Un enfant arrêté dans son école et conduit dans un centre de rétention.

mais va savoir pourquoi ils ont decidés d'envoyer l'armée (la gendarmerie quoi) DANS une ecole en pleine classe.

Qui ???

Le père Noël !?

La police !?

Le maire !?

...

Je me rappelle une histoire similaire avec mon frère.

Un autre étudiant avait porté plainte pour agression. Les gendarmes sont venus dans la classe en compagnie du proviseur.

Quand il y avait confrontation dans le poste, entre les 2, bah, l'autre s'est rétracter vite fait

Il n'y avait pas l'assistance sociale ou autre.

Et alors !!!

la gendarmerie était les seul a avoir le droit légal dallé le chercher a la demande du pére

:p

Qui ???

Le père Noël !? :p

La police !?

Le maire !?

...

Je me rappelle une histoire similaire avec mon frère.

Un autre étudiant avait porté plainte pour agression. Les gendarmes sont venus dans la classe en compagnie du proviseur.

Quand il y avait confrontation dans le poste, entre les 2, bah, l'autre s'est rétracter vite fait

Il n'y avait pas l'assistance sociale ou autre.

Et alors !!!

Tu es toujours sur liste d'attente, pour ta greffe ?

Ces deux situations te paraissent comparables ? On te parle d'un petit garçon de 6ans, scolarisé en france depuis ses 3 ans, qui au moment où j'écris est détenu dans un centre de rétention en attendant que la justice se prononce.

Tu es toujours sur liste d'attente, pour ta greffe ?

Non je n'en ai pas besoin comparé à toi et ton anti français !!!

Ces deux situations te paraissent comparables ? On te parle d'un petit garçon de 6ans, scolarisé en france depuis ses 3 ans, qui au moment où j'écris est détenu dans un centre de rétention en attendant que la justice se prononce.

6 ans ou 10 ans, ça fait 4 ans mais c'est vrai que c'est dur pour un gamin !!!

et alors son père, la "réclamer". Les forces de l'ordre ont fait ce qu'il fallait !!!

de toute il aurait fai quoi le gamin si il est pas avec son pére il va pas allé a l'hotel ni rentré tout seul chez lui pour lui c'est soi la dass soit une famille d'acceuille

tu crois vraiment que c'est ce qu'il veut (en plus on a pas le droit dans ce cas la de prendre l'enfant a son pére) ??

Non je n'en ai pas besoin comparé à toi et ton anti français !!!

6 ans ou 10 ans, ça fait 4 ans mais c'est vrai que c'est dur pour un gamin !!!

et alors son père, la "réclamer". Les forces de l'ordre ont fait ce qu'il fallait !!!

Ben faut croire que même les plus durs au gouvernement ne sont pas d'accord avec ta vision pro-française des choses, puisque Thierry Mariani soit-même a fait passer un amendement qui prévoie la possibilité de rétention au domicile avec bracelet électronique.

C'est vrai nissard, l'enfant même s'il n'est pas bien préfèra peut être rester auprès de son père. Là dessus, je suis d'accord avec toi, tout au moins, ça se discute et je pense que c'est le père et l'enfant a donner son point de vue. Mais pour ce qui est d'aller le chercher à l'école, la famille qui l'ont héberger aurait pu aller le récupérer par exemple.

sauf que sa c'est pas légal tu ne peux pas demandé a un tier d'allé cherché un gamin don il n'est pas responsable

d'ou le problème c'est ce que nous nous aurions fai mais l'état ne peux pas demandé une telle chose sa ne serait pas légal

ca qui est malhereusement,arrivé a ce gosse,est quant méme de la faute du pére

on peut amalgamer ce quon veux,il y a toujours un départ

Si c'est la faute du père, comme tu dis, ça n'empêche pas d'étudier des conditions de rétention humaines, et pas dans ces centres ignobles où les enfants n'ont rien à faire.

Interrogé à ce sujet par Le Post, le représentant de la LDH (Ligue des Droits de l'Homme) de Haute-Loire, Jean-Louis Grenier réagit depuis la manifestation organisée en fin d'après-midi devant l'école : "Le droit interne français a peut-être été respecté, mais pas son esprit, et encore moins le droit international, qui doit pourtant l'emporter, et qui oblige les enfants à aller à l'école."

Jean-Louis Grenier nous dit "qu'entre 150 et 200 personnes se sont réunies pour manifester leur mécontentement". Il revient sur les faits : "C'est tout à fait inadmissible. D'un point de vue humain, car cet enfant est scolarisé depuis plus de 3 ans à Langeac. Et également car la convention internationale obligeant la scolarisation des enfants n'est pas respectée. Cette obligation de scolarité est prioritaire sur le fait d'être sans-papiers."

