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Mac vs. PC

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MLP23

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Membre, Posté(e)
pivi63 Membre 6 messages
Baby Forumeur‚
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Moi , je suis à fond dans le language Unix , Mac ou Linux ...

Pour les virus , je les laisse aux 80% qui ont un PC et dont je peux avoir accès quand je veux , quelque que soit la sécurité instaurée .....

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  • 3 semaines après...
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Invité gilles 25200
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apple et le design

Modifié par gilles 25200
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Apple : un trésor de guerre de 65,8 milliards de dollars

L'ascension d'Apple ne cesse d'impressionner les milieux financiers. Alors que Google, une fois n'est pas coutume, affichait il y a quelques jours des résultats très légèrement en dessous des attentes (lire : Android Market : 3 milliards de téléchargements), Apple a une fois de plus bluffé son monde (lire : Résultats Apple T2 2011 : tout ce qu'il faut savoir).

Si les ventes et les bénéfices de la firme de Cupertino sont en constante augmentation, il y a un autre chiffre qui impressionne Wall Street, ce sont les réserves en cash d'Apple qui progressent de manière remarquable. Elles s'élevaient à 65,8 milliards de dollars à la fin mars, soit 6 milliards de plus qu'à la fin de l'année dernière. À titre de comparaison, les réserves de Google atteignent 36,7 milliards de dollars.

Puisqu'Apple ne semble pas décidée à verser des dividendes à ses actionnaires, certains se demandent ce que la pomme va finir par faire de cet énorme trésor de guerre. Certains lui prêtent l'intention de faire des acquisitions majeures à terme.

En fonction du buzz, les noms changent. Maintenant que l'une des priorités du moment pour Apple serait de renforcer sa présence sur la toile, il se dit que Netflix (un service de VOD) et Akamai (société spécialisée dans la mise de serveurs de cache), seraient des cibles de choix. Le premier est valorisé à 13,2 milliards de dollars et le second à 7,6 milliards. Histoire de fantasmer, la journaliste du New York Times, qui cite ces deux exemples, évoque également Facebook, dont la valorisation est estimée à 50 milliards de dollars. Mais il y a fort à parier qu'Apple continue de garder son argent bien au chaud tant que l'affaire du siècle ne se présente pas.

source:macgénération

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  • 1 mois après...
Membre, #GauloisRéfractaire, Posté(e)
LulzLamo Membre 4 233 messages
#GauloisRéfractaire,
Posté(e)

On lit des choses bien curieuses sur les PC's sous windows...

Soyons clairs, de mon point de vue, les macs sont très loin de valoir leur prix (je tiens à préciser au passage que j'utilise les deux, par obligation et non par choix...). Un mac, ça plante autant qu'un PC...j'ai même eu beaucoup plus de problème avec mon macbook pro qu'avec mon pc principal sous seven (plantages lors de mises à jour, logiciels qui ne se lancent pas...). De plus, la qualité de certains composants équipant les machines Apple est déplorable: en deux ans, j'ai du faire changer les lecteurs/graveurs DVD de trois de mes macs (deux mackbook's pros et un iMac), moyennant à chaque fois des sommes faramineuses...

Je préfère ne pas parler de l'offre logicielle qui est bien plus importante pour windows que pour Mac OS. Ce qui représente un avantage certain.

Attaquons nous maintenant à un point très sensible: le rapport performances/prix. Tant qu'on reste dans des gammes de prix correctes, les configurations des macs sont obsolètes. Par exemple, un iMac 21.5" à 1500 euros est équipé d'un intel i3-540, d'une HD 5670, et de 4Go de Ram (pour rester dans du "parlant")...ça reste très limité. Quand on a l'habitude de pousser sa machine dans ses derniers retranchements, on est très vite frustré avec un mac.

Enfin, la durée de vie d'un PC est potentiellement illimitée. Il est très simple (il suffit de savoir visser...) et peu onéreux d'upgrader son PC. Il y a quelques jours j'ai eu besoin d'upgrader mon vieux pavillon w5000 acheté en 2005. 250 euros et une heure plus tard, il était équipé d'un intel i3-540, d'une nouvelle carte mère (cela va de soit), de 2 Go de ram et il tournait sous seven. Je m'imagine mal faire la même chose avec un mac mini ou un iMac...

