Les femmes trop exigeantes ?

bah euh...sans vouloir t'offenser..tu as l'air d'être bloqué sur des idées un peu "macho" (sans vouloir être péjorative), qui certes peuvent convenir à certaines femmes, mais qui sont un peu décallées avec la vie des "femmes actuelles"lol...

Désolée pour cette attaque mais tu m'as tellement choquée par certains de tes propos que c'était trop tentant...

Oui oui mais j'en suis conscient.

J'aime ouvrir ma bouche pour dire ce que je pense, surtout quand je vois certaines filles de ma génération l'ouvrir bien haut en prenant les hommes pour leurs chiens.

Je ne sais pas trop si c'est ironique ou non mais passons.

Bah non : s'habiller non stop à Decathlon, tu crois que c'est partir de haut ?

D'abord, que tu sois célibataire ne m'étonne nullement, tu raisonnes comme un homme des cavernes! Ensuite, tu dis n'importe quoi lorsque tu affirmes que la mode de l'épilation chez les hommes est la faute des féministes! Ce serait même de l'anti-féministe, qui, je te rappelle, voulait justement libérer les femmes des diktats de la mode. Diktat souvent imposé par les hommes, d'ailleurs. é te lire, tout est de la faute des femmes, tu nous accordes beaucoup de pouvoir, essaie de soigner ton complexe d'infériorité.

Tu es pitoyable, je me répète...

Tu ne me connais pas, et me juges en disant "ça ne m'étonne pas que tu sois célibataire". Comment veux-tu que je te respecte après ça ?

Ce n'est pas penser en tant qu'homme des cavernes que de croire que la femme a un rôle tout autre que l'homme dans la société. Alors tes hyperboles, tu les gardes pour toi !! L'homme au 20ème siècle avait un rôle bien déterminé qui ne rendait pas malheureuse la femme pour autant. Demandes à tes grands-mères ce qu'elles en pensent pour voir. Bref, on ne va revenir sur ce sujet, tu es le genre de femme avec qui je déteste discuter, pur produit de la société idéologico-consumériste.

Ah oui, un petit détail : ce qui nous attire chez l'autre c'est la différence qu'on y trouve, pas la ressemblance.

Faudrait que je retrouve le passage où Zemmour en parle dans son livre d'ailleurs....

Oui nous sommes dans chaque présent qui compose notre vie. Donc oui on change. Mais on EST "celui qui peut devenir ces 19 milliards de personnes différentes". Tu comprends l'idée?

Yep, je comprends ton idée : chaque être porte en lui un infini d'autres en puissance mais en acte, il n'en est qu'un, la réalité présente. Cependant, je ne suis pas d'accord sur l'idée qu'on puisse devenir tout et n'importe quoi, et c'est assez paradoxal d'ailleurs ; oui, de fait, on a un éventail de possibles très large, c'est possible de devenir (we can !! ... ^^) mais est-ce vraiment intéressant de devenir n'importe qui ou n'importe quoi ? Comme tu le soulignais tout à l'heure, il y a un noyau, des capacités, un vécu, etc. Donc je crois que l'éventail de ce qu'on veut devenir sincèrement est beaucoup plus restreint... "Deviens ce que tu es"... Donc ce que je reproche aux fainéants, ce n'est pas de ne pas se conformer à ce qu'on attend d'eux, c'est de ne pas persister dans le développement de ce qu'ils sont. Et le premier pas pour se lancer dans cette aventure, c'est de se souvenir de ses propres rêves et de rester proche de soi-même. Donc de s'assumer. Donc j'en reviens à la question du courage.

Après, je pense aussi qu'un être qui se développe beaucoup - et ça, c'est du travail... donc du temps... et ça, on en a tous - dans la conformité de ce qu'il est au départ, acquiert nécessairement un charisme et une force qui le distinguent. Là interviennent la rencontre et une part de hasard, certes.

Bon, encore là, ce sont des généralités hein, perso, Tom Selleck et Bruce Willis ne me font pas tripper. Nous ne sommes pas des robots taillés dans le même moule, on a tous et toutes nos différences, nos gouts et nos dégouts, simonak!

si t'es un homme, normal que ça te fasse pas tripper, mais si t''es une femme, on a compris, ton homme s'épile !!! no problemo, chacun ses goûts !!!

La virilité ne réside pas dans la force ou l'agressivité, mais dans l'esprit, et ça mesdames je vous confiance pour m'enthousiasmer

ma soeur cherche un homme véritable, tous mes copains sont mariés, toi y'en a pas l'air trop mal !!!