Un autre rassemblement de soutien pourrait être organisé samedi devant la préfecture du Puy-en-Velay.

Le Post.

Si c'est la faute du père, comme tu dis, ça n'empêche pas d'étudier des conditions de rétention humaines, et pas de ces centres ignobles où les enfants n'ont rien à faire.

C'est vrai, l'enfant il n'y est pour rien du tout et n'a pas subir ca, d'ailleur l'enfant il y ai pour rien si son père est rentré illégalement en France

est ce qu'il y avait une alternative ? genre est ce qu'ils pouvaient pas juste quitter le pays plutôt que d'attendre cette fin ?

Ce qui t'échappe peut-être, je te le dis gentiment, c'est que les expulsés, c'est peanuts par rapport au nombre de sans-papiers, ils sont 400.000 en france à bosser actuellement, avec des fausses cartes de séjour.

Matériellement, c'est impossible d'expulser tout ce monde, mais de toute façon, ça se ferait pas, on a besoin d'eux pour certains boulots dont personne ne veut.

Donc, sur 25000 placés en centres de rétention, on en expulse réellement quelques milliers, c'est tout.

Pour faire plaisir au populo, pour diviser les français, et ça marche, pour attiser la haine de l'étranger, et ça marche, etc.

Donc, à la limite, ce père de famille, quelle urgence à l'expulser ? Plutôt que lui donner des papiers qu'il puisse bosser et faire vivre sa famille ? Je veux dire, pourquoi lui et pas les 390.000 autres qui sont sur le territoire ?

Et même si on considère qu'il n'a rien à faire en france, l'alternative possible c'est la rétention au domicile avec bracelet électronique.

Dont personne ne veut ?

Une personne en règle et vraiment en galère ne le prend pas, le boulot ?

Dont personne ne veut...ou on choisit un esclave malléable à merci ?

D'accord. Alors au choix, tu peux faire le ménage dans des bureaux dans des tours, mais la nuit exclusivement.

Ou tu peux faire des déménagements, à dos d'hommes, tu tiendras pas de soucis, à condition d'être bourré toute la journée, pour supporter, y en qui dorment dans les camions, faut que ça tourne, dans les camions la nuit pendant qu'ils roulent j'entend, sur les matelas des clients,

Ou tu peux bosser dans les abattoirs, je t'épargne les cris des animaux, l'odeur du sang, etc

ou tu peux bosser sur les chantiers, monter des parpaings, tu peux tenir, si tu es bourré toute la journée, ça t'évite de pleurer ta race, etc etc.

ou tu peux même faire chauffeur routier, genre Rungis aller-retour, je t'explique : un camion, 2 mecs : un qui conduit, un qui dort, faites tourner. Le camion ne s'arrête jamais, sauf le week-end.

est ce qu'il y avait une alternative ? genre est ce qu'ils pouvaient pas juste quitter le pays plutôt que d'attendre cette fin ?

pour aller où?

dans quel autre pays?

Il a dû quitter l'Arménie (rappelez-vous l'histoire de ce pays) puis la Russie en 2007 (lisez le rapport d'Amnesty International sur ce pays en 2007)

Et vous croyez que dans d'autres pays même européens il y sera mieux accueilli et intégré que chez nous? Légalement et rapidement?

Si vous le croyez alors c'est que vous reconnaissez que nous sommes très en défaut en ce qui concerne l'accueil et l'intégration des personnes demandeuses d'asile.

C'est vouloir jeter le bébé et l'eau du bain ou jouer à la patate chaude.

Ce sont d'abord et avant tout des êtres humains.

Ni plus ni moins

ca qui est malhereusement,arrivé a ce gosse,est quant méme de la faute du pére

on peut amalgamer ce quon veux,il y a toujours un départ :D

vous devenez un peu odieux gravellegg à juger ainsi sans nuances, sans connaître les lois internationales, , je regrette d'avoir à vous le dire car par ailleurs je vous respecte et estime souvent ce que vous dites. :D

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Convention internationale des droits de l'enfant (ratifiée par la France):

http://www.droitsenfant.com/cide.htm

Article 1

Au sens de la présente convention, un enfant s'entend de tout être humain âgé de moins de dix-huit ans, sauf si la majorité est atteinte plus tôt, en vertu de la législation qui lui est applicable.

Article 2

1. Les états parties s'engagent à respecter les droits qui sont énoncés dans la présente Convention et à les garantir à tout enfant relevant de leur juridiction, sans distinction aucune, indépendamment de toute considération de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou autre de l'enfant ou de ses parents ou représentants légaux, de leur origine nationale, ethnique ou sociale, de leur situation de fortune, de leur incapacité, de leur naissance ou de toute autre situation.

