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un jour = une histoire

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Invité Cosette 2

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

bonjour les amis...et avez-vous remarqué? 1000 lectures!

allez, tu as raison Jedino, nous sommes partis pour les 200...à vos plumes!

Evasive, je me souviens! ce serait amusant de reprendre depuis le début! :coeur:

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Invité morphee_
Invités, Posté(e)
Invité morphee_
Invité morphee_ Invités 0 message
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:dort:

Je me souviens du poème que j'avais fait en citant en partie ceux qui avaient participé au topic, y avait déjà je ne sais plus combien de page.... Si maintenant il fallait tout relire, ça serait tout aussi agréable :)

faudra nous le retrouver hein, allez s'il te plaît......

cet après-midi j'ai l'impression d'avoir une doudoune sur le cerveau, un doux silence règne sur mes voix intérieures, or je sais que pour écrire, et notamment dans ce sujet "un jour une histoire" (puisque une journée compte vingt quatre heures -à moins qu'on puisse découper la journée comme une journée de travail : huit heures par jour ?), il faut absolument opérer un tri, c'est pas possible autrement, donc "capter" la voix intérieure du moment, celle qui ne me ment pas, même si les mots mentent (mot ment ; maman des mots ! non je plaisante, c'est pas pour rien que l'on va à l'école, à de rares exceptions prés qui ont besoin de précepteurs à domicile, mais c'est donc autre chose) ; et donc "un jour une histoire..... "

matin : petit déjeuner à base de pain complet et de chocolat chaud

midi : repas léger à base de hamburger-frites (ben oui, on est dimanche)

soir : je sais pas encore, mais pas des carottes en tout cas......

à partir de ces points de suture repère, je crois que vous pouvez, à ma place parce que là je suis un peu fatigué, raconter des histoires, parce que c'est de l'Art, une histoire......

Modifié par morphee_
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Membre, Dingotte à plein temps !, 95ans Posté(e)
Evasive Membre 19 608 messages
95ans‚ Dingotte à plein temps !,
Posté(e)

""" Que de monde dans cet endroit d'histoire...Cosette trouve ses partenaires de rêveries, le merle se perche sur la plus haute branche pour y voir un chat_ooo tout en splendeur, metempsycose annonce sa prose au détour d'une ptitepao qui y fait son petit bout de chemin.

Caloli croasse par ici et là pendant que c'pamoi chemine à travers arbres et buissons. Jedino se cherche en mot , sa pensée Evasive le confond entre Reath qui apparait et Mad-World qui disparait .

Pako tout en bonne humeur rejoint Jainala au centre des douceurs que Jikay et nicolette connaissent par coeur , pendant que Belalex se love sans complexes en l'antre un peu fou de stèph_ou .

Route fleurie croise Mitsakie, chemin de verdure se propose à OhByu, le sentier n'est plus trop loin, tilsim en rougit de ses couleurs arc en ciel.

Ferrofluid. Sev emprunte l'allée de la fontaine et y croise bizar plume légère à la main.....

Merci Cosette pour avoir réuni ces esprits enchanteurs ...."""

D'autre sont venus s'ajouter , certains sont partis.....

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

Evasive, c'est sublime d'avoir retrouvé cette page là! et c'est aussi là que je m'aperçois que bon nombre sont disparus! il est vrai que de nouveaux les ont remplacés, et c'est pour ça que nos cent pages se sont succédées, pour le plaisir de tous nos lecteurs...

Au risque de tant de fois me répéter, je vous remercie encore, avec une sincère reconnaissance! avoir fait de ce topic un tel succés me comble de joie!

J'essaierai demain d'avoir un peu plus de temps afin de vous conter une nouvelle histoire!

Bonsoir à tous! :coeur:

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Membre, Posté(e)
Infinitive Membre 127 messages
Baby Forumeur‚
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Faisant résolument partie de ceux qui sont venus s'ajouter !!

Donc encore une petite pour la longue route que nous espérons tous ici !!

