Pour Madoff, les banques savaient

Bonjour,

Les risques de pertes d'argent pour les financiers sont de prendre des risques. Les dérives et autres produits toxiques sont du même acabit, de la même sorte, jouer avec l'argent des contribuables clients n'est pas très honnête.

On n'est pas au casino et personne n'est en mesure de prédire si un placement, un investissement à court, moyen ou très long terme peut-être rentable.

D'où ma réflexion...

je pense que les banques savaient mais ne pensaient pas que c'était aussi énorme

faut arrêter de lire des romans policiers le rôle d"un banque est de satisfaire ses clients

Non, le rôle d'une banque c'est de faire de l'argent.

comme toutes les entreprises....patate

ce qui n'empêche pas la notion de service..si toutes les entreprises

étaient d'aussi mauvaise foi que les banques..

comme toutes les entreprises....patate

quand tu vas acheter ta baguette, la boulangère te la file ?

non ?

ben pour une banque c'est pareil. tu payes un service comme à la boulangerie.

voila c tout con

La boulangerie ne vend pas des services, mais des biens. C'est différent.

exact,

et à la boulangerie, je n'ai pas non plus affaire à quelqu'un qui se prétend "conseiller"

Non, le rôle d'une banque c'est de faire de l'argent.

+1

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La satisfaction client vient au second plan.

ben non c en satisfaisant le client que l'on récupère financièrement !

et non pas l'inverse ! ou sinon il ira chez le concurrent ! ))

capito ? )))

dans la réalité c'est bien différent, combien de clients sont satisfaits des "services" de leur banque? les "conseillers" ne sont-ils pas poussés à placer des produits?

Que cela soit utile au client ou pas, ils s'en contrefichent!

c'est leur travail de faire de l'argent, soit, mais dans ce cas on parle de pigeons à plumer

et quelle réelle concurrence? pas tellement de différence

ben si ))))) il y a une réelle concurrence que le client ne voit pas forcément

mais il y en a une je peux te l'assurer

dans ce cas je veux bien des infos ..

bah vient bosser avec moi )) tu verras

marché conclus!

a lundi alors ))))))

:p :p

ben non c en satisfaisant le client que l'on récupère financièrement !

(...)

capito ? )))

La satisfaction des clients, de leur reconnaissance et de leur attachement doit se fonder sur une approche très pragmatique. Ce que tu dis à mon avis n'est pas vérifiable...

et non pas l'inverse ! ou sinon il ira chez le concurrent ! ))

Là, je te rejoins parfaitement.

L'exemple sur les FAI ou les opérateurs de téléphonie mobile montre, combien le client est versatile, un pet de travers et tu changes facilement d'opinions.

Conclusion : la satisfaction client existe, mais elle n'est pas éternelle. Capito ? :p

looooll

prout ))))))

bonne soirée Mister )))

Il est extrêmement rare de voir des banques finalement payer pour les erreurs financières puisqu'au bout du compte ce sont les états avec les fonds publics qui viennent à leur secours.

Madoff est un escroc, certes, mais qui lui a permis d'avoir le crédit qui l'a aidé à mettre son escroquerie en place ?

Je suis totalement d'accord avec ta première phrase Bran ruz. En revanche, je suis plutôt de l'avis de LadyGaga (Ndrl : si on m'avait dit que j'écrirai une telle phrase...). L'enquête le dira sans doute - je ne connais pas le détail des grands mouvements bancaires. Les banques ne se seraient pas gênées pour un ptit délit d'initié si elles étaient si bien informées...

je rejoins ces avis sur les banques

Je veux bien croire que nombre de personnels des banques (employés et cadres) « ne savaient pas » ! Mais comment les dirigeants des banques pouvaient-ils ne pas savoir quand le désordre financier qu'ils ont cautionné, laissé faire ou encouragé a été dénoncé bien avant la crise. Pour ne citer que quelques auteurs parmi d'autres. Les dates de publications sont bien antérieurs à la crise financière :

Jean de Maillard :

· Les beaux jours du crime. Vers une société criminelle ?, 1992, Plon.

· Un monde sans loi. La criminalité financière en images., 1999, éditions Stock,

· Le Rapport censuré. Critique non autorisée d'un monde déréglé (avec la collaboration de Jean-Christophe Veyrier), 2004

Stiglitz : Un autre monde : Contre le fanatisme du marché (Fayard, 2006)

Krugman : Pourquoi les crises reviennent toujours, éd. Seuil, 2000,

Généreux :

Les vraies lois de l'économie, Seuil, 2002.

A lire aussi Naomi Klein : La théorie du Chaos.

Si ces auteurs ont leurs convictions qui obligent à distance garder au niveau des conséquences qu'ils tirent de leurs analyses, force est de constater que les dérives étaient et les risques encourus étaient connus.