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Le pouvoir thérapeutique des psychédéliques


White.widow

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Membre, 35ans Posté(e)
White.widow Membre 205 messages
Baby Forumeur‚ 35ans‚
Posté(e)

Bonjour a tous !

Depuis un certain moment, je me suis intéressé a tout cet arsenal de produits psychédéliques dont le LSD, la mescaline et les psylocybes (champignons hallucinogènes) sont les plus connus. On fait beaucoup de cliché sur ce genre de trucs, soit on le diabolise "ce truc c'est de la DROGUE = MERDE" soit on en fait l'apologie "C'est trop mortel !! On voit plein de couleurs, on fait que de se marrer c'est trop trippant !!" mais très peu de gens en parle avec objectivité. Il faut savoir qu'avant son usage populaire (avant 1966), ces expériences était utilisées dans les hôpitaux afin de diriger le voyage de certains patients atteints de problèmes (d'addiction par exemple) dans le but de comprendre en profondeur leurs problèmes et les résoudre. Les substances psychédéliques furent d'abord utilisées comme des médicaments par les psychothérapeutes au début des années 60 ou comme des instruments de diagnostic et de soins depuis des millénaires chez les peuples traditionnels (par les chamanes). Leur usage festif, imprudent et abusif, hors cadre médical ou spirituel, à la fin des années 60 ont produit des accidents qui ont beaucoup inquiétés les politiques, les médias et les familles. Ces accidents, qui ne sont pas liés aux propriétés de ces substances elles-mêmes mais à leur mésusage, ont conduit à classer de manière erronée ces médicaments dans la même catégorie que d'autres substances, les drogues ou stupéfiants. Celles-ci (comme la cocaïne, l'héroïne, et les amphétamines), au contraire des psychédéliques, créent des dépendances et n'ont aucun intérêt pour la santé (et sont mêmes nocives).

J'ai alors expérimenté deux fois le LSD au cours de l'été. Parmi mes deux expériences j'ai, dans la seconde vu littéralement l'enfer. J'ai pris une goute d'acide, j'étai bourré et je voulais voir ce que ça fait d'être sous acide et de rencontrer des gens en festival. Outres des hallus glauques, des ressentis cauchemardesque, mon Moi était surstimulé, mes problèmes profonds ont ressurgit de manière violente, j'étais seul car trop fou pour communiquer "normalement". Je ne raconterai pas en détail l'expérience mais j'ai mis plusieurs mois à m'en remettre, à la manière d'un traumatisme. C'est pourquoi, par expérience, l'usage irresponsable est réellement dangereux pour la santé psychologique. mais ma première expérience à été positive. J'avais une forte sensation d'unité avec le "cosmos", j'ai développé un véritable amour de la nature et de la beauté du monde, à la manière d'un rêve. Tout était cool, j'avais un sentiment de bien être qui a persisté après...Jusqu'à ma seconde expérience.

Bref, ce qui me révolte c'est la diabolisation de ces substances, les ranger au titre de véritables drogues tel que la coke, l'héroïne ou les amphétamines. Je suis fortement convaincu que ces expériences, menées a bien, permettent de s'accepter, d'accepter son passé, de se débarrasser de toute dépendances et peut avoir des retombés positives sur la vie des individus mais surtout a permet de soigner des problèmes psychologiques d'une manière beaucoup plus efficace que la voie simplement orale (psychanalyse), un peu à la manière de l'hypnose permissive mais étant justement aidé par ces produits qui permettent une introspection beaucoup plus profonde. C'est pourquoi j'aimerais présenter certaines information et recherches sur ce sujet, afin d'informer véritablement la réalité sur les psychédéliques et de lever la tabou sur ces substances.

"Les psychédéliques sont de retour, mais cette fois dans les laboratoires et les hôpitaux, et pour leurs indications thérapeutiques. Dans le monde entier, de nombreux scientifiques s'intéressent à ces substances hallucinogènes pour étudier leur action sur certaines pathologies résistant aux traitements psychiatriques, notamment les dépressions chroniques, la dépendance alcoolique, le stress post-traumatique.

