un jour = une histoire

Mais que de délires mes amis pendant que je vaquais à mes ingrates tâches...c'est bien, c'est comme ça que j'aime vous retrouver, en train de dire, ou plutôt d'écrire, ces mots un peu fous qui nous transportent ailleurs, loin de tous nos soucis, dans l'imaginaire où chacun aime puiser un peu de fraîcheur...

Jedino, j'ai envie de te dire que je devine en toi un talent qui ne demandera qu'à s'exprimer lorsque tu feras fi de ces complexes dont tu es prisonnier! Allez, débarrasses-t'en! Tu es jeune, il est vrai, mais "con", bien loin s'en faut...Tu as devant toi un tapis de fleurs qui sont autant de promesses de bonheur...va les cueillir! elles sont là pour ça, elles sont là pour toi!..

Evasive, jolie petite étoile, tu brilles dans un ciel bleu où parfois les nuages t'en cachent la couleur, mais, tu sais être cette battante qui relève la tête et avance quand même, tout en bravant la pluie, l'orage ou la grêle...C'est bien souvent que je retrouve en toi beaucoup de mes pensées!...

Beachboy, je te connais peu, mais je sens en toi une douceur mêlée à cette ardeur de vivre et d'aimer...J'aime tes écrits qui me parlent et me font rêver...

Bizar, toi aussi, j'aime te lire!Ta musique, peut-être un peu également (ça je n'en sais trop rien,mes goûts sont assez spéciaux en ce domaine! (lol). Chacun d'entre vous est une page où vos mots s'alignent et me font découvrir un peu de votre personnalité, attachante ô combien!...

Il me reste à souhaiter de très belles vacances à mon très cher ami Frelser ...Prends tout ce que tu peux de bonheur, de joies et rapportes-nous en un peu...Tu vas me manquer, mais le fait de t'imaginer heureux me comblera le coeur!...

Merci beachboy, tu me flattes, merci Cosette mon amie... Je suis encore par ici jusque ce soir. Ensuite, ce sont des vacances à la plage... Je vais essayer de rapporter un maximum de soleil.

Ben voilà, ça blablate hors que je suis à mon labeur, mes pensées au delà de toutes rêveries, le réel est bien trop dur et épuisant pour laisser place à autre chose, encore heureux que vient un répit, même si peu soit il, je le prends , je le garde et personne n'y touche !

PS: bonnes vacances Frelser ! :)

les vacances...

En fin d'après-midi, quand la cloche va sonner, tels des moineaux sauvages, ces petits écoliers vont s'envoler, criant et chahutant comme à l'accoutumée! Ils pensent que demain sera un autre jour et que, pendant deux mois, ils seront en vacances...Dans tout ce petit monde, combien vont s'ennuyer et regretter l'école et surtout les récrées, les petits copains, copines, ceux qui leur permettaient de commencer l'apprentissage de l'amitié! L'amitié? mais oui, elle commence dès notre plus jeune âge, avec toutes ses joies et aussi, toutes ses peines...La vie est ainsi faite de tout plein d'expériences dont nous nous souviendrons à mesure que s'écouleront les années... Je m'en souviens encore, et vous sans doute aussi, de ces vacances tant attendues, croyant qu'elles seraient plus belles que les autres jours! Pour nombre de familles, c'est un casse-tête pour savoir comment occuper ces drôles de petits moineaux, concilier la vie de chaque jour avec leurs obligations...parce que, les vacances ne sont pas le hâvre de paix que l'on se plaît à imaginer...elles ne sont que le rêve qui ne se concrétise que pour quelques privilégiés...alors, essayons de croire qu'un jour enfin, qu'un jour viendra où tous ces petits enfants qui ne savent pas quoi faire, hormis traîner dans les rues, pourront profiter de la mer, la montagne ou même la campagne...

