Coût du logement des demandeurs d' asile à l' hôtel.

La moitié des chambres d'hôtel sont réservées pour loger les demandeurs d'asile à Paris.

Ce sont des associations qui réservent près de 50% des chambres d'hôtel de paris pour loger les familles demandeuses d'asile.

Combien coûte le logement des demandeurs d' asile à l' hôtel pour les contribuables ?

La facture pour le contribuable est élevée : il faut compter entre 1500 et 4000 euros par mois pour loger une famille demandeuse d'asile dans un hôtel parisien. Voir la video sur le logement des demandeurs d'asile à l'hôtel.

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Et ?

Ca m'étonnerait que la moitié de toutes les chambres des hotels parisiens servent à ce genre de logements. De certaines catégories peut être... et encore.

Et quand bien même, que devons nous faire ? Renvoyer les demandeurs d'asile se faire buter dans leurs pays ? C'est vrai que ça nous couterait moins cher.

La patrie des droits de l'homme... que devient elle ?

Serait-il possible d'avoir une source de ce que tu avances ?

Tiens déjà la vidéo ne parle pas de 50% mais de 40%. Ca fait déjà une sacrée différence.

Dans une décision du 19 novembre 2010, le juge des référés du Conseil d'état a conseillé au préfet de Paris de mettre en place un hébergement sous tentes des demandeurs d'asile qui, faute de places dans les centres spécialisés ou de crédits pour les loger dans des structures alternatives ou en hôtels, sont laissés à la rue. Selon le Conseil d'Etat, il appartiendrait à l'administration de « recourir à des modalités d'accueil sous forme de tentes ou d'autres installations comparables » de façon à pallier l'insuffisance notoire du dispositif national d'accueil, dont les capacités culminent, depuis 2006, à 20 410 lits quand il en faudrait au moins le double.

La décision du Conseil d'Etat n'est pas seulement scandaleuse parce qu'elle est humainement dégradante. Elle est aussi inadmissible au regard du droit en vigueur, dont le Conseil d'Etat est censé veiller à l'application. Depuis 2003, en effet, une directive européenne impose aux pays membres de l'UE des « normes minimales » selon lesquelles ils doivent assurer des « conditions d'accueil comprenant le logement, la nourriture et l'habillement, fournis en nature ou sous forme d'allocation financière ou de bons, ainsi qu'une allocation journalière » dans l'objectif du« plein respect de la dignité humaine ».

S'il est vrai que, en cas de manque ponctuel de moyens, cette directive permet aussi aux Etats d'user de modalités d'accueil différentes, dont elle ne précise pas la nature, c'est « à titre exceptionnel » et « pendant une période raisonnable, aussi courte que possible ». Or, en France, ce manque de moyens est chronique. Au cours des dernières années, rien ou presque n'a été entrepris pour adapter l'offre à la demande. Ce ne sont pas les 1 000 lits supplémentaires annoncés pour 2011 qui éviteront à des centaines de demandeurs d'asile d'être encore et toujours contraints de survivre à la rue dans une très grande précarité. Avec notamment pour effet d'empêcher la majorité d'entre eux de mener à bien une procédure ¿ expliquer les raisons de leur exil ¿ qui requiert quiétude et sentiment de sécurité. Ne voyons aucune fatalité dans cette pénurie : comme dans d'autres pays, elle vise à dissuader les demandeurs d'asile de solliciter protection.

Au mépris de la directive européenne leur donnant droit à une allocation journalière qui, précise-t-elle, s'ajoute à des prestations matérielles fournies en nature ou sous forme d'aides financières, le Conseil d'Etat considère, depuis 2009, que les demandeurs d'asile bénéficiaires de la seule allocation temporaire d'attente (ATA), dont le montant s'élève à 10,67 euros par jour ou 320 euros par mois, n'ont pas besoin, en plus, d'être hébergés. Comme s'il était possible, avec un pécule aussi minime, de se loger, de s'alimenter, de se vêtir, de se soigner, sans même parler de s'éduquer, de se cultiver ou de se distraire.

De concessions en concessions, le Conseil d'état blanchit une administration qui piétine la dignité humaine.

LDH Paris (Ligue des Droits de l'homme)

Ma vie à l'hôtel

A Paris, 40 % des chambres d'hôtel sont réservées par des associations publiques, pour héberger les familles demandeuses d'asile notamment. Valérie Denesle a suivi Emilya, d'origine bulgare, et ses deux enfants, Emmanuel et Martina, dans leur quotidien. Un véritable parcours du combattant.