Dans le monde entier, mais pas en France où ces substances sont assimilées à des drogues, ce qu'elles ne sont pas. La plupart des soignants ne connaissent pas ces recherches. Parler de LSD, de MDMA (ou ecstasy), d'ayahuasca, d'iboga, ou de champignons à psilocybine vous apparente à un dangereux dealer plus qu'à un médecin. Qui sait que la recherche légale sur l'intérêt médical et psychologique des psychédéliques a repris depuis les années 1990 ?

Le but premier de ce livre est de rassembler une information sérieuse, rigoureuse et dépassionnée sur ces substances afin d'informer le grand public comme les professionnels. Il ne s'agit pas de prôner une révolution culturelle. Mon objectif est de changer le point de vue du public, des médias, des hommes politiques et des législateurs, vis-à-vis de ces substances au potentiel thérapeutique extrêmement puissant, qui ont été dévoyées dans leur utilisation, puis stigmatisées et diabolisées, avant d'être pénalisées et totalement interdites.

J'ai écrit ce livre pour qu'il soit accessible à tous et j'aimerais que chacun puisse se faire sa propre opinion sur ces substances à la réputation sulfureuse. Il appartient à nous, médecins, et aux usagers du système de santé français, de contribuer au changement des mentalités, afin que la loi permette l'utilisation thérapeutique des psychédéliques. Il s'agit ni plus ni moins que d'introduire dans le Vidal (le livre des médicaments dont se servent médecins et pharmaciens français) une nouvelle classe de médicaments !

Voici ce qui, pour moi, constitue l'essentiel de mon message :

¿ Les psychédéliques ne sont pas des « drogues » puisqu'ils n'induisent pas de dépendance et présentent un intérêt thérapeutique ;

¿ Les psychédéliques ne sont pas des « stupéfiants » puisqu'ils n'obscurcissent pas la conscience, mais au contraire l'élargissent et l'approfondissent ; leur intérêt pour le développement spirituel est même scientifiquement établi ;

¿ Les psychédéliques ne sont pas dangereux en eux-mêmes : tout dépend de leurs conditions d'utilisation. Les conditions en faisant des instruments thérapeutiques et celles les rendant potentiellement dangereux sont désormais bien connues ;

¿ Il existe actuellement bien assez de données de recherche et de publications, au niveau international, pour étudier, en France, l'efficacité des médicaments psychédéliques dans des affections psychiatriques résistant aux autres approches, avec de grandes chances d'obtention de gains thérapeutiques importants ;

Puisse cet ouvrage dépasser les craintes irrationnelles et lever les tabous, pour redonner leur juste place à ces substances si particulières."

Olivier Chambon

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Membre, forumeur alchimiste/Honey, Posté(e)
Nightwish Membre 10 322 messages
forumeur alchimiste/Honey,
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j'aurais dit psychotropes, mais bonwikipedia

mais tu as raisonwikipedia

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Membre, 34ans Posté(e)
Ved Membre 3 967 messages
Baby Forumeur‚ 34ans‚
Posté(e)

Renseigne toi sur le chamanisme, de nombreux chamanes utilisent des plantes psychotropes dans une visée thérapeutique. Ce qui ressort le plus de ce que j'ai pu voir et lire à ce sujet, c'est le respect que ces hommes ont pour la plante, comme s'il s'agissait presque d'une entité qui allait leur enseigner des choses. Peut être n'est ce pas anodin, peut être que cela influence les expériences qui peuvent être vécues par la suite.