Toi tu as vraiment pas de chance avec tes Mac crying8vr.gif

Sa fait pret de 4 ans que privé comme professionnelle je suis passez sous OS X et pas un seul souci, MBP et iMac, le matérielle reste fiable possible que ce ne sois pas toujours la dernière génération de tel ou tel composant mais tout cas c'est du costaud.

Quand au portable il faut dépensé beaucoup pour avoir le confort d'utilisation d'un MBP, les PAD sur PC c'est une horreur !

Le prix 20% trop cher, enfin plus ou moins, on paye le prestige de la marque si je puis dire.

Je ne connais pas un utilisateur MAC qui veuille revenir sur PC, et je travaille dans le développement Web, avec une touche perso pour le montage vidéo et pas de plantage, des petits désagrément occasionnelle sans plus.

Après on peut tout faire planter, mais j'ai remarquer pour ma part que c'est en grane partie des erreurs humaine.

Reste que les PC bien monter son très agréable, mais le tout en un pret à l'emploi, certe des prix très abordable mais faut pas trop en demandé risque d'être déçus.

Portable pour ma part 100% Mac, station de travaille sa ce discute selon le choix du PC, maintenant reste que les OS MS même Seven c'est pas trop top mais alors pas du tout, bon je suis un adepte Unix donc un petit partit prit c'est sur.

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20110614-011701.jpg

On y voit Steve Jobs et Bill Gates en off, à une epoque certainement anterieure à la rivalité des grands jours entre Apple et Microsoft; et l’attitude des deux hommes reflete assez bien les valeurs propres à leurs marques respectives: à la cool, pieds nus et habillé decontracté pour Jobs, plus ‘serious business’, polo blanc, pantalon de toile et mocassins pour Gates, avec en touche finale les lunettes à mi-chemin entre l’ingenieur informaticien lambda et Francis Heaulme.

Definitivement, la campagne Get a Mac d’Apple n’etait pas fondée sur du vent

Ce qui est intéressant néanmoins, c’est de de voir comme les temps ont changé depuis, Apple a quelque peu refroidi/aseptisé (volontairement ou non) son image tandis que Microsoft tente par tous les moyens de devenir « cool » (et y arrive même dans certains domaines). Comme quoi rien n’est immuable…

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  • 3 semaines après...
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Pourquoi le "post-pc" révolutionne l'informatique

Avec l'iPad, Steve Jobs a sonné le glas de l'informatique telle que nous l'avons toujours connu et qu'il a contribué à lancer et façonner : l'ère du "post-pc" connaissait son avènement. Pourquoi ces appareils, un temps moqués par certains observateurs comme de "gros iPod touch", représentent-ils un enjeu stratégique majeur pour tous les acteurs de l'industrie ?

Entendons-nous d'abord sur le terme tel qu'initié par Steve Jobs : le "post-pc", ça n'est pas "l'après pc", mais "au-delà du PC" : les bonnes vieilles boîtes beiges ne sont pas vouées à disparaître, mais seront de plus en plus reléguées aux tâches "lourdes", pour ne pas dire ingrates (lire Steve Jobs : le PC est un camion).

Mais pourquoi fait-on pareil cas de ces tablettes et autres smartphones ? Pourquoi diable ces énièmes plateformes seraient-elles plus significatives que bien d'autres machines, des consoles de jeu jusqu'aux e-readers ? Et particulièrement, ceux qui y voient un successeur à l'industrie du PC n'auraient-ils pas tout simplement perdu la tête ? À bien y regarder, le succès de l'iPad n'explique pas à lui seul l'incroyable retournement de situation entre Apple et Microsoft (lire 1996-2011 : l'incroyable inversion des pôles) : si Apple écoule ses tablettes et smartphones par millions, elle ne peut rivaliser avec un Windows installé sur 88 % des ordinateurs à travers le monde, d'autant que le logiciel permet une marge bénéficiaire sans commune mesure avec le matériel, qui induit nécessairement un coût de fabrication pour chaque vente. Cet impact se ressent d'ailleurs dans le ratio entre chiffre d'affaires et bénéfices des deux entreprises, sans commune mesure.

