un jour = une histoire

Merci. Je suis d'accord avec toi.

J'aimerais faire la promesse qu'un jour j'offrirais à une personne ce même chaleureux bonheur.

Juste parce que j'aime ce rappeur qui, au passage, fait aussi dans un rock assez posé (il semble être guitariste)
C'est, avec eminem, les rappeurs que je préfère.

L'image qu'on a des autres s'inspirent de ce qu'on peut voir. De fait, je suis pris pour un metalleux. Rares sont ceux qui s'imaginent que j'écoute autre chose que des groupes bien connus de rock ou de metal. Pourtant, c'est le genre de musique que je me suis mis à écouter le plus tardivement, bien que Clapton ait bercé mon enfance. Peut-être connaissez-vous O-Zone, un groupe qui a fait un tube pas mal écouté à cette époque là. Peut-être vous souvenez-vous de Manau que j'ai écouté et réécouté énormément. Voilà ce que je me passais comme musique avant de véritablement m'intéresser à la musique, et de commencer, oui, par le metal, avec rammstein, en particulier. J'ai mis du temps à supporter d'autres groupes plus "violents" comme slipknot. Et je n'aimais pas même linkin park, à ce moment là. J'en suis fan aujourd'hui, c'est pour dire à quel point on évolue.

Finalement, j'ai appris à dompter la violence musicale, à m'ouvrir à d'autres horizons, à en rendre presque ridicule la catégorisation. Oui, j'écoute beaucoup de metal. Plus qu'autre chose. Si ce n'est ces derniers jours où j'écoute du rap, et du rap. J'ai mes périodes comme ça.

Mon frère a toujours bien résumé ce que j'écoute comme musique : tout, et n'importe quoi.

Mais n'est-elle pas là, la beauté, autant en musique, que dans le monde? N'est-il pas là, le secret de la tolérance, de l'acceptation?
Malheureusement, l'utopiste que je suis sera déçu d'apprendre que je suis bien trop seul à le penser pour pouvoir le changer.

Bonne journée.

c'est très beau Donnie!

comme il est bon de se sentir aimé au sein de son foyer! si seulement davantage d'enfants pouvaient en dire autant quelques années plus tard...parce que, n'est-il pas vrai, que pour réussir sa vie d'adulte, ces souvenirs aident à les faire devenir des hommes et des femmes aux valeurs et aux sentiments chaleureux, tout comme tout droit sortis de ce cocon familial où ils étaient heureux! ...

Voilà -se dit l'enfant- c'est donc ainsi qu'il ne faut pas faire ...

Allons, mais comment vais je savoir quant il sera mon tour ...

Très simple finalement,

je ferais, assurement et résolument le contraire.

Donc,

Je borderais l'enfant, le soir,

à l'approche de la nuit, pour enfuir tous les loups gris,

je ceuillerais ses larmes avant même qu'elles ne naissent,

je mettrais mes mains en coque sur ses genoux avant qu'elle ne tombe,

Mais encore,

Je grefferais son rire comme la seule symphonie,

Je capturerais son odeur pour en faire mon parfum,

je porterais son coeur comme le camé délicat,

je lui chuchoterais milles contes, comme une palette de couleurs,

et je regarderais l'enfant me quitter enfin...

Oui -se dit l'enfant- c'est ainsi, ce sera bien...

Elle posera sur moi son regard limpide

et quand viendra l'heure, elle, elle saura comment faire...

Modifié le 5 octobre 2011 par Infinitive

l'enfant se dit...

l'enfant réfléchit...

mais au fil du temps

quand ses cheveux auront des fils d'argent,

aura-t-il encore les mêmes opinions?

saura-t-il se se remettre en question?

parce qu'un enfant ne peut devenir homme

sans changer en oubliant les résolutions, si bonnes

qui étaient siennes dans sa vie passée!

parce qu'une vie est faite de tant d'événements

qui font se contredire le pourquoi, le comment...

et que, lorsque la vieillesse

fait place à la jeunesse,

il ne reste bien souvent

que...désenchantement...

petit délire perso un peu hors sujet

Vous voulez que j vous raconte des histoires ? Il faisait nuit noire, la bouteille flottait sur l'eau, on eût dit de loin un papyrus... Il y a beaucoup de fleuves en votre pays, mais aucun comme la Loire, aux confluents et affluents tels des miroirs, aux îlots comme des presque-îles, et de nombreux pavés au fond de vos rivières. La Lune croissait en surplomb, on eût dit le phare des sirènes. Aucune ombre autour de moi, je me dressais comme un I ; ce n'était une péniche, face à mon front, ni la brume, ni aucun son non plus, autour du ponton. Les idées noires faisaient un tourbillon, sous la roue du vendredi soir. Soirée dérisoire, semaine calamiteuse. La roue tournait pas rond. Je me dressais à la façon d'un paon, mâtiné, noctambule. Cela tanguait sous mes orteils, pieds déchaussés, et attirait mes yeux. Je ne vous raconte des histoires. La chose entraînait les clapotis imperceptibles du lit de la rivière. La forme oblong devinait le chatoiement lunaire, solitude centrifugeuse, idées en perdition. C'était vendredi soir. Ce n'était pas de trop, un événement. Texture de parchemin, encre manuscrite, on eût bien dit la réponse à quelque interrogation divine mystérieuse. Bouts d'algues, treillis imperceptible de choses parcourues, bouteille fermée. Univers indistinguable, itinéraire indéchiffrable. Je ne délire en vous narrant langue déliée cette histoire. Trajectoire d'un bout de quelque chose. Récif d'imaginaire, une bouteille à la mer, dit le langage populaire. Je supputais une victoire des sirènes, une guerre des gardons, océan étuvé. Horizon indéfini. Lune pâle et tranquille, opale valeureuse.