Valériane :

- Tu m'entends Valériane, tu restes dans la voiture de Monsieur Jacques mais tu ne touches à rien !! A rien !!

Valériane hoche la tête, sa maman est encore grondeuse. Elle n'aime pas cette voix qu'elle a avec elle. Pas du tout la même que celle qu'elle prend avec Nanou. Peut être que dans une famille, les mamans ont une voix par enfant. Une voix qui arrive dans son ventre en même temps que le bébé. Et plus le bébé est beau et plus la voix est douce. Valériane n'était pas un beau bébé. Cela, elle le sait. Maman le lui a dit. "Il faut couper tes cheveux, ils ne sont pas jolis"." Cache donc tes genoux, ils sont laids"." Tu as de bien vilaines dents ma pauvre fille"... Pourquoi ma pauvre fille ? Parce que moins on est jolie, moins on est riche ?

Valériane ne sait pas. Alors, comme elle n'est pas très jolie, du coup, elle est pauvre alors elle s'applique. A faire comme il faut. Tout comme il faut. Ne jamais rentrer dans la chambre de maman pour y faire un calin dans le lit, bien ranger ses affaires, rire souvent pour montrer comme elle est de bonne humeur. Ne pas désobéir.

Donc aujourd'hui rester dans la voiture et ne rien toucher.

Mais il y a ce petit bonhomme en plastique bleu, tout rond, tout rigolo. Il est attaché au rétroviseur avec une ventouse. Maman a vu le regard de Valériane.

- Je t'interdis de toucher au petit bonhomme Antar !! Tu as compris ?!

Valeriane a compris, maman claque la portière et disparait dans l'escalier de pierres. Valériane a compris alors elle le caresse des yeux, le petit bonhomme, elle le frôle de son coeur et lui parle de ses rêves. Il semble très attentif, il a même arrêté de gigoter au bout de sa petite chaine. Il semble bien qu'il écoute ce que lui murmure la petite mais comme il n'entend pas très bien, la ventouse se décolle et il tombe. Tout seul, tout droit dans le cendrier débordant de mégots sales.

Valériane sent son coeur qui s'arrête. Maman va revenir, elle l'accusera. Elle se faufile entre les deux sièges avant et de sa petite main maladroite essaie de recoller le bonhomme bleu. Il resiste, c'est qu'il ne veut pas, pense Valériane, il ne veut plus être accroché comme un saucisson. Il pleure sans doute d'être seul lui aussi. Ils se chuchotent tous les deux les plus belles promesses, elle ne l'abandonnera jamais. Maman est arrivé discrètement. (sournoisement pense le bonhomme bleu)

elle giffle Valériane, la giffle numéro trois d'aujourd'hui.

- Tu es vraiment, vraiment méchante ! Une très vilaine petite fille !

Monsieur Jacques est avec elle.

- Ce n'est rien, oh vraiment, ce n'est pas grave !! Il te plait Valériane ?Alors garde le !

Maman a enfoui le petit bonhomme dans son grand sac. Valériane ne pipe pas mot. Elle attend. Sur l'autoroute, maman a ouvert la vitre et a jeté le petit bonhomme par la fenêtre. Valériane l'a vu passé, elle l'a entendu crier. Elle croise dans le rétroviseur les yeux de maman, ses yeux noirs. Elle ne pleure pas. Elle a juste le coeur au bord des mots.

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

Infinitive, encore une histoire qui me rappelle....beaucoup trop de choses! comme tu sais bien résumer des passages qui restent gravés dans le coeur des enfants que nous avons tous été...

La cheminée...

Elle est là, encore éteinte et ne demande qu'à s'illuminer!

Mais je n'ai plus de bois pour l'allumer!

Tu représentais le bonheur de nos soirées câlines

Parfois, même, un peu coquines...

Enlacés devant ce bois qui crépitait,

Qui, à nos oreilles chantait

Et, nos mots d'amour accompagnait...

