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Nouvelle théorie d'unification de la physique à particule unique

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alexandreW

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
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La mécanique quantique est basée sur l'expérience des fentes comme l'a montrée Galium, j'ai repris le premier chapitre du FEYMAN, pour une onde dans l'eau, on observe ceci (voir le fichier interférence avec eau)

On observe une intensité I au niveau du détecteur =|h1|² si le trou 2 est fermé et |h2|² si le trou 1 est fermé l'intensité au niveau du détecteur est une mesure d'énergie c'est la raison pour laquelle elle est proportionnelle au carré de la hauteur de la vague.

Quand les deux trous sont ouverts, on a des interférences entre les vagues venant de 1 et de 2 ce qui explique que l'on observe une hauteur de vague maximale entre les deux trous avec des additions d'onde (vague haute) et des soustraction d'onde (addition destructive) ou il n'y a pas de vague.

Ceci est valable pour des ondes pures, en observant les vagues on ne gène pas les interférences avec nos yeux, si je mettais des ballons pour mesurer leur variation de hauteur je pourrais gêner les vagues si mes ballons étaient trop lourds, bref...

Pour les particules ça se corse, prenons le cas d'un canon à électron, il existe une différence de potentiel entre l'émetteur et la plaque ou s'écrase l'électron voir l'image "électron sans lumière"

Même expérience que pour l'eau, mais cette fois-ci on envoie électron par électron.

Le détecteur émet un clic à l'endroit de l'impact, phi est le nombre d'impacts par seconde à une coordonnée x donné de l'écran de réception. I qui est une mesure de l'énergie est proportionnelle à |phi²| (P probabilité d'impact) (chaque impact a la même vitesse et même quantité de mouvement)

On peut voir que quand on n'ouvre que 1 ou 2 on observe une cloche d'aspect Gaussien.

Mais là ou ça devient étrange, c'est quand on ouvre les deux trous en même temps on observe les vagues d'interférence comme pour l'expérience avec l'eau

éa veut dire que l'électron interféré avec lui même pour créer ces images d'interférence, hors il est censé être une boule bref une particule, c'est comme si cette boule prenait plusieurs chemins en même temps dans ce cas P est différent de P1+P2 comme le montre le shéma de la figure, cette boule va se comporter à la fois comme une onde et une particule.

On peut observer les électrons en les éclairant, on va voir un éclair passer dans le trou 1 ou le trou 2

Dans ce cas on observe un résultat très étrange (voir le fichier électron avec lumière)

L'électron se comporte cette fois-ci comme un boule pure (P=P1+P2 sans interférence)

Quand on augmente la longueur d'onde de la lumière pour ne pas déranger les électrons et continuer à la observer jusqu'à la lonngueur d'onde = distance trou 1 trou2 on ne peut plus savoir avec ce type de lumière si l'électron passe par le trou 1 ou 2 alors là accrochez vous...

Les franges d'interférences réapparaissent.

Tout se passe comme si le fait d'observer les électrons les perturbaient et ils ont honte de se comporter comme des ondes (ils sont timides).

Vous avez là les principes fondamentaux de la mécanique quantique:

P probabilité

phi amplitude de probabilité (nombre d'impacts par seconde par exemple)

P peut être considéré comme une mesure de l'énergie des sommes des impacts à la coordonnée x.

Lorsqu'il est impossible de prévoir par ou va passer la particule:

phi= phi1 +phi2

P=|phi1+phi2|² différent de phi 1²+phi 2 ² dans le cas de l'eau on rajoute 2 phi1 phi2 cos delta (différence de phase entre les deux ondes) mais l'eau n'est pas une particule...

lorsqu'il est possible de prévoir la position de la particule dans cas l'égalité ci-dessus est vraie.

Je vous parlerai dans quelques heures du principe d'incertitude et vous montrerai une explication intuitive du mécanisme de la mécanique quantique avec enfin une explication moins extravagante que le fait d'observer la particule la rend timide...

post-130545-1289664281_thumb.jpg

MECANIQUE_QUANTIQUE1.zip

MECANIQUE_QUANTIQUE2.zip

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
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Dans la théorie à particule unique, l'électron est une boucle de corde du superfluide sortant de la masse.

Dans le cas de cette expérience,il existe une mise en tension des lignes du superfluide par une différence de potentiel.

L'électron est une boucle de ces cordes produite par chauffage d'un fil de tungstène.

La boucle est alimentée par des Us de la dimension du dessous (univers de la dimension du dessous)

A la base de la boucle il y a un arrêt redémarrage du mouvement à la base de l'onde Gamma 3 longitudinale (voir les DOC du forum)

Cette fréquence gamma 3 joue le rôle de générateur d'onde pour la boucle qui du coup vibre en permanence l'oscillateur concerné peut être considéré comme un oscillateur forcé avec une force Fo qui correspond à la force d'arrêt de la corde en base de boucle

On peut écrire F=Fo cos wt ou w est la pulsation

L'électron libre dans l'espace est de grand diamètre car il n'échange plus avec un nucléon.

L'attache en base de boucle nécessite une énergie Ed pour être décrochée et raccrochée avec changement de diamètre de ma boucle.

L'électron sans lumière se comporte alors comme une sorte gros BLUB si on la regarde avec une faible vitesse d'obturation avec une caméra virtuelle, celui suit le trajet d'une ligne de champs électrique (il prend le train, je plaisante).

Quand il rencontre la première paroi par exemple entre le trou 1 et 2 plus près de 1 la boucle va déborder plus dans le trou 1 et aussi dans le trou 2 avec une boucle moins grande voir le fichier INTERF CORDE sans lumière.