Merci cosette Tu as le don de bien plus t'ancrer dans les faits et la réalité que je ne le fais, et tu fais parfaitement honneur à ton sujet, et à l'idée maitresse et de base.

Et oui, les vacances peuvent aussi avoir leurs vices. Mais, en général, tout le monde, y compris les adultes, apprécient cette pause, plus ou moins longue selon la période de notre vie et notre situation.

Non de non va t-il enfin arrêter de passer sa langue sur ses lèvres, mes yeux exorbités me trahiraient presque, je baisse la tête, trop tard il m'a vu, oups

je rentre la tête dans mes épaules, mince il approche que faire, fuir mais ou on est dans le désert, ça c'est balo ... je regarde mes pieds et fais mine de chercher quelques chose du bout de ma savate, son ombre se dessine, mon coeur bat la chamade, j'ai chaud, j'ai l'impression de me liquéfier sur place. ceci dit ça passera inaperçu en vue du degré très élevé de la température extérieur car je me liquéfie déjà depuis le départ de notre caravane ...

bonsoir me dit-il, un souris niais s'affiche sur mon visage, il manquait plus que ça

j'ai l'air ridicule maintenant, j'ai l'impression que mes zygomatiques se sont

figés, a-t-il vu mon regard insistant, peut être qu'il a envie de mieux me connaitre ...

je redresse la tête confiante et lui dis ... bonsoir je m'appelle belalex, j'espère que durant la traversée de ce désert nous pourrons faire plus ample connaissance ....

il me tend quelque chose, surprise je regard l'objet qu'il tient dans sa main, oh mon dieu mais c'est mon haut de maillot de bain ... confuse

je le questionne du regard ...

vous l'avez fait tombé tout à l'heure lors de notre halte à l'oasis ... :gurp:

de nouveau un souris niais se manifeste sur mon visage .. grrrr

me me merci je réussis à dire ...

pas de quoi à plus tard ... il fit demi tour et s'éloigna sans se retourner,

idiote que je suis, j'enfonce un peu plus ma casquette sur ma tête

et me remets à marcher tout en grognant intérieurement ....

Merci Jedino, mais je n'ai guère de mérite, vu toute cette expérience acquise au fil des ans...Tu verras, ça viendra pour toi, aussi! "si jeunesse savait et si vieillesse pouvait"...

Belalex, tu aurais tout de même dû te rendre compte que tu n'étais pas dans un camp de nudistes...:D

un samedi...

Un jour comme les autres pour ceux dont la vie se résume à les voir passer sans rien attendre d'autre que s'écouler les heures...Ils sont là, repliés sur eux-mêmes, n'attendant plus rien, n'ayant plus d'envie, à peine celle de vivre...si vivre est encore le mot juste! Ils ont été jeunes pourtant, ils ont eu, eux aussi, des moments de bonheur! S'en souviennent-ils seulement? Derrière leurs yeux perdus, tournés vers d'autres cieux, existent-ils encore ces instants où ils pouvaient gambader dans les prés, où leurs jambes étaient légères et n'avaient pas à supporter les ans? Ils me donnent la pénible impression de ne penser à rien, d'être indifférents à ceux qui essaient, quelques fois, de lier conversation...

J'avais rencontré une personne comme ça...aujourd'hui, j'ai su qu'elle était partie définitivement! J'ai éprouvé , bien sûr, du chagrin, mais je me demande bien si ce n'est pas pour elle, un soulagement...Samedi, dimanche ou bien lundi...chaque jour se ressemble par leur monotonie...

Hier, en rentrant du cinéma, j'ai connu une de mes "crises". J'appelle cela ainsi, mais en réalité, ce n'est qu'un nom que j'ai donné à ces maux de tête qui, pour moi, sont virulents. Les sons deviennent une agression, les paupières, ouvertes ou fermées, deviennent un supplice. Les lumières les plus fortes sont comme une brûlure à trop les regarder. Tout dérange, tout blesse. Et rien ne l'arrête, ou presque : les médicaments les plus banals ne servent à rien en dehors de se rassurer à l'idée de les avoir pris. Finalement, seul le sommeil, difficile à trouver, lui, est capable de me séparer de cette douleur.