Voici venir l'hiver

Dans mon coeur, une prière

S'élève, mais tu ne l'entends plus...

Les braises se sont tues...

Seule, la cheminée

Si froide, est restée...

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Invité morphee_
Invités, Posté(e)
Invité morphee_
Invité morphee_ Invités 0 message
Posté(e)

:dort:

le feu de bois

le vieil homme a cent ans désormais....

il regarde la flamme de la cheminée se consumer...

à travers les flammèches il distingue des bribes de son enfance.....

le piquet en classe quand il avait commis une bêtise, la cave quand ils habitaient un immeuble avec ses parents, le grenier à l'époque où ils avaient une maison ; il se rappelle avoir eu les tripes en bandoulière, en se remémorant des bêtises qu'il demeurait persuadé n'avoir pas commis ou si le châtiment lui paraissait disproportionné par rapport à la faute....

et pourtant il ne pouvait se plaindre, détestant les gens qui le poussaient à commettre la faute, comme cette fille dans la cour de récré une fois, qui avait refusé de faire sa rédaction à sa place, et qui lui avait administré une gifle ; résultat : deux jours de colle pour lui.... très tôt la vie lui a appris à ne pas se plaindre pour "rien"....

"l'Enfer c'est les autres" écrivait Sartre, cela il s'en rappelle..... c'est la joie, aurait-il pu corriger en son for intérieur s'il avait connu ce mot, hélas ;

-vous êtes libre, Jacquot....

Nicolas le gardien de la prison paraît content pour lui....

De fait, ils sont rares à sortir de là au bout de tant d'années et à l'âge de quatre vingt dix neuf ans, ce premier pas à l'extérieur a quelque chose de symbolique.

le feu de bois produit de la chaleur, ce n'est pas lui qui l'a allumé, le vieil homme voudrait pourtant, alors qu'il se rappelle fugacement que sa mère disait "touchons du bois", dans ce qui semble désormais une autre existence..

de fait, "ils" sont rares à atteindre 101 ans de vie.......

(ceci est une fiction)

Modifié par morphee_
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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

dans le parloir d'une prison...

Ils se bousculent, se regardent du coin de l'oeil, se demandent quelles fautes ont commis ceux qu'ils viennent visiter!

Il y a de tout, des femmes, des hommes, des enfants, et même des bébés!

Il faut attendre longtemps, déposer les objets qui risquent de sonner!

Parfois, il y en a qui ne passent pas pour avoir un percing au nombril et ils doivent repartir la rage au fond d'eux-mêmes!

Enfin, ils sont entrés! ils prennent une chaise, s'assoient à une petite table et attendent celui, ou celle qu'ils sont venus voir!

Les lourdes portes ont été verrouillées!

Chacun attend avec anxiété l'arrivée de leur prisonnier...

Voilà, ils arrivent! Il y a également de tout, des jeunes surtout, mais aussi des beaucoup plus âgés qui ressemblent à des braves pères de famille...

Ils cherchent d'un regard angoissé ceux ou celles qui sont venus les réconforter!

Enfin, ils sont réunis pour la demi-heure accordée! Quelques baisers aux enfants qui se demandent bien ce qu'ils font là! une poignée de mains aux copains, un tendre baiser à celui, ou celle-là!

Et les minutes passent à une vitesse incroyable! tant de choses à se dire, tant de paroles qu'ils voudraient prononcer et qui restent figées tout au fond de leur gorge!

Et l'alarme retentit, tel le glas de leur bonheur si bref et à peine ressenti...

Ils repartent, tête baissée, et les grilles se referment sur leur liberté...

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Membre, Posté(e)
Infinitive Membre 127 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

A la sortie du parloir...

... Elle s'est laissée guidée vers le dehors, vers la trépidance de la rue. Le soleil est là, insolent qui frappe avec violence l'alignement militaire des véhicules sur le parking.

Un bus gras et ventru est venu ceuilllir des poignées de moineaux inquiets blottis dans les jupes de leur mère. Elle, se pose sur le capot de la vieille golf.

