un jour = une histoire

j' me souviens en effet de ce texte....

à l'époque le bougre écrivait pas encore de manière aussi spectaculaire, je veux dire avec autant d'assurance..

je portais un autre pseudo me aussi

certainement une illusion, j'ai quand même l'impression qu'a été parcouru un bout de chemin depuis....

(à l'époque j'étais persuadé aussi que l'histoire m'était adressée mais enfin...)

:)

Une petite histoire entendue lorsque j'étais enfant et que je viens vous raconter ici, pour égayer un peu nos pensées moroses!

Dans mon petit village où les bons aïeux aimaient se réunir au café du coin et bavarder entre voisins, l'histoire de celui qui essayait par tous les moyens de se faire payer un verre à chaque fois, ce qui finissait par en irriter plus d'un....

Un jour, il arrive et, voyant que personne n'avait envie, cette fois, de lui, payer un " canon ", il essaie d'attirer l'attention en disant :

- vous savez pas ce qui est arrivé au Léon de la ferme du patelin voisin?

- non, répondent les personnes attablées!

- eh bien, sa truie a mis bas 13 petits cochons et elle n'a que 12 tétines!

- comment fait le 13ème ?

- il fait comme moi, il regarde....

Bien sûr, tous se mirent à rire et il eut droit à sa tournée tout de même! :smile2:

:smile2: .. elle est bonne cosette ...

à mon tour ... une véridique et récente de plus ..

mon rôle dans la vie c'est d'aider les autres ...

je file de bon matin assister une personne handicapée pour( info elle est amputée des 2 jambes)

dans la discution je lui sors :

- JC il faudrait te racheter des chaussures

il me sourit et me dit

- Alex je les mettrais à quels pieds ..

moi je pouffe de rire ... et rétorque

- mince c'est vrai tu en as pas .... ben à tes prothèses évidemment, siffle

petit moment de solitude .. :D

comme quand je lui sors .. purée aujourd'hui tu as le moral dans les baskets

et qu'il me dit

- faudrait il encore en avoir ..... :smile2:

et moi

- imagine les .... du coup son sourire revient .. :)

1 kilomètre à pied, ça use, ça use...

2 kilomètres à pied, ça use, ça use...

3 kilomètres à pied, ça use les souliers!

le soleil venait de s' lever, Toto arrivait au bercail, prés de l'étang de Berre où ça caillait ; bistrot open il commande une boisson chaude ;

-combien d' sucres dans le café ?

-un seul suffira merci..

les p' tites marionnettes font font font...

les p' tites marionnettes font font font....

trois p' tits tours et pis s'en vont!

(petit passage éclair par ici.. )

mais oui les amis, y a que ça de vrai...

un sourire pour nous amuser!

une boutade, et pas de regrets...

et si... Noël c'était...

aller dans les rues, sans se presser,

se croiser, se rencontrer, se parler!

un peu de fraternité

dans ce monde de persécutés!

je sais, je rêve, je sais...

mais c'est beau de rêver....

Bonjour Cosette,

j'adhère totalement

ce n'est pas un rêve, c'est une évidence, le problème est que pour le moment (je rêve encore plus que toi?) elle ne colle pas à la réalité

mais c'est possible

et ici au moins, déjà, grâce à des personnes comme toi, ça existe :)

Merci Nightwish....

alors, rêvons ensemble, c'est déjà un début....

Naufrage ...

Ridicule naufrage,

l'échouage est proche

amarrage raté,

absence de volonté.

L'envie est partie,

la motivation s'en est allée,

la porte se referme

sur des rêves précaires

qui s'accrochent désespérément

dans l'imaginaire ....

Idiot, idiote, peuple de cette épave qui nous supporte, je souhaitais vous dire, en toute subjectivité, que vous êtes écoeurants. Il suffit de jeter un oeil aveugle pour remarquer cette âme malsaine et dépravée qui succombe au fond de vos corps emplis de pêchés. Aucun châtiment n'est assez horrible et cruel pour vous mettre face à la réalité : vos visages balafrés mériteraient de crâmer au milieu des déchets. Vous n'êtes rien, rien mis à part les restes recrachés d'un intérêt depuis longtemps dépassé. Vous êtes la misère de ce monde, la risée des dieux, hilares de votre naïveté. Sérieusement, voyez-vous un instant, un seul, dans un miroir, et essayez, juste une fois, de vous dire que vous ne vous mentez pas en vous voyant là, aussi horrible qu'inimaginable dans ce costume de pantin délavé.