Est-ce un rappel? Une mise en garde vis-à-vis de mes excès? Ou simplement l'effet des sons et des images du film? Je ne sais pas trop.

Ce qui est sûr, c'est que ça a nourrit de nombreux questionnements en moi, tout autant que mon envie de le mettre sur papier, et ceci, malgré mon "mal". J'ai horreur d'oublier quelque chose que j'ai en tête, et je le mets de ce fait sur papier, pour éviter de le perdre. Et puis, ce pessimisme qui est venu graver son empreinte : la sensation d'être incapable de créer un tel scénario, même si des plus simples, de ne pas être capable de créer de pareilles scènes et images, etc.

Et puis, y a-t-il une valeur symbolique derrière le corps de metal d'Optimus? Ses dernières paroles m'ont rappelé grandement le droit célèbre consistant à tous les peuples de disposer d'eux-même, de laisser chacun maitre de son propre chemin. Sans parler du fait que la musique de linkin park est passé quatre fois, soit deux fois plus que dans les deux précédents films, et que les paroles de la chanson ont été laissées durant le film, et non retirées comme bien souvent.

Bref, tout ceci, alors que je regardais un film comme de nombreux autres, servant à distraire avant de faire réfléchir. Et ce côté me plait grandement. Mais comment ne pas s'étonner face aux sentiments dont on est capable de faire ressentir face à ce qu'on nommerait une machine?

Il y a néanmoins une certitude : ce troisième volet, plus sombre que les autres, me plait bien plus.

des mots...

Toujours des mots...pour définir des maux, des angoisses, des peurs, des amours, des regrets, des peines, des douleurs, et également des joies! Ils servent à ça les mots, mais pas toujours facile de les faire comprendre aux autres...Il y a de ces mots-là qui sont un peu trop fades, ou bien, à l'inverse, un peu trop excessifs et ne font pas "mouche" à chaque fois! Il en découle alors un flot d'incompréhension, d'erreur d'interprétation, de malentendus qui conduisent souvent à des querelles sans fin et font perdre le fil de nos discussions... Nous sommes tous tellement différents qu'il faut savoir, ou du moins essayer, se mettre à la place de celui, ou celle, à qui nous avons adressé ces mots! Pauvres gens que nous sommes, croyant au fond de nous, savoir mieux que l'autre, quelle portée ont nos paroles...des paroles qui se perdent parfois et s'envolent comme des feuilles mortes lorsque souffle le vent...

les vacances

Elles sont à l'ordre du jour! Nous allons croiser ceux qui partent en juillet et ceux qui partent en août...ils seront sur les routes, maugréant, sans nul doute dans tous ces embouteillages, se demandant bien pourquoi ils ne sont pas seuls à partir et profiter de rouler sans aucun problème! Enfin, après de longues heures d'attente, en espérant surtout qu'ils n'aient pas eu d'accrochage, ils arriveront...les uns dans un camping, les autres dans la famille, d'autres encore dans des hôtels...

Ils ont tant attendu ces vacances-là, que ce soit dans leur bureau, leur entreprise, leur école...seront-elles aussi belles qu'ils les auront rêvées? Il y aura bien, par ci, par là, des petits incidents, des scènes de ménage, des regrets, des soupirs, des "si j'avais su!"...mais, ce sont les vacances, et quand ils rentreront, ils seront très fiers de leur bronzage, ils diront à tout leur entourage que "c'était merveilleux"! parce qu'il faut bien justifier un peu les dépenses, les folies et surtout cette attente qui aura duré onze mois! Allez, je vous souhaite "bonnes vacances à tous"...:)

très bien vu!

belle journée, Cosette, et tous les habitants de ce beau topic :)

Merci Nightwish, c'est un beau compliment!

