Couples mixtes en Israël/Palestine

Ce genre d article rempli de haine et de clichés est à dénoncer !!!!

Mon mari est palestinien, je suis israélienne et de ma vie je n ai jamais vécu

ce genre de situation décrite.

Un phénomène de plus en plus fréquent que plus rien ne peut empêcher, pas même les attentats, se propage en Israël: de jeunes filles juives, souvent issues de familles défavorisées, partent vivre avec des Palestiniens dans les territoires. Ce qui avait commencé comme un conte de fée se transforme pourtant vite en cauchemar une fois sur place.

Selon la rabbanite Baranès elles seraient près de 30 000 jeunes juives à vivre dans les villages palestiniens, privées de toutes leurs libertés. Selon le témoignage de l'une d'elles, elles se retrouvent souvent enfermées dans leur chambre avec un entourage qui les rejette.

La rabbanite Baranès se confronte à la dure réalité de ces femmes et tente de leur redonner goût à la vie après des expériences plus tragiques les unes que les autres. Certaines ont été violées par des clandestins, d'autres sont tout simplement tombées amoureuses de jeunes arabes leur promettant une vie meilleure.

La rabbanite explique qu'au début ils sont de véritables princes aux yeux de ces jeunes adolescentes. Elle se souvient avoir rencontré une jeune fille âgée d'à peine 17 ans avec un bleu dans le cou, mais "il la gâtait, il lui offrait des présents, comme ils le font tous", précise-t-elle. Mais peu de temps après lorsque l'adolescente a voulu mettre un terme à la relation, son concubin a commencé à la frapper.

Mais ce n'est pas là le seul problème auquel elles ont à faire face. Moralement détruites, ces jeunes femmes doivent ensuite assister aux fêtes que leurs maris organisent pour célébrer les attentats contre Israël. "Et nous sommes là, et nous devons y assister en silence", se souvient l'une d'elles.

Ce genre d'histoire se répète, et le phénomène se propage à l'heure actuelle. La cause en est le manque d'attention, comme l'a bien compris Rachel Baranès.

Une des jeunes filles du foyer l'explique: "C'est bien simple, nos parents nous considèrent comme des enfant parmi tant d'autres, à l'école nous ne sommes qu'une élève parmi d'autres, et pour la société nous ne représentons rien non plus.

Et un beau jour arrive où nous représentons tout pour quelqu'un. Ici je suis un joyau alors que là-bas (en Israël, ndlr) je ne suis qu'un grain de sable. Mais une fois arrivée dans les villages, le conte de fée prend fin", raconte-t-elle.

Rachel Baranès a créé l'association Hemla et a ouvert un foyer, dans un endroit qu'elle tient à garder secret, pour recueillir ces jeunes filles désabusées. Actuellement, elle s'occupe de 25 filles qui vivent avec elle dans le foyer.

Avec l'association, elle leur procure le suivi psychiatrique et psychologique par des spécialistes, les assistantes sociales et les avocats. Partie de rien son institution est aujourd'hui une grande entreprise.

sources : Guysen

Ce genre d article rempli de haine et de clichés est à dénoncer !!!!

Mon mari est palestinien, je suis israélienne et de ma vie je n ai jamais vécu

ce genre de situation décrite.

Un phénomène de plus en plus fréquent que plus rien ne peut empêcher, pas même les attentats, se propage en Israël: de jeunes filles juives, souvent issues de familles défavorisées, partent vivre avec des Palestiniens dans les territoires. Ce qui avait commencé comme un conte de fée se transforme pourtant vite en cauchemar une fois sur place.

Selon la rabbanite Baranès elles seraient près de 30 000 jeunes juives à vivre dans les villages palestiniens, privées de toutes leurs libertés. Selon le témoignage de l'une d'elles, elles se retrouvent souvent enfermées dans leur chambre avec un entourage qui les rejette.

La rabbanite Baranès se confronte à la dure réalité de ces femmes et tente de leur redonner goût à la vie après des expériences plus tragiques les unes que les autres. Certaines ont été violées par des clandestins, d'autres sont tout simplement tombées amoureuses de jeunes arabes leur promettant une vie meilleure.

La rabbanite explique qu'au début ils sont de véritables princes aux yeux de ces jeunes adolescentes. Elle se souvient avoir rencontré une jeune fille âgée d'à peine 17 ans avec un bleu dans le cou, mais "il la gâtait, il lui offrait des présents, comme ils le font tous", précise-t-elle. Mais peu de temps après lorsque l'adolescente a voulu mettre un terme à la relation, son concubin a commencé à la frapper.