Plus jeune, je rêvais de devenir astronaute, comme tous les enfants qui se sentaient mieux dans un ailleurs. Un rêve qui résonnait d'un écho banal puisque que nombreux sont ceux qui rêveraient d'aller voir, un jour, l'apparence de notre petite planète de tout en haut. Pas des cieux, mais presque. Ce rêve ne changeait rien pour autant à ma manière d'exister et de vivre mes soucis éphémères, et mes joies du moment. Elle s'associait même sans difficulté à ma façon d'évoluer dans le temps et dans l'espace. J'étais un enfant! Je m'en moquais parfaitement, de ces détails insignifiants. Puis un jour, le nuage c'était dissipé, laissant place au doute, à la désillusion. Le rêve paraissait plus lointain, moins accessible, jusqu'à ne devenir qu'un vague souvenir. Je m'étais défait de ce qui, auparavant, figurait comme mon avenir, ma vocation. Ce pourrait bien devenir un de mes principaux regrets : celui d'avoir négligé l'importance d'aller de l'avant, rien que pour affronter les épreuves qui englobent le rêve d'un autrefois, celui de mon passé.

Il n'est de monde dans lequel nous puissions vivre sans l'ombre d'un passé

trop lourd à porter, il s'accroche telle une sangsue à nos pensées.

Nous ramène inlassablement à lui, nous malmène, nous harcèle.

Ne jamais se retourner sur lui, même si il fait mal, l'ignorer, le défier,

prouver que les affres du passé ne peuvent altérer une avancée vers

de meilleures journées ...

le début "idiot" (et surtout : "idiote"), me "parle" davantage ; en effet ma propre enfance est distincte sur deux aspects : d'abord mes "rêveries" (des fantasmes plutôt) étaient nourries en grande partie par les dessins animés et compagnie, d'où que je me sentais "blasé" du coup et les véritables "rêves" sont nés plus ou moins au sortir de l'adolescence plutôt, donc ancrés dans le réel, ils auraient été faisables en effet sans certaines désillusions (chacun ses désillusions) ; et c'est donc davantage dans le construction de soi, par rapport à autrui, que l'évolution s'est déroulée, nourrie du réalisme de rêves que je pouvais faire Moi plus que quiconque ne possédant mon parcours.... ; donc voila ce message à la clarté qui se veut cristalline afin que les lectrices détectent bel et bien où se situe la fiction dans les deux messages du dessus (mon propre message certes invraisemblable mais + proche de la vérité j pense ^^)

illusions...

Se bercer d'illusions

Rêver de fictions...

C'est toujours avoir peur

De regarder l'heure,

Peur de voir le présent

Tel quel en ce moment!

Mais la vie en regrets,

C'est la vie du Passé!

Il faut vivre en regardant

Tout ce qui nous attend!

Il suffit d'une invite

Oubli du mot triste,

Et tu repars en douceur

Vers le Bonheur...

La dinde...

Comme chaque année, mon Papy élevait une dinde pour que nous puissions la déguster à Noël!

Voilà, que cette fois, je m'étais prise d'affection pour elle, allez savoir pourquoi! Elle était affectueuse,

arrivait en courant lorsque je venais lui apporter du blé et du maïs!

En la voyant chaque jour grandir et devenir bien grasse, je n'avais pas, du haut de mes sept ans,

fait le rapprochement que le jour fatidique allait arriver pour elle!

Mon Papy, s'était bien douté du drame qui n'allait pas tarder d'arriver!

Aussi, ce jour-là, jour de la tuerie, m'avait-il éloignée et j'étais allée passer la journée chez une tante!

