un jour = une histoire

Morphée...mon cher Morphée!

Tu es le plus aimé...de tous les oreillers!

Alors, ne te plains surtout pas!

Tant d'autres hommes ici-bas,

Voudraient pouvoir prendre ta place

Et même crier grâce

Devant tant de supplications

D'amours et de passions...

Que faire lorsque l'envie de rien s'installe?

Attendre bêtement que vienne le râle?

Que finisse enfin le tour de mon encéphale?

Vous savez, je crois que mon humeur est terrestre.

Je veux dire par là qu'elle tourne incessamment

Pour passer d'un côté à l'autre inlassablement.

En fait, je suis comme un semestre,

Si ce n'est qu'il ne dure chez moi qu'un temps.

Laissez-moi être emporté par le vent,

Rongez par le pouvoir du présent

Qui est là, sans l'être vraiment.

Jedino!!!!! toujours des mots

Qui décrivent trop

Ton mal être incessant!

Ils me troublent vraiment!

Je voudrais avoir le pouvoir

De changer tes idées noires....

Que ce vent qui t'emporte,

Soit une brise douce mais assez forte

Pour te faire oublier ces moments!

Les faire devenir charmants,

Beaux comme ta jeunesse,

Tout pleins de tendresse!

Ne transforme pas tes rêves en cauchemars

Il sera bien temps plus tard

De regretter les ans

Et dire "ah si j'avais su avant"....

Mon mal être n'est que mots.

Ils sont un reflet, un écho,

De quelque chose de plus niais :

L'adolescence.

Il ne faut pas s'en inquiéter.

Il faut bien y goûter!

Cela finira par s'en aller,

Timidement.

Tout passe...

Faut-il dire hélas?

Il n'y a pas seulement

Les mauvais moments!

Ceux qui sont heureux

Restent dans nos yeux...

Et quand nous les fermons,

Nous les revoyons...

Ils font partie de notre vie!

Plaisirs, souffrance aussi!

Tout un mélange de joies,

Et de regrets parfois!

Il faut savoir profiter

Aimer et délirer....

Parce que le temps passé

Ne reviendra....jamais!!!

Le temps n'est pas notre ennemi.

Il est simplement une finalité à travers laquelle nous ne voyons rien.

L'inconnu, c'est ce que l'on craint.

Le temps c'est l'attente

L'attente c'est la patience

La patience c'est le calme

Le calme c'est la tolérance

La tolérance c'est l'écoute

L'écoute c'est la solidarité

La solidarité c'est l'entraide

L'entraide c'est la compassion

La compassion c'est etre humain

Très intéressante suite, raudin :)

La neige...

La neige a recouvert de blanc

Mon jardin et son banc...

Les oiseaux se sont tus

Les fleurs ont disparu!

Tout me semble feutré

Comme dans un nid douillet!

Quelques traces de pas

J'aperçois, ici et là!

Ce sont ceux de mon chat

Qui s'est égaré et n'aime pas ça!

J'admire et rêve à ma fenêtre

Aux hivers de ces petits êtres

Qui couraient ,

Se battaient, et riaient,

Faisant bonhommes et batailles

Comme des moineaux qui piaillent...

Voila déjà 1 an...

Quand je t'ai rencontré

C'était à une soirée

Un peu alcoolisé

Au début je m'amusais

J'étais pas sur de resté

Et je t'ai rencontré

Je n'avais pas d'arrière pensé

Mais au fil de la soirée

J'ai commencé a t'apprécier

Je ne savais pas que tu étais maqué

On c'est embrassé

Tout a dégénéré je suis désolé

Mais si tout était a recommencer

Je recommencerai

Tu ma sonnet

A la suite de cette soirée d'autre on suivie

Nous batifolions caché

Et aujourd'hui cela plus de 4 mois que sa a cessé

Vivant un rêve éveillé

J'ai tous gâché

mon mal être se mélangeant a mon amour grandissent créat en moi des sauts d'humeur je suis devenu lunatique et jouant avec le feu

je me suis brulé..

Cela fait 4 mois plus de conversation ,plus un sourire, plus un regard...