Il va alors interférer avec lui même déviant la plus grosse boucle vers la gauche, ensuite, la petite boucle est réaspirée par le mouvement dans le trou 1 et l'électron tape la paroi de détection avec un déviation vers la gauche à cause des échanges des cordes de la dimension du dessous entre la petite boucle et la grande boucle qui a créé une force transversale.

Pour expliquer l'action de la lumière, on va faire appelle à l'énergie de décrochage Ed de la base de boucle de l'électron.

Quand nous sommes avec de la lumière, l'énergie lumineuse apportée à la boucle est égale à hv (v fréquence de l'onde lumineuse ou h/l, l longueur d'onde)

Cette onde lumineuse met en résonance les lignes de champs électriques qui donc se tendent (freq= 1/2pi sqr(k/m-h²/2m²))k est la raideur de la corde h le coefficient de frottement de la corde m la masse de la corde.

Quand l'électron arrive à la paroi, il est dans un compartiment sans lumière et arrive dans un compartiment avec lumière.

Le blob commence à rentrer soit dans le trou 1 soit dans le trou 2, l'énergie lumineuse hv si elle est supérieure à Ed va entraîner le lachage de la base de boucle et étant donné que les lignes de champs électriques sont tendues la boucle va brutalement se réduire de volume jusqu'à sa taille minimum d'équilibre, ce qui explique que l'électron ne peut interférer avec lui-même et ne peut pas faire de frange d'interférence.

Si la longueur d'onde devient supérieure à la distance 1-2 , l'énergie de la lumière devient insuffisante pour tendre efficacement les lignes de champs électrique par la mise en résonance, et l'énergie apportée est inférieure à Ed ce qui explique pourquoi on observe à nouveau les interférences et de plus l'onde de pression lumineuse atteint la première boucle puis l'autre partie de boucle et non en même temps (ce qui fait ressortir les deux boucles dans le premier compartiment)

VOIR le fichier interf corde lumière.

Les boucles d'électrons vibrent à une fréquence qui dépend du diamètre de la boucle, de la fréquence gamma 3 qui elle même dépend de la distance à la masse émettrice et de la différence de potentiel qui empêche le ralentissement de Vu.

L'énergie de cet électron va surtout dépendre de la différence de potentiel appliquée entre l'émetteur et la plaque de capture.

Je sens qu'on va discuter...

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
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Tout le problème de la réduction d'un état quantique intriqué se concentre sur l'observation.

Quand on observe on réduit un état intriqué (par exemple un électron prenant deux chemins en même temps, l'électron interfère avec lui même) en une physique de particule simple ou il n'y a pas d'interférence.

Le photon casse cet état ou l'électron se comporte comme une onde.

Il faudrait pouvoir observer les électrons sans les observer comme dans le mythe de Méduse pour pouvoir observer le comportement de l'électron sans qu'il soit réduit à une charge ponctuelle.

Dans le Pour la science de Juillet, il y a un article qui parle d'un détecteur capable de détecter un objet sans interagir avec lui, on utilise un seul photon qui interagit avec lui même (c'est ça le miracle de la mécanique quantique), une particule peut occuper tout un espace de probabilité et n'occuper qu'un seul point quand on veut l'observer.

Dans la théorie à particule unique,il faut définir ce qu'est une particule de la physique classique:

Toutes les particules de la mécanique classique sont soit des boucles de ligne gravitationnelles,de lignes de champs électrique et plus à distance de la masse, de ligne du superfluide (qui sont des lignes de champs électrique une très faible tension mécanique) soit des vibrations transversales de corde à corde, soit une torsion axiale d'un corde.

L'énergie de la particule est donc :

-1)soit en rapport avec la fréquence de vibration de corde à corde E=hW/2pi (w pulsation =2pi freq)

- 2)soit en rapport avec l'énergie contenue dans une torsion mécanique d'une corde dans le cas d'une torsion simple d'une corde qui a une raideur k, E= k x² ou x est l'angle maximal de rotation

-3)soit en rapport avec une boucle, dont la formule de l'énergie potentielle est plus complexe, elle dépend de la raideur de la corde k, du diamètre de la boucle (plus la boucle est grande moins l'énergie potentielle est importante) et enfin et surtout la tension de la corde.

Les particules libres dans l'espace sont des figures des cordes du superfluide.

Dans le cas de l'expérience des électrons avec deux fentes , les électrons produits sont de diamètres variables en fonction de leur énergie initiale, en appliquant une différence de potentiel entre l'émetteur et le capteur, on tend les lignes de champs électrique du superfluide (qui est l'extension des lignes de champs électrique des masses).

Les chocs entre les cordes sont considérées comme élastiques à cette échelle.

La vitesse des U dans les cordes est relativement constante (V superfluide) qui est à peut près la même que dans les cordes de tous les champs électriques, ceci entraîne une fréquence gamma 3 constante dans la boucle de l'électron (la base de boucle de l'électron se comporte comme un générateur de fréquence) la boucle se comporte alors comme un oscillateur forcé.

Je n'ai pas d'idée approximative de la vitesse V superfluide, mais intuitivement, il devrait être de plusieurs facteur de 10 fois c ainsi que la fréquence de balayage de la boucle d'électron dans l'espace doit être extrêmement élevée entraînant un "décrantage" de la base de boucle par la force centrifuge à l'origine d'une diamètre très important de l'électron.

Quand cet électrons arrive dans les fentes de l'expérience, il faut imaginer que la vitesse de balayage de la boucle est beaucoup plus importante que la vitesse d'avancement de la boucle de l'émetteur vers le récepteur.