Lorsque, le soir du réveillon, toute fière, Mamie apporta la dinde, odorante sur un plat et la mit sur la table,

j'eus un moment de frayeur, réalisant tout à coup que mon amie gisait là devant moi...

Mes larmes arrivant à vive allure, mes sanglots allaient suivre...et mon Papy, d'un air joyeux lança avec force un

" Joyeux Noël à la Dinde" qui me surpris tellement que j'éclatais de rire et que, comme par enchantement,

j'oubliais ma tristesse...

C'est beau un enfant, il passe des pleurs aux rires à une telle vitesse!

Que ne pouvons-nous en faire autant....

Armé d'un poignard, je suis derrière toi. L'échéance est pour bientôt, et pourtant, le doute inonde mon esprit déterminé. Pire, il arrive à en ébranler ses certitudes, jusqu'à me faire regretter mon geste avant même de l'avoir effectué. C'est l'alarme de ma conscience qui résonne discrètement. J'avance, autant dans le temps qu'en direction de ma cible, celle qui me plongera éternellement dans le vice. Est-ce ma faute si elle m'y a mené? Je n'ai rien demandé de tout cela. C'est à peine si je voulais d'elle. Comment ais-je pu me laisser berner par cette bêtise trop humaine? J'ose à peine y croire moi-même. C'en est ridicule, finalement. Devoir affronter un destin qui n'est pas tout à fait le nôtre pour tenter vainement d'emprunter celui qu'on aurait souhaité suivre. En vérité, c'est tristement pathétique comme comportement. Mais, je n'y peux pas grand chose. Je me sens poussé par un désir indescriptible de destruction en cet instant ci. Je ne pourrais probablement pas m'arrêter, malgré les efforts de mon corps pour me bloquer dans mon élan. Car, oui, je tremble, je sue, je manque d'air, et je ne suis sans doute pas loin de m'évanouir, tant l'angoisse que j'éprouve à poursuivre vers cet acte est forte. Je crois bien que ce ressenti est légitime lorsqu'il ne nous est jamais arrivé encore d'assassiner quelqu'un. Cela doit être sensiblement pareil pour l'ensemble des premières fois de notre existence minable. Une tonne de craintes ridicules à assumer, afin d'amuser un dieu qui s'imagine drôle en fuyant de la sorte, ou de rassurer notre faiblesse d'esprit. Une sorte de lâcheté universelle, histoire de se morfondre côte à côte, et d'oublier qu'un jour, si on le souhaitait, il nous serait possible d'accéder à autre chose que la fausse stabilité inutile de nos vies. A quoi bon errer sur une planète qui se passerait sans mal de nous si c'est dans l'unique but d'attendre sagement le déclin ultime? A vrai dire, le fait que je prône le changement est plutôt ironique dans l'idée. Bien sûr, je m’apprête à modifier ça par le sacrifice d'une autre personne. Un lâche reste lâche. Mais, tout de même. J'aime considérer que ce n'est pas rien et, qu'au moins, d'autres finiront par s'y lancer aussi, sans toutefois s'y prendre de la même manière que moi. J'aime me savoir, peut-être à tort, l'origine d'un courant de pensée, d'un mouvement, amenant à une avancée dans la société, être le piston d'un tout. Au pire, tout ça ne mènera à rien en dehors d'un échec cinglant. A ce moment là, cela sera sans la moindre importance. Je serai depuis un temps jugé, voir exécuté, pour avoir égorgé sans aucune pitié cette inconnue que j'ai appris à aimer à travers mes mains, mon arme, et mon pouvoir sur elle. J'ai pu connaître la jouissance que procure mon étreinte sur elle. J'ai pu sentir son souffle la quitter lentement, et pénétrer en moi. J'ai pu respirer à nouveau. Tout est finis. Je peux désormais m'éloigner loin, très loin, aussi loin que ma folie me le permettra. Car c'est finalement ça, la vie : une joute perpétuelle face à son désir de ne point bouger. Qu'il faille courir ou tuer, peu importe : l'essentiel reste de combattre cette existence tendant incessamment en direction d'une destinée sclérosée.

Une histoire

Ni un conte, ni un roman...