Mais ce n'est pas là le seul problème auquel elles ont à faire face. Moralement détruites, ces jeunes femmes doivent ensuite assister aux fêtes que leurs maris organisent pour célébrer les attentats contre Israël. "Et nous sommes là, et nous devons y assister en silence", se souvient l'une d'elles.

Ce genre d'histoire se répète, et le phénomène se propage à l'heure actuelle. La cause en est le manque d'attention, comme l'a bien compris Rachel Baranès.

Une des jeunes filles du foyer l'explique: "C'est bien simple, nos parents nous considèrent comme des enfant parmi tant d'autres, à l'école nous ne sommes qu'une élève parmi d'autres, et pour la société nous ne représentons rien non plus.

Et un beau jour arrive où nous représentons tout pour quelqu'un. Ici je suis un joyau alors que là-bas (en Israël, ndlr) je ne suis qu'un grain de sable. Mais une fois arrivée dans les villages, le conte de fée prend fin", raconte-t-elle.

Rachel Baranès a créé l'association Hemla et a ouvert un foyer, dans un endroit qu'elle tient à garder secret, pour recueillir ces jeunes filles désabusées. Actuellement, elle s'occupe de 25 filles qui vivent avec elle dans le foyer.

Avec l'association, elle leur procure le suivi psychiatrique et psychologique par des spécialistes, les assistantes sociales et les avocats. Partie de rien son institution est aujourd'hui une grande entreprise.

sources : Guysen

C'est tendancieux, ton truc. C'est quoi ton point de vue, précisément ?

Que ce n est pas parce que ces filles vivent avec des Palestiniens que toutes vivent un enfer.

comme de partout, il y a des couples heureux et d autres non.

Que les femmes battues en Israël ne le sont pas que par des arabes.

et qu il ne faut pas faire une généralité de faits divers.

30 000 jeunes filles soi disant, et 25 ont été "sauvées" par cette organisation...

Mais à lire l article, on dirait que les 30 000 femmes sont en danger de mort.

hu hu disons qu'en israel ou en palestine, c'est ptêtre pas des destinations de rêve actuellement

Que ce n est pas parce que ces filles vivent avec des Palestiniens que toutes vivent un enfer.

comme de partout, il y a des couples heureux et d autres non.

Que les femmes battues en Israël ne le sont pas que par des arabes.

et qu il ne faut pas faire une généralité de faits divers.

30 000 jeunes filles soi disant, et 25 ont été "sauvées" par cette organisation...

Mais à lire l article, on dirait que les 30 000 femmes sont en danger de mort.

Ah bon, ouf. Je me suis demandé. C'est donc bien un article pour faire passer les Palestiniens pour des vilains personnages. Un peu de désinformation, peut-être.

Que ce soit pas la fête, ceci dit, de vivre dans les territoires Palestiniens, c'est une petite piqûre de rappel qui leur fera du bien, aux Israëliennes qui veulent faire le bien, là-bas, mais avec tout le confort, si ça se trouve ?

La côte israélienne c'est un paradis château.

Il fallait quand même mettre le doigt là-dessus Pascale, à toutes celles qui rêvent d'autre chose et "d'exotisme", de braver l'interdit, il faut les prévenir de ce qui risque de les attendre si elles ne sont pas vigilantes.

On se voit en cachette sur les hauteurs de la ville, c'est beau, c'est l'aventure, mais quand il faut intégrer un cercle familial et faire un choix, le rêve est terminé, l'aventure est terminée, et plus moyen de faire marche arrière.

Elles font de la peine à leur maman, meskina, même si elles n'ont pas de gros moyens à offrir à leur fille, elles mettent la honte sur la famille ces filles.

du grand délire, mais qu elles épousent une petite ordure pas grave du temps qu il soit juif...

ça veut dire quoi ? exotique ?

J ai vécu en Palestine, ça n était pas exotique, mais ce furent de belles années et l intégration s est faite au mieux.

Pourquoi ? Le respect !!! et des deux côtés.

elles mettent la honte sur leur famille ... Du grand délire.. Elles vivent pour elles, et pour leur histoire.

On peut toujours faire marche arrière, faut pas exagérer des filles emprisonnées dans les villages palestiniens ce n est pas à tous les coins de rue.

et je me répète, les centres de femmes battues ne sont pas remplis que de juives battues par des arabes.

