Deux mots d'humour

Pour semer le vent et récolter la tempête, il faut quand même avoir un grain.

C'est triste tous ces gens qui passent leur temps à attendre que ça se passe. Surtout quand même avec le temps ça ne leur passe pas.

Les individus que l'on porte au pinacle ne sont pas toujours bien élevés, c'est un faîte.

Les jours sans, il faut faire avec.

Rions avec les JO

On dit souvent que le sport c’est la santé, mais cette année avec l’enchaînement Euro de Foot, Tour de France et Jeux Olympiques le risque est grand de se blesser avant la fin août.

Vous allez me rétorquer que les risques sont du côté des sportifs, que Nenni ! Le bière-elbow, le claquage post-but dans le temps additionnel, l’extinction de voix ou la surdité précoce liée à l’extinction de voix du voisin, le dopage pour tenir jusqu’au bout de la nuit, autant de problèmes qui peuvent finir par interrompre une carrière de spectateur avant la fin du match.

Car malheureusement, même s’il a toujours un avis averti sur tous les sports, le spectateur n’est pas toujours, loin de là, un sportif averti. Le sport c’est le dépassement de soi et il faut bien reconnaître que pour beaucoup ça les dépasse. Autant l’homme peut être fort devant les faibles, autant il est clair qu’il est plutôt faible devant l’effort. Admettons au passage que garder la forme en perdant des formes est un objectif d’une ambigüité à semer le doute dans une armée de djihadistes.

Par bonheur, dès qu’il s’agit de regarder les autres se dépasser, le courage revient au galop comme au sortir du virage de la rivière des tribunes à Auteuil.

On en est parfois à se demander si le spectacle du sport ne se résume pas en quelque sorte à une majorité de sadiques encourageant une minorité de masochistes.

Mais comme le disaient Pierre de Coubertin et la Française des jeux, l’important c’est de participer.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

On ne peut pas plaire à tout le monde, n'en déplaise à certains.

Beaucoup font l'éloge du théâtre dans l'espoir d'en faire un jour la scène.

Il y a ceux qui respirent la santé et ceux plus nombreux qui sentent la transpiration.

La priorité est adroite car elle privilégie l'essentiel.

Partir ou rester

Le referendum qui vient d’avoir lieu au Royaume-Uni remet en lumière cette question existentielle qui hante l’esprit des hommes depuis qu’en 2250322 avant JC un Australopithèque dont j’ai oublié le nom a longuement hésité à quitter sa grotte à cause d’un voisin qui soufflait dans une corne à des heures indues, faut-il partir ou rester ?

To kit or not to kit comme disait Shakespeare devant l’un des tout premiers magasins Ikea de Londres, là est toujours la question.

Vous me direz à juste raison qu’à partir du moment où l’on reste, la question ne se pose plus. Certains néanmoins partent sans même demander leur reste pendant que d’autres, plus nombreux, restent en en prenant leur parti. Reconnaissons toutefois que bien souvent l’homme préfère partir que de se contenter des restes.

Mais à trop vouloir rester, le risque est grand que l’on vous prenne à partie en vous traitant de demeuré. On n’en sort pas. J’en reste là et je vous quitte car on finit toujours par partir un jour, du reste.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

De toutes les pommes c'est celle de discorde qui génère le plus de pépins.

Le problème avec les dialogues de sourds est de réussir à trouver un terrain d'entente.

Quand ce n'est vraiment plus de son ressort, mieux vaut rebondir ailleurs.

On utilise le même terme de cortège pour un mariage et pour un enterrement, ça doit être un signe...

La France du Tour

Le Français n’étant plus à une contradiction près, plus de deux cents ans après la révolution il persiste à vouer une admiration sans bornes, voire deux cent cinquante sur les étapes les plus longues, à la petite reine.

Tous les ans au mois de juillet, la ferveur populaire sur les routes du Tour de France est telle que beaucoup n’ont pas hésité à se serrer la ceinture pour assister à la Grande Boucle.