Bah non : s'habiller non stop à Decathlon, tu crois que c'est partir de haut ?

On est d'accord ^^

désolé, les mecs efféminés, mois, je m'épile pas et ma femme elle est contente d'avoir un vrai mec et pas un machin tout lisse !!! franchement les gars, je mets au défi n'importe lequel d'entre vous de m'avouer qu'il s'épile parce que c'est vraiment ce qu'il souhaite et pas parce qu'il veut faire plaire à sa moitié !

Un mec, un vrai, c'est tom selleck dans magnum, qu'elle est la femme qui a pas fantasmé sur lui !!!

Moi, je suis plutôt style Bruce Willis et je vous assure que le mec barraqué et viril ça plaît aux femmes !!! alors arrêtez de dire que sans poils et sans duvets, ça les fait toutes craquer !!!

Ba faut savoir, elles veulent que leur mec s'épile ou pas ? Et tu crois qu'elles s'épilent par plaisir elles ?

Yep, je comprends ton idée : chaque être porte en lui un infini d'autres en puissance mais en acte, il n'en est qu'un, la réalité présente. Cependant, je ne suis pas d'accord sur l'idée qu'on puisse devenir tout et n'importe quoi, et c'est assez paradoxal d'ailleurs ; oui, de fait, on a un éventail de possibles très large, c'est possible de devenir (we can !! ... ^^) mais est-ce vraiment intéressant de devenir n'importe qui ou n'importe quoi ? Comme tu le soulignais tout à l'heure, il y a un noyau, des capacités, un vécu, etc. Donc je crois que l'éventail de ce qu'on veut devenir sincèrement est beaucoup plus restreint... "Deviens ce que tu es"... Donc ce que je reproche aux fainéants, ce n'est pas de ne pas se conformer à ce qu'on attend d'eux, c'est de ne pas persister dans le développement de ce qu'ils sont. Et le premier pas pour se lancer dans cette aventure, c'est de se souvenir de ses propres rêves et de rester proche de soi-même. Donc de s'assumer. Donc j'en reviens à la question du courage.

Après, je pense aussi qu'un être qui se développe beaucoup - et ça, c'est du travail... donc du temps... et ça, on en a tous - dans la conformité de ce qu'il est au départ, acquiert nécessairement un charisme et une force qui le distinguent. Là interviennent la rencontre et une part de hasard, certes.

Ah... on va dans le même sens ^^

Ce n'est pas penser en tant qu'homme des cavernes que de croire que la femme a un rôle tout autre que l'homme dans la société. Alors tes hyperboles, tu les gardes pour toi !! L'homme au 20ème siècle avait un rôle bien déterminé qui ne rendait pas malheureuse la femme pour autant. Demandes à tes grands-mères ce qu'elles en pensent pour voir. Bref, on ne va revenir sur ce sujet, tu es le genre de femme avec qui je déteste discuter, pur produit de la société idéologico-consumériste.

Ah oui, un petit détail : ce qui nous attire chez l'autre c'est la différence qu'on y trouve, pas la ressemblance.

Faudrait que je retrouve le passage où Zemmour en parle dans son livre d'ailleurs....

j'veux bien témoigner!!!

pour mon exemple perso,

A l'époque de ma grend mère et plus loin encore, les femmes ont du travailler aux champs, élever les enfants, ramener l'argent, gérrer les comptes, faire de la politique, developper le commerce et l'economie locale...seules...et chez moi , en région côtière notamment, les femmmes ont toujours eu un grand pouvoir. Les hommes, s'ils n'étaient pas morts en mer, partaient naviguer pendant plusieurs mois, si ce n'est plusieurs années.

Pour illustrer c'est la "mam goudig" power.

Ce n'est pas penser en tant qu'homme des cavernes que de croire que la femme a un rôle tout autre que l'homme dans la société. Alors tes hyperboles, tu les gardes pour toi !! L'homme au 20ème siècle avait un rôle bien déterminé qui ne rendait pas malheureuse la femme pour autant. Demandes à tes grands-mères ce qu'elles en pensent pour voir. Bref, on ne va revenir sur ce sujet, tu es le genre de femme avec qui je déteste discuter, pur produit de la société idéologico-consumériste.

Non, mais c'est en effet assez archaïque de croire en un éternel féminin...