MAIS JE N'ARRIVE PAS A T OUBLIER MARGOT !!!

Se rencontrer,

Se quitter...

Evénements de la vie

Enfer et paradis...

Rêves et cauchemars

Reviendront plus tard...

Si Margot n'est plus là,

Une autre remplacera

L'amour de ta vie...

Illusions parties

Et ce sera l'oubli...

Ainsi va la vie!

Les regrets

Ne sont que futilités...

" T'en fais pas mec, y a des choses plus graves tu sais... "

Oui, j'étais au courant. Mais à cet instant, je ne pensais qu'à une chose. A une seule de putain de chose qui me rongeait.

" C'est bon mon vieux, il l'avait bien mérité ! "

Ne dit-on pas qu'il ne faut jamais faire à autruis ce que l'on n'aimerait pas qu'on nous fasse ? Certes, je n'avais fait que rendre morsure pour morsure. Néanmoins, je ne pouvais empêcher la culpabilité de m'assaillir.

" Vous avez finalement réussit : vous m'avez fait renvoyer. " Un sourire remplit de rancoeur, des yeux teintés de mépris s'ancrant aux votres sans ciller.

La tête qui se baisse et le regard qui vacille malgré le fait que deux minutes plus tôt, notre menton était fièrement levé... Des excuses voulant être prononcées, mais des mots ne pouvant passer nos lèvres.

Quel con. Quel gars puéril j'étais.

J'ai provoqué une personne, l'ai poussé à commettre un acte irréparable. On l'a traité en paria, on l'a accusé. Mais il n'était que la marionnette d'un esprit vengeur.

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Et hop, de retour parmis vous !

Contente de relire ta belle prose Tentateur!

C'est la vie...

De ma fenêtre, je voyais souvent mon voisin, svelte et toujours élégant, malgré un âge certain, dynamique et plein d'entrain! J'admirais son courage! Par n'importe quel temps, il allait faire ses courses, se balader à pieds, le plus souvent...Il venait vers moi, toujours galant, enlevant sa casquette pour me dire bonjour...nous ne nous fréquentions guère, seulement des rapports de bon voisinage!

Et puis, depuis ces derniers jours, je ne le voyais plus...Son trottoir est resté enneigé, à l'encontre de son habitude, et le mien pareillement puisque c'était lui qui venait m'aider à le nettoyer!

Je viens d'apprendre qu'il est parti en maison de retraite....ses petits-enfants refusant de le prendre chez eux!

Mais oui, c'est ça la vie... Elle passe si vite qu' un jour, elle nous dépasse...

J'ai, une fois encore, envie de vous redire ces vers de Ronsard "vivez si m'en croyez, n'attendez à demain, cueillez dès aujourd'hui les roses de la Vie"....

Le chant du coeur ne fait pas ma joie. Mes peines ne sont que des impasses menant à je ne sais quoi. Où se trouve donc la route menant vers la foi? Je n'y adhère pas. Jamais, cela doit expliquer cela. Cessons ces plaintes qui ne devrait en rien être là : je suis presque heureux, enfin, je crois!

Il suffit d'y croire!

Faire abstraction de sa mémoire!

Oublier le passé

Où malheureux tu as été!

Se dire que devant toi,

S'ouvre une nouvelle voie...

La vie est si belle!

Dans ses prunelles,

Le reflet de l'amour...

Et s'il ne dure pas toujours,

Qu'importe, vivons ce moment

Merveilleux,...intensément!

Mes pensées sont soufflées par la force de mon humeur, ce moteur démoniaque de tous les souvenirs que je vais m'inventer. Oh, non, je ne dis pas là que je me façonne une autre vie imaginaire. Simplement, celle-ci passe d'un noir profond à un blanc trop clair selon l'instant. Une machine infernale à gérer. Mais, comment parvenir à contrôler ce qui me détermine? Rien d'impossible, à en croire notre bon Napoléon. Pourtant, c'est une difficulté autant qu'une qualité : ne pas être sensible à un événement, et au contraire, l'être excessivement, sont deux situations inadéquates. Faisons avec, n'est-ce pas?

