Poésie

"Que s'arrête le temps,

Que continue l'instant,

Celui ou je t'ai connu,

Qu'en est-il advenu,

De ces souvenirs temporels,

Qui m'ont montré à quel point tu es unique,

Et a quel point mes rêves étaient surnaturels,

Et mon amour platonique,

Que s'arrête le temps,

Que continue l'instant,

Celui ou je t'ai revu,

Toi qu'a jamais je pensé perdu,

Au plus profond de moi je t'aime,

C'est toi qui m'inspire ces poêmes,

Comme la pluie,

Qui nettoie le ciel aujourd'hui."

C'est mimi

Dommage pour les petites fautes

jyt

Modifié le 19 avril 2007 par reveuse

gyrt

Modifié le 19 avril 2007 par reveuse

Summerside

Ensemble, nous marchions vers des lumières insalubres.

Viens un peu plus prés de moi

Regarde comme l'esprit se tait au matin

Quand reviennent les premières larmes du soleil

¿

Je peux te sentir pleurer sur mon épaule

Et puis je ne suis pas un bon parti

Juste de passage

Comme juin qui s'en va

Je fume une cigarette et je regarde passer le monde

Ce monde en larmes

Il y avait moi, il y avait toi

Il y avait tellement de monde

¿

Je me prends a rêver de vertiges

A perdre le fil du temps

A courir a bâtons rompus

Dans une ville martelée par le soleil

Tu ouvres la bouche, tu respires

Et la trace lame de ton ombre

Découpe le monde

¿

Tu m'inspires une ville centenaire

Une ville peuplée de comédiens

Et maintenant je bois une saison de solitude

Face à la mer argente

J'ai brisé des miroirs pour toi

J'ai bu du sang pour toi

Et je vis mort

¿

Peut être y a-t-il un autre visage qui te satisfait

Peut être une autre nourriture pour ton été

Et l'enclot des pourritures continu de paraître a l'horizon

Un trésor dans tes yeux

Un soleil dans tes bras

Je marche sur la pointe des pieds

Dans cet été calme a souhait

Ou malgré tout la violence du ryhtm n' blues

Vient jusqu'à ma couche

¿

Reviens fille de toujours

Reviens crever mes yeux

Reviens me déchirer les entrailles

Et je serais heureux

Heureux comme un sacrifié

M.Roland

18h15 déjà

Je pensais sortir, au lieu de cela je m'acharne sur un vin de Savoie, un Apremont

Il n'y a rien eu pour notre parole accomplie, nous n'avons rien dit

Tout le monde respire

Tout le monde boit

Je suis en retard sur le monde.

Il y a des génies à notre époque, des génies par milliers, on doit ça à la subjectivité naissante et déjà poussiéreuse

J'ai regardé derrière moi

J'ai regarde tout le monde

La terre est sainte

La vie est une grâce accordée aux sensibles, aux écorchés

J'aurais voulu dire

J'aurais voulu dire

La jeune fille penche son visage et aperçoit un bras de mer

La blessure plus propre que la négation

Une haine simplement une violence volontaire faite au rasoir sur le clitoris des petites filles

Et puis il n'y a plus rien eu

Plus rien

Juste ton sourire devenu un rire coriace

En sortant du cinéma j'entendais les battements du métal

J'entendais une agonie brutale

...

Nous sommes l'apothéose d'une parole

Nous sommes neufs à peine dépaquetée

J'écoutais le front bombé de cet artiste

J'écoutais ta parole prononcée à mi-voix

...

é ma vie, recueille les fruits de l'attente !

é ma vie soit prompte à la blessure que je porte

....