Elle allume une clope, son sac, allégé des vêtements qu'elle lui a apporté, ne pèse plus rien à son bras, il s'agite dans le vent léger.

Elle cherche des yeux une fenêtre étroite, bardée de ferrailles, une serviette de toilette rose vif doit y être accrochée.

- "pour mieux la reconnaitre..."

Elle cherche fébrile, mais des centaines de fenêtres, toutes les mêmes, greffées pareillement de mains qui s'agitent.

- "au deuxième..." a t'il dit

Elle ne la trouve pas et son coeur emballé s'affole, son coeur qui est tombé au creux de l'estomac, elle le sent palpiter.

Elle pose sur sur son ventre une main tremblante. Elle ne lui a pas dit, elle n'a pas pleuré. Elle ne lui a pas parlé de l'enfant qu'elle attendait et qui ne viendra pas. Celui qu'elle a perdu.

Les parloirs se suffisent à écouter les silences des uns et les regrets des autres.

- "ca va, la bouffe est degueu, mais ca va..."

- "Julie te passe le bonjour..."

- " Je te promets, dès que je sors, je cherche du taf..."

- " Oh je sais, mais pour toi c'est facile, tu es dehors..."

Alors elle tait ses détresses, sa solitude, sa détresse, les heures sup qu'elle enfile pour ne pas perdre la maison, la cavalcade du dimanche pour le voir une demi- heure, la fatigue qui s'accumule et son immense colère. Parce qu'encore il avait promis et qu'encore il a recommencé.

Parce qu'elle est belle et jeune et que tout cela la fait vomir de désespoir; parce qu'elle est piègée sans autre espoir que l'attendre encore et le voir rechuter.

Simplement parce qu'elle l'aime si fort et lui si peu ou si mal.

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Membre, Dingotte à plein temps !, 95ans Posté(e)
Evasive Membre 19 608 messages
95ans‚ Dingotte à plein temps !,
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Bonjour tout le monde , belles choses encore :blush:

Mon rayon de soleil....

Ce matin , mon rayon de soleil se trouve là, lointain, mais si près de moi, sa chaleur m'envahit, m'ensorcelle presque, l'envie passe de me dévêtir et de m'offrir à lui, m'étendre sur la pelouse encore en rosée, savourer cette fraîcheur matinale , me lover, rouler sur moi même , m'étirer, en profiter jusqu'à épuisement, puis m'abandonner peut-être m'endormir....

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

coucou les filles...allez, un peu de blues! ;)

l'école buissonnière

Et si l'on faisait ce matin, l'école buissonnière?

Qu'en penses-tu, dis-moi?

Nous aurions, toute à nous, cette journée, rien que pour nous aimer!

Tu hésites, tu te demandes si ce serait raisonnable!

Allez, qu'importe, pour une fois, les leçons, les devoirs!

Nous irons par les prés en nous tenant la main...

Tu cueilleras une marguerite pour moi et tu l'effeuilleras pour savoir si je t'aime, un peu, beaucoup, passionnément...

Nous irons nous cacher derrière ce buisson pour que tu me donnes un baiser...

Et nos rires étouffés voileront légèrement le désir qui, soudain s'insinuera...

Nous fermerons les yeux sur ce bonheur fou qu'on éprouve à seize ans et qui restera en nos mémoires...

longtemps....très longtemps...

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Membre, Dingotte à plein temps !, 95ans Posté(e)
Evasive Membre 19 608 messages
95ans‚ Dingotte à plein temps !,
Posté(e)

ohhhhhhhhhh tu me rappelles un truc fou là !

je devais avoir 16 ans , c'était rare quand je sèchais les cours, maman était très stricte et sévère, t'imagines donc les conséquences que ça avait quand maman recevait à la boîte aux lettres le mot d'absence... je n'ai jamais pû intercepter ce foutu facteur !!!!! :sleep:

Donc, me voilà amoureuse, ce jeune homme rencontré via une copine me plait bien, je lui plais aussi, nous voilà tout heureux, on laisse un peu de temps passer et puis voilà, il me demande de passer l'aprem avec lui , on irait au cinéma , puis on mangerait un bout, je dis ok, la peur au ventre quand maman va tomber sur l'absence, mais tant pis , je prends le risque.