La boucle se déforme déborde dans les deux fentes, les deux hémiboucles peuvent alors interférer entre elles de l'autre côté de la paroi (ce qui se réalise à une certaine distance de la paroi qui dépend de la distance entre les deux fentes) une des deux hémiboucles prend l'avantage et réaspire l'autre hémiboucle dans la fente, le trajet de l'ensemble de la boucle a ainsi été dévié.

En présence de lumière dans le deuxième compartiment, les photons étant des vibrations transversales

Les vibrations des corde d'éther transversales se comportent comme une onde de pression empêchant l'entrée dans les fentes d'une grande boucle distendue, ces onde de pression entraine une augmentation de la tension des cordes du superfluide qui réduit fortement le diamètre de la boucle , l'électron se comportera alors comme une particule et non comme une onde.

A noter que si nous rapprochons les capteurs de la paroi aux deux fentes, la dualité onde particule disparaît.

Ce qui montre bien qu'il faut une certaine distance pour que les interférences se réalisent (chapitre 2 du FEYNMAN)

Tout ceci a pour but de parler plus tard de la téléportation quantique (je pense qu'une machine à téléporter est imaginable permettant des transports de masse à des vitesses très largement supraluminiques)

Je pense que Gallium pourrait vous expliquer mieux que moi les paradoxes de la mécanique quantique (c'est son pain quotidien)

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Invité Gallium
Invités, Posté(e)
Invité Gallium
Invité Gallium Invités 0 message
Posté(e)

Merci de la proposition, mais je n'ai vraiment pas le temps, je risque d'être occupé par mes travaux personnels jusqu'aux vacances. Je passe rapidement en semaine pour lire les réactions sur le forum, mais n'ai pas vraiment le temps d'y réagir. Je te laisse donc le soin d'expliquer ces paradoxes.

Cordialement

G@llium

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Membre, Posté(e)
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Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bien rédigé, mais je ne saurais réagir sur ce domaine qui n'est pas le mien. Mais merci j'ai appris des choses :rtfm:

:yahoo:

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On dit que les scientifiques sont interressés par les jeunes car ils ont plus d'imagination que nos "vieux" scientifique. Donc ton emoti et ton image tu te le fous dans ton imagination et ne ressort plus de telles bêtises.

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
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Merci de la proposition, mais je n'ai vraiment pas le temps, je risque d'être occupé par mes travaux personnels jusqu'aux vacances. Je passe rapidement en semaine pour lire les réactions sur le forum, mais n'ai pas vraiment le temps d'y réagir. Je te laisse donc le soin d'expliquer ces paradoxes.

Cordialement

G@llium

Merci Gallium, bon boulot (j'imagine que tu finis des travaux de recherche)

A dans 1 mois

Amitiés

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)
Bien rédigé, mais je ne saurais réagir sur ce domaine qui n'est pas le mien. Mais merci j'ai appris des choses :yahoo:

On dit que les scientifiques sont interressés par les jeunes car ils ont plus d'imagination que nos "vieux" scientifique. Donc ton emoti et ton image tu te le fous dans ton imagination et ne ressort plus de telles bêtises.

Merci pour ce compliment

Bonne soirée

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
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Le chat de Schroedinger tant qu'il est bien isolé du monde extérieur et qu'il ne peut interagir avec ,il peut être mort et vivant en même temps, c'est ce qu'on appelle la superposition d'états en mécanique quantique, honnêtement, vous trouvez pas qu'il avait un drôle de chat Schroedinger, le mien il attaque les canapés, je le préfèrerai mort...je plaisante.

La pensée c'est quantique, tant qu'on ne vous a pas demandé votre avis vous avez les deux avis en même temps le positif et le négatif en même temps.

Le monde politique est quantique, quand on sort de l'ENA on est de gauche et de droite en même temps, quand le parti qui vous donne le plus de chance de faire carrière se présente l'élève de l'ENA fait une réduction quantique, il choisit son parti politique...

Tout est quantique finalement, tant que nous avons pas à choisir ou se départager tout existe dans notre tête...

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
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Il y a une grande énigme en mécanique quantique:

Soit on peut savoir ou passe l'électron et par quel trou il passe, dans ce cas il n'y aura pas de figure d'interférence (on est puni pour avoir voulu regarder, certains diraient que c'est la preuve de l'existence de Dieu, je plaisante...) Soit on ne sait pas par quel trou, il est passé et alors l'électron se comporte comme une onde et il y a des figures d'interférence.

D'abord qu'est qu'on entend par regarder?

Par exemple dans l'expérience de l'électron, si on apporte de la lumière dans le deuxième compartiment, alors l'électron s'illumine en bleu et fait un éclair jusqu'au capteur, on sait ou il est passé et alors là, on est puni:pas de figure d'interférence.

Si on utilise une longueur d'onde très longue plus longue que la distance entre la fente 1 et 2 alors nous sommes dans les ondes radio, l'écho de ces ondes ne nous permet pas d'avoir une précision plus fine que la distance 1-2, il devient alors impossible de savoir par quelle fente est passé l'électron et là on est récompensé, les franges d'interférences réapparaissent.

En gros soit on sait ou est la bille mais on ne connait pas sa longueur d'onde soit on ne sait pas ou passe la bille mais là on connait sa longueur d'onde.

delta x: la précision de la position en x de l'électron

delta p: précision de l'impulsion de cette particule (longueur d'onde en gros)

Heinsenberg a remarqué ceci:delta x x delta P=h (constante de Planck)

En gros delta x est petit: vous savez ou est la particule mais dans ce cas delta P devient automatiquement grand rendant impossible l'appréciation de l'impulsion (longueur d'onde)

En gros c'est soit l'un soit l'autre mais pas les deux en même temps.