2. Les états parties prennent toutes les mesures appropriées pour que l'enfant soit effectivement protégé contre toutes formes de discrimination ou de sanction motivées par la situation juridique, les activités, les opinions déclarées ou les convictions de ses parents, de ses représentants légaux ou des membres de sa famille

Article 31

1. Les états parties reconnaissent à l'enfant le droit au repos et aux loisirs, de se livrer au jeu et à des activités récréatives propres à son âge, et de participer librement à la vie culturelle et artistique.

2. Les états parties respectent et favorisent le droit de l'enfant de participer pleinement à la vie culturelle et artistique, et encouragent l'organisation à son intention de moyens appropriés de loisirs et d'activités récréatives, artistiques et culturelles, dans des conditions d'égalité

Article 40

2. é cette fin. et compte tenu des dispositions pertinentes des instruments internationaux, les états parties veillent en particulier :

a) é ce qu'aucun enfant ne soit suspecté, accusé ou convaincu d'infraction à la loi pénale en raison d'actions ou d'omissions qui n'étaient pas interdites par le droit national ou international au moment où elles ont été commises ;

b) é ce que tout enfant suspecté ou accusé d'infraction à la loi pénale ait au moins le droit aux garanties suivantes:

I - à être présumé innocent jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie ;

II - à être informé dans le plus court délai et directement des accusations portées contre lui, ou, le cas échéant, par l'intermédiaire de ses parents ou représentants légaux, et à bénéficier d'une assistance juridique ou de toute autre assistance appropriée pour la préparation et la présentation de sa défense.

III - à ce que sa cause soit entendue sans retard par une autorité ou une instance judiciaire compétentes, indépendantes et impartiales, selon une procédure équitable aux termes de la loi, en présence de son conseil juridique ou autre et, à moins que cela ne soit jugé contraire à l'intérêt supérieur de l'enfant en raison notamment de son âge ou de sa situation, en présence de ses parents ou représentants légaux ;

IV - à ne pas être contraint de témoigner ou de s'avouer coupable; à interroger ou faire interroger les témoins à charge, et à obtenir la comparution et l'interrogatoire des témoins à décharge dans des conditions d'égalité ;

V - s'il est reconnu avoir enfreint la loi pénale, à faire appel de cette décision et de toute mesure arrêtée en conséquence devant une autorité ou une instance judiciaire supérieure compétentes, indépendantes et impartiales, conformément à la loi ;

ANNEXE

Déclaration et réserve de la République Française

3 - Le Gouvernement de la République Française interprète l'article 40, paragraphe 2, b, V, comme posant un principe général auquel la loi peut apporter des exceptions limitées. Il en est ainsi, notamment, pour certaines infractions relevant en premier et dernier ressort du tribunal de police ainsi que pour les infractions de nature criminelle. Au demeurant, les décisions rendues en dernier ressort peuvent faire l'objet d'un recours devant la cour de cassation qui statue sur la légalité de la décision intervenue

:p

Et cet enfant n'est aucunement responsable de l'infraction de son père.

De plus un vol de gasoil (combien de litres au fait?) n'est pas un crime de sang. Il n'est de plus mentionné nulle part dans cette histoire, d'agression physique.

Sachons raison garder :D

D'accord. Alors au choix, tu peux faire le ménage dans des bureaux dans des tours, mais la nuit exclusivement.

Ou tu peux faire des déménagements, à dos d'hommes, tu tiendras pas de soucis, à condition d'être bourré toute la journée, pour supporter, y en qui dorment dans les camions, faut que ça tourne, dans les camions la nuit pendant qu'ils roulent j'entend, sur les matelas des clients,

Ou tu peux bosser dans les abattoirs, je t'épargne les cris des animaux, l'odeur du sang, etc

ou tu peux bosser sur les chantiers, monter des parpaings, tu peux tenir, si tu es bourré toute la journée, ça t'évite de pleurer ta race, etc etc.

ou tu peux même faire chauffeur routier, genre Rungis aller-retour, je t'explique : un camion, 2 mecs : un qui conduit, un qui dort, faites tourner. Le camion ne s'arrête jamais, sauf le week-end.

C'est ca tes taffs que personne veux ! j'en connais qui les prendrais bien ces emplois plutôt que de crever la dalle au RSA, il est loin d'être la le probleme de l'immigration

Y'a plein de gens qui ont ces boulot, mon père est routier il passe se vie dans son camion et rentre que le weekend, et il l'a fait le coup de un qui conduit et un qui dort. mais je vois toujours pas le rapport.

Puis je vois pas pourquoi tu met de l'alcool partout, lâche un peu ta bouteille mais je comprend mieux maintenant certain de tes discours, ahh tout s'explique :p lol

Je t'accorde que le dernier exemple n'était pas le meilleur. Pour le reste, si ces gens que tu connais veulent prendre ces emplois, qu'est-ce-qui les en empêche ?

