un jour = une histoire

Sincèrement, pour ce trouble passager

je suis désolé...

Il ne s'agis que de mon imagination

qui travaille lors des colonisation!

Dans un jeu qui m'est familier

Ogame...

Mais j'avais bien compris Sandy

Ne te fais aucun souci

J'ai seulement enchaîné

Sans pour autant vouloir t'offenser

Continue surtout d'imaginer

La guerre pour autant ne sera pas déclenchée...

Je ne suis vraiment pas douer pour les quatrains, désoler!

Neamoin, afin de préserver

un semblant de dignité, je vais tenter

de continuer...

Ogame. Un jeu auquel j'ai joué longtemps et auquel je ne joue plus. Mais la lecture d'un livre me rappelle un peu l'ambiance de ce jeu (Succession de Scott Westerfeld).

Il ne pensait pas cela possible, mais il s'était croisé. Son corps, ses gestes, son apparence. Tout cela lui faisait face en cet instant. Il ne comprenait pas très bien comment ceci pouvait simplement être possible, n'ayant jamais participé à une quelconque expérience étrange ou laissant penser à du clonage. Mais, il était là. Ou, plutôt, ils étaient là car, bien qu'ils soient similaires, ils ne sont pas en rien les mêmes. Le vécu ne pouvait se confondre. Les atomes avaient beau se ressembler, ils ne rencontraient pas les mêmes atomes. Il ne le considérait pas comme un frère. Juste un inconnu. Un inconnu ayant un noyau qui lui appartenait. Un jumeau, avec toutes les différences que cela impliquaient. S'il avait discuté avec, sa pensée aurait été confirmée. Et, pourtant, il doutait. Il se demandait s'il était possible qu'il se trompe, qu'il partageait exactement les mêmes événements, les mêmes craintes. Il se demandait, oui, si son identité dépendait vraiment de ce qu'il avait pu connaître de particulier. Qui était-il, au final? Un être ordinaire façonné par le commun, ou un être extraordinaire façonné par le particulier?

Mais, pour continuer vos efforts

Je m'en vais enchaîner moi aussi

Ces quatrains pas très "forts",

Maladroits, qu'il me faudrait être puni.

Allons-y, ce n'est jamais que de la poésie

Une touche de fantaisie

Semblable à nos vies

En ce qu'elle a de folies

L'histoire ne sera pas pour aujourd'hui.

Mon truc c'est raconter des faits réel et plus rarement de l'imaginaire, j'aime lire la poésie mais je ne suis absolument pas doué pour cela aussi je vais cesser de me ridiculiser!

Il ne faut pas chercher a améliorer nos point faible mais renforcer nos point fort!

Sera ma philosophie sur ce coup la!

Tu ne te ridiculises en rien, continue donc!

Merci, c'est gentils de me rassurer...

Mais oui Sandy, tu n'es aucunement ridicule

Je ne voudrais pas t'avoir coupé ton élan, ce serait vraiment dommage. Continue, surtout, sinon tu vas me faire culpabiliser :blush:

Il y a des instants ou tout nos mots ne suffiraient pas a décrire la magie du moment présent, ou la poésie est seule a même de retranscrire même dénaturé ces instants ou l'on est simplement heureux d’être en vie...

La pleine lune doucement posé sur un coin de nuage baigne d'une clarté d'argent le paysage endormis de l’Auvergne...

Ses rayon scintillant se dépose avec douceur sur le petit étang qui relâche dans l'air nocturne la chaleur de la journée...

Une brume étoilée monte de l'eau, souvenir de la journée éteinte!

L'astre de la nuit révèlent ce paysage, la courbe harmonieuse de la montagne lointaine semble plus accessible, les arbres eux même semblent endormis...

Mes deux compagnons fidèles et aimant, Gylou et Divine sont immobile assis près de moi, comme saisis eux aussi par la poésie douce et réconfortante de ce paysage digne d'un rêve d'enfant, ce n'est pas une nuit noire et tenebreuse...

Ce n'est pas de ces nuits detestable ou les monstre de notre enfance semblent se cacher dans les ombres...

C'est une nuit douce et claire comme ces instant d'eternité u la vie est sienne..

Quoi, personne pour prendre le relais?

Une tache d'or vient frappé le sommet de la montagne endormis...

Les nuages éparse se parent de reflets rose et bleu sombre, le bleu de la nuit qui lentement

s'évanouis...

Les étoiles elle même semblent s’effacer devant l'arrivée de l'astre du jours flamboyant et chaud de la fin d'été!

Un oiseaux, seul s'élance de l'arbre dans lequel il a fait son nid, son foyer le temps d'une saisons...

L'air frais du matin fait vibrer ses ailes tandis qu'il lance son chant mélodieux pour célébrer l'arrivée d'un jours nouveaux...

L'herbe est encore lourde de rosée, une odeur de propre s'élève de la terre en vagues chaudes tandis que le soleil poursuit sa course dans le ciel...

Un mouvement trahis un etre vivant dans l'herbe, dépassant a peine des fleurs encore endormis une petite chienne renifle les odeurs de l'aube...

Près d'elle son frere semble l'attendre, instant de paix matinal ou tout est possible...