:)

Tout juste magnifique, Château :)

Quel lyrisme! (si je peux me permettre ce mot :D)

toi aussi joli texte (j'en ai même fait un copier/coller que j'ai envoyé dans un mail à une amie qui s'y est collée elle aussi, écrire en écoutant de la musique) ; marotte contagieuse moi je dis ; ouais gosse j'aimais bien le lyrisme, une fois adulte j'y vois des mots dans un style "classique" au-dessus d'une cannette de bibine, mais visuellement ça rend bien quand même j'avoue :blush:

mais oui c'est magnifique les amis...

cette bouteille à la mer...

j'en avais jeté une

un soir de pleine lune...

j'y avais inséré un poème d'amour

espérant bien qu'un jour

quelqu'un le trouverait

et le rapporterait...

les années ont passé,

bouteille sûrement brisée...

coeur perdu dans l'océan

déchiré par le temps,

parti rejoindre Neptune!

las de tant d'infortune...

Une crise cardiaque...

Elle vous vrille, déchirure musculaire, plexus solaire en feu, impression que vos os sortent par la peau, inquiétude. C'est avant tout une crise, une prise de la partie supérieure du corps, douleur étrange, comme un éclair, peur de mourir, avenir paralysé, image d'hôpital naît à l'esprit, fatigue et peur, état d'alerte. Partant de la région du cou, vous rigidifie le bras quelque chose analogue à la fatalité, le cardiaque se manie avec pincettes, vous n'osez et, paradoxe, palpation réflexe de votre paume destinataire des soubresauts d'une volonté en désespoir de cause, lovée sur elle-même, c'est comme ça que les veines gonflées, for intérieur accablé, l'organisme s'accroupit, se recroqueville dans le « rien », le monde se déréalise, chute difficile de la conscience.

Arrivée à l'hôpital, la crise ne s'estompe, votre vigueur est un fantôme.... Nostalgie douloureuse, larmes au bord du vide, les plaisirs appartiennent à quelque fiction.... Un avion décolle tout prés de vous, ce n'est plus la peine..... Cette après-midi était ensoleillé, le bus reluisait sur l'aire d'autoroute, comme neuf, châssis solide, stoppé, chauffeur zen, le ballet hypnotique des automobilistes environnants...

Modifié le 6 octobre 2011 par morphee_

Faisons ce pourquoi nous sommes ici. Mais quel est ce but? Vivre? Comprendre? Apprendre? Détruire? Évoluer? Faire évoluer? Aider? Créer? Tant de possibilités. Tant de directions. Vers où devons-nous donc aller? Là où nous mènera notre destinée. Ou nos choix, selon ce qu'on peut penser. La différence est minime : l'un force à assumer, l'autre à accepter. Qu'importe, finalement. L'idéal est de savoir trouver. Trouver quoi? Tout dépend où vous en êtes. L'amour, l'argent, les autres, la bonté, la méchanceté, etc. De nombreuses possibilités à en avoir le vertige. En principe, on prend conscience à chaque étape passée, soit la déception de l'un de ces artefacts de notre cheminement. Car il n'y a que dans la souffrance qu'on remarque notre erreur. Et on monte une marche. Où se situe la dernière de ces marches, à franchir? Je pourrais vous la citer, ce qui ne vous aiderait pas pour autant. Cette marche, elle est tout là haut, prêt du sommet, sans toutefois le toucher. Et sa nature dépend de l'escalier que vous avez emprunté.

Effleurant de mes yeux vos écris, je suis de nouveau conquise.

l'effort me parait presque surhumain, mais ou est passé

mon envie d'écrire, je ferme mes paupières et laisse ainsi

mon esprit divaguer, l'imagination peut-être me reviendra,

trop de chose me submerge, ma concentration en est perturbée.

ma foi dois-je m'arrêter, je n'ai peut-être plus la fibre de l'écrit ...

