais. Il suffit parfois de peu pour s'en sortir.

J'ai toujours quelque chose à écrire...mais ne pas savoir les écrire fait de moi une personne qui se tait.

Combien de pages de mes quelques cahiers parsemées d'encre et de honte ai-je griffonnées ? Elles résultent de mon incapacité à extraire ce que je désire sous forme de mots. Toutes sont remplis de phrases voir de paragraphes entier qui finissent par être rayés, rayés par le dégoût que je leur porte et la portée misérable qu'elles inaugurent.

Mes plus grande déceptions viennent la nuit. Il m'arrive, dans un état de grande fatigue avant de m'assoupir, d'avoir comme une idée clairvoyante, brillante qui apparaît comme un éclaire. Émerveillé, c'est avec le peu d'énergie qu'il me reste que je me lève brusquement et que je me précipite sur la plume et le support. Mais il est souvent trop tard. La lumière de l'éclaire s'éteint et je cherche désespérément à sauver quelques miettes qui finissent par plongées pour toujours dans mon insondable subconscient. Les crises de colères ne les ramènent pas...

Je relis parfois ce que j'écris ici. Il est claire que ces brouillons n'auraient jamais dû être et certainement pas dans ce recueil. Cela me coupe l'envie d’écrire.

Bizar, quel est donc ce vilain cauchemar qui te perturbe tant! Laisse-le au placard, oublie-le, agrémente tes pensées pour le transformer en un beau rêve bleu...C'est vrai que ce peut être inquiétants les cauchemars et lorsqu'ils reviennent souvent, ils nous accompagnent un bon moment, au réveil! Je crois qu'ils sont le reflet de nombre de nos tourments dans notre subconscient! Quant au fait de ne pas savoir écrire, permets-moi de te dire que tu sais très bien t'exprimer et nous faire partager tes pensées! Ce me semble inconcevable de te voir murer dans le silence! Lâche-toi et reviens vite nous voir!

Oui, les rêves sont les seuls images que nous pouvons avoir de notre subconscient. Il nous faut les retranscrire et les comprendre.

Suis-je perfectionniste ou idiot ? La perfection conduit t-elle à ma déception ? L'idiotie à poursuivre aveuglément ce qui me tourmente ? On m'a souvent reproché les deux. Je n'arrive pas à faire le point et je commence à être fatigué de ne pas réussir. Faut-il que je me résigne à écrire ce qu'il y a de plus simple à écrire ? Dois-je renoncer, comme pour mes rêves, à poursuivre ce que la réalité à décidé d'étrangler ? Je ne désire cependant à écrire promptement.

Je vais mettre mes soucis sous couvertures et réfléchir. Je ne sais plus trop quoi dire...

Merci pour votre attention.

Flinguez-moi. Criblez-moi la peau de fer. Trouez-moi l'âme de vos balles. Acharnez-vous sur mon corps meurtris. Oui, finissez-moi. Ne me laissez pas là, agonisant. Ne me laissez pas ici pourrir tranquillement sous le soleil à son zénith. Ma gorge est sèche. J'ai faim. Et pourtant, je ne ressens rien. Suis-je déjà mort? Je ne sais pas si je respire encore. Je ne sens plus mon corps. Si ce n'est ma peau assassiné par la chaleur du soleil, la sérénité de mon état. Cela parait étonnant : je suis au bout du chemin. Mais je me sens bien. Nous sommes au début du printemps, les oiseaux chantent au loin. Que demander de plus?

Passez devant moi. Ne me regardez pas. Je ne suis pas vous, je ne suis pas avec vous. Abandonnez-moi à ma propre déchéance. Et si vous vous arrêtiez, enlevez de votre visage ces yeux là. Ma vie n'est pas à plaindre, ma situation encore moins. C'est le fruit de mon existence, le fruit de mon destin. Seulement, vous ne le ferez pas. Non, vous ne prendrez pas de votre temps si précieux pour vous risquer à garder l'image d'un idiot frappé par la réponse de ses erreurs. Vous pourriez avoir pitié. Vous sentir gêner. Ressentir le besoin de le sortir de là. Et vous l'auriez sans doute fait si vous n'aviez pas de biens importantes priorités.

Admirez donc ma plénitude, ignares de tous rangs. Souffrez de me voir ainsi. Cessez de refuser cette vérité. Vous savez très bien que vous finirez au même endroit, à la même place dans une heure, un jour, un an. Vous avez peur, peur de vos propres idées, de vos propres faiblesses, de vos plus profondes calamités. Vous avez peur de devoir être aidé comme j'aurais pu l'être, de finir comme je le suis, sans amis, et trois balles dans le torse. Mais si vous saviez à quel point on est serein, en paix avec soi, quand on peut se dire qu'enfin il n'y aura plus à courir, plus à se demander si on va arriver sans en souffrir. Si vous saviez à quel point je vous hais et vous maudis, vous et vos habitudes misérables.

Je vais vous quitter, et à vrai dire, j'en souris : j'ai su profiter au mieux de chaque instant, su rendre fertile les envies de ma courte vie.

Crois-tu?

Crois-tu que ça se passe ainsi? Toi qui es à l'aube de ta vie, crois-tu que tu sais s'il est bon de mourir?

Crois-tu que de passer à côté de toutes ces belles choses qui t'attendent serait un bienfait?

Crois-tu que cette merveilleuse jeunesse que tant de gens regrettent doit être ainsi abandonnée?

Crois-tu que de ne plus voir le soleil, les fleurs, la nature, t'apportera la sérénité?

Crois-tu que ceux qui t'aiment sauront sécher leurs larmes et t'oublier?

Crois-tu que tu connais déjà tout ce que la vie peut t'apporter?

Crois-tu qu'il y a une autre vie où t'attends le paradis?

Crois-tu que ceux qui implorent le ciel de leur laisser un peu de vie encore sont des insensés?

Crois-tu que ce ne serait pas mieux d'ouvrir tout grands les yeux et de bien regarder ce qui, jusqu'ici, t'a échappé?

La vie est ce qu'elle est, elle comporte, bien sûr, des passages de doutes, d'incertitude,de regrets, mais je crois qu'elle vaut, surtout, la peine d'être vécue!

Nous sommes bien d'accord, chère Cosette

Mais c'est en fait que fiction. Je ne pense pas à mourir.

J'aime simplement, je crois, écrire des histoires de mon âge : pseudo-provocatrice et pessimiste sur la vie dans sa globalité.

Faut pas s'en faire pour ça.

J'ai rarement été aussi serein :)

Pourquoi écrire ainsi malgré tout?

Stephen King avait répondu, un jour, à une personne lui demandant pourquoi il écrit toujours des histoires si terrifiantes, ceci : « Qu'est-ce qui vous fait penser que j'ai le choix ? »

Ptain, il m'a fait peur t'es fou toi !

Moi aussi, Evasive, j'ai été soulagée en le revoyant...il nous en fait des peurs, celui-là!

ben je te dis pas, je me sentais plus .....

Punaise, j'ai vraiment un souci au niveau de la perception des choses, je crois!

Parce que moi, je n'le vois pas du tout ainsi.

Mais désolé.

Ne le sois pas , on a chacun notre façon de percevoir comme tu dis, sans doute que cosette et moi sommes très sensibles au poids des mots

Vous n'êtes pas les seules. Tout le monde l'a vu ainsi.

C'est donc pas de votre côté que réside le problème, mais du mien

Je ne pense pas que cela soit un problème , au vu , que tu sais faire passer des émotions, je dirais , trop bon " écrivain" ( ça m'arrache une côte de dire ça ) !