Emilya et ses deux enfants sont arrivés de Bulgarie en 2004. De leur passé dans leur pays, on sait seulement qu'ils ont été battus dans la rue, à cause de leurs origines turques.

Depuis leur venue en France, ils sont ballottés d'hôtel en hôtel et ont connu six déménagements. Ils vivent aujourd'hui dans un établissement de Montmartre où se côtoient réfugiés et touristes de passage. Devoirs, cuisine, vaisselle : tout se fait dans une seule et unique pièce.

Ce documentaire permet de partager les moments de rires et de jeux de cette famille, mais aussi ses crises de larmes quand la menace d'une expulsion se profile.

Emilya vit dans l'attente d'un statut de réfugié, et son cas doit être examiné par la Commission des recours. Cette mère de famille éprouve des difficultés à apprendre le français, mais ses enfants, qui maîtrisent de mieux en mieux la langue grâce à l'école, jouent les interprètes.

Le quotidien est une succession de difficultés à surmonter : démarches pour obtenir des papiers, rendez-vous avec les assistantes sociales et les juristes... Emilya, qui n'a pas le droit de travailler, touche 70 euros par mois et nourrit sa famille grâce à l'aide des associations. Mais elle a la "chance" de pouvoir cuisiner dans sa chambre : l'hôtel qui lui a été attribué est propre et sûr, avec des installations aux normes et un minimum de confort pour prévenir les incendies.

Un membre du personnel de l'établissement confie sans embarras : "On gagne beaucoup d'argent." En effet, les patrons d'hôtel font d'énormes bénéfices en louant des logements précaires et souvent insalubres à des prix exorbitants : les organismes sociaux peuvent payer jusqu'à 1 500 euros par mois pour une chambre, soit plus qu'un loyer d'appartement.

Si Emilya garde espoir, c'est grâce à ses enfants. Son fils Emmanuel rêve de partir au Brésil faire une carrière de footballeur, tandis que Martina, une petite fille au sourire radieux, confie simplement : "Nous aussi, on veut une belle vie."

France 5

A noter que le documentaire date de 2007, donc la situation a du s'aggraver

Ma vie à l'hôtel

A Paris, 40 % des chambres d'hôtel sont réservées par des associations publiques, pour héberger les familles demandeuses d'asile notamment.

Il y a le mot notamment. Ce qui veut dire qu'il y a d'autres familles. Il n'est nullement dit en quelle proportion.

On fait dire ce qu'on veut dire aux chiffres.

A noter, l'article de David Web lui date de 2010 !

Alors je vous fais part de mon experience.

J'ai effectué un stage dans un hôtel de bas de gamme dans le 77.

j'ai été surpri par le nombre de chambres occupés par des personnes et familles prisent en charge par des organisations sociaux.

Sur 70 chambres, 50 y sont mises a dispositions pour ces organisations toute l'annee.

Et je précise que les frais sont totalement pris en charges.

Durant ce stage, le responsable a du déloger un homme qui ne pouvait plus payer sa chambre (il venait de perdre son travail)

Je suis scandalisé de savoir que des personnes sont logées gratuitement, ils ne parlent même pas le français et que dans le même temps la personne qui venait de perdre son travail, ca faisait 10 ans, mis a la rue, il a payé des impots quand même.

Je suis choqué! !!!

D'où vient l'argent des organisations sociaux?

Alors je vous fais part de mon experience.

J'ai effectué un stage dans un hôtel de bas de gamme dans le 77.

j'ai été surpri par le nombre de chambres occupés par des personnes et familles prisent en charge par des organisations sociaux.

Sur 70 chambres, 50 y sont mises a dispositions pour ces organisations toute l'annee.

Et je précise que les frais sont totalement pris en charges.

Durant ce stage, le responsable a du déloger un homme qui ne pouvait plus payer sa chambre (il venait de perdre son travail)

Je suis scandalisé de savoir que des personnes sont logées gratuitement, ils ne parlent même pas le français et que dans le même temps la personne qui venait de perdre son travail, ca faisait 10 ans, mis a la rue, il a payé des impots quand même.

Je suis choqué! !!!

D'où vient l'argent des organisations sociaux?

on a jeté ce pauvre homme comme un malpropre alors que oui il méritait lui aussi d'être logé et gratuitement s'il n'avait plus rien.

c'est exactement le même topo pour les prises en charges maladie :pour les sans papiers c'est gratuit, pour l'autochnone sans ressources suffisantes c'est le trou !

les organisations : subventions de l'état, dons de particuliers : est ce suffisant et par quoi c'est complèté je l'ignore.