La jeune fille regardait son verre

Et tout devint clair : le bar, l'absence, la mémoire d'être

Je ne coucherai pas avec elle, je rentre

Epave magnifique

Je suis du couchant et derrière moi le monde s'éteignait.

pessoa72 salut

Tu as trés bien fait ressortir tes etats d'âme du moment

mais tu m'as donné un Coup de blues :D

ah la poesie ah les poetes

Modifié le 11 mai 2007 par reveuse

A la lumière obscure

Je te croise enfin

Mon dieu que tu es belle

Toi la seule toi l'ultime

Entre les hommes égalité

S'il te plait prends ma main

Ne te fais plus attendre

Il est temps de s'étreindre

De s'éteindre

Une dernière cigarette

Les guerriers de la route avaient pourtant prédit

La mort ou la naissance

Ca dépend du c¿ur

Au soleil qui s'incline

Allez finissons en

Et laissons s'accomplir le firmament

Plongé dans l'infini dans le gouffre sacré

De Katagena

Me noyer à jamais

Et puis quitter ce monde sans pudeur ni morale

Jveux qu'on baise sur ma tombe

Jveux qu'on baise sur ma tombe

Que la grâce s'accomplisse

Immortelle jouissance

Que les femme s'unisse dans un parfait accord

Rien que pour un instant

L'éphémère devienne

Eternité

J'aurais aimé t'aimer

Comme on aime le soleil

Te dire que le monde est beau

Que c'est beau d'aimer

J'aurais aimer t'écrire

Le plus beau des poèmes

Et construire un empire

Juste pour ton sourire

Devenir le soleil

Pour sécher tes sanglots

Et faire battre le ciel

Pour un futur plus beau

Mais c'est plus fort que moi

Tu vois je n'y peux rien

Ce monde n'est pas pour moi

Ce monde n'est pas le mien

Au revoir mes amis

Au revoir mes frères

Au revoir mon pays

A nous deux la lumière

Au revoir Franckie

Au revoir les printemps

Au revoir pauvre monde

A nous deux satan

Au revoir mes amis

Au revoir mes frères

Au revoir mon pays

A nous deux la lumière.

Ya quelqu'un qui aime ??

Modifié le 12 mai 2007 par Angelis

j'ecris ton nom sur la mer

mais malgre les vagues le suppriment

j'ecris ton nom sur le ciel

mais malgre les nuages le cachent

j'ecris ton nom sur le sable

mais malgre le vent l'envole

alors j'ecris ton nom

dans mon coeur

Dernière cigarette, demain j'arrête, fumée qui me monte à la tête.

(Bah quoi. C'est un haïku. Tout dans la condensation )

j'aime beaucoup, bien ecrit

Oui pas mal c'est de toi?

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Et si ce soir...

Et si ce soir, on oubliait tout,

Tous ces carcans qui nous enferment

Dans ces même règles que personne n'aime..

Et si ce soir on mettait de côté

Tous tes remords et mes regrets

Si on se laissait un peu aller?

Et si ce soir on jouait notre vie

T'aurais si tu veux le plus beau rôle

Je serai la princesse qui te cajole;

On s'enfuirait comme deux voyous

Et moi jte suivrais un peu partout

On partirais comme deux grands fous

On survolerait le Chili et puis Bali

Comme deux bandits en cavale

Avec nos coeurs en guise de malle

Et si ce soir, on s'oubliait un peu

Si on cessait d'être malheureux

Si on partait rien qu'tous les deux...

Et si ce soir...

Juste un peu de tendresse

Juste un peu de tendresse,

Le reste je le leur laisse

Besoin de ta présence

Dis mon amour, on danse?

Ne cherches pas les mots d'amour

Que tu rimerais avec toujours.

Juste de la tendresse

Quelques douces caresses

Des moments opportuns

Toi et moi on serait bien

Partis pour des calins.

Dis mon amour, tu viens?

Juste envie de paresse

Teintée de ta tendresse

Envie d'une vie légère

Pas d'étau qui nous serre

On ne se promet rien

On est là, on est bien

Et aux creux de nos mains

Jusqu'au au petit matin

Juste un peu de tendresse

Au coeur de nos caresses

Et aux creux de nos vie

Un peu d'insouciance

Comme un amour d'enfance

Des baisers d'innocence

Et tous ces mots qui dansent...