Le PC s'essouffle

De toute évidence, et en dépit des doutes affichés peu après sa présentation, l'iPad dessine un nouveau marché, et donc de nouvelles perspectives de croissance. En tant que tel, c'est une nouvelle particulièrement enthousiasmante pour les fabricants, car le marché de l'informatique donne tous les signes de la saturation : le seul renouvellement du parc installé ne semble plus suffire à générer suffisamment de croissance. Pire encore, pour la première fois de l'histoire de l'informatique, les ventes de PC ont décliné au premier trimestre 2011.

skitched-20110707-164930.jpg

Depuis la fin de la course à la puissance, les acteurs eux-mêmes sont si nombreux et la concurrence si rude, qu'une guerre tarifaire sans merci a fini d'assécher la fertilité de cette industrie. En regard de ces difficultés, le domaine du smartphone et des tablettes ressemble à un véritable Eldorado. La seule comparaison du taux d'équipement pour chaque marché a de quoi donner le tournis : en 2009, 63% des foyers français disposent d'un accès à Internet, et 95% des Français ont un téléphone mobile. Certes, tous ces téléphones sont loin d'être des smartphones, mais il ne fait nul doute pour quiconque que le "feature phone" disparaîtra à terme pour être intégralement remplacé par le smartphone. La différence n'en est pas moins frappante, d'autant plus si l'on prend en considération l'âge respectif de ces deux marchés. Quant à l'avenir, la rapidité avec laquelle les consommateurs adoptent l'iPad est en passe de marquer un nouveau record en matière d'adoption d'un nouveau produit.

Le paradoxe tactile

Mais d'autres chiffres sont plus éloquents encore : dans un article sur Asymco, Horace Dediu souligne qu'en dépit d'une part de marché infime (et un taux d'activation 28 fois moindre que celui d'Android), le Windows Phone Marketplace disposait déjà de 25.000 applications. À titre de comparaison, le magasin de Microsoft représente un peu plus de 10% du stock de l'Android Market, lui-même moitié moins rempli que l'App Store.

Si l'on devait juger la situation à l'aune des acquis du marché informatique tel que nous l'avons toujours connu, ce paradoxe pourrait sembler totalement inexplicable. On ne le sait que trop sur Mac, les développeurs ne font d'ordinaire que peu de cas d'une plateforme minoritaire.

C'est oublier les profonds changements structurels amenés par ces nouvelles plateformes, qui renvoient aux oubliettes 30 ans d'histoire de l'informatique. Jusqu'ici, les coûts de développement pour les logiciels étaient particulièrement élevés, la distribution était particulièrement ardue, voire discriminatoire, il y avait peu de catégories de logiciels, dont le prix de vente était relativement élevé. D'autre part le marché était dépendant du bon vouloir des acheteurs institutionnels, qui faisaient la pluie et le beau temps, et ne laissaient aucune chance aux petits développeurs.

Aujourd'hui, chaque logiciel pour smartphone peut atteindre chaque utilisateur, et inversement. Les magasins virtuels ont levé la chape de plomb de la distribution. Certes, l'App Store et ses émules sont loin d'être une première, d'ailleurs Steam, le magasin en ligne de jeux vidéo pour Windows et Mac OS X, avait déjà entamé cette révolution de la distribution dès 2003, avec d'ailleurs un certain succès. Les consoles de jeux intègrent également un système de distribution en ligne, quoique souvent limité à des titres de moindre envergure. Mais ces canaux de distribution n'étaient pas exclusifs, à l'inverse de l'offre sur les smartphones.

D'autre part, les acheteurs en "gros" se sont jusqu'ici désintéressés des applications mobiles, et n'ont donc pas déséquilibré les forces en présence. En conséquence, chaque développeur a sa chance, et on ne compte plus les "success stories" de petites applications, développées dans une chambre d'étudiant, qui ont fini par rapporter de véritables fortunes à leurs créateurs. Le marché bouillonne de créativité comme on ne l'a jamais vu dans l'informatique classique, avec de nouveaux services ingénieux qui sont mis sur pied quotidiennement. Alors qu'autrefois la création et l'achat de logiciels étaient cantonnés à une élite, désormais elle se démocratise, pour le bénéfice de tous. Trente-quatre ans après la mise sur le marché de l'Apple II, le rêve de Steve Jobs d'une informatique pour tous se réalise vraiment : après la convergence, les "nouvelles" technologies deviennent enfin pervasives. Elles disparaissent et se fondent dans notre environnement, s'invoquent et s'utilisent en un tournemain, avant de disparaître une fois le besoin satisfait.