Les rôles génériques sont déterminés par la société, or l'inconscient collectif a sa vie et ses évolutions. Se rendre inadapté au monde qui est en se raccrochant aux mondes qui furent et à leurs modèles surannés, établis dans des époques que tu n'as pas connues autrement que par des représentations stylisées issues de l'art, de la philosophie ou de la religion, c'est une attitude foncièrement passéiste, dénotant un caractère influençable.

Quant à prendre Zemmour en référence, bravo ; si je devais calquer ma pensée sur celle d'un autre, j'éviterais de choisir un pleurnichard qui croit que les retours en arrière c'est possible...

On est d'accord ^^

Ba faut savoir, elles veulent que leur mec s'épile ou pas ? Et tu crois qu'elles s'épilent par plaisir elles ?

Elles sont tellement coquines que je me demande si elles font pas cà pour nous aguicher !!!!!! :D :D :D

Je crois que l'on peut également le généraliser aux hommes qui recherchent une femme belle, cultivée, inteligente, bonne situation, etc...

ben voyons !!! autant rechercher le graal !!! rendez-vous autour de la table ronde, preux chevaliers !!!

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Elles sont tellement coquines que je me demande si elles font pas cà pour nous aguicher !!!!!! :D :D :D

bah euh aguicher avec une pilosité d'ours c'est sur..c'est moins sexy...lol :D t'imagine, en bikini si ça dépasse?mdr

Ah... on va dans le même sens ^^

Tu comprends mieux ce que je voulais dire alors par "manque de courage". J'ai par exemple rencontré un jeune homme "bien sous tous rapports", il y a quelques temps. Le mec, il devait avoir une vingtaines d'années, normalien en philosophie, étudiant en médecine en parallèle, belle gueule, bel appart, etc. Quand on fouille, on s'aperçoit que ce double cursus impressionnant, il l'a fait parce que ses parents n'étaient pas d'accord avec son orientation, considérant que prof de philo, c'est pas un métier. Alors oui, c'est très courageux de s'atteler à deux cursus aussi exigents en même temps, mais quelle lâcheté, quand même !

Et encore, là, c'est un exemple qui a un peu de classe, je ne parle pas de ceux qui restent en couple alors qu'ils s'y ennuient ferme, de ceux qui errent comme des âmes en peine, de ceux qui suivent, etc. En même temps, c'est loin d'être un problème exclusivement masculin, loin de là... Mais ça reste quand même THE truc rédhibitoire ; le conformisme.

bah euh aguicher avec une pilosité d'ours c'est sur..c'est moins sexy...lol t'imagine, en bikini si ça dépasse?mdr

cherche pas imaginer ! ca dépasse l'imaginaire !!!

Je cite Zemmour, dans son livre "Le Premier Sexe" :

"Stendhal concentrera lui-même ces analyses d'une rare finesse dans son roman Le Rouge Et Le Noir. La femme passionnément aimée par Julien Sorel s'appelle Mathilde de La Mole. On a compris. Désir (en tout cas masculin) et amour ne font pas bon ménage. Ils sont antagonistes, se combattent, s'excluent souvent. Les mots nous trompent : plus on aime, plus on a du mal à faire l'amour. Plus on adule, plus on respecte, moins on bande. Stendhal a cent fois raison, ce malheur est extrêmement commun. C'est le syndrome trop belle pour moi. Trop admirable. Trop aimable, au sens exact du terme.

[...] Stendhal va même plus loin, il explique que les amoureux sont de meilleurs amants lorsqu'ils se sont auparavant débridés, comme un moteur grippé, avec une autre fille, une fille de rien, une courtisane ou une femme de chambre."

Je continue :

"Le poil n'est pas traqué par hasard. Il n'est pas éradiqué du corps des hommes pour de seules raisons mercantiles. Le poil est une trace, un marqueur, un symbole. De notre passé d'homme des cavernes, de notre bestialité, de notre virilité. De la différence des sexes. Il nous rappelle que la virilité va de pair avec la violence, que l'homme est le prédateur sexuel, un conquérant. Il est la preuve à l'adolescence que l'homme s'éloigne de l'enfant qu'il fut ; et de la femme qu'il n'a jamais été. [...] L'épilation masculine marque une volonté d'en finir avec notre virilité ancestrale ; elle signale une quête d'enfance perdue, de pureté, d'innocence, de douceur, de faiblesse. De féminité. De confusion sexuelle. [...] Nietzsche disait : "La femme n'aurait pas le génie de la parure si elle ne savait d'instinct qu'elle joue le second rôle""

Il y a aussi des trucs sur le mouvement féministe.