Dis mon amour, on danse?

Le jeu de la vie

Moi à la vie j'y comprends rien

J'ai bien essayé pourtant

Je l'ai tourné dans tous les sens

Mais j'en ai pas trouvé l'essence.

Pour moi la vie c'est un puzzle

Parfois un petit peu casse-gueule

Qui finit sans doute par me lasser

Trop de pièces trop compliquées

Même si le jeu a l'air sympa,

Je sais pas si je douée pour ca.

Mon ami si tu le veux

Choisissons chacuns nos pions

J'ai un peu les jetons de commencer

Alors à toi de t'y lancer...

Au jeu de société qu'sont nos deux vies

J'y jouerais pas sans mon ami.

Alors ca y est les dés sont j'tés je pense

Nous voilà sur la case enfance

Je suis heureuse ca me plait bien

Je suis très bien ici, tiens!

Et tu me dis, toi moi ami:

"Je crois que pour pouvoir avancer

L'innocence il va falloir s'en séparer.."

Et si moi je veux garder mon insouciance?

Si je veux pas d'la case adolescence?

Mon ami si tu le veux

Fais donc avancer mon pion

Parce que je déteste ce jeu

Et j'avance à reculons

Ah ca y est je suis une préado?

Pff et ben je trouve pas ca rigolo

Et pourquoi il faut que je porte

Ces bagues qui m'insupportent?

Et pourquoi faut il que je me tape

Les réflexions qui le moral me sapent...

Et papa il joue plus dans le jeu?

Comment ca il est trop vieux?

Ah il se met juste à côté..oké.

Je suis pas bien ici je veux m'en aller

Je suis sure que dans quelques années

Je serais trop contente

D'être une adolescente!

Mon ami si tu le peux

Fais moi vite bouger

Car j'ai les larmes au bout des yeux

Et je déteste ces années.

Un coup de dés tiens et me voilà ado

Et très vite j'en ai plein le dos

Ah non peut être vais je être heureuse

Ca y est je tombe amoureuse!!!!

Pourquoi on m'avait pas prévenu avant?

Quel sentiment hyper plaisant!

Toi mon ami tu me dis de me protéger

Pourquoi veux tu m'étouffer?

J'ai trouvé l'homme de ma vie

Et je l'aimerai à l'infini...

Aïe ca y est je suis tombée..

Acceptes tu d'me ramasser?

Mon ami si je le peux

Je me ferai pardonner

Avancons main dans la main

Prenons un autre chemin

Tiens on a quitté l'adolescence

Mais en a t-on eu vraiment conscience?

Pas l'impression d'avoir grandi

Ni avancé dans l'jeu de la vie...

Papa a quitté le jeu, il avait pas le droit

On aurait pu pour qu'il reste lui tendre nos bras..

Tiens qu'est ce que je trouve ici..

Ah des regrets et des remords à vie..

Il faut que je les garde jusqu'à la fin du jeu?!

Ah non, ah bon d'accord, ca j'aime mieux

Bon je les laisse là, je les aime pas...

Mon ami ca serait mieux

Qu'on avance pas trop vite tous deux

Le jeu a l'air d'avancer rapidement

Et j'ai un peu peur tout simplement

Pourquoi on avance plus, un truc va pas?

Ah t'as les boules d'avancer plus loin c'est ca?

Alors t'es comme moi mon ami

J'ai une peur bleue du jeu de la vie..

Sur le chemin de la vie pourtant on a trouvé

Tous deux des amours, des amitiés

On est tous restés soudés, on s'est aimés

On s'est tous consoler, on s'est tous calinés

Mais la tendresse n'est pas bien solide

Face à des angoisses qui roulent en bolide

Sur le sacré jeu de la vie..

Le sacré jeu de la vie.