Le souci n'est pas de subventionner les demandeurs d'asile. C'est de ne pas aider les nécessiteux français.

L'un n'empêche pas l'autre.

on a jeté ce pauvre homme comme un malpropre alors que oui il méritait lui aussi d'être logé et gratuitement s'il n'avait plus rien.

c'est exactement le même topo pour les prises en charges maladie :pour les sans papiers c'est gratuit, pour l'autochnone sans ressources suffisantes c'est le trou !

les organisations : subventions de l'état, dons de particuliers : est ce suffisant et par quoi c'est complèté je l'ignore.

Et t'as même pas honte d'écrire de telles inepties et de prendre pour argent comptant ce que Monsieur j'hallucine a écrit...

il est beau le français de base, parfois on se demande jusqu'où il peut aller dans son délire avant de lui montrer sa bêtise...

Un hôtel M'dame ! c'est pas une location...

Pourquoi l'Etat paie les chambres d'Hôtel aux demandeur d'asile ?

Pour une raison simple : l'Etat à interdit aux demandeurs d'asile de travailler. Comme ils ne peuvent pas travailler et qu'on ne va pas les laisser crever sur le trotoir, on doit leur payer des trucs, comme des chambres d'Hôtel.

L'Etat ferait de grosses économie en autorisant les demandeurs d'asile sà travailler. Mais bon, le gouvernement s'est rapproché du FN et ne va pas changer la loi.

Voilà combien nous coûte les idées du FN sur la préférence nationale.

La France c'est pour les français,

Le travail en France c'est pour les français, en priorité !

Il n' y a pas que des demandeurs d'asiles mais aussi des petits profiteurs de notre Etat "candide".

Ce que je denonce c'est que des personnes payent des impots pour ces personnes et que le jour ou le travailleur au smic perd son travail et se retrouve à la rue bah. ... ah oui. ... car avec l'allocation de chomage il peut payer a peine 15 jours à l'hôtel,

normal?

La France c'est pour les français,

Le travail en France c'est pour les français, en priorité !

Et au final, on voit combien ça coûte au contribuable....

Vous avez toujours de "bonnes" idées au FN pour jeter l'argent pas les fenêtres.

Avec moi ça couterait beaucoup, beaucoup moins et les demandeurs d'asile ferraient la révolution chez eux au lieu de quémander chez nous.

Pour info : le FN c'est le FN et moi c'est moi.

D'où vient l'argent des organisations sociales ?

subventions publiques: état, region, communes , dons etc......

argent facile,surtout............ celui du contribuable

il ne s'agit nullement de discriminer ces gens; mais est il normal qu'un demandeur d'asile ou un clandestin vivent dans ses conditions de logement depuis 10 ans( ou on lui accorde l'asile et on lui fournit un logement soit on le refoule point)

ce n'est pas au contribuable de casquer sans arrêt pour ce genre de "couennerie" ( entre autres)

d'autre part comme il est dit par certains intervenants, que l'on s'occupe davantage de nos mal loges ou pas loges du tout de nos ressortissants a nous avant de vouloir régler la misère venue d'ailleurs et qui se complaisent dans cette situation .

et a ceux qui sont ou seront choqués par mes propos je leur propose d'accueillir quelques demandeurs d'asile chez eux les nourrir, les vetir, et éventuellement les soigner sur leur denier! y a des volontaires? comme a dit Mr Coluche "

Sans idéologie, discours ou baratin"

La patrie des droits de l'homme... que devient elle ?

en avons nous toujours les moyens ? et puis ce genre d'argument c'est pipeau et compagnie surtout a notre époque du fric roi , du chacun pour soi et de individualisme .forcené..

en avons nous toujours les moyens ? et puis ce genre d'argument c'est pipeau et compagnie surtout a notre époque du fric roi , du chacun pour soi et de individualisme .forcené...

D'abord je vais réagir sur ça, et je vais te demander puisque c'est ton sujet : en avons nous mis les moyens ? (quand je dis nous, pense Etat et politique de la France...)

Ensuite sais tu combien coûte la chasse aux sans papiers ? le renvoie d'un clandestin dans son pays ? (pour info une heure de charter coûte 5000 euros)

Et autre demande : à combien s'élève le budget de notre état pour renvoyer 28 000 misérables sans papiers en 2010...

Vas y cherche, Google est ton ami et quoique tu penses viens nous poster les chiffres histoire de me faire plaisir...