Il faut se mettre dans la tête que Palestinien ne veut pas dire forcément le mec violent qui tabasse tous les jours, et que l Israélien c est celui qui honore son épouse...

Les clichés ont la vie dure et cet article pourri n arrange rien.

La côte israélienne c'est un paradis château.

Il fallait quand même mettre le doigt là-dessus Pascale, à toutes celles qui rêvent d'autre chose et "d'exotisme", de braver l'interdit, il faut les prévenir de ce qui risque de les attendre si elles ne sont pas vigilantes.

On se voit en cachette sur les hauteurs de la ville, c'est beau, c'est l'aventure, mais quand il faut intégrer un cercle familial et faire un choix, le rêve est terminé, l'aventure est terminée, et plus moyen de faire marche arrière.

Elles font de la peine à leur maman, meskina, même si elles n'ont pas de gros moyens à offrir à leur fille, elles mettent la honte sur la famille ces filles.

Quelle élégance ! Elles font ce qu'elles veulent, surtout, la vigilance, c'est valable partout sur la planète quand on est une fille.

hu hu disons qu'en israel ou en palestine, c'est ptêtre pas des destinations de rêve actuellement

Pour des vacances ?

si c est sympa

Pour y vivre ?

Je préfère l Europe oui

Je pense que le conte,tieux est tellement enorme entre Israelien et Palestinien qu'il faut une sacré d'ose d'mmour et de tolérance pour passer au dessus,je ne crois pas les familles capable de le faire si elle y arrivent je trouve ça tout simplement merveilleux.

Etant un couple mixte (Français/Marocain) je sais que la question religieuse est trop présente dans le quotidien et dans le milieu familial et qu'il faut vraiement s'accocher dans ces relations.

Faux, il faut surtout mettre la religion de côté pour qu elle ne pourrisse pas la vie.

c est ce qu on a fait, on a des enfants, et aucune religion n est imposée.

du grand délire, mais qu elles épousent une petite ordure pas grave du temps qu il soit juif...

ça veut dire quoi ? exotique ?

J ai vécu en Palestine, ça n était pas exotique, mais ce furent de belles années et l intégration s est faite au mieux.

Pourquoi ? Le respect !!! et des deux côtés.

elles mettent la honte sur leur famille ... Du grand délire.. Elles vivent pour elles, et pour leur histoire.

On peut toujours faire marche arrière, faut pas exagérer des filles emprisonnées dans les villages palestiniens ce n est pas à tous les coins de rue.

et je me répète, les centres de femmes battues ne sont pas remplis que de juives battues par des arabes.

Il faut se mettre dans la tête que Palestinien ne veut pas dire forcément le mec violent qui tabasse tous les jours, et que l Israélien c est celui qui honore son épouse...

Les clichés ont la vie dure et cet article pourri n arrange rien.

Bien sûr exotisme Pascale.

Personnellement, de ce que j'en ai vu, y'a un petit décalage culturel quand même; y'a une autre façon de vivre.

Ca saute un peu aux yeux rien que pour les arabes israéliens musulmans.

Ils sont tous debout à 4H30, droits comme des I, c'est des bosseurs (on retrouve qui sur les chantiers à Jérusalem, sincèrement...), ils ont une certaine discipline de vie personnelle.Sans dénigrer les jeunes israéliens, à part le service militaire, quand il est pas esquivé, c'est un peu "va comme je te pousse".

La fille juive qui va croiser le jeune bosseur, qui présente pas mal, c'est un peu ça "l'exotisme".

Deuxième point, tu sais très bien ce que représente un garçon chez les cisjordaniens, il peut arriver 5 filles avant, mais le jour ou arrive un garçon, c'est la bénédiction de D.ieu, un prince, le fils à sa maman, le frère dont les filles doivent prendre soin, la fierté de son papa, ça vaut de l'or pour eux.

Ils ramènent une juive en cloque chez eux pour épouse -sérieusement Pascale c'est beaucoup ça aussi, des histoires de grossesses- comment réagissent les femmes de la famille, qui le voyait épouser la cousine à Machin ou la fille du frère de XXXXX ?

Elles arrivent chez eux, c'est les femmes de la famille qui la prennent en charge, et si il y a rancoeur ou qu'elles sont revanchardes, bien sûr que ça va être misère pour elles.

Le fils pourra dire ce qu'il veut, elles arrivent dans un clan de femme, et la parole de la famille tout fils qu'il est il n'aura pas à la contredire.