L'aprem arrive donc, nous voilà au cinéma ( je me souviens plus du film :D) , beau moment en amoureux, bien que je trouvais ce jeune homme un peu trop empressé, j'ai calmé sa joie...

Fin de séance , nous partons sur la ville manger des frites :D et je discute et blablabla, à un moment , j'entends derrière moi " elles sont bonnes les frites?" Punaise , mon sang ne fait qu'un tour, c'était maman( ça lui avait pris comme un mal de ventre de faire des emplettes en Ville, ce qu'elle ne faisait jamais !) , je me retourne, la regarde et tout connement et lui dis " oui , excellentes, t'en veux une ?" , elle me répond du tac au tac " et toi , tu veux celle là ?" en me montrant sa main .... Mon copain, ne connaissant pas maman se demandait ce qu'il se passait .... Je répondis à maman " Non merci maman, je sais à quoi m'attendre " et je me retourne sur mon copain et lui fait comprendre que l'on ne se verra plus pendant un moment....

De retour à la maison, maman m'attendait( oui je ne suis pas rentrée de suite , j''étais de retour comme si j'avais été aux cours) , plus calme que jamais ( mauvais signe, je préfèrais quand elle gueulait) et me dit " eh bien ma Julie, t'as tout gagné, non seulement , je ne signe pas ta carte d'absence, tant pis pour toi si tu as des jours de renvoi, mais en plus d'ici la fin de l'année scolaire, tu es privée de sortie" .

Et vlan, le verdict est tombé, et en plus , mon copain m'a laissé tomber une semaine plus tard :D

Modifié par Evasive
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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

" la jeunesse est le temps d'étudier la sagesse...

Mais quelle drôle d'idée,

Alors que c'est le moment d'en profiter!

Quand nous nous retournons,

A quoi donc, nous pensons?

Seulement que nous n'avons pas su

Et surtout pas pu

Embrasser la vie avec volupté!

Les années à venir!

Parler de notre avenir!

Billevesées tout ça!

Ce qui est plus jamais ne sera!

Et nous nous retrouverons

Avec toutes ces passions

Qui auraient, dans nos tristes pensées,

Peut-être dû nous combler...

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Membre, Dingotte à plein temps !, 95ans Posté(e)
Evasive Membre 19 608 messages
95ans‚ Dingotte à plein temps !,
Posté(e)

sagesse...

je la connais, mais pas envie d'en faire mon quotidien, un peu de rêverie d'interdit, faire tout et rien quand on me dit non, suffit qu'on dise " on ne peut pas" et je me lance, alors oui, la sagesse sera pour plus tard.....ou pas :)

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Invité valérie4367
Invités, Posté(e)
Invité valérie4367
Invité valérie4367 Invités 0 message
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Ce jour lá...je l´ai embrassé une derniére fois...lui...mon héros...mon papa...mon amour...moi sa princesse :) ...lui...á jamais dans mon coeur...lui qui est parti vers d´autres cieux...

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Invité morphee_
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Invité morphee_
Invité morphee_ Invités 0 message
Posté(e)

:dort: :)

ah Giscard d'Estaing......

l'était jeune pourtant, mais déjà membre du conseil constitutionnel, un des plus jeunes présidents de la république française élu par le peuple....