Le résultat est sans conteste : en trois ans, le marché des applications mobiles a littéralement explosé, dépassant globalement le demi-million là où rien n'existait encore avant. S'il est une leçon que l'on peut tirer de cette formidable vitalité, c'est que les vieilles recettes ne s'appliquent plus à ce nouveau marché. L'antienne qui voudrait qu'Android soit à iOS ce que Windows fut à Mac OS ne pourrait pas être plus déplacée. Le marché de l'informatique tactile sera un marché protéiforme, avec autant de portes d'entrée que de variétés d'utilisations. Les écrans connectés sont déjà pour certains d'entre nous, de plus en plus nombreux, une banalité du quotidien. Il n'y aura pas trop de plusieurs acteurs pour répondre à la diversité des besoins et des modes d'utilisation, lorsque le marché commencera à se segmenter, ce qui n'a pas encore eu lieu.

Il faut toutefois souligner qu'un autre élément est venu contribuer à l'alignement des planètes : le consommateur était fin prêt. Windows a pu asseoir son hégémonie en entretenant le mythe de l'incompatibilité. Longtemps, les utilisateurs sont restés convaincus qu'un fichier créé sur Windows n'avait pas vocation à être lu par un Mac, ce qui fut vrai, en dehors de toute notion de réseau local, jusqu'en 1993 avec le support des disquettes PC. Apple a payé cette incompatibilité bien au-delà, mais c'est avec la convergence et la multiplication des appareils connectés, manifestement capables d'exploiter tout type de fichier, que le public a fait son éducation (participant par là même au renouveau du Mac). De même l'iPhone a permis aux consommateurs de mettre le pied à l'étrier : c'est cette "éducation" qui leur a permis de comprendre l'iPad instantanément. L'inverse se serait peut-être avéré plus délicat. C'est aussi cette maturité du marché, et des utilisateurs, qui a rendu cette véritable petite révolution possible, alors qu'elle aurait autrefois pu être ignorée par manque d'intérêt ou de compréhension.

Le marché du PC était sclérosé et dans l'impasse, l'iPad a mis un terme au statu quo. L'ère du post-pc promet plus de souplesse, d'initiatives, de réactivité, d'adaptation et d'innovation. À plus d'un titre, ce marché est foncièrement stratégique. Il ne faut donc pas s'étonner de voir tous les fabricants se lancer avec appétit à la suite d'Apple dans la tablette.

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  • 2 semaines après...
Invité gilles 25200
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35ans de désign apple

mashable_apple-tree-infographics-600x1117.png

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Membre, Le Dieu Lapin, 36ans Posté(e)
Lapinkiller Membre 10 149 messages
36ans‚ Le Dieu Lapin,
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c'est quoi la source de ton article pro apple ?

les tablettes existaient bien avant l'ipad, comem d'habitude apple a juste fait du gros buzz pour que ca marche hein...

Modifié par Lapinkiller
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salut(pour faire plaisir à zalagnewink1.gif)bah j'ai jamais dis que apple avait lancé les tablettes(faut te détendre heinbiggrin.gif) mais bon faut admettre que depuis qu'apple a lancé l'ipad on as jamais vu autant de tablettes fleurir hein!

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Invités, Posté(e)
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apple c'est le mal... xd

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Administrateur, Clyde Barrow, 42ans Posté(e)
Caez Administrateur 23 219 messages
42ans‚ Clyde Barrow,
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Personnellement tout dépend de l'utilisation.

Pour certaines choses, il faut impérativement Windows, donc il m'arrive de l'utiliser

Pour le coté perso, je suis sous MacOs

Pour le boulot, Linux ubuntu

Coté serveur, j'aime bien Debian.

Au final, j'utilise l'OS en fonction de mes besoins et des facilités qu'il apporte pour réaliser ce que je souhaite.

On pourra développer des heures, mais chaque OS a des plus et des moins.