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Invité Stahlgewittern
Invités, Posté(e)
Invité Stahlgewittern
Invité Stahlgewittern Invités 0 message
Posté(e)

Les psychotropes ne soignent rien. Ils permettent de stabiliser un état mais en aucun cas ils ne règlent les problèmes sous-jacents. Pris hors-contrôle médical, ils peuvent amener une foule d'effets secondaires : dépendance mais aussi troubles cardiaques, neurologiques, digestifs, pulmonaires, endocriniens, etc...

Bref, il faut savoir de ce qu'on parle.

Ces produits ont un réel intérêt thérapeutiques, mais seulement accompagnés d'un travail psychothérapeutique et médical.

Au passage :

¿ Les psychédéliques ne sont pas des « drogues » puisqu'ils n'induisent pas de dépendance et présentent un intérêt thérapeutique

Les psychédéliques entrainent bel et bien une dépendance si ils sont pris n'importe comment. Et la morphine a aussi des vertus thérapeutiques sous certaines conditions. ça n'en reste pas moins un dérivé chimique de l'opium, une drogue donc.

¿ Les psychédéliques ne sont pas des « stupéfiants » puisqu'ils n'obscurcissent pas la conscience, mais au contraire l'élargissent et l'approfondissent ; leur intérêt pour le développement spirituel est même scientifiquement établi ;

La définition de "stupéfiant" est "produit entrainant un effet euphorisant et/ou une dépendance". Tous les psychotropes n'en sont pas mais beaucoup entrent dans ce cadre.

De plus, le "développement spirituel" ne peut être scientifiquement établi puisque spirituel et scientifique ne relèvent pas du même domaine. Cette affirmation est inepte.

¿ Les psychédéliques ne sont pas dangereux en eux-mêmes : tout dépend de leurs conditions d'utilisation. Les conditions en faisant des instruments thérapeutiques et celles les rendant potentiellement dangereux sont désormais bien connues ;

Oui, sauf que les dosages thérapeutiques et les dosages "toxicomaniaques" sont assez proches. Ce sont des médicaments dont la marge thérapeutique est très faible. Ce n'est pas le pékin moyen qui connait précisément les bonnes conditions d'utilisations de ces produits.

J'ajoute que l'alcool par exemple n'est pas un produit dangereux en lui-même non plus. et pourtant...

Bref ça serait bien de faire attention à ce qu'on dit sur ce genre de sujet.

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Membre, 35ans Posté(e)
White.widow Membre 205 messages
Baby Forumeur‚ 35ans‚
Posté(e)
Les psychédéliques entrainent bel et bien une dépendance si ils sont pris n'importe comment. Et la morphine a aussi des vertus thérapeutiques sous certaines conditions. ça n'en reste pas moins un dérivé chimique de l'opium, une drogue donc.

La seule forme de dépendance possible est une dépendance psychologique, si la personne aime trop ça et prend ce genre de chose dans l'univers des drogues (mélangé à plusieurs autres stupéfiants non psychédéliques) dans le but de s'amuser dans des réalités virtuelles et profiter de la sensation d'euphorie du début du voyage, oui il peut y avoir une forme de dépendance mais en aucun cas, les psychédélique amènent dépendance physique. Quand à la morphine, ça n'a rien a voir avec les psychédéliques.

La définition de "stupéfiant" est "produit entrainant un effet euphorisant et/ou une dépendance". Tous les psychotropes n'en sont pas mais beaucoup entrent dans ce cadre.

De plus, le "développement spirituel" ne peut être scientifiquement établi puisque spirituel et scientifique ne relèvent pas du même domaine. Cette affirmation est inepte.

Je suis d'accord pour dire que les psychédéliques sont, en partie, des stupéfiants dans le fait que ces experiences modifient la conscience, et c'est bien leur principal intérêt :cray:. Ils produisent aussi une sensation d'euphorie au début du trip, qui, bien sûr doit être bien géré et peut malheureusement créer une dépendance psychologique pour des jeunes en manque de sensations fortes et mener à long terme à la perte de l'identité.

