Poésie

j'aime bien l'analogie de la déprimme avec un village (en tout cas c'est l'effet qui ressort de ton poeme)

Sinon mis a part le dernier vers j'aime beaucoup

Bon j'me lance aussi... Et en réponse à Wotk, il y a quelque post de ça, je ne me dis pas poète, mais j'aime bien écrire mes pensées et états d' âme ! J'aurai juste préféré que ta critque soit un peu plus constructive.

On se dit parfois que notre vie n'est pas ici.

Le présent n'est qu'une brive, une parenthèse ouverte

Que l'on aimerait refermer à jamais.

Tout celà me semble si irréelle.

Cette histoire ne peut être la mienne.

Alors mes rêves m'entraînent, m'enlèvent à ce monde.

Le réveil est souvent brutal,

L'évasion, bien qu'éphémère, reflette ma lacheté face à la réalité.

Et si aujourd'hui je rêve ma vie,

Peut être aurais-je un jour le courage de vivre mes rêves.

C'est beau Colombine

tiens ca me fait penser à un petit poeme en prose que j'ai récemment "écrit" .. dans ma tete

Je l'écrit donc pour la premiere fois:

Longtemps auparavant sur ma route

Tous les jours la même fleur j'admirai.

Puis une autre vers un chemin différent

Sans raison m'a attiré.

Dés lors la premiere j'oubliai.

Mais un jour un vif souvenir

Vers l'ancienne route m'appelait.

Je ne savais plus laquelle choisir;

Ni laquelle des deux fleurs

Mon coeur préférait.

Perdu je m'assis aux abords du chemin

Afin de décider de celle que je préférais.

Longtemps il m'a fallu

Avant que je comprenne

Que je ne cherchais pas la plus belle,

Mais celle pour qui mon coeur

Serait le plus bel écrin.

Bravo Wild J'espère que cette fleur là, saura apprécier ce si tendre et émouvant "écrin"...

Ne t'inquiète pas Angelnine, "elle" sait l'apprécier..

Wild ... Merci ... ...

Rien qu'une fois remonter le temps,

effacer tout ce qui c'est passé ,

et recommencer.

Rien qu'une fois encore fermer les yeux

et croire en toi et en moi.

Ne pas croire ce que j'ai vu,

ne pas penser que tu m'as deçu.

Ignorer sa presence,

même son existance.

Aimer à penser

que tout est revé.

Me laisser bercer encore par tes bras,

Danser et virevolter comme autrefois...

mais la blessure toujours saigneras

Angeline, ou trouves tu, cette inspiration productive ???

J'aime beaucoup feuilletter l'album de mots que tu nous livre a chaque page ...

Cruxlaurie, tu me laisse envieuse de pouvoir tout effacer et recommencer..

Angeline, ou trouves tu, cette inspiration productive ???

J'aime beaucoup feuilletter l'album de mots que tu nous livre a chaque page ...

Cruxlaurie, tu me laisse envieuse de pouvoir tout effacer et recommencer..

Merci Colombine . Mais je te retournes la question: où trouves-tu toi-même ton inspiration, qui quand tu nous la livre à ta manière, est toute aussi productive, que toute celles qui sont en lecture ici. Nous sommes tous differents, et nos differentes manières d'expressions, c'est cela qui est poétique. Personnellement, j'envie un peu ta prose et la façon qu'elle a à nous inviter à tes états d'âmes...Moi, je ne sais pas trop faire ça, car je suis prisonnière de la rime :D , qui n'est pas si riche que ça, car je suis simple de nature

Au plaisir de te relire

j'ai jamais vraiment aimer la poésie mais quelque fois c'est joli

SABLES MOUVANTS

Démons et merveilles

Vents et marées

Au loin déja la mer s'est retirée

Et toi

Comme une algue doucement caressée par le vent

Dans les sables du lit tu remue en revant

Démons et merveilles

Vents et marrées

Au loin déja la mer s'est retirée

Mais dans tes yeux entrouverts

Deux petites vagues sont restées

Démons et merveilles

Vents et marées

Deux petites vagues pour me noyer.

"Comme"

tu me manques,

Comme les étoiles au ciel,

les fleurs au miel.

Comme le sable à la dune,

le soleil à la lune.

Comme l'écume à la mer

et l'une à la paire.

tu me manques ...

hé hé... voilà je retourne vite me cacher dans l'asile

c'est joli, si joli

que j'en oublis jusqu'à mes soucis

et qu'en crament...mes raviolis...

gniarf...chuis bete...bravo Mad

Littérature sans poil

Essence sans gasoil

Par Poil de Carotte !

Où ai-je la marotte ?

Il ne faut blasphémer les petits capileux

Les poils c'est comme ça très capricieux

lorsqu'il passait sur le sentier

il vit la vie dans un pommier

la vie qui récoltait les pommes

tout comme l'aurait fait un homme

la mort assise auprès de l'arbre

aussi blanche et froide qu'un marbre

tenait a deux mains le panier

ou les pommes venaient tomber

et les pommes étaient si belles !

si pleines de jus, si réelles !

que la mort lachant le panier

s'en fut sur la pointe des pieds ....

pour Akumu....

Prise au dépourvue, muette elle est restée

On aurait voulu l'aider et..

Illico presto¿

Lui souffler les mots !

Ah lala, devant tant d'esprit

Un deux trois la voilà qui rougit

Non plus rien ne lui vient

Et dans un silence pas très malin

Z'elle s'en va compter les doigts de sa main !

C'est pas sympa pour ceux et celles qui prenaient l'endroit au sérieux

houlà...désolée que tu le prennes comme ça et surtout je ne vois pas ce qui justifie une telle réaction, un acrostiche et un peu d'humour n'enlèvent rien au sérieux du sujet et surtout n'empêchent personne de poster autre chose...je te trouve bien coléreux mais aprés tout je ne suis qu'une gueuse parmi d'autres pouilleux, je m'en retourne donc à mes boeufs ...fin de l'aparté...

MDRR reves vengeur ...

et toc !