Demain, je m'en vais crever.

Il disait que le monde était beau, que le monde était bon, que les méchants et les voyous finissaient toujours en prison. Dis-moi, maintenant, où en sommes-nous vraiment? Dis-moi, oui, pourquoi créons-nous des bombes pour les enfants que nous faisons? Pourquoi nous prenons alors que nous avons? Est-ce ça, le génie?

Il m'a demandé d'apprendre. Il m'a demandé de comprendre. Un métier et puis une vie. Voilà vers quoi je dois tendre. Mais, comment faire lorsque, par ignorance ou par instinct, je perçois les cendres oubliées dans le coin du monde? De quelle façon pourrais-je me sentir légitime en saisissant faussement l'existence qu'ils me griment?

Je me sens partagé. Entre lui et moi. Entre ce que je dois et ce que je suis. De là naît ma velléité.

Je ne me sens pas l'âme d'un lion chez les brebis bien potelées. Il faut plus qu'une indécise volonté pour se racheter. Le rêve n'a jamais permis d'avancer.

Tu perds ton temps. Cesse de t'égarer. Oublie-les. Pense à toi. Tu ne peux rien pour eux. Tu ne peux rien contre ça. Le bal est parfaitement orchestré. Tout n'est qu'apparence, fieffé. Je finirai par m'en convaincre, croire à ces vicieuses vérités. Ainsi, je vivrai. Soixante belles années si mon heur me le permet, doucereusement installé sur des millions de cadavres entassés.

Et le vent apporta une réponse diffuse et lointaine,

mais pourtant bien réel...

Laisse moi mes rêves!

Ca seul, la pensée, détient la vrais liberté!

Un esprit libre est un etre libre...

Et la liberté d'esprit seul permets de fendre

les barrières tendus...

Et si d'aventure le vent m'emporte alors...

Mon âme gardera en elle le souvenir de ces instants magiques

perdus dans la poussière d'une vie...

La nature est un spectacle unique dont chaque chose est un acteur de la plus petite pierre du chemin,

jusqu'a nous les humains...

Rhoo, non, me dites pas que j'ai coupé votre élan en parlant de la mort, c'etais métaphorique en plus!

J'ai la fibre poétique ce soir allons y...

Une patte de velours se pose sur la tuiles d'un gris mate encore chaude des rayon du soleil...

Deux yeux semble épié le monde endormis, les pupilles verticales ouvertes tout grands, le prédateurs nocturne se redresse dans toute sa souplesse féline...

Il n'est qu'une ombre parmi les ombres, un fantôme se coulissant dans les profondeurs de la nuit noir, nuit après nuit sa présence ne quitte pas ce lieux ou il établis sont territoire il y a longtemps déjà!

Son concurrent le plus dangereux a déjà regagner sa niche, son panier ou le lit de son maître...

La nuit, le monde lui appartient!

Les toits pour terrains de chasse, la lune pour seul témoin, le chat veille seul sur le monde...

Chercher

Sans jamais trouver

Vouloir

Sans jamais devoir

Que peut le rêve face à la vie?

Je pense souvent à cet enfant dans la rue

A cet inconnu dont le visage à disparu

A celui-là qui chaque jour tue

A ce moi qui encore une fois s'est tu

Je pense souvent à ce courage qui me manque

A ces chemins faits par un tank

A ces gens entassés dans une planque

Et, parfois aussi, à Planck

Bref, je pense, sans pourquoi ni comment

Ce qui m'embête de temps en temps

Mais pas non plus, heureusement, trop souvent

Pour n'en pas finir intelligent trop longtemps

Suicide-moi,

Mon amour, mon coeur,

Suicide-moi,

Mon eldorado, toi mon heur.

Suicide-moi à en mourir,

Qu'enfin, oui, j'expire,

Sous tes feux, ton tir.

Libère-moi, ma martyre.

Suicide-moi pour en finir,

Que cesse, là, ce délire,

Dont mon âme se laisse ternir.

Envole-moi, ma lyre.

Suicide-moi,

Mon détour, ma rancoeur,

Suicide-moi,

Mon fardeau, toi mon malheur.

Une évènement marquant dans votre vie .... Dirais-je ..... Que chaque parcelle de ce que je vis est un évènement plus ou moins d'importance mais vu que je ne parlerai de moi, je déposerai uniquement une effleure pensée à te saluer et te combler de baiser, toi, ma douce et cosette adorée.

Le gris anthracite du ciel colore les lacs

de mon Auvergne bien aimé...

Nature morte qui lentement s'endort sous son linceul de pluie si tristement tombé!

Hiver glacé qui tarde a venir, laissant la politesse...

A cette automne plein de hardiesse!

Vent froids que j'attends, trop longtemps...

Oh, vient, vent, chasser ces nuage arrivé en si peu de temps...

Neige de glace...

Chasse la pluie, eau encore trop fugace!

Hiver je t'attends...

Tandis que de ma plume coule une encre

Numérique qui s'encre

Dans la place public...

Seul mais virtuellement nombreux

Sont les auteur plus talentueux

Qui pourraient faire mieux!

Ou êtes vous donc?

Écrivain de l'ombre

Numerique...