Ceci est un grand mystère de la physique, c'est très frustrant...

Vite allez me chercher Dieu en urgence... (je plaisante, je n'ai pas dit que j'étais athée, mais si Dieu est quelque part , il n'est surement pas dans la physique)

ps:En gros l'impulsion est une notion qui s'apparente à l'énergie vibratoire d'un ressort, quand un ressort vibre très vite et qu'il s'arrête brutalement, il transmet beaucoup d'énergie, on connait tous ça au flipper ( la bille arrive sur un vibreur et elle gagne brutalement de la vitesse...) on peut donc dire que p est une quantité de mouvement...

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
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PAQUET D ONDES

La longueur de ce train est delta x

L'amplitude en mécanique quantique est la zone d'évènement possible comme la capture d'une particule

L'amplitude pour trouver une particule en différents endroits et à différents temps peut s'écrire:

e^(i(wt-k.r)) cette écriture est l'écriture complexe d'un fonction sinusoïdale w est la pulsation (2pi fréquence) k est le nombre d'onde et r le vecteur position par rapport à un référentiel.

La probabilité de trouver la particule à un endroit donné à un temps donné est le carré du module de cette amplitude.

E=h f (fréquence de la particule) énergie de cette particule

P=h/2pi x k, k est le nombre d'onde

Ceci veut simplement dire que plus le nombre d'onde est élevé sur une même distance delta x plus le "bomper" du flipper est puissant et vous renvoie la bille rapidement (c'est une image)

P est la quantité de mouvement ou impulsion.

Dans la théorie à particule unique, une particule est une boucle d'une corde de superfluide (ancien éther du siècle19) oscillant à très grande vitesse.

La boucle a une certaine énergie cinétique rotatoireEc=1/2 w² somme(m ri²)

Quand on détecte cette particule on transforme cette énergie en énergie lumineuse=hf

On voit bien que quand la particule est libre elle a des ri² importants ce qui veut dire que la boucle balaye l'espace lentement mais avec un grand espace de présence, à l'inverse quand on tend la corde de superfluide, la boucle devient petite en oscille à fréquence élevée.

Comme la patineuse qui ramène ses bras en tournant et qui se met à tourner plus vite.

Je pense que la dualité onde-particule peut s'expliquer intuitivement comme ça.

La lumière tend les cordes de superfluide entraînant une réduction quantique...

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
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La notion d'impulsion en mécanique quantique:

Une onde particule est un train d'onde très court, ce qui rend son calcul de la fréquence quasi impossible sur une particule: pour pouvoir calculer la fréquence d'une onde, il faut observer plusieurs phases, ce qui est impossible sur une particule, pour pouvoir calculer sa fréquence il faut observer une multitude de particule et calculer la fréquence sur une accumulation de donnée.

La dualité onde particule ne concerne que l' à priori et non le postériori.

En gros il est impossible dans le même temps de connaître la position de la particule et sa fréquence en même temps et sur la même mesure.

Une impulsion est une longueur d'onde de la particule étudiée soit une seule phase complète.

Cette notion rejoint celle de masse de particule.

Dans la théorie à particule unique, c'est la notion d'impaction, de pouvoir impactant.

Je m'explique: pouvoir impactant veut dire capacité à avoir un impact sur un système.

Par exemple: quand on se prend un poteau en courant, ça fait mal (je vous apprends quelque chose là), les boucles de la masse du poteau on un pouvoir d'interaction avec mes boucles (haïe...)

Un électron a un pouvoir impactant puisqu'il peut interagir avec une masse en la déplaçant (expérience des fentes avec une paroi sur roulettes), en agissant chimiquement, en se transformant un rayonnement de Cherenkov dans le plexiglas (à des vitesses supraluminique et en créant un cône MACH....utilisé en médecine!)

Il reste des tas de mystère en mécanique quantique, par exemple: comment fait une grosse molécule comme le carbène pour créer des interférence avec lui même?

Les atomes se comportent ils comme un simple électron?

La mécanique quantique s'applique t il aussi au macroscopique?

Est ce que ça marche sur mon chat? ( pourrais je en faire un mort-vivant?) (il est déjà assez moche comme ça le mien)

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alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
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Bonjour bruno

Les amas de Bose Einstein avaient été prévus initialement pour les gaz d'atomes.

On prévoyait qu'à 0° absolu les groupes d'atomes se comportaient comme une seule onde aux yeux de la mécanique quantique.

Pour cette expérience sur le photons, ils ont utilisé un faisceau laser pour avoir une longueur d'onde unique qu'ils ont mis en rebond et concentration en 1 point par deux miroirs concaves le tout à 0 ° degré absolu et sous vide.

Les accumulations de photons se comportent alors comme un seul gros photons (qui donc n'aura pas de problème de dispersion, on pourra être beaucoup plus fin pour graver au faire d'autres applications industrielles.

Dans la théorie à particule unique:

Les Us des cordes des masses sont des univers comme les nôtres, les cordes sont donc comme un collier de perle.

Les Us du superfluide sont tout petits ce sont des quasars.

Comme tu l'as mis en lien, je ne sais plus à quelle page de ce forum, les quasars sont dans notre univers et sont en réseau.

Il est fort probable que les quasars soit la "ficelle de notre collier de perle", ça veut dire que dans la zone de recrutement gravitationnel de la masse une corde de superfluide est avalée en permanence et participe à la cohésion de la ligne gravitationnelle et à la masse.