Parfois, mes raisonnements sont évidents, voir bêtes. C'est qu'on ne peut pas toujours avoir l'air intelligent. Il faut risquer son image pour la redorer. Une sorte de poker, bluff y compris, où chacun peut sortir perdant comme vainqueur. Cessons néanmoins ces niais amalgames. La vie n'a rien d'un jeu. Certes, elle est dérisoire, souffrance, et folie. Oui, l'humain se montre cruel et destructeur. Mais, la vie ne se limite pas qu'à cela : elle reste tout un monde, tantôt beau, tantôt lumineux, où joies et sourires se manifestent discrètement sur les visages.

L'annonce du printemps

Ecoute mon amour

Cet oiseau qui annonce le jour!

Et dans la douceur de tes bras

Je l'imagine qui nous regarde, là...

Dans tes yeux qui s'entrouvrent,

Un rayon de bonheur me prouve

L'ardeur de tes sentiments!

Que c'est bon d'être amants,

Et de faire l'amour avec passion!

Douces sensations,merveilleuse union

Des corps et des âmes,

Bonheur d'être ta femme...

ll y a certains jours, oui, où j'ai pu croire en l'amour. Je n'en suis pas extrêmement fier, mais on ne peut pas se défaire d'une partie de nous. Apparemment, en tout cas. Car, est-ce réellement une nécessité, un besoin dont on ne peut se séparer? Pas sûr. Cette quête de pseudo-vérités que je m'attribue bêtement, elle ne mène à rien, ne rime à pas grand chose. J'aime plus par habitude et par désir d'être aimé que par amour. Ce sentiment a certes existé, et persiste peut-être, sait-on jamais, mais je ne le sens plus vraiment, il a dû m'abandonner. Faut dire que je ne suis pas des meilleurs hôtes. Au pire, je m'en passerai. J'ai fait sans avant, je pourrais bien le faire par après. Tout ça, je ne l'ai pas voulu. Ce n'est pas un truc qu'on délaisse exprès. Moi-même je l'ai jeté quand l'aube est devenue nuit, que les nuages se sont épaissis dès midi. Crève! Crève! Coeur meurtris. Voilà que tu t'insurges une fois qu'elle est partie! Idiot, je te le dis! Tu t'imaginais vivre sa vie! Voilà que c'est finis! Tu n'as plus que ta connerie et ta vie pour occuper tes jours de litanies! Oui, j'en crève, de cette envie, de ce désir infini, de voir, et revoir, tes yeux autrefois éblouis par l'espoir d'un homme démunis! M'as-tu, toi, épousé un samedi, après une semaine de caduques futilités? Je ne le sais pas, et ne le saurais probablement jamais, à moins de venir, oui, te demander. Seulement, j'ai peur, peur de devoir assumer, peur de ne comprendre que pas assez, peur d'à nouveau te blesser, toi mon amour, ma réalité.

@ Jedino...

Mais l'amour c'est le sel de l'existence!

Peu importe la souffrance!

Dans ses bras, emportée,

N'avoir qu'une pensée,

Toujours le retrouver...

Et ne jamais désespérer!

L'amour c'est la lumière,

Et dans ses yeux verts,

Se mirer, voir son reflet,

Se dire qu'on est belle et aimée!

Savoir aussi se taire!

Etre sûre de lui plaire!

N'avoir aucun regret,

Profiter comme jamais!

C'est si beau, si précieux

Ces moments merveilleux

Où nous ne faisons qu'un

Et sommes tellement bien...

Hello vous 2 ...

Au fond ..

Il n'y a point de puits assez profond

pour que tu puisses allez t'y morfondre ..

N'entérine pas leur projet,

soulève la question

remets toi en selle,

n'abdique pas sous la pression.

Tu as un droit celui de les aimer,

ne ferme pas les yeux,

prends le mors aux dents

et chevauche les difficultés,

montre que tu as du répondant.

Oublies cette compagne destructrice,

qui t'enivre et falsifie ta vie,

Tu vaux mieux que ça.

pour ceux que tu aimes, bats toi,

ne laisse pas autrui guider

tes pas ..

Pour un Ptit Diable ..