Ses admirateurs se déplacent fréquemment en famille et il n’est pas rare de constater la présence d’une tante à proximité de la caravane du Tour. Plus la route s’élève, plus la présence du public atteint des sommets et on ne compte plus les adorateurs du Cochonou massés dans les lacets à attendre le coup de pompe des forçats de la route en quête d’un maillot à pois rouge. Et du cadre au travailleur à la chaîne, pendant trois semaines la tête dans le guidon et le soleil dans les rayons, c’est toute la France qui se prend à rêver que la roue tourne enfin, car comme le disait Antoine Blondin, cet éternel amoureux du Tour, l’homme descend du songe.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

J'aime beaucoup m'élever contre la bassesse, ça ne me demande pas énormément d'efforts.

Ceux qui nous cassent honteusement les noix feraient mieux de faire amende honorable.

Il est beaucoup plus courant de vivre à la fortune du pot que d'avoir le pot de faire fortune.

Sachant que nous ne sommes qu'un grain de poussière dans l'Univers, j'hésite toujours un peu avant de passer l'aspirateur.

Chapelier ayant perdu la tête recherche collaborateur travaillant du chapeau.

Vendeur de tissu à la criée recherche associé ayant l’étoffe des hérauts.

Faits divers : Robert, bonnetier à Villeneuve Saint-Georges en vacances dans le Tarn, a fait une chute mortelle en recherchant une vue plongeante sur les gorges.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

Quand je me regarde tous les jours dans la glace, je me dis que le verre est une matière qui vieillit mal.

Certains jours je me demande si l'infâme n'est pas l'avenir de l'homme.

On passe sa vie à serrer des mains alors qu'on ferait mieux de se serrer les coudes.

Laisser passer sa chance c'est ne pas avoir la priorité adroite.

Pottier pessimiste sur l’avenir du monde vend Terre cuite.

Cyclotouriste mélomane originaire de Haute-Garonne échangerait boléro de Ravel contre beau vélo de Revel.

Faits divers : un critique littéraire condamné pour attaque à Mallarmé.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

Remplacer le sale air de la guerre par une fiche de paix.

Il y a pire que la bêtise humaine, la bêtise inhumaine.

On paie les gens avec un lance-pierre et après on s'étonne qu'il y ait des frondes.

A trop lever le coude, on finit par devoir lever le pied.

L'adepte du voyeurisme est notoirement bête comme s'épier.

Bouchons de campagne

Chaque année à la même époque, nous assistons à un phénomène de masse qui de mémoire d’automobiliste ne se produit jamais en mars, le chassé-croisé des juillettistes-aoûtiens. Eh oui, alors que certains esprits tournés vers les Croisés moyenâgeux vilipendent le métissage, une écrasante majorité de vacanciers n’hésitent pas à se croiser dans l’atmosphère moite d’habitacles surchauffés, cul à cul sur l’asphalte brûlante au point de manquer d’aires.

Rien n’y fait, même les plus chevronnés, ceux qui qui ont connu les embouteillages alors que le bison n’était pas encore futé, tombent dans le piège infernal des bouchons. Voir autant de tires dans ces fameux bouchons sans espoir d’un écoulement fluide est à désespérer de Saint-Emilion sans parler de la perspective d’attendre la Côte de nuit sans en boire une goutte. A vous faire voir rouge en broyant du noir.

Cette lente procession de fidèles tel un pèlerinage vers les lieux saints, Saint-Tropez, Sainte-Maxime pour ne citer qu’une paire de Saints, s’apparente à un chemin de Croix-Valmer dont le calvaire ne prend fin qu’aux abords de Cavalaire.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

Un imprimeur qui a mauvais caractère fera toujours mauvaise impression.

Paradoxalement le mot folie s'écrit sans C.

Le meilleur moyen de ne pas adhérer est de s'inscrire en faux.

Paradoxalement les gens imbuvables arrivent à nous saouler.

Les cons c'est comme les trains, il y en a toujours un pour en cacher un autre. Et au train où vont les choses, je crains qu’on ne soit pas sur la bonne voie.