Bien sûr exotisme Pascale.

Personnellement, de ce que j'en ai vu, y'a un petit décalage culturel quand même; y'a une autre façon de vivre.

Ca saute un peu aux yeux rien que pour les arabes israéliens musulmans.

Ils sont tous debout à 4H30, droits comme des I, c'est des bosseurs (on retrouve qui sur les chantiers à Jérusalem, sincèrement...), ils ont une certaine discipline de vie personnelle.Sans dénigrer les jeunes israéliens, à part le service militaire, quand il est pas esquivé, c'est un peu "va comme je te pousse".

La fille juive qui va croiser le jeune bosseur, qui présente pas mal, c'est un peu ça "l'exotisme".

Ah les filles, les filles. Moi c'est pareil, un mec bien bronzé tout musclé sur un chantier, c'est l'exotisme social. Je ris.

Lis l'article Pocahontas, il est dit que souvent ces filles israéliennes ne sont pas de rang social élevé.

Ne pars pas sur un point de vue occidental, exotisme social ou autre.

Comme en France Pocahontas, il y a des filles comme ça qui seront attirées par de jeunes maghrébins, qu'ils soient fils de restaurateurs connus ou galériens, l'exotisme ça marche aussi à l'envers si tu veux.

Alors explique moi le rapport entre rang social pas élevé et tentation de l'exotisme, parce-que ça me saute pas aux neurones.

Bonté, je ne me retrouve sur aucun de ces cliches, rang social.. famille défavorisée ...

si, mon cher et tendre est dans le bâtiment, mais en tant qu entrepreneur.. rires !!!!

et je ne me suis pas retrouvée en cloque au milieu de la smala..

Le (prétendu) rêve, vivre autre chose, le changement, elles pensent que ça va les sortir un peu de leur quotidien, le besoin de donner un sens à leur vie (avant de se rendre compte que finalement...), être pour une fois au centre d'un mini-scandale familial pour attirer l'attention, situation dont elles ne mesure pas la portée en vérité, des gens à qui elles croient ressembler un peu, l'originalité de l'union, l'aventure, la prise de risques, la vulnérabilité de ces filles, etc...

Bonté, je ne me retrouve sur aucun de ces cliches, rang social.. famille défavorisée ...

si, mon cher et tendre est dans le bâtiment, mais en tant qu entrepreneur.. rires !!!!

et je ne me suis pas retrouvée en cloque au milieu de la smala..

C'est toi qui a évoqué le rang social de ces jeunes filles Pascale.

Je n'en fais pas une généralité, mais il y a aussi une certaine réalité à prendre en compte aussi.

Les grosses avant-mariage, je ne l'invente pas, l place du garçon dans la famille arabe, non plus.

As-tu, Pascale, toi qui es mariée a un arabe, le sentiment d'être dans la majorité des couples mixtes ayant passé les obstacles, une parmi tant d'autres, ou au contraire tu as l'impression d'être plutôt dans une minorité de femmes, presque l'exception qui confirme la règle ?

Le (prétendu) rêve, vivre autre chose, le changement, elles pensent que ça va les sortir un peu de leur quotidien, le besoin de donner un sens à leur vie (avant de se rendre compte que finalement...), être pour une fois au centre d'un mini-scandale familial pour attirer l'attention, situation dont elles ne mesure pas la portée en vérité, des gens à qui elles croient ressembler un peu, l'originalité de l'union, l'aventure, la prise de risques, la vulnérabilité de ces filles, etc...

D'accord. Alors, vu le nombre de filles concernées, 30.000 c'est énorme, faut-il comprendre que parce-qu'elles sont de milieu modeste elles ne trouvent pas à se marier dans leur pays, Israël ?

Je te vois venir , non ce n'était pas vraiment mon propos.Je n'ai pas dit qu'il y avait des castes en Israël comme en Inde.

Y'a un degré de vulnérabilité qui est peut-être plus grand.C'est un peu ce que l'auteur de l'article, qui n'est si révoltant que ça, tend à montrer.

Mais Pascale, sinon, tes enfants sont quoi ?

Parce que ça se transmet par la mère le judaïsme, et l'islam par le père.

Ca donne quoi ? musujuif ? jusulman ? il se barre en courant se réfugier chez jésus "laissez moi tranquille", enfin je veux dire ça se passe comment ? Tes enfants ont au moins fait leur Bar Mitzvah.