En revanche, oui le développement spirituel est empiriquement établi dans le fait que plusieurs témoignages de personnes ayants expérimenté dans le but de répondre à des questions existentielles et de développer sa "spiritualité" y sont fréquents. Renseigne toi sur Timothy Leary ou Aldous Huxley. Mais par méthode scientifique, on ne peut "prouver" la capacité enthéogène de ces produits mais ce n'est pas un problème puisque l'expérience individuelle accompagné par un "chaman" ou autre personne expérimenté dans ce domaine permet de te rendre compte par toi même.

Interview de Jan Kouen sur le phénomène spirituel et scientifique des psychédéliques

Oui, sauf que les dosages thérapeutiques et les dosages "toxicomaniaques" sont assez proches. Ce sont des médicaments dont la marge thérapeutique est très faible. Ce n'est pas le pékin moyen qui connait précisément les bonnes conditions d'utilisations de ces produits.

J'ajoute que l'alcool par exemple n'est pas un produit dangereux en lui-même non plus. et pourtant...

Bref ça serait bien de faire attention à ce qu'on dit sur ce genre de sujet.

Les dosages thérapeutiques sont adapté à la forme de la thérapie, certaines préfère plusieurs séances dosé très légèrement (en dessous le seuil hallucinatoire) afin de simplement favoriser l'introspection. D'autres privilégient une seule séance dosé relativement forte ( hallucinations et visions possibles) afin de créer une "mort" et une "résurrection" chez le patient, comme une opération chirurgicale de l'esprit ou les psychédéliques sont des simples outils.

Je me base sur les expériences thérapeutiques des années 50-60, époques ou le LSD était utilisé à des domaines psychiatriques. Il y a, en cherchant bien, plusieurs sources sur ces pratiques.

De plus les dosages "toxicomaniaques" comme tu dis, sont beaucoup plus élevé que les dosages thérapeutiques car les toxicomanes, connaissants bien le produit et cherchant pour la plupart des cas à dépasser leurs limites, prennent en moyenne des doses dépassants 400 microgrammes, seuil ou les effets psychiques sont proches de la schizophrénie et peuvent causer des lésions mentales.

Bien sûr que le pékin moyen ne connais pas les bonnes conditions d'utilisation de ces produits. Et c'est pour cela que le cadre thérapeutique géré par une personne d'expérience est nécessaire pour guider ce pékin dans son "voyage" afin de le soigner sans créer de lésions et traumatismes.

Et justement, les expériences thérapeutiques des années 50-60 soignaient justement la dépendance à l'alcool pour la plupart des cas et se révélaient beaucoup plus efficaces que les thérapies psychanalytiques traditionnelles.

Sinon merci de ta contribution, j'essaie de faire le plus attention à ce que je dis, je ne suis ni médecin ni psychiatre et je suis encore jeune donc je ne suis peut être pas en mesure de pouvoir être parfaitement raisonnable dans mes idées alors j'essaie seulement d'informer en me basants justement sur des "spécialistes" et de progresser dans mes réflexions mais surtout de faire savoir la dissociation des psychédéliques des autres drogues, associé très souvent à tort à la cocaïne, au crack et autres merdes.

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Invité Stahlgewittern
Invités, Posté(e)
Invité Stahlgewittern
Invité Stahlgewittern Invités 0 message
Posté(e)
La seule forme de dépendance possible est une dépendance psychologique

C'est une dépendance quand même.

Quand à la morphine, ça n'a rien a voir avec les psychédéliques.

Non, mais c'est assez proche dans l'utilisation : à dose thérapeutique, ça n'entraine pas de dépendance (mais de sérieux effets secondaires), à dose "ludique", ça entraine une énorme dépendance psychologique.

En revanche, oui le développement spirituel est empiriquement établi dans le fait que plusieurs témoignages de personnes ayants expérimenté dans le but de répondre à des questions existentielles et de développer sa "spiritualité" y sont fréquents

ça n'a rien de scientifique car le "développement spirituel" n'est ni expérimentable, ni quantifiable. C'est une expérience intérieure relative à chacun. Donc parler de science pour ce genre de chose, non.