Histoire de jeux

Alors que s’ouvrent les 31èmes jeux olympiques d’été de l’ère moderne, il n’est pas inutile de rappeler que leur origine remonte à l’Antiquité. Je précise pour les plus jeunes lecteurs que l’Antiquité est une période très antérieure aux années de naissances de leurs parents, c’est dire à quel point c’est ancien.

A cette époque où d’un caprice des Dieux on faisait tout un fromage, les corps nus des concurrents ne laissaient aucune place à la pub et même les vainqueurs ne se faisaient pas de couilles en or, tout juste pouvaient-ils s’endormir sur leurs lauriers, et encore, pas trop longtemps. En ces temps reculés pour mieux sauter, on se piquait au jeu dans le seul but d’en tirer son épingle sans crainte de se faire épingler.

Les droits de diffusion des images n’atteignaient pas encore des sommets, la télé et les Mac étant encore loin d’atteindre la notoriété de Télémaque qui tout jeune déjà Prométhée beaucoup.

Le nombre des épreuves était beaucoup plus limité qu’aujourd’hui, on courait, on sautait, on lançait, on boxait, on montait à cheval et pas seulement de Troie, mais on ne pratiquait aucun sport d’équipes, la guerre n’étant pas épreuve olympique par la faute de règles strictes n’autorisant pas les participants à tuer leurs adversaires. Aucune épreuve de voile ou de surf non plus, la mode d’alors étant plutôt aux bateaux à Ulysse. Et ne parlons pas des épreuves cyclistes là où les Cyclades n’avaient pignon que sur la mer. Je rappelle également que le statut des femmes n’était guère enviable chez les hellènes, pas plus que chez les Pénélope soit dit en passant, l’entrée des stades leur étant interdit et Hélène Ségara n’ayant pas encore lancé son premier disque.

Mais quelles que soient les épreuves, le but du jeu de tout participant était comme aujourd’hui de l’emporter et de rejoindre ainsi les Dieux au sommet de l’Olympe, la Française des jeux n’ayant pas encore lancé son fameux « l’essentiel c’est de participer », célèbre slogan repris par un Baron non moins célèbre qui donnera plus tard son nom au stade Pierre de Coubertin.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

Contrairement à Dieu, je ne me fais jamais prier pour ne rien faire.

Je me méfie beaucoup des gros dormeurs, trop au lit pour être honnêtes.

Même au volant d'un véhicule de courtoisie le Français réussit à véhiculer la grossièreté.

En France les cartes ont été redistribuées quand les rois sont passés à l'as.

Opportuniste vend livres d’occasions.

Daltonien recherche endroit pour se mettre au vert et retrouver des couleurs.

Chômeur belge ne sachant pas quoi faire de ses dix doigts recherche poste dans une boîte de Gand.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

Chômeur belge ne sachant pas quoi faire de ses dix doigts recherche poste dans une boîte de Gand.

C'est le monde à l'Anvers.

C'est toujours dans les gants que les os s'tendent. :)

Ne pas avoir d'esprit n'a jamais empêché personne de rendre l'âme.

Ce n'est pas parce qu'on a du mal à dessiner à main levée qu'il faut baisser les bras.

La différence entre un aspirateur et un conspirateur est que le conspirateur n'aspire qu'à pomper l'air aux autres.

Si tous les morts de rire l'étaient vraiment, les pompes seraient moins funèbres.

Jeune fille au pair de Lunel recherche emploi dans la ville de Vayres.

Informations municipales : l'incompréhension autour de l'arrêté interdisant le stationnement des Mobil-Homes a été levée.

La librairie Lepage vous informe que le stock de « comment vaincre la fatigue en restant couché » de Robert Flagada est épuisé.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

Quel esprit Monsieur Pierre de Jade!

Au moins, vous n'êtes pas un simple d'esprit!

J'ai beaucoup apprécié de vous découvrir et vous en remercie

Les gens qui ont de l'esprit se rencontrent . :)

Ne pas avoir d'esprit n'a jamais empêché personne de rendre l'âme.

L'absurde n'est qu'un bon sens qui a mal tourné.