Je cite Vincent Cespedes, parlant de Zemmour

Le complot féministe

Scoop : l'homme occidental n'est plus aujourd'hui envoûté par la femme tentatrice, mais ramolli par la femme castratrice. Zemmour n'invente rien : il recycle, toujours ; il emprunte. élisabeth Badinter, dans Fausse route (Odile Jacob, 2003), donnait déjà dans une imposture similaire : « [Les hommes] éprouvent souvent une désagréable impression de confusion identitaire face à des femmes qui hésitent de moins en moins à se comporter comme les hommes de jadis, voire à leur faire la loi. »

Le malaise de notre société ne serait dû ni au stress délétère de la vie en entreprise, ni au conditionnement libéral prônant la concurrence, la réussite personnelle et la consommation, mais aux femmes, supposées perverses et castratrices. Comment s'y prennent-elles pour déviriliser les hommes ? Elles réclameraient une égalité des droits - les garces ! Et les homosexuels seraient leurs meilleurs alliés - les traîtres ! Ce grand complot, Zemmour l'appelle « féminisme », stratagème idéologique d'émasculation systématique des mâles : « En réduisant les potentialités de désir entre femmes et hommes, le féminisme faisait un bon travail pour les homosexuels. »

Femmes et homosexuels sont présentés comme les ennemis intérieurs. Mais intérieurs à quoi ? é la société patriarcale - que l'auteur entend réhabiliter, pour se refaire une virilité, en fantasmant fort sur l'Islam et sur Bush Junior : « Ces deux modèles répondent déjà à la demande d'ordre qui transpire par tous les pores de la société française, minée par trente ans de désordre féminin. »

Le journaliste sait que ses collègues de droite n'y verront que du feu : provocation de potache, diront les plus critiques. Quant aux énervé-e-s de gauche, plus ils/elles dénonceront la misogynie hallucinée de son livre, plus gonflera sa maigre aura d'intello subversif. Mais il s'adresse d'abord à la « France d'en bas », celle qui aime regarder TF1, trouve Nicolas Sarkozy formidable et Jean-Marie Le Pen plein de bon sens. Et « La société française, minée par trente ans de désordre féminin » n'est ni une provocation, ni un appel misogyne, mais un message politique aisément décryptable : la gauche, protectrice et « maternante », doit être battue en brèche par une droite qui ferait bien de s'inspirer du « nouveau modèle américain bushiste, viril et néoconservateur ».

Discréditer la gauche en passant par la Femme

Viril car néoconservateur : telle est bien la thèse du faucon Zemmour. Celui-ci entreprend de « viriliser » la droite et de légitimer la loi du plus fort, ayant troqué sa veste d'observateur politique pour celle de communicant. En ligne de mire : l'état-providence, qui cajolerait trop ; les aides apportées aux défavorisés, qui les infantiliseraient ; le féminisme, qui cancériserait l'organisme social. Le livre est donc un faux nez crypto-électoraliste : un objet de propagande antisocialiste à destination des non-initiés, et déguisé pour cela en pamphlet hystérique contre la prétendue « débandaison » occidentale d'origine socialo-féministe.

La fracture sociale, bien réelle, disparaît derrière une guerre des sexes inventée de toutes pièces ; invention d'autant plus fallacieuse qu'elle victimise les hommes alors que, de fait, les femmes restent aujourd'hui encore les plus touchées par la précarité. L'essai plante le décor de carton-pâte d'une victoire des femmes sur les hommes afin de décomplexer la droite, le clan de l'autorité - forcément phallique, d'après l'auteur, qui amalgame comme allant de soi féminin et faiblesse. Truqué de la sorte, le face-à-face sombre dans la caricature : gauche laxiste, féministe et dramatiquement moderniste versus droite « adulte », gaulliste et courageusement conservatrice. C'est cette vision binaire que l'auteur espère imposer.