Quand un atome se retrouve seul, il est probable que brutalement le recrutement des prébigbang pour alimenter la corde deviennent impossible (gamma 3 trop faible, donc pas de mise en résonance du prébigbang et donc pas de bigbang), il ne reste alors de l'atome plus que la ficelle centrale de quasars pour faire cette atome, les U de la masse classique sont passés en big crunch par perte brutale de tension.

C'est ce que je disais quand je parlais de l'effet photocopieuse du superfluide.

Les masses trop petites sont "déshabitées" elles sont faites de cordes de superfluide donc de quasars. (c'est pour ça que le carbène se comporte aussi comme une onde...)

A -273 degré, il n'y a aucune tension des cordes du superfluide (pas de photon pas d'apport d'énergie), les cordes des boucles des quarks et des électrons prennent du volume comme expliqué plus haut pour l'expérience des fentes, alors toutes les cordes sont entrelacées et les atomes ne forment plus qu'un amalgame unique, c'est comme ça qu'on pourrait expliquer les amas atomiques de Bose Einstein avec cette théorie.

Pour les photons, c'est à peu près la même chose, les cordes du superfluide étant distendu à cette température, les vibrations transversales prennent de l'amplitude et s'entrelacent avec les vibrations des cordes voisines ne formant plus qu'une vibration unique, un superphoton....

Modifié par alexandreW
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Membre, Posté(e)
Baby Forumeur‚
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On dit que les scientifiques sont interressés par les jeunes car ils ont plus d'imagination que nos "vieux" scientifique.

J'ai dans l'idée que ce "on" ne connaît aucun scientifique.

Il n'y a strictement aucune théorie contenue dans ce sujet, ni aucune idée nouvelle: il ne s'agit que d'un salmigondis sans aucun sens.

La preuve, notre génial théoricien parle d'expériences "au zéro absolu" dans son dernier message... ben non, on ne peut pas atteindre le zéro absolu (100 nK pour le condensat de Bose-Einstein).

Modifié par tartiflette_spatiale
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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
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Tartiflette, tu as raison, ce n'est pas à 0 degrés absolu que se créent les amas de Bose Einstein, c'était une simplification.

Je ne suis pas spécialiste de ce phénomène.

Je suis d'accord avec toi que je ne démontre bien, cette hypothèse théorique en est au stade d'intuition.

Mon but est de faire un théorie Open source pour que cette théorie soit celle d'un forum ouvert.

Je l'ai revendiqué pour que personne ne puisse la revendiquer.

Si j'avais une théorie démontrée et si c'était mon métier, je ne la publierais pas sur un forum.

Ceci étant dit, je pense que tu dois être très fort en math et en physique, alors je t'invite à nous parler en détail des amas des Bose Einstein.

Dans l'hypothèse théorique d'unification de la physique à particule unique, l'idée principale est celle que la particule de base qui permet de construire la matière et les particules, est l'univers de la dimension du dessous.

Il s'agit d'une théorie fractale basée sur des réseaux tensoriels (corde faits de Us comme notre univers mais de la dimension du dessous et dont la ficelle centrale serait faite de réseaux de quasars (univers compactés du superfluide de masse identique à notre univers hors incrustations).

Je suis incapable de mathématiser tout seul un réseau tensoriel et je n'en ai pas le temps, j'essaie de donner l'intuition globale de fonctionnement de l'ensemble dans le cadre d'un forum et dans l'idée que c'est par cette voie qu'on trouvera la théorie de grande unification de la physique.

Je ne la revendiquerai pas si c'était le cas (j'ai fait une enveloppe Soleau dans le cas ou quelqu'un chercherai à la revendiquer pour lui).

Peut-être que ceci n'aboutira à rien, mais ça nous aura fait réfléchir ou rêver, comme l'Euréka d'Afarensis qui m'a fait rêver et m'a fait du bien.

Tu as ton rôle dans ce forum, vive la liberté, s'il te plait éclaires nous de tes connaissances et viens rêver avec nous, ce n'est pas interdit dans un forum (concept qui a plus de 2000 ans!!!)

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
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Dans cette théorie, il faudrait imaginer que le temps passerait à une vitesse très importante quand on passe d'une dimension à celle du dessous.

On pourrait prendre comme hypothèse que notre univers est dans une corde et que nous sommes dans de la matière, notre corde arrive en base de boucle régulièrement (chaque boucle est un quark de la matière de la dimension du dessus).

On pourrait imaginer que nous arrivons en base de boucle tous les 250 millions d'années, ce qui entraîne un échange de cordes de la dimension du dessous de la notre avec l'univers qui arrive en sortie de boucle.

Cette échange produit une modification de la physique nucléaire dans notre univers (physique à 8 quarks), qui pourrait provoquer un grand bouleversement de l'activité solaire, lui même à l'origine des extinctions massives des espèces constatées tous les 250 millions d'années.

Certains pensent que cette modification climatique aurait pu durer plusieurs dizaines voire plusieurs centaines d'années...Le scénario 2012 serait donc possible...

A une autre échelle, les photons émis lors des excitations nucléaires durent 10^-39 secondes et pourrait correspondre à l'échelle du dessous à la même durée qu'un passage en base de boucle (soit quelques dizaines ou centaines d'années)

1 seconde à notre échelle pourrait donc durer 10^13 milliards d'année dans l'échelle du dessous c'est un ordre de grandeur.

Ce ne sont que des hypothèses bien sur si on veut imaginer que la particule la plus petite de notre dimension est l'univers de la dimension du dessous...

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
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J'étais entrain de parler de mécanique quantique d'après Feymann, un génie de la physique

L'expérience suivante concerne des particules qui viennent de très loin et qui viennent donc horizontalement.