Non je reprendrai la plume puis la laisserait glisser sur la page

blanche, la griffonnerait jusqu'à ce que enfin les mots

se mêlent, s'assemblent et souillent le papier ....

salut à tous ..

un escalier...

c'est ça, la vie est un escalier...

un escalier sans fin, et chaque jour, nous essayons d'en monter une marche!

nous trébuchons parfois, nous reculons, nous nous arrêtons, et puis, nous repartons...

il nous arrive même, dans notre précipitation, de monter deux ou même quatre marches à la fois...

élan fou qui nous donne des ailes, nous motive et nous transporte vers le ciel...

et puis, ça y est, un petit grain de sable sous nos pieds nous fait encore reculer...

et la vie passe ainsi...

un jour bien, un jour mal!

de bonheur en désenchantement, de malheur en désirs de toutes sortes...

d'enivrement, de folies, et puis de découragement...

et l'escalier sans fin est là devant nous

à nous solliciter pour nous faire avancer...

jusqu'où?...le savons-nous seulement...

Un peu plus loin sur la droite, des paons font la roue

un pas en avant,

deux pas en arrière,

le coup d'avant

je songe à la vie

j'en suis même très fier

et puis par derrière

l'Ombre de la mort.....

le coup d'après,

dans mon for

et je fournis des efforts

tâchant de ne pas trop reculer,

naissent des mots

mais comme je préfèrerais contempler

le fil de l'eau.......

ainsi va la vie.. *soupir*

Modifié le 7 octobre 2011 par morphee_

Rencontre ..

Assis l'un en face de l'autre,

leur mots se bousculent,

ils se dévorent du regard,

mais rien ne doit paraître,

ils ont posé les limites.

Désir attisé mais envie refoulée,

moment d'égarement,

fusion lointaine et chimérique,

effleurement rêvé qui ne sera réalisé.

Douce et précieuse amitié

qu'eux seuls comprennent

et ne veulent partager ....

"Non"

Un simple non

Comme leurs noms

Sans renom

Décline, et vont

Et viennent au son

Des soupirs ronds....

Sous l'horizon....

En floraison....

Ils se disent "non"

Automne des raisons,

Les leurs, au gong

D'un vrai "oui"......

De leurs frissons....

Sans noms....

l'amitié et l'amour...

un jour l'amitié demande à l'amour...

que dirais-tu, en ce beau jour

de dériver un peu,

d'aller plus loin tous deux

et de transformer nos amicaux baisers

en caresses passionnées?

après quelques hésitations,

l'amitié dit "essayons"...

faisons comme si nous nous rencontrions

animés par la même passion...

mais c'était sans compter

sur tout ce passé

qui allait ressurgir

et fausser l'avenir...

il est bon d'aimer

mais de ne pas confondre amour et amitié...

J'ai ecrit une chanson et je voudrai savoir ce que vous en pensé :)

Est ce que tu veu etre monami?

La phrase fetiche des toutpetits

Pas de soucis a lamaternelle

On reve en voyant deshirondelles

Putin ce quelle est facilela vie, quand on est petit

On ne voi pas a tout boutde champs, des putes au sac lonchant,

On a pas mal au coeur, aforce de cherché l'ame-soeur

Destinée a faire des tourde terrain le midi?

Marcher autour du foot,basket, rugby

quelque baston au collège

Pour élaborer desstratèges

Putin ce quelle est facilela vie, quand on est petit

On ne voi pas a tout boutde champs, des putes au sac lonchant,

On a pas mal au coeur, aforce de cherché l'ame-soeur

La musique qu'on écoute.?

Principalement électro, rock, reggae

La génération sexe,drogue vodka

Avec tous ces fumeur degandja

Putin ce quelle est facilela vie, quand on est petit

On ne voi pas a tout boutde champs, des putes au sac lonchant,

On a pas mal au coeur, aforce de cherché l'ame-soeur

Lache moi une gallo, s'teplai .?

Passer nos récré acraché d'la fumé

Ce lever a 6h, et fuck lagrasse mat'

Pour aller au lycée, onest pas des automates

bienvenue Oulala...

je t'avoue ne rien connaître en musique, alors, comment te donner mon avis?

ton texte gagnerait peut-être en étant un peu mieux orthographié (si je peux me permettre!)

et puis, pourquoi des "putain" à tour de bras? tu trouves que ça fait plus branché?

sinon, j'aime bien les propos que tu tiens et qui me paraissent justes...

va le soumettre dans la section "musique"! tu trouveras sans doute des gens plus qualifiés!

Je n'aime pas du tout Oulalaa, mais bon c'est chacun ses goûts

Coucou ici et coucou là, je passe , toujours pour vous lire :)

une parmi tant d'autres...

petite fille si douce

fais-nous voir ta frimousse

pourquoi cette tristesse

alors que tu devrais être en liesse!

quels sont donc tes tourments,

dis-nous charmante enfant!

mais elle ne veut rien dire

un haussement d'épaules, un soupir...

elle s'isole toujours

se renferme dans sa tour...

inquiétez-vous, braves gens

ne restez pas indifférents

ces silences-là sont révélateurs

d'une souffrance infinie

qui peut ternir à jamais sa vie...