Certains parleront des virus, plus fréquent sous Windows, mais vu les dégats que j'ai vu sur Linux suite a des failles de sécurité, c'est un argument que je mettrai en arrière.

Concernant MacOs, il y a également des risques. ( http://www.securemac.com/ )

Des fois je me dis que de ce coté, il faut mieux parfois utiliser Windows, vu que la grande majorité des utilisateurs utilisent un Antivirus et un Firewall car il sont conscients du risque alors que sur d'autres OS, certains se sentent invulnérables et se retrouvent avec des merdes :D

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Membre, Posté(e)
popo2606 Membre 5 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je prefere les Mac OS car c'est soit disant beaucoup plus puissant qu'un PC mais aussi beaucoup plus cher

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Membre, #GauloisRéfractaire, Posté(e)
LulzLamo Membre 4 233 messages
#GauloisRéfractaire,
Posté(e)

Plus puissant ? En quoi ?

Non le système d'exploitation est bien fait, mais faut avouer que MS fait plus d'effort que Apple ses dernier temps !

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Membre, #GauloisRéfractaire, Posté(e)
LulzLamo Membre 4 233 messages
#GauloisRéfractaire,
Posté(e)

Je trouve que Seven fonctionne bien, maintenant je dis sa sans pour autant travaillé sur MS.

Toutefois il me semble qu'il ne faut pas mettre Linux dans le même panier que Apple / MS, Linux c'est libre, gratuit et si on pourrais avoir tout les logiciel propriétaire sur Linux comme sur les deux autre OS, la question ne se posse même plus c'est LINUX !

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Invité EnYgmA
Invités, Posté(e)
Invité EnYgmA
Invité EnYgmA Invités 0 message
Posté(e)

Je prefere les Mac OS car c'est soit disant beaucoup plus puissant qu'un PC mais aussi beaucoup plus cher

Plus puissant ? :smile2:

humm je plie leur connerie à 1800€ rien qu'avec ma tour tous points confondus ( ram, graphisme, processeur etc ) :gurp:

Très utile de mettre aussi cher dans un ordinateur avec une pomme frappé sur le boitier si c'est pour se faire lâcher par le voisin !

Arrêtez SVP de vanter les produits Apple qui sont à la ramasse et dont le rapport qualité / prix ressemble plus à du vol qu'autre chose !

En vous remerciant ! :dort:

...

en même temps MS a beaucoup d'efforts à faire comparé à linux et Mac donc bon :sleep:

Des efforts sur quoi ?

je ne vois pas trop ce que Microsoft peut faire de plus en dehors de stopper le développement d'Internet Explorer afin de nous rendre service à tous , sinon côté Os ça tourne super , sécurité bein ça n'a jamais été leur fort donc les plomber pour ça limite c'est facile , après côté prix ça reste dans la limite du raisonnable si tu as des ronds ...

Rien de grave donc ;)

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Membre, Le Dieu Lapin, 36ans Posté(e)
Lapinkiller Membre 10 149 messages
36ans‚ Le Dieu Lapin,
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ba fragmentation importante du disque dur... (je ne trouve pas normal de devoir défragmenter un disque dur tous les mois parce que l'OS dépose les fichiers en mille morceaux à l'arrache)

gestion des droits utilisateurs ce n'est pas encore vraiment au point...

la sécurité ils ont commencer à s'en soucier que à partir de vista

etc

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Invité gilles 25200
Invités, Posté(e)
Invité gilles 25200
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Des mises à jour matérielles plus importantes qu’il n’y parait

Comme prévu, Lion et les mises à jour matérielles tant attendues ont été livrées le 20 juillet.

Si le MacBook Air transforme l’essai déjà brillant de la version précédente, on constate aussi, et surtout, que le MacBook polycarbonate a disparu et le Mac mini se voit amputé de son lecteur optique.

Arrêtons-nous sur ces deux faits, donnons-nous la main et discutons ensemble de ce que cela signifie si on lit entre les lignes.

Disparition du MacBook blanc

Pour le MacBook blanc, la fin était logique. On se rappelle qu’en 2008 lors du passage à l’alu unibody, le premier modèle sorti était un MacBook avant de se faire renommer MacBook Pro lors de sa révision début 2009.