Tu sais, les habitants de ce topic veulent bien se serrer un peu pour te faire une place! N'as-tu pas, toi aussi, de ces petites histoires qui ont marqué ta vie? :)

Hier - Aujourd'hui - Demain : J'étais hier comme je suis aujourd'hui à la différence des jours qui (eux) défilent et ne se ressemblent pas (toujours). Malgré ça, je ne suis plus tout à fait comme j'étais hier car le temps (lui) a fait son oeuvre et m'a blessé pour me différencier de ce que je fus.

Ah... le Temps... il suit son cours, inexorablement, ne craignant nul dommage, pendant que moi, je m'en retrouve totalement transformé jusqu'au-delà même de l'intégrité de mes propres cellules, ces unités structurales du vivant arrangées de façon à constituer nos tissus, qui à leur tour engendre nos organes, le tout se généralisant sous l’appellation d'organisme que l'on estime souvent parfait, voir plus-que-parfait.

C'est un sentiment étrange que de se sentir muté, on ne se reconnait pas, on voudrait-être comme hier si l'on estime qu'aujourd'hui nous ne sommes rien. Suite à ça, on a souvent l'impression de se rapprocher de la fatalité, on se pose des questions sur notre avenir, on espère que l'on réussira à faire quelque chose de grand pour marquer les consciences, pour laisser un trace dans notre conscience collective, sinon on descend lentement vers les limbes de notre esprit et l'on se perd dans une foule de ressentiments contre-productifs nous emmenant peu à peu vers notre fin, aussi, on ne sait plus tout à fait comment agir lorsqu'on ne cesse de se servir du passé pour se constituer un futur qui nous semblerait idéal, on doute en pensant aux erreurs du passé.

Moi je pense qu'il faut apprendre à se retourner vers notre passé lorsque cela s'avère réellement utile, dans le cas contraire, je recommande d'oublier ce que l'on a put être hier pour se concentrer sur ce que l'on est maintenant et sur ce que l'on veut être demain, car ce qui est passé reste passé, le temps est arrivé, il a tout emporté, nous n'avons plus la main prise sur ce qu'il a fait, nous demeurons là, à nous demander sans cesse si nous avons pris les bonnes décisions, à nous demander si hier aurait peut-être été différent mais pour moi ce n'est pas motivant.

De la part d'un anonyme

J'aurais tant aimé me réveiller et sentir son contact...sa tête reposant sur mon épaule, lui caresser sa nuque, ses bouclettes, me lover contre elle et bercé par son souffle me rendormir. J'aurais tant aimé l'enlacer, glisser mes doigts sous ses dessous et sentir sa peau. J'ai toujours eu besoin de ce contact, de la toucher, de la sentir, de l'effleurer.

J'aurais aimé tant de choses...

Je vous livre ce très beau texte, comme il m'est parvenu! A vous de savoir l'apprécier! C'est un cri d'amour et de regrets...

Engourdi. Tout parait vouloir m'empêcher d'avancer. Je n'ai pourtant aucun boulet accroché à mon pied. Mais, je crois que j'aime en porter un, volontairement. Pourquoi ce comportement? Difficile d'y répondre. J'ignore moi-même les raisons qui me font, et qui m'ont faites. Ma confiance est peut-être la clef? La confiance est peut-être la solution? Je ne pourrais le dire qu'au moment où j'aurais réussi à jeter à terre ce poids.

Au final, la seule cause que je peux voir est ma tendance à tout complexifier. J'ai pourtant essayé de faire simple. Mais, cette volonté est plus forte que moi. Je m'incline face à elle. Elle me domine, me soumet, comme le ferait un roi à son vassal. C'est peut-être là la source de mes choix parfois incompréhensible, étrange?