Ce sont des boulots où l'on trouve des immigés en pagaille, nie-le si tu veux, nier la réalité c'est tellement confortable.

Comment tu crois qu'ils tiennent le coup, petit méprisant, les hommes qui font le genre de boulot que tu n'accepterais jamais de faire, les bêtes de somme humaines ? En descendant des boueilles de pinard pour se tenir chaud au corps et à l'âme. Mais tu vois pas, non, ça m'étonne pas.

Il n'y a pas parmi nous l'ombre d'un tyran qui ne ressent rien à la douleur d'une famille qui se voit refuser un titre de séjour qu'elle désire tant. Il n'y a pas parmi nous l'ombre d'un tyran qui se moque de la douleur ressentie de cet enfant, essentiellement à cause du désespoir de ses parents de ne pouvoir lui offrir une vie choisie dans notre pays. C'est à contre-coeur que je tiens parfois les propos qui sont miens, parfois aussi non sans une certaine douleur. Il m'aurait été tellement plus facile de dénoncer ce fait comme d'autres. Je tiens ces propos cependant parce qu'ils sont la raison même quand bien même elle s'avère douloureuse, persuadé que la dignité ait été préservée, parce que je ne cède point au sentimentalisme appuyé par le réseau RSF, qui devrait aussi se charger ou aider pour démasquer les réseaux clandestins voire ne serait-ce que les dénoncer, parce que je crois en une décision de justice qui connaît les faits, qui a pu les apprécier et se fonder sur ceux-ci pour rendre une décision grave, parce que je tiens plus que tout au maintien de l'ordre dans notre République, que cet ordre est sans cesse menacé, en raison de la clandestinité notamment, que vous ne sembliez pas en être inquiété comme je peux l'être pour notre avenir, lequel s'assombrit plus vite que vous ne pouvez le croire, parce que je crois en un juste équilibre des choses humaines et qu'une France qui se paierait le luxe d'offrir l'asile à toutes les peines du monde ne survivrait pas à la paix, déjà fragilisée. Je lis avec regrets chez certains d'entre vous une appréciation éludée du fonctionnement de nos institutions, telle la gendarmerie en charge de la police judiciaire, placée sous la direction du Procureur de la République, réprésentant du Ministère Public devant nos juridictions. Je remercie Enzo d'avoir appuyé mon analyse. Pour finir, je dirai que les choses iront mal, étant à peu près certains qu'elles ne s'amèlioreront pas, et que vous n'hésiterez pas à faire appel à ceux que vous dénoncez pour votre propre sauvegarde.

Il n'y a pas parmi nous l'ombre d'un tyran qui ne ressent rien à la douleur d'une famille qui se voit refuser un titre de séjour qu'elle désire tant. Il n'y a pas parmi nous l'ombre d'un tyran qui se moque de la douleur ressentie de cet enfant, essentiellement à cause du désespoir de ses parents de ne pouvoir lui offrir une vie choisie dans notre pays. C'est à contre-coeur que je tiens parfois les propos qui sont miens, parfois aussi non sans une certaine douleur. Il m'aurait été tellement plus facile de dénoncer ce fait comme d'autres. Je tiens ces propos cependant parce qu'ils sont la raison même quand bien même elle s'avère douloureuse, persuadé que la dignité ait été préservée, parce que je ne cède point au sentimentalisme appuyé par le réseau RSF, qui devrait aussi se charger ou aider pour démasquer les réseaux clandestins voire ne serait-ce que les dénoncer, parce que je crois en une décision de justice qui connaît les faits, qui a pu les apprécier et se fonder sur ceux-ci pour rendre une décision grave, parce que je tiens plus que tout au maintien de l'ordre dans notre République, que cet ordre est sans cesse menacé, en raison de la clandestinité notamment, que vous ne sembliez pas en être inquiété comme je peux l'être pour notre avenir, lequel s'assombrit plus vite que vous ne pouvez le croire, parce que je crois en un juste équilibre des choses humaines et qu'une France qui se paierait le luxe d'offrir l'asile à toutes les peines du monde ne survivrait pas à la paix, déjà fragilisée. Je lis avec regrets chez certains d'entre vous une appréciation éludée du fonctionnement de nos institutions, telle la gendarmerie en charge de la police judiciaire, placée sous la direction du Procureur de la République, réprésentant du Ministère Public devant nos juridictions. Je remercie Enzo d'avoir appuyé mon analyse. Pour finir, je dirai que les choses iront mal, étant à peu près certains qu'elles ne s'amèlioreront pas, et que vous n'hésiterez pas à faire appel à ceux que vous dénoncez pour votre propre sauvegarde.

Comme il doit être frustrant pour les oiseaux de mauvais augure dont tu es que la réalité refuse à ce point de succomber à vos espérances.