Tu es là, c'est tout ce qui compte

Tu es enfin à mes côtés

Tu es là et pour toi je compte

Tu es là dans mes bras, serrée

Nous nous coulons dans la refonte

En un unique composé

Dans mon esprit la chaleur monte

Et me voilà revigoré

Tout n'est qu'une question d'osmose

Et nous cherchons, mêlant nos gènes

Une équation, la juste dose

Des éléments qui nous imprègnent

Cette alchimie en nous s'impose

La réaction en nous s'enchaîne

Une volubile symbiose

Evaporant toutes nos peines

Ta présence alors me suffit

A apaiser tant de douleurs

A raviver mon appétit

Et recolorer mon humeur

Car c'est un fait, à ma survie

Tu es la condition dans l'heure

Quand tu t'éloignes, je dépéris

Loin des yeux n'est loi du c¿ur

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Si doucement l'on gravite

Baignant dans une atmosphère

Dont la tiédeur invite

A un vol stationnaire

Nous sommes dans notre sonde

La capsule de survie

Et dans cette course ronde

Il n'est plus aucun souci

Ainsi placés en orbite

Dans une autre galaxie

Chaque minute profite

L'apesanteur étourdit

Savourant chaque seconde

Dans la grève de l'esprit

Blotti auprès de ma blonde

Elle, dans mes bras ébahie

Alors que nos corps lévitent

Comblant les amants unis

La récompense émérite

Nous goûtons le Paradis

Nous sommes entre deux mondes

Au firmament de la vie

L'émotion nous inonde

Nous sombrons dans l'infini

---

La dictée sur le vif

Deux prénoms relatifs

S'associent dans les vers

Apprennent la grammaire

Le papier de vie

La romance s'écrit

Deux coeurs prennent la fugue

Et leurs âmes conjuguent

Elles le sont le sujet

Le complément, l'objet

En construisent des phrases

Et remplissent les cases

Dans un ton ponctué

De buts subordonnés

Dans une conjonction

Nous nous coordonnons

Il est impératif

D'effacer les motifs

Corriger, non exclure

Eviter la rupture

Faute d'une liaison

C'est la terminaison

Et faute d'un accord

L'on se retrouve en tort

D'un passé composé

De souvenirs classés

On participe, présent

Pour l'autre à tou moment

Et dans l'infinitif

D'una mour subjonctif

Nous songeons au futur

Nous ne voulons conclure

---

Un jardin d'amour au fond d'une cour

La simple parcelle, le carré fidèle

Un coin pour toujours dans de beaux atours

Deux êtres s'emmêlent, en quête éternelle

Je sème les fèves, arrose de rêves

Et laissant pousser j'invoque les fées

Je serai la sève et toi belle Eve

Moi le jardinier, et toi la pensée

Je me fais terreau par mes tendres mots

Tu t'épanouis le jour et la nuit

Je suis le pavot contre tes sanglots

L'engrais de ta vie, tu es sans souci

Tu es une fleur aux mille senteurs

Mon impatience, ma belle garance

Emplie de douceur tu es ma liqueur

Tout en toi m'encense, tu es ma fragrance

Quand tu étales tes ardents pétales

Tu te fais miel, soleil, ma bouteille

La femme fatale, ma plante frugale

Et pour toi je veille, je me fais abeille

Ensemble cultivons ce qui sent bon

Ce qui étonne et fait que l'on bourgeonne

Tu es mon bouton d'or, ma déraison

Croquons la pomme, sans attendre l'automne

UNE RENCONTRE

D'abord ce désir fou celui que de se plaire

sans savoir..imaginer... le trouble dans son regard..

Esperer que de la magnifiance des écrits résulte une merveilleuse histoire...

Et puis vient ce moment ou l'on veut s'approcher et n'avoir de cesse que de se désirer...

Il me regarde enfin...que dois je en esperer..saura t il me plaire ? saura t il m'emporter...

Soutenir son regard...ou alors m'en aller...

cette fraction de seconde qu'il faut pour s'apprecier..

je choisis de lui plaire..j'ai envie de vibrer..