La seule certitude est que cette chose n'est pas extérieure, elle est en moi, elle rampe sous ma peau. Et elle dérange, contrôle quand elle veut, fait que je change, tuant mon désir de rester celui que je suis. Non contrôle, instabilité. Les maitres mots ne sont pas les plus à envier.

Hier, comme aujourd'hui et pas comme demain...

Vious êtes, comme hier et aujourd'hui, ces jeunes gens qui s'interrogent sans cesse, ne savent pas suffisamment voir les choses autour d'eux avec simplicité! Je le sais, parce que j'ai vécu ces moments-là! Il est dit partout que la jeunesse est belle, mais, hélàs, je crois que nous ne la voyons pas et qu'il faut qu'elle disparaisse pour nous apparaître enfin dans toute sa splendeur! Sommes-nous donc destinés à ne vivre que d'éternels regrets? Nous sommes vraiment des êtres compliqués et nous laissons passer de si beaux moments que nous devrions vivre avec l'ardeur de nos jeunes printemps...

Tant de poètes l'ont écrit et les vers de Ronsard me viennent à l'idée "vivez si m'en croyez, n'attendez à demain, cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie"...

Portrait

Que reflète-t-il ton portrait? L'image d'un instant! et je ne sais même pas à quoi tu pensais à ce moment-là! Tu étais souriant, tu avais les yeux fixés sur l'objectif et, peut-être que, tout simplement, tu ne songeais qu'à te faire voir sous ton meilleur jour!

Je te regarde, je t'admire! comme tu étais beau...il y a si longtemps! Tu dois avoir des rides maintenant, des cheveux gris également! Ai-je changé autant? Sans doute, je n'en sais rien! Mon miroir, chaque jour, s'habitue lentement à voir passer le temps...c'est en contemplant ton portrait, un peu écorné d'avoir été l'hôte de ce tiroir, que j'ai repensé à cet autrefois où nous avions été bien...un moment...et puis, moins...pour n'être plus rien...au bout de quelque temps!

Des souvenirs, souvent, il ne reste qu'une image, une photo, cliché d'un fugitif instant figé là pour toujours...

Tant de choses à dire, tant de mots pour les exprimer, tant de tournure à créer, tant de besoin de crier...mais rien que le trou noir, rien que l'envie inachevée, rien que le désespoir , rien que le silence.

Je me tais à mon grand regret. Ne pouvoir jouir de retranscrire mon esprit ni sur le papier, ni sur la toile, ni sur l'écran me blesse profondément. Pourquoi ne puis-je pas avoir ce qui pourrait me sauver ?

Rien ne marche comme je l'espère. Toute ses lumières qui se perdent dans mon esprit. Lorsque qu'une m'apparaît, il me faut l'immortalisé. Je prend mon vieux carnet de brouillons, je la note, la gribouille tant que je peux. C'est alors que je veux l'expliquer en vain, aucuns mots ne semble correspondre, aucunes phrases ne semble être en accord avec cette idée...du brouillon. Mon esprit n'est qu'un sac !

Y remettre de l'ordre me semble impossible. J'avance sans recul.

Ca en fait des mot juste pour dire que je suis un idiot....

Bizar, pourquoi te sous-estimer autant? Tu sais très bien trouver tes mots, même pour nous faire comprendre que tu ne les trouves pas (lol)...Nous sommes tous, à un moment donné, devant une page blanche qui ne sait pas transcrire tout ce que nous voudrions! Nous avons dans la tête plein d'idées, de bonheur ou de peines, impossibles à concrétiser! Parfois, en relisant nos phrases, nous éprouvons des déceptions, déception de n'avoir pas su retranscrire avec autant de vérité, nos pensées du moment! et puis, les idées sont, comme des plumes au vent, elles s'envolent et ne durent que l'espace d'un instant! pas facile, toujours de les mettre sur papier! Alors, ne t'en fais pas, écris...c'est un pouvoir qui nous est accordé afin de faire partager nos idées...et peu importe si, parfois, nous le faisons maladroitement!...