Pour y parvenir, notre prestidigitateur s'inspire des divagations psychanalytiques de Michel Schneider, lequel commettait en 2002 trois cents pages sacrément réactionnaires (Big Mother, Odile Jacob). « Une profession qui se féminise est une profession qui se dévalue », affirme doctement le psy en jouant au journaliste. Zemmour, lui, joue au psy de service : « En se féminisant, les hommes se stérilisent, ils s'interdisent toute audace, toute innovation, toute transgression. On explique en général la stagnation intellectuelle et économique de l'Europe par le vieillissement de sa population. [...] On ne songe jamais - ou on n'ose jamais songer - à sa féminisation. Les rares hommes qui veulent conserver la réalité phallique du pouvoir se barricadent efficacement contre la féminisation de leur profession. Ils agissent comme s'ils étaient des îlots de virilité dans un monde féminisé. On les traite de "machos", ils n'en ont cure. » La parité, on l'a compris, n'est appliquée que par des « nunuches », et les vrais mecs ont raison de vouloir rester les patrons.

Son analyse des jeunes des cités vaut par exemple le détour. Avec des pères « dévirilisé(s) par le chômage », ces derniers se révolterait contre un maternage excessif et aurait presque raison de rejeter la « société française féminisée, qui ne supporte pas la violence, l'autorité virile, [et qui] les exhorte à entrer dans son doux giron. De s'intégrer. » Continuant sur sa lancée, le faucon Zemmour s'envole, et plane : « Ils seront, eux, des hommes, dans cette société de "zessegon". Ils vont "niquer la France". La France, cette femme, cette "salope", cette "putain". Eux, les hommes. Ils vont brûler, détruire, immoler les symboles de sa douce protection maternante, les écoles, les transports en commun, les pompiers. Ils vont caillasser les seuls hommes qu'elle leur envoie pour la défendre : les policiers. Ces flics qu'ils "haïssent". Les seuls qui osent les affronter encore dans un combat entre hommes. Un combat où est en jeu la domination virile. Un combat qui ne peut être qu'à mort. » Une mise en scène digne de Gladiator. Une fausse compassion pour faire passer le message obsessionnel : Gauche = Femme = « Pédé ». é la protection sociale, « maternante », s'oppose une répression virile, héroïsée.

Zemmour définit le pouvoir comme « la capacité au moment ultime de tuer l'adversaire » ; et, en fin psy d'opérette, il dénie aux femmes une telle aptitude, car il manque à celles-ci un pénis pour prendre part aux « combats politiques » où « c'est toujours le mâle dominant qui finit par l'emporter, le roi de la forêt, le caïman. Celui qui, à force de férocité, révèle la faiblesse de ses rivaux, leur féminité inconsciente, qui les transforme en maîtresses transies, quêtant ses faveurs. »

Zemmour aspire à un retour au Père, au pouvoir phallique-répressif, à une politique « couillue » qui cantonnerait à nouveau la femme à son rôle ancestral d'objet sexuel et de ménagère. D'où la confusion totale qui ressort de son essai, accrue par leur désir de refaire le monde à partir d'un pitch, d'une idée-force - la Femme (la mère, la gauche, la solidarité) est un danger pour l'Homme.

Gonflé à bloc, il va même jusqu'à se faire son petit « choc des civilisations », excluant au passage les homosexuels de la sphère royale de la « masculinité » avec un argument dont lui seul a le secret : « De part et d'autre des océans s'affrontent deux férocités : totalitarisme féministe contre tyrannie masculine. Des musulmans jusqu'aux chanteurs de reggae, l'influence homosexuelle est clairement désignée comme une menace à éradiquer. »

Ce que l'on pourrait prendre pour un happening misogyne à la Michel Houellebecq se révèle être un programme obscurantiste à forte teneur électoraliste, visant, à travers une diabolisation brouillonne du féminisme et des femmes, à décrédibiliser l'ascension de Ségolène Royal, rivale socialiste de Sarkozy et peut-être future présidente de la République française. Dans la mesure où il confond sciemment virilité et bestialité afin de viriliser le libéralisme sauvage, Zemmour cautionne dangereusement le lepénisme et le machisme dans un pays où la propagande sécuritaire bat son plein, où l'Assemblée continue de manquer de femmes et où, tous les quatre jours, une femme meurt sous les coups de son conjoint.

Gandhi dans les dents

En vantant un modèle pétainiste de la gestion de la vie de couple, Zemmour surfe sur le machisme ambiant pour fourguer, en contrebande, une ligne éditoriale moralement conservatrice et économiquement libérale. Il définit le pouvoir comme « la capacité au moment ultime de tuer l'adversaire » ; et, en fin psy d'opérette, il dénie aux femmes une telle aptitude, car il manque à celles-ci un pénis pour prendre part aux « combats politiques » où « c'est toujours le mâle dominant qui finit par l'emporter, le roi de la forêt, le caïman. Celui qui, à force de férocité, révèle la faiblesse de ses rivaux, leur féminité inconsciente, qui les transforme en maîtresses transies, quêtant ses faveurs. » Une conception digne d'Arnold Schwarzenegger. Un bréviaire pour beaufs, bidasses et marchands d'armes.