Sa main sur mon visage..et ce premier baiser...

il faudra esperer que nos 2 corps s'épousent...

sans quoi de notre union restera la rencontre...

à defaut de plaisir...cet unique désir...celui que de se plaire

et repartir en quète d'une nouvelle histoire

et sans en avoir l'air au nom de ce bonheur

auquel chacun pretend tout en ayant peur

continuer son chemin au grés d'une rencontre

un plaisir divin...avant que vienne l'heure

ou la main dans la main ..et tout contre son coeur...

chacun tour à tour avide d' un lendemain..

sans crainte ni regret saura se faire aimer...

faisant fi du passé et de nos jeunes années..

SEDUCTION

Les hommes ont inventé le feu les femmes comment jouer avec

et depuis la nuit des temps s'il n'est flamme qui se consume

c'est ce désir qui unit ces deux êtres si imparfaits

Les hommes n'ont eu de cesse de guerroyer mais jamais de tout temps

on a vu homme combattre celle qui lui donna la vie

Ce chasseur prédateur, cette proie séductrice envoûtante

ce désir réducteur , cette femme enflammée, cette flamme embrasée

Ces deux là n'ont de cesse que de se désirer

Si parfois ils s'approchent, se frôlent et se côtoient

Ils leurs arrivent aussi de bâtir et construire unit d'une même foi

Les hommes souvent découvrent, les femmes elles pérennisent

Il n'est plus belle histoire que cette force unifiée

Et lorsque femme décide souvent l'homme se plie

fragile flamme parfois que l'homme a inventé

Et que la femme attise dans un brasier ardent

Je t'offre ce quelques mots sans en attendre rien

Un homme ne peut donner bien souvent que ce qu'il a

Une femme au demeurant elle va bien au delà

tu voudrais femme amante investie de désir

Mais n'oublie pas ceci à jouer avec le feu

on se brûle parfois et le passé démontre

bien souvent que si les hommes ont inventé le feu

c'est aussi par le feu qu'ils ont périt parfois

POUR VOUS PARLER DE LUI

Pour vous parler de lui

j'invoquerai la douceur de ses gestes, la tendresse de son coeur

De lui je déclinerai

son regard velouté ce sourire ravageur

esquisser son portrait

sa douce chevelure savamment décoiffé

Pour s'approcher de lui nul besoin d'artifice

Car c'est le naturel qu'il aime à contempler

il a de ses silences qui vous parlent au coeur

et il est romantique et puis un brin rêveur

Pour s'approcher de lui il faut prendre son temps

il n'est pas homme facile il aime intensément

il donne ce qu'il a mais le donne vraiment

il vous prend dans ses bras, cet homme de sentiments

Pour entrer dans sa vie il faut être exalté

sous son aspect fragile cet homme est passionné

Et dans ce doux regard incandescente flamme

Discret et attentif il sait vous rendre femme

Pour vous parler de lui il me faudrait du temps

devenir son amante partager son présent

Pour te parler de toi me reste le futur

et l'indicible espoir que l'harmonie perdure

VIRTUELLE RENCONTRE

Je parle d'une rencontre qui ne s'explique pas

un sentiment à part..puisque l'on ne se voit pas..

et pourtant l'on se guette ..l'on se cherche parfois

avide et attentif l'on s'approche pas à pas

je te vole ton temps et tu me le rends bien

partage d'emotions ..etranges confessions

si l'on se touche un peu ce sont avec des mots

nos mains n y sont pour rien

Et si je prends plaisir à te toucher ainsi

si je gagne le plaisir de voir tes yeux briller

je sais que nos echanges etrange prophétie

promesse de lendemain sauront eux perdurer

Toi virtuel ami..que j'aime partager paroles et musiques je voudrais t'approcher lentement et eveiller tes sens

et m'ennivrer de toi de rêves empiriques

et garder la saveur du gout de ta présence