Déjà à ce moment, le destin de la gamme de portables grand-public d’Apple était assez incertain.

Lorsque le MacBook Air est arrivé avec son prix plancher à 949 Eur, le MacBook blanc à 899 Eur n’avait plus que pour lui sa taille d’écran (13″) et son espace disque, étant donné que côté perfs brutes, les nouveaux venus étaient bien devant par la grâce de leur SSD.

Si le fait de le sortir définitivement permet d’homogénéiser les différentes gammes en imposant l’aluminium comme matériau unique sur tous les portables à la pomme, il reste que cette disparition envoie un message assez clair (et plutôt radical) aux consommateurs:

Chez Apple, aucun portable avec un écran de 13″ et plus de 64 Go d’espace disque n’est disponible à moins de 1000 Eur.

Corollaire: Apple sort définitivement du marché du portable « grand public » (écran 13″, 500 Go de HDD).

Et ça, quand on vend en parallèle des iPod, iPad et iPhone par palettes, ça peut choquer.

Suppression du lecteur optique sur le mini:

Là aussi, le choix de supprimer purement et simplement le lecteur optique est assez lourd de sens.

Ce que nous au JDM pensons qu’Apple n’a toujours pas compris (ou ne veut pas comprendre) que le Mac mini a toujours été très populaire chez les gens qui souhaitaient se monter un media center puissant, versatile et avec un encombrement minimum pour un prix abordable.

Si l’absence de lecteur Blu-ray faisait déjà tâche pour les adeptes du « tout-en-un sous ma télé », la suppression sans sommation du lecteur SuperDrive sonne le glas de l’adoption du petit d’Apple dans les salons: comment peut-on décemment utiliser comme media center une bécane incapable de lire un DVD ?

Là encore, avec ce geste Apple s’assure d’une chose: le Mac mini retourne au bureau, l’Apple TV qui vivait dans son ombre a désormais le champ libre sous la télé et surtout, surtout, la lecture de films se fait soit avec des fichiers téléchargés soit directement depuis l’iTunes Store.

Bien entendu, l’adjonction d’un lecteur SuperDrive externe reste possible mais ça enlève l’intérêt de la petite machine autonome et versatile… Et ça ajoute 80 Eur à l’addition.

Evidemment, les historiens de l’informatique diront qu’en supprimant le port disquette des iMac G3, Apple avait déjà choqué l’opinion pour qu’avec le temps tout le monde lui donne raison.

Oui mais non.

Car quand Apple a supprimé le port floppy de ses machines, les marchés du disque et de la vidéo n’utilisaient pas la disquette comme support standard pour leurs produits et Apple ne se positionnait pas encore en tant que fournisseur de contenu.

Là se dessine en filigrane un credo plutôt simple (et assez effrayant): les ordinateurs d’Apple servent avant tout à consommer du contenu Apple.

Mac App Store, iTunes Store, à quoi bon utiliser un lecteur DVD ? Avec iCloud, à quoi bon stocker ses données sur des disques optiques ?

Si on suit cette logique, on peut se dire que prochainement l’iMac sera lui aussi amputé de son lecteur SuperDrive, pour ne laisser qu’aux seuls pros équipés des machines idoines (Mac Pro et MacBook Pro) le privilège de… Lire, ripper un CD audio ou, soyons fous, graver un DVD.

Et si on décidait de définitivement se faire les avocats du diable, on pourrait aussi se dire qu’à terme les machines Apple pourraient ne lire que les formats mis en avant par la marque: le AAC pour l’audio et de le H264 pour la vidéo… Comme… L’iPod, l’iPhone et l’iPad.

Back to the Mac qu’ils disaient ?

source:journal du mac

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Membre, Le gremlins à lunette, 36ans Posté(e)
Elhyareno Membre 4 313 messages
36ans‚ Le gremlins à lunette,
Posté(e)

Le gros point fort de Windows c'est quand même pour le jeu (soyons honnête, même si mac et linux font des efforts en ce sens ça reste anecdotique de jouer convenablement sur ces OS), pour le reste c'est clair que ce n'est pas l'OS le plus performant qui soit. On peut pas avoir le beurre l'argent du beurre et le cul de la crémière.

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