« Quel est le personnage qui incarne pour vous la virilité ? » demandait, excédé, Michel Blanc au zébulon Zemmour. Balbutiements, embarras... Le questionné hésite à répondre « Napoléon », boucher conforme à ses élucubrations de grand-papa. Alors l'acteur l'envoie dans les cordes : « Parce que pour moi, l'homme viril par excellence, c'est Gandhi ! » Direct du gauche. L'autre, complètement sonné, ne s'en remettra pas.

Je n'ai pas lu les 38 pages (vous m'excuserez ^^), mais donc concernant l'énoncé initial. Je ne pense pas que les femmes soient exigeantes.

Comme les hommes, leur idéal du sexe opposé, comme son nom l'indique, est idéalisé ^^, mais on compose tous plus ou moins avec nos fantasmes imposés par les publicitaires, qui nous vendent du Ken et de la Barbie dotés des caractéristiques de Charles et Caroline Ingalls, avec une légère dose de Pierre et Marie Curie .

Les rapports humains ne sont pas des fantasmes, et elles ne sont que peu à rester figées de façon dogmatique sur l'image de la perfection du prince de petit lu.

Des femmes très belles avec des hommes très laids et avec un vécu chaotique, il y en a pléthore, et du coté des mecs, c'est la même.

Il n'y a pas d'exigences, tout au plus une idéalisation moins accessible pour le péquin moyen.

Ce sentiment ne doit être que la résultante de la réalité actuelle, dans laquelle, les femmes peuvent exprimer leurs désirs (comme le font les hommes depuis des lustres), ce qui choque ceux qui s'en sentent très très loin.

Juste un retour de bâton

Godwin point mention "Zemmour".

Bien sûr que je suis de gauche ! Je mange de la choucroute et je bois de la bière.

Bof !!! de droite ou de gauche, quelle importance, l'important c'est de trouver le juste milieu !!!!

euh Louloute...tu ne serais pas en train de dévier du sujet là....? c'est pas pour poser ma crotte mais c'est un constat

euh désolé, non !!! mais devant la tirade de lucy van de pelt j'ai failli piquer du nez, je voulais juste faire diversion, allez zou !!!!!! le débat est relancé, mais quel débat au juste ???? ça y est, j'ai perdu le fil conducteur , helpppppppppppppp !!!!!! :D :D :D

euh désolé, non !!! mais devant la tirade de lucy van de pelt j'ai failli piquer du nez, je voulais juste faire diversion, allez zou !!!!!! le débat est relancé, mais quel débat au juste ???? ça y est, j'ai perdu le fil conducteur , helpppppppppppppp !!!!!! :D :D

Oh misère, je l'ai appelée Lucy van de pelt alors qu'elle s'appelle lucy van pelt, je lui ai rajouté la particule, c'est tout moi ça !!!!!

Comme dans ce topic il est question aussi des dires de Zemmour, qui a provoqué dejà de nombreux clashs avec plusieurs personnalités, dans la video qui suit, par exemple, il est très aisé d'observer qu'il n'écoute pas son interlocuteur, qu'il l'interrompt sans cesse

http://www.dailymotion.com/video/xdi4gu_cl...-n-est-pas_news

Seulement voilà, il est dangereux car il reste en place dans l'émission et cette émission est publique.

Et l'audimat marche.

Comme dans ce topic il est question aussi des dires de Zemmour, qui a provoqué dejà de nombreux clashs avec plusieurs personnalités, dans la video qui suit, par exemple, il est très aisé d'observer qu'il n'écoute pas son interlocuteur, qu'il l'interrompt sans cesse

http://www.dailymotion.com/video/xdi4gu_cl...-n-est-pas_news

Seulement voilà, il est dangereux car il reste en place dans l'émission et cette émission est publique.

Et l'audimat marche.

Tu te fous de moi ou quoi là ???

Qui monopolise la parole dans ce débat ? C'est pas Zemmour hein, c'est Banamou.

Et quand ce dernier le traite de fasciste, moi à la place de Zemmour je lui aurais collé un procès au cul pour propos diffamatoires et injurieux.