Le problème avec les personnes atteintes de dépression est qu'elles sont incapables d'apprécier un anticyclone.

Les gens qui ne marchent pas droit finissent par mal tourner.

La rentrée est de sortie

Il n’y a plus aucun d’août, voici venu le temps des rentrées.

La rentrée littéraire, celle où paraissent les bonnes feuilles avant qu’elles ne tombent, où les éditeurs tirent la couverture à eux pour faire la première page des journaux.

La rentrée scolaire connue également sous l’appellation rentrée des classes, celle où l’écolier choisit sa place, au premier rang pour le premier de la place, près du radiateur pour ceux qui sèchent les cours, où seuls les cahiers à spirales se tiennent à carreau et les internes ne font plus le mur que sur Facebook.

La rentrée politique moins connue sous le nom de rentrée des crasses, avec son cortège d’universités d’été et ses participants qui n’ont plus toutes leurs facultés et ne pensent qu’aux primaires, tout le reste étant secondaire. Il est d’ailleurs paradoxal de constater que dans ces universités de rentrée, personne ne fait court et le bon sens est de sortie.

N’attendez en revanche aucune rentrée d’argent dans cette période de retours, quel que soit votre niveau de revenus.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

Tout individu ne parvenant jamais à se concentrer finit inéluctablement par passer pour un peu con sur les bords.

L'homme est plein de contradictions. Il y en a même qui sont capables d'emprunter un raccourci pour aller chercher une rallonge.

On croit se marier avec une sirène et on déchante quand l'histoire se termine en queue de poisson.

Parler de paix à un terroriste est à peu près aussi efficace que de proposer un après-rasage à une première communiante.

Profession prof

Etre prof de nos jours n’est pas un métier facile. Le moindre faux pas et vous vous retrouvez cloué sur un mur Facebook entre la dernière tenue de Beyoncé qu’est super top et ma cop Clara que j’kiffe grave.

A l’ère du sans-fil, il n’est plus rare d’en voir certains péter un câble alors que des élèves insupportables consultent leur portable à leur insu.

L’enseignement peut même assez vite devenir un chemin de croix virant au calvaire quand les parents ont déjà fait une croix sur l’éducation. De mémoire de profs, on n’a jamais autant vu d’enfants décrocher depuis qu’ils sont connectés. Garder la motivation pour faire cours reste difficile quand les élèves trouvent le temps long en cours, même s’il est bien connu que c’est dans la difficulté que l’on apprend le mieux, enfin c’est ce que l’on m’a appris non sans mal alors que j’avais des facilités.

Réussir à capter l’attention de sa classe même en l’absence de 4G, voilà le véritable Graal du prof, le nirvana du savoir-faire dans le domaine du faire savoir, et pour lui c’est sans aucun doute apprendre ou à lasser.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

Ma voisine me dit que pendant mon absence, dans le quartier, on a fait une récolte de denrées non périssables en faveur des pays atteints par la famine ...

- j'y ai mis aussi mon livre Apprendre à tricoter..

- ah bon ? pourquoi ?

- maîtriser l'art des doubles côtes ça peut toujours servir !

:D

Si on laissait plus souvent la parole aux muets, on entendrait moins de conneries.

Passer sous silence une information peut sur un malentendu finir par faire du bruit.

Un malheur ne venant jamais seul, je préfère inviter le bonheur, ça me coûte moins cher.

Les gens qui ont du mal à se reconstruire ont souvent l'air défaits.

Ça compte un parrain

La course effrénée aux parrainages pour la primaire de droite a remis en lumière l’importance de la présence des parrains ou des marraines dans la société d’aujourd’hui.

Pour s’en convaincre, il suffit de constater que sans Marennes les huîtres seraient beaucoup moins célèbres et passeraient même pour creuses. Le parrain c’est un peu le piston qui fait tourner le moteur de la réussite.