*faites pas attention, je divague*

non le truc c'est qu'en ce moment j'ai pour point de repère quand j'écris les traits rouges qui apparaissent sous les mots à la moindre faute d'orthographe ou mot que ne "supporte" pas mon correcteur orthographique, enfin celui de mon navigateur internet plutôt mais "moi" et mon navigateur internet..... enfin disons que il y a les écrits de la Nuit et il y a les autres....;)

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Invité Cosette 2
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Invité Cosette 2
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Posté(e)

Ce jour lá...je l´ai embrassé une derniére fois...lui...mon héros...mon papa...mon amour...moi sa princesse :) ...lui...á jamais dans mon coeur...lui qui est parti vers d´autres cieux...

C'est touchant Valérie, et je ne peux que te dire "courage"! Ce père que tu as tant aimé restera toujours présent dans ta mémoire avec les merveilleux souvenirs que tu as su emmagasiner dans le fond de ton coeur! Tu es triste, bien sûr, mais le temps qui passe apaise les douleurs! :)

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Invité morphee_
Invités, Posté(e)
Invité morphee_
Invité morphee_ Invités 0 message
Posté(e)

:dort: oui je temporisais, en quelque sorte, avec mon message ci-dessus, il est évident que je compatis moi aussi, sans nos parents que serions-nous....

pas seulement nos parents biologiques : celui qui a inventé l'école, celui qui a découvert la pierre philosophale, celle qui entendait des voix durant la guerre de cent ans, celui a réussi à traduire le Sanskrit, etc, etc, depuis la Nuit des Temps......

enfin bon je m'égare, on ne pourrait pas, en une seule journée, narrer toutes les émotions qui ont fait de la Terre ce qu'elle est......

:)

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Membre, Dingotte à plein temps !, 95ans Posté(e)
Evasive Membre 19 608 messages
95ans‚ Dingotte à plein temps !,
Posté(e)

Ce jour lá...je l´ai embrassé une derniére fois...lui...mon héros...mon papa...mon amour...moi sa princesse :) ...lui...á jamais dans mon coeur...lui qui est parti vers d´autres cieux...

en ton coeur Valérie, en ton coeur, tu le dis si bien.....;)

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 48 027 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
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Et si nous n'étions réellement rien? Si notre seul sentiment d'être quelqu'un était une illusion? On se sentirait mal, assurément. Il faudrait être fou, ou vouloir inconsciemment finir dans la folie, pour le penser vraiment. Pas comme une idée qui nous plaît bien parce qu'elle sonne joliment. Non, l'avoir dans la chair, dans la moelle. Mais qu'est-ce qu'une pensée, au juste? Une bribe sans matière, un néant dans un rien. La pensée, ce n'est pas un neurone, ce n'est pas une substance, ce n'est que le fruit de notre illusion. Et cacher la réalité ne permet pas de tomber sur la réalité qui, elle, montrerait que de tout ça, rien n'existe. Hormis, notre certitude pourtant fébrile. Car quiconque s'oppose à une pareille idée aurait comme réaction un rejet catégorique, et la dénonciation par son absurdité. Pourtant, cette même personne se serait étrange, comme blessée. Elle finirait par hypothéquer la possibilité de n'être rien, rien du tout, et se sentirait mal. Elle n'aurait plus que deux choix : soit l'accepter, et en souffrir plus ou moins selon le jour, soit elle continuerait comme elle l'a toujours fait en mettant de côté cette bêtise.

Mais, dans tous les cas, n'oubliez pas une chose : par définition, un "rien" ne peut pas échanger, réagir, avec un autre. Voilà pourquoi nous sommes si seuls dans notre société, pourquoi nous finissons tous par échouer notre vie. De ce que nous ferons, dirons, penserons, aucune chose n'aura son importance. Car la nature nous écrasera, nous montrera notre misérable situation. Et là, vous verrez, vous commencerez à la remercier de ne jamais avoir été autre chose que rien. Sauf, si vous vous croyez comme un tout. Dans ce cas-ci, vous en pleurerez, la damnerez, en oubliant, encore une fois de plus, que vous n'êtes rien, et que le but est de faire bouger le système en supprimant l'ancien pour le remplacer par le neuf.

N'est-ce donc pas ce que nous faisons tous les jours?

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