Le dessin ci dessous est tiré de son excellent livre: mécanique quantique.

Les particules arrivent horizontalement, ils devraient donc n'avoir qu'une impulsion horizontale dominante p0 le capteur à droite est un compteur de particule, ça veut dire que la particule arrive toute entière (sans nuance, 0 ou 1), la courbe correspond à l'accumulation des impacts.

B est la largeur de la fente, delta (théta) l'angle pour arriver au premier minimum.

La distance au premier minimum est lambda (c'est de la physique ondulatoire traditionnelle).

Je vous expliquerais demain ou on veut en venir avec cette expérience...

Le but des expériences qui vont venir est de comprendre ce que représente un paquet d'onde...

Pour les physiciens quantiques , les particules n'existent pas, ce sont des ondes-particules...

Les ondes ont tendance à s'étaler, pas les ondes particules, elles restent groupées mystère...

Elles se comportent soit comme une bille quand on les regarde de trop près soit comme une onde de billes individuelles... bizarre, ont elles une âme de mouton ?

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alexandreW Membre 314 messages
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Donc, la position verticale de la particule est nommée y, l'erreur de la position de y est donc B/2

Au premier minimum, on simplifie (sinus delta théta=delta théta car delta théta est petit)

Sin (deltat théta)=Py (composante verticale de l'impulsion)/PO (composante horizontale de l'impulsion)

On peut donc écrire Py= P0 delta théta

Par la physique ondulatoire classique on sait que delta théta=lambda (longueur d'onde)/B

En gros plus la fente est étroite plus l'angle est important, intuitivement ça marche bien plus la fente est étroite plus ça diffracte, plus l'onde s'étale...

Py=P0 lambda/B

L'incertitude sur y position verticale de la particule= largeur de la fente =B

On se rappelle du principe d'incertitude d'EINSENBERG:delta y X delta Py=h (constante de planck)

On a donc: P0 lambda /B X B= P0 lambda =h

L'impulsion horizontale multipliée par la longueur d'onde est constante=h constante de planck.

En gros, si on a une grande incertitude sur cette valeur P, alors on a un certitude sur sa position, à l'inverse si on a une grande incertitude (B petit) alors on a une grande certitude sur la valeur de l'impulsion (longueur d'onde

L'étalement est grand dans ce cas et on peut mesurer lambda précisément.

On peut par cette méthode mesurer la longueur d'onde d'une particule.

Rien qu'en rusant, par la logique on arrive à trouver une valeur qui nous semblait inaccessible...

Cette équation dit aussi, que plus Po est grand plus petit est la longueur d'onde et ça s'est logique, plus le ressort vibre vite plus l'impulsion est importante, rappelez vous les bompers du flipper...

Voyez c'est étrange la mécanique quantique mais c'est compréhensible...

On peut imaginer la situation de manière intuitive dans la théorie à particule unique:

Les particules se comportent de manière différente selon qu'elle sont des ondes de pression transversales (un photon), une boucle (un électron , un positon..), une torsion dans l'axe (un neutrino...) un ensemble de boucles associées (un proton, un neutron, un atome, une molécule)

Dans le cas d'un photon, la transmission dans une direction se fait seulement si la corde adjacente est parallèle à un angle théta près.

Ceci veut dire que le photon quand on le regarde de près avance légèrement en zig zag.

On peut imaginer que si la corde adjacente n'est pas dans un parallélisme acceptable, il ne se mettra pas en résonance et ne transmettra pas l'onde.

Ce deltat théta explique qu'une onde horizontale qui ne devrait pas avoir de composante d'impulsion verticale a un composante verticale...

Dans tous les cas ou les cordes du superfluides balayent l'espace il y a une probabilité d'impact avec la matière donc de transfert d'énergie, ce qui n'est pas le cas des transfert d'énergie par torsion, on comprend ainsi mieux le comportement du neutrino.

Bien sur , vous l'avez compris tout ceci n'est qu'une intuition physique non mathématisée mais je suis sur qu'un jour on s'amusera à mathématiser tous ensemble ces hypothèses en direct dans ce forum...

Ps: merci Gallium pour le livre l'univers élégant, j'adore, il a du fumer pour imaginer tout ça (je n'ai pas de leçon à donner à ce niveau...)(je ne fume pas c'est une image...)

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  • 2 semaines après...
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alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
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J'aimerai ouvrir le débat sur la notion de temps et de la relativité, le temps existe-t-il vraiment ou est il lié à l'observateur qui observe des mouvements, est il partie intégrante d'un maillage espace temps que les masses peuvent modifier.

La limite C dans le vide n'est elle pas la preuve en fait de l'existence de "l'éther" remplissant l'espace?.

Peut on imaginer une autre théorie influant sur les mouvements mais ne changeant pas le temps?

Pourquoi la mécanique quantique et la théorie de la relativité ont elles leur propre indication (pour les petits quantiques, pour les grands relativité comme pour un médicament...)

Vous trouverez ci joint un doc, j'ai appelé éther, superfluide à la demande générale, parce que l'éther ça rappelle trop les hôpitaux (plus maintenant mais il y a 10 ans!!).

Les formules ne passent pas en format ASCI c'est pour ça que je les ai mis en DOC.

Vous pouvez critiquer (en restant correct cf lois du forum qui sont magnifiques), tout modifier apporter votre grain de sel, cette tentative théorique est open source...

On rappelle que la théorie de la relativité a pris comme postulat que les lois de la physique sont les mêmes quelque soit les référentiels galiléens (à la gravitation près), aucune masse ni onde ne peut dépasser c la vitesse de la lumière dans le vide (on suppose que l’éther n’existe pas).