Les dosages thérapeutiques sont adapté à la forme de la thérapie, certaines préfère plusieurs séances dosé très légèrement (en dessous le seuil hallucinatoire) afin de simplement favoriser l'introspection. D'autres privilégient une seule séance dosé relativement forte ( hallucinations et visions possibles) afin de créer une "mort" et une "résurrection" chez le patient, comme une opération chirurgicale de l'esprit ou les psychédéliques sont des simples outils.

Par "thérapeutique" j'entend les dosagse que tu trouveras sur l'ordonnance d'un médecin psychiatre. Le reste n'a aucune valeur thérapeutique, on peut appeler ça comme on veut, c'est de la défonce pure et simple. Les psychotropes ne sont pas faits pour provoquer des "opérations chirurgicales de l'esprit" mais pour bloquer l'action des neurotransmetteurs (ou de renforcer leur action, comme dans le cas des excitants) afin d'obtenir des actions au niveau du comportements ou du ressenti. La façon dont tu parles de ce type d'expériences n'a pas grand chose de médical...

Je me base sur les expériences thérapeutiques des années 50-60, époques ou le LSD était utilisé à des domaines psychiatriques.

Si ce produit n'est plus utilisé, ce n'est pas un hasard. Notamment à cause des flashback, même à faible dose.

De plus les dosages "toxicomaniaques" comme tu dis, sont beaucoup plus élevé que les dosages thérapeutiques

ça dépend du produit. Mais de toute façon, le pékin de base ne sait pas doser ce type de substance, pour le français de base, 400 mg ou 300 mg c'est presque pareil. En réalité, entre l'un et l'autre, il y a souvent une différence énorme.

Bien sûr que le pékin moyen ne connais pas les bonnes conditions d'utilisation de ces produits. Et c'est pour cela que le cadre thérapeutique géré par une personne d'expérience est nécessaire pour guider ce pékin dans son "voyage" afin de le soigner sans créer de lésions et traumatismes.

Une personne d'expérience oui. C'est à dire un médecin psychiatre. Je le dis ici tout fort : LA PRISE DE MEDICAMENTS PSYCHOTROPES NE PEUT SE FAIRE QUE SOUS LE CONTROLE D'UN PSYCHIATRE. Pas même un médecin généraliste ne peut te conseiller correctement là dessus.

je ne suis ni médecin ni psychiatre

ça se voit.

Je ne dis pas tout ça pour te casser ou pour le plaisir de la contradiction, mais je pense qu'il est important de ne pas pratiquer de désinformation, même involontaire, sur ce sujet là. Les psychotropes sont des produits dangereux, dont les effets secondaires peuvent être gravissimes. Encourager à leur prise hors du cadre médical, me semble très irresponsable.

La cocaïne et le crack c'est un type de drogues. Les psychotropes c'en est une autre. Mais pris hors du cadre médical, que ça soit tout seul, avec un chaman ou un gourou new age, ça reste des produits dangereux qui peuvent tuer.

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Membre, "Contraria contrariis curantur", Posté(e)
Valtesse Membre 6 551 messages
"Contraria contrariis curantur",
Posté(e)
Bref, ce qui me révolte c'est la diabolisation de ces substances

Je suis d'accord.

Ce qui me révolte, c'est la manie qu'ont certains de jouer les moralisateurs.

Que celui qui veut se faire un trip le fasse.

Chacun est maître de sa vie et de sa mort.

De quel droit monsieur-tout-le-monde se donne t'il le droit de s'ingérer dans les affaires d'autrui ?

Bah, c'est un effet de mode : la société d'aujourd'hui interdit, pointe du doigt, nous sermonne comme un parent le ferait avec son enfant.

Une bonne nouvelle, tout de même : le retour de la fée verte elle aussi diabolisée à tort...

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