Certains médisants diront par dépit ou jalousie de ne pas avoir de parrain qu’une connotation mafieuse est sous-jacente à ce terme. C’est exagéré car si l’on reste dans le domaine de la politique, il est encore possible de trouver certains élus ou candidats qui n’aient aucun rapport de près ou de loin avec une quelconque mafia, enfin c’est ma marraine qui me l’a dit.

Pas un seul produit majeur ne sort sans son parrain ou sa marraine, y compris chez le constructeur automobile indien Tata, ce qui soit dit en passant relève d’un manque flagrant de maturité et d’un ineffable infantilisme.

Et que dire de certains cercles fermés qui le resteront si un parrain ne vous en donne pas les clés et vous laisse comme jadis une mariée sans trousseau. Comme le disait en chanson Charlélie Couture qui s’y connaissait en trousseau, on ne présente pas de nouvel avion sans marraine car ce serait comme un avion sans elle.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

De par sa position spatiale, même quand il va de l'avant l'homme tourne en rond. On n'est pas sorti de l'auberge.

On commence par maudire sans mot dire pour finir par médire avec des mots durs.

A force de se lever avec les poules on finira par y laisser des plumes.

Ce n'est pas en prêchant un convertible que vous en ferez un saint siège.

Collection d’Automne

On a beau se dire qu’il n’y a plus de saison ma bonne dame, on en change toujours au moins quatre fois dans l’année si je ne compte pas la saison 5 de la série Ne me dérangez pas quand je suis sur le trône.

Là par exemple nous allons entrer résolument dans l’automne d’un pas décidé sans marcher dans l’amer, avec le sentiment diffus que l’été même indien est en train de perdre des plumes.

L’automne, la saison qui par ses couleurs éclatantes et néanmoins chatoyantes détonne sans payer de mine, celle où la nature se dénude pendant que l’homme se rhabille. La saison où la chasse aux champignons dans les bois succède à la récolte des mycoses sur les plages, où chaque année des experts en mycologie appliquée dotés pourtant d’un nombre de printemps respectable s’appliquent assidûment à garnir la rubrique faits d’hiver des canards locaux en faisant retentir les trompettes de la mort à défaut du bolet rond de Revel.

N’oublions pas non plus qu’elle nous rappelle chaque année que l’homme est capable du meilleur comme du pire, les foires aux grands crus laissant place à l’arrivée du Beaujolais nouveau, breuvage illustrant avec une assiduité digne de son acidité qu’il n’y a pas plus infâme qu’un jeune qui refuse de vieillir en prenant de la bouteille.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

Ce n'est pas parce qu'on ne réussit pas toujours haut la main qu'il faut baisser les bras.

Souhaiter arriver à bon port quand on prend l'avion doit remonter à l'époque où l’on voyageait en Caravelle.

Parfois, quelques mutines rient dans les prisons.

Avec le facteur chance la malchance ne fait pas un pli.

Foire aux vins

Chaque année à la rentrée c’est l’embouteillage dans les rayons des supermarchés, on fait la queue pour atteindre des caisses dont le contenu a été très souvent élevé en fût de chêne contrairement aux caissières qui n’ont pas toujours été bien élevées à Bordeaux, mais ça n’a rien à voir. C’est un peu la foire et beaucoup la foire aux vins.

Quand il s’agit d’inventer le principe de la relativité on ne trouve personne ou presque mais quand il s’agit de picoler ça bouchonne. C’est bien connu, dans chaque Français il y a un sommelier qui sommeille, plus expert il est vrai en grosses cuites qu’en grands crus.

On y trouve des gros négociants et des petits récoltants, même si je vous l’accorde à Nœux comme ailleurs qu’il est très rare que les petits récoltent quand les gros négocient. Et si certains sont riches comme Bacchus, ou Crésus, je les confonds toujours à la fin de la dégustation gratuite, d’autres passent pour des caves dans la profession.

Dans tous les cas comme on dit chez Nicolas, pour réussir dans la vie la consigne c’est de se mettre au goulot.

A la bonne vôtre !

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

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Dans tous les cas comme on dit chez Nicolas, pour réussir dans la vie la consigne c’est de se mettre au goulot.

Ce mec est bourré de talent !