Pour que ce postulat fonctionne, on a utilisé des mathématiques adaptées (espace de Minkowski, transformation de LORENTZ pour passer d’un référentiel à l’autre, la nécessité de ne pas dépasser c entraîne une compression du paramètre t, le temps …)

Je pense qu’il n’est pas logique d’agir sur un paramètre t qui ne sert qu’à mesurer le mouvement.

Le fait que les mouvements se ralentissent avec la vitesse selon la formule consacrée, ne signifie pas que le temps ralentisse (tv=1/racine(1-(v²/c2)))

On peut imaginer que le phénomène de ralentissement des mouvements soit lié à la présence du superfluide :

La matière peu dense (jusqu’à l’étoile à neutron) est presque vide, toute masse ressemble à des grillages tridimensionnels avec des mailles de grand diamètre.

Avec la vitesse, la probabilité de rompre des cordes du superfluide augmente (ces cordes sont fragiles, étant donné que les Us qui la composent ont des très gros grands attracteurs), les fragments des cordes libérés se comportent comme un gaz circulant dans ces canaux.

La cassure des cordes lors de la situation d’équilibre se produit sur le front d’avancement de l’objet, ce qui explique la présence d’un mur lumineux devant l’objet.

Je vous adresse ci-joint une citation très intéressante de Gallium spécialiste de la mécanique quantique qui nous parle de ce problème temps dans la mécanique quantique:

Citation (Gallium @ samedi 25 décembre 2010 à 12h20) *

Elle reste cohérente du moment que l'on s'occupe de l'infiniment petit, autrement dit des échelles quantiques. Dans le monde macroscopique, la physique quantique n'a plus aucune utilité et mène à des aberrations, puisque le monde macroscopique se comporte davantage de façon ordonnée tandis qu'en mécanique quantique de façon chaotique, au niveau de l'espace-temps. En mécanique quantique le temps existe, de même que l'espace, mais le tissu spatio-temporel est si agité qu'il est impossible de se situer dans l'espace ou dans le temps. 1seconde peut durer 1million d'années et je pourrais tout aussi bien être à droite d'un électron qu'à sa gauche ou au-dessus, raison pour laquelle il est nécessaire d'user des probabilités et du principe d'incertitude de Heinsenberg pour prévoir la position d'une particule, du moins sa probabilité de se trouver à tel ou tel endroit.

relativit_.zip

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Bonsoir

Par où commencer exactement ? En voici une question supplémentaire à traiter, et d'ailleurs sûrement la première à laquelle je vais tenter de répondre.

La notion de "superfluide" autrement dit "d'éther" n'est pas, à mes yeux, une explication aux phénomènes que l'on peut observer. Cette conception d'un fluide qui remplirait le vide a longtemps été un sujet de débats parmi les scientifiques qui en ont finalement conclu que cet éther ne pouvait pas exister. L'éther dit "luminifère" était censé être un support mécanique essentiel à la propagation des vibrations lumineuses. Il est vrai que l'expérience de Michelson et Morley qui fixe la vitesse de la lumière comme constante dans tous les référentiels inertiels contredit cette affirmation d'éther, il n'en est pas moins qu'une série d'autres expériences vient contredire cette conception souvent utilisée pour expliquer les phénomènes de propagation. Nous pourrions insister sur ces expériences, ce que je ferais si besoin en est, mais je pense nécessaire d'attaquer le fond du sujet qu'est le temps en relativité.

Effectivement il a été démontré rigoureusement que temps et distances variaient d'un observateur à un autre. Pour illustrer mon propos, je ne peux pas vous conseiller meilleure vidéo que la suivante, qui explique la relativité restreinte et générale de façon très intéressante.

</div>

Les résultats mathématiques nous incitent effectivement à admettre la relativité du temps et de l'espace. Ces deux notions, qu'on a longtemps interprétées comme des constantes, ne sont finalement pas des constantes et sont bien relatives au référentiel, autrement dit à l'observateur.

Nous connaissons le théorème de Pythagore. Munis de cet outil intéressons-nous à la durée du parcours d'un éclair lumineux envoyé sur un miroir et revenant à son point de départ. Nous admettrons, comme principe de base, que la lumière de déplace dans l'espace (nous le supposons vide) avec une vitesse certes très élevée mais finie - 300 000 km/s -, et que cett vitesse ne dépend ni du mouvement des corps qui l'ont émise ni du mouvement de celui qui la mesure. Cette constance est un fait expérimental qui a longtemps semblé en contradiction avec les fondements de la physique, jusqu'à ce qu'Albert Einstein rétablisse la cohérence grâce à la théorie de la "relativité". Cette vitesse, notée c, est une des constantes de notre univers.

Quelle sera la durée de l'aller-retour ?

Si le miroir et l'observateur sont immobiles l'un par rapport à l'autre, les deux événements : émission de l'éclair, retour de l'éclair, ont lieu au même endroit, et sont donc notés par une même horloge. La durée (t) du temps écoulé entre ces deux événements est :

t = 2D/c

où D est la distance entre l'observateur et le miroir.

Si en revanche l'observateur se déplace avec une vitesse V par rapport à l'espace dans lequel le miroir et les horloges indiquant le temps sont immobiles, le trajet suivi par la lumière tiendra compte de ce déplacement ; notons 2D' sa longueur.

La durée du parcours sera donc différente, notons-la t'=2D'/c.

la distance entre les deux horloges situées l'une au point d'emission de l'éclair, l'autre au point de réception, est égale à vt'.