"Je" en bandoulière...

Où se font les images des mots...

Une nuit ou bien en..

Rien du tout vers tout

Un jour...

Naîtront des chimères..

Encore et encore nous

Historiens... hm ?

Insatisfaits occupants

Sur cette "planète".. démons!

Tant et tant de choses!

Ont été narrées osant...

Indemnes

Rocs occupant une plage de sable!

Enfin lancer aux grains de sable : nous faisons partie d' l' Histoire!

Mais pourquoi?

Etre toujours attirés par les choses tristes,

Même les plus sinistres?

Je vois à l'horizon

Un feu dans la maison...

Un accident et plein de sang,

Et une foule de gens,

Des spectateurs assoiffés

De curiosité...

Dans les temps reculés,

C'était le gibet

Qui était un spectacle de choix...

Maintenant, la télé, ma foi,

Nous réserve ses images

Où les atrocités font rage...

Quel progrès vraiment!

Mais où sont nos regards d'enfants?

La télévision n'est plus qu'un spectacle auquel je ne m'adonne plus. La souffrance est vécue par les uns, et regardée de loin par les autres. Cela occupe les esprits qui ne consacrent plus ce temps à mieux, comme réfléchir, imaginer ou créer. Je crois que la modernité n'est qu'une folie humaine menant à notre propre perte. C'est là une incohérence. La vie n'est pas faîte pour être confort et consommation. Elle doit être difficultés et dangers. Seulement, nous préférons tirer sur une corde d'une extrême minceur. Et elle lâchera avant que nous ne nous en rendions compte.

Autrefois, les géants vivaient au sommet de la chaîne alimentaire, sans que ce soit de part leur volonté. Aujourd'hui, nous sommes à cette place là, plus que tout autre animal avant nous. Mieux, nous le savons. N'est-ce pas une chance accordée par la nature de nous sauver de notre sort à venir? Si déjà nous voulons jouer aux humains, faisons-le vraiment, et respectons des valeurs qui iront à tous. Autrement dit, à vous, votre voisin, nos frères de tous les continents, nos amis, autant animal que végétal, et, surtout, notre mère qui pourrai aisément, en étant en colère, nous rappeler que nous n'avons rien de dieux vivants.

Il n'est pas trop tard pour se remettre en question sur les véritables questions. Mais c'est une chose bien impossible avec la logique conflictuelle du monde, qu'elle soit militaire, économique, politique, ethnique, ou relationnelle. Comment peut-on œuvrer pour tous si, du millier, un seul fait l'effort?

"Every action is reaction. We have one planet, one chance."

Mais où sont nos regards d'enfants?

ben euh qu'entendez-vous par là ?

non parce que y en existent deux sortes :

ceux qui sont fans de disney -pas d' sang

ceux qui sont fans des mangas -du sang

au final vaut-il pas mieux rester enfant....

quand on décortique des insectes ou autopsier des corps humains ?

Nos yeux d'enfants ne se sont pas envolés

ils sont là pour nous rappeler

qu'il n'y a rien de plus beau que l'innocence

de leur regard ...

L'enfant nous rappelle Ô combien

le bonheur est fait de petits rien,

Le regard perdu nous oublions

qu'un jour nous avons nous aussi

été enfant.

Il n'y a rien de plus beau

qu'un moment d'évasion

avec son môme loin de la pression

et de la folie de nos vies ...

Les regards d'enfants sont toujours beaux

Aux grands à ne pas les faire devenir faux!

Ils ont tant de naïveté!

Ils ne voient pas le mal en vérité!

Même si parfois, un peu de cruauté

Semble les habiter!

Petits animaux en puissance,

Qui sortent à peine de l'enfance!

Un monde aux rêves en perspective,

Qui ne doivent pas finir en dérive!

Apprenez à leur faire voir

En l'avenir l'espoir...

Espoir d'un monde heureux!

Il sera temps pour eux,

De retomber sur terre,

Et d'oublier qu'hier

Leur enfance était belle!

Qu'elle était celle

Des espoirs permis,

Les rêves de nos vies!