Jeu concours : Description

Bonjour à tous,

J'aimerai proposer un petit jeu, l'écriture d'une courte description d'un personnage, réel ou fictif. Homme ou femme, au choix. De préférence Humanoïde. De 2 à 20 lignes maximum.

L'idéal serait que chacun soumette sa description, et que, d'ici une semaine ou deux un sondage soit mis en place dans le but de voter(ou pas) pour notre description préférée. Qu'en pensez-vous ?

Je vous laisse poster vos description à la suite de ce message.

Amusez-vous bien

L'idéal serait quand même que tu démarres le jeu que tu proposes .

Oui, je suis d'accord avec chirona : débute avec la description de ton choix.

Je participerai probablement.

¿ Décris-moi, fit Roland.

¿ D'accord. (réflexion). Tu es grand, mince, et beau. Ce que l'on voit en premier chez toi, cette chose qui te caractérise et qui fait que l'on te reconnaît dans la rue, toi, en tant qu'individu, lorsque l'on te croise de manière impromptue, c'est ta silhouette, et tes cheveux. Ta silhouette, parce que cette finesse des traits se ressent sur le dessin général de ton corps, et tes vêtements toujours soignés ne la cachent pas ; ils n'insistent pas non plus dessus, sans être neutres pour autant ¿ l'expression mettre ce qui te plaît et te met en valeur a réellement un sens en te voyant. Tes cheveux, d'autre part, parce que, toujours ébouriffés, d'un joli châtain clair dont la teinte est rare donc précieuse, ils sont tellement toi. L'on se demande souvent si c'est avec un soin particulier que tu les décoiffes, ou si par quelque hasard espiègle, le matin au réveil se charge de ce travail à ta place, ce qui serait pratiquement une bénédiction que t'aurait lancée une fée au berceau, il y a vingt-cinq ans. Il y a ton visage, aussi. La ligne de tes os te revêt d'un certain port altier, un air que l'on pourrait trouver aristocratique si l'on ne connaissait pas ton caractère si ouvert derrière une fine couche de timidité que nous ne demandions qu'à briser. Qu'à balayer comme un peu de poussière, comme si tu avais prévu, manipulateur, que ce visage demanderait telle caresse. Et puis, au-dessus de tes lèvres aux contours marqués, abritant plus d'un petit sourire timide ou ironique, il y a ces yeux, ces yeux clairs dont l'iris varie du vert au marron en fonction de la position du méridien. C'est en cela que je te trouve une grâce cosmique.

Cet homme était mystérieux,intriguant ,et d'une beauté subjuguante ,car ne répondant pas aux critères usuels.

Ses imperfections au visage amplifiaient cette beauté outrancière et ce vécu qu'il nous faisait ressentir à sa vue.

Il avait une cicatrice imposante au coin de l'oeil droit et un nez de travers, qui donnait l'impression d'avoir été cassé à maintes reprises.

Ces défauts lui donnait une humanité inexplicable,faisaient qu'aucun ne pouvait détacher ses yeux de lui.....

Son regard bleu azur, à la fois triste et plein d'histoire,suscitait l'envie immédiate de le prendre dans ses bras telle une mère le fait afin de réconforter un fils peiné.

Sa bouche,à la fois sucrée et amère, comme si elle avait du taire trop de désirs gourmands,donnait l'envie d'y poser un doux et voluptueux baiser.

Ce voyageur solitaire ne laissait personne indifférent...

A chacun de ses passages dans les villes d'Italie,il était seul ,comme si il n'était jamais parvenu à faire confiance à quiconque,poursuivant son voyage sur terre, incompris et égaré.

Malgré sa bouche avarde de parole,partout ou il s'arrêtait,il faisait couler encre et salive......

désolée il y au un bug.Ce deuxième post est inutil comme vous le voyez.

et mais c'est pas mal du tout ces descriptions, ouais le truc c'est que voila quoi : vous vous servez un peu du contexte et de l'imaginaire j'ai l'impression quand même ; moi des descriptions comme ça, je sais pas..... je verrai ça, mais plus tard, là je bosse sur quand j'étais petit

- Alors dis-nous ! Cet homme comment était-il ? Qu'est ce qui le caractérisait ? Etait-il grand, petit, svelte, costaud ? Etait-il rougeaud ? Etait-il classieux ? Avait-il du charme ? Vas-tu nous dire enfin ?

- C'est difficile, répondit Alphonse. Une tête de veau... Voilà ! Il avait une tête de veau.