Le théorème de Pythagore nous permet d'écrire :

D'² = D² + (vt'/2)² = D² + v²t'²/4

d'où t'² = 4D'²/c² = 4D²/c² + v²t'²/c²

et t' = t (1-v²/c²)-1/2

Cette formule est célèbre, mais l'important est d'en comprendre la signification. Un même événement a une durée différente selon que celui qui la mesure est au repos où en mouvement par rapport à lui. Dans le premier cas, la durée correspond à ce que l'on appelle le temps propre, dans le second un temps impropre ; le second, comme le montre la dernière équation, est toujours plus grand que le premier.

Je vais de Lille à Marseille en avion, combien dure mon voyage ?

Je peux répondre soit en regardant ma montre au départ et à l'arrivée, soit en regardant les horloges des aéroports. Même en admettant que toutes ces horloges sont rigoureusement synchrones, qu'il n'y a pas la moindre erreur de lecture, ces deux méthodes ne donnent pas le même résultat.

Ma montre est au repos par rapport à l'événement mesuré, mon voyage ; elle donne un temps propre ; les horloges des aéroports sont en mouvement par rapport à l'événement (ou l'événement par rapport à elles, ce qui est équivalent), elles donnent un temps impropre, plus long.

La différence est cependant bien faible.

Même avec un Concorde volant en moyenne à 2000 km/h sur les 1000 km de parcours, on obtient t=30 minutes et t'=30,0000000006 minutes.

On comprend qu'aucune différence n'apparaisse dans la vie courante entre temps propre et temps impropre. Mais il n'en est plus de même lorsqu'on observe des objets qui se déplacent à des vitesses proches de celle de la lumière, c ; dans ce cas, seule la conception du temps proposée par Einstein permet de rendre compte de la réalité.

Je peux vous conseiller cette autre démonstration intéressante, qui utilise pour sa part trois axes dimensionnels (3D) dans le repère espace.

Notons que nous sommes pour le moment ici en relativité restreinte. On distingue donc effectivement ce qu'on appelle le temps propre, du temps impropre, deux temps différents selon qu'un observateur se trouve dans un référentiel ou dans un autre. Cette différence dans l'écoulement du temps a été mesurée par des horloges atomiques (cf vidéo) où l'on remarque effectivement qu'une horloge atomique, après avoir fait un voyage dans un avion, est décalée par rapport à celle restée au sol tandis que les deux étaient au départ bien synchrones.

La relativité générale, plus vaste, permet de ne pas limiter ce changement au mouvement mais de l'assimiler à tout ce qui se réfère à l'accélération, notamment dans la gravitation. Plus le poids est important, et plus le temps s'écoule lentement, d'où la différence notée entre un satellite et un humain (cf vidéo) qui rend nécessaire la prise en compte du décalage par les ingénieurs notamment pour le système de géopositionnement GPS (bientôt Galileo, pour 2014).

Dans tous les cas, cette conception ordonnée du temps, d'une nette déformation, comme visible sur l'image ci-dessous, avec des trajectoires prévisibles, est totalement opposée à une autre conception de l'espace-temps : celle de la mécanique quantique.

Courbure_espace_temps3.JPG</div>

En mécanique quantique, c'est un tissu spatio-temporel désordonné auquel nous avons affaire. Au sein des particules, l'espace-temps demeure complètement chaotique. Ainsi les notions de distance, les trois dimensions spatiales, et la dimension temporelle ne sont plus distinguables. La droite, la gauche, le haut, le bas, l'avant, l'arrière, tout ceci ne signifie plus rien, de même l'avant ou l'après n'a pas plus de sens. Si nous devions en faire une représentation mentale pour comparer l'image de l'espace-temps ordonné en relativité générale à celui de la mécanique quantique, ceci pourrait nous aider :

RTEmagicC_z22Spacetime.jpg.jpg

C'est le monde de l'incertitude, de l'inattendu, de l'imprévisible. Pour situer une particule comme un électron ou un quark, les probabilités sont nécessaires afin de déterminer à quel endroit la particule en question a-t-elle le plus de chances de se trouver. Etant donné les notions spatiales difficilement maîtrisables, il convient d'être très matheux afin de se débrouiller avec le principe d'incertitude de Heisenberg.

4d4b50c1553a823f3461711717506b10.png ou 7cb2703eac36a28d1371aec39fb4f194.png

On peut tenter de prévoir en termes probabilistes la position et l'évolution d'une particule, il n'en est pas moins qu'on peut difficilement la situer. C'est d'ailleurs là où la mécanique quantique se révèle être un monde complètement différent du notre. En MQ (mécanique quantique), quand plusieurs possibilités s'offrent à un système, elles deviennent toutes des certitudes, autrement dit s'il y a une infinités de prédictions elles se réalisent toutes. On peut observer cela au niveau des fentes dans le phénomène de diffraction par exemple : un photon qui a le choix entre deux fentes empruntera deux chemins différents pour cette même particule. C'est l'expérience des fentes de Young

Slits.gif

Densité de probabilité d'un électron au passage des deux fentes

La conception de l'espace-temps, en relativité dans un monde ordonné et en mécanique quantique dans un univers désordonné, est totalement différente. Pour unifier les deux physiques, deux physiciens John Wheeler et Bryce DeWitt, ont supposé un univers intemporel. Les équations de cette théorie n'expliquaient pas tout, mais parvenaient à résoudre en partie le problème de l'incompatibilité entre ces deux physiques.

La réponse à cette incompatibilité réside-t-elle en théorie M (théorie des cordes) ? C'est justement l'avenir qui nous le dira, l'avenir en relativité du moins.

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