Graffiti Vandale

Partagez vos photos et/ou sites de photos de Graf, tag et peintures murales urbaines en tout genre

Non, celui ci n'est pas de moi :blush: ...

Whaouh, j'ai eu un gros momment de bug dans les trois minutes qui ont suivi la création de ce topic !!

est ce le mot clé "vandale" ?? ^^ c'est marrant

un mec Qui graff(ait?) seul partout en France

O'CLOCK, son blase est un p'tit clin d'oeil sinique au flics qui arrivent trop tard

Il est vraiment partout ce gars !!

Voici LE(?) plus gros crew de graffeurs en France, vous avez sûrement du en croiser à Paris

132

Il n'y a pas de murs assez grands pour eux ^^

" />

Quelques sites concacrés au graff

art-graffiti.com, un beau site internationnal

maquis-art.com, un bon site qui fait le tour du graff en France

mémoires d'un graffeur, "RATP Loverz : Metro, Dépôt, Dodo ... " !!!

...

Allez, faites vous plaiz' !! :blush:

Une p'tite vidéo de Kourtrajmé

C'est bien fait pour ta gueule

Un emission très bieen gaulée de "Lundi investigation" (canal+)

Tag:La guerria souterraine

NTM ( un crew de graffeur avant de faire de la danse et du rap )

Paris sous les bombes

Allez, un peu d'histoire de l'art : Keith Harring (enseigné en cours d'arts plastiques)

Petit, Keith Haring écoute Aerosmith, les Beatles, et consomme drogues et alcool. é 18 ans il entreprend des études de graphisme commercial à Pittsburgh puis continue à l'école des Arts visuels de New York. Il s'essaie à autant de disciplines que le collage, la peinture, les installations, la vidéo, etc. mais son mode d'expression privilégié demeure le dessin. é New York, et plus particulièrement dans l'East Village, il découvre la foisonnante culture alternative des années 1980 qui, hors des galeries et des musées, développe son expression sur de nouveaux territoires : rues, métros, entrepôts, etc. Il rencontre des artistes de la vie underground new-yorkaise tels Kenny Scharf et Jean-Michel Basquiat avec qui il devient ami, et organise ou participe à des expositions et performances au Club 57, qui devient le lieu fétiche de l'élite avant-gardiste. C'est à cet endroit que le Bébé rayonnant, un des pictogrammes les plus connus de l'artiste, fut inspiré.

Inspiré par le graffiti, tenant du Bad Painting, et soucieux de toucher un large public, Haring commence à dessiner à la craie blanche sur des panneaux publicitaires noirs du métro de New York. Il grave également des dalles de grès des trottoirs dans l'East Village (elles sont toujours présentes de nos jours). Un photographe, Tseng Kwong Chi, le photographie en permanence, même quand la police l'arrête. Il exécute plusieurs milliers de ces dessins, aux lignes énergiques et rythmées. La griffe Haring, c'est la répétition infinie de formes synthétiques soulignées de noir avec des couleurs vives, éclairantes sur différents supports. C'est un récit permanent où l'on retrouve bébés à quatre pattes, dauphins, postes de télévision, chiens qui jappent, serpents, anges, danseurs, silhouettes androgynes, soucoupes volantes, pyramides ou réveils en marche, mais aussi sexualité et pulsion de mort.

Sa première exposition personnelle a lieu en 1982 à la galerie Tony Shafrazi de New York et rencontre un immense succès public. En 1985 il est invité à participer à la Biennale de Paris. Sa notoriété internationale ne cesse dès lors de s'accroître. Il participe à de nombreuses expositions internationales et exécute de nombreuses commandes prestigieuses, comme la fresque de l'Hôpital Necker de Paris. Dans son désir de rencontrer un large public et de rendre son art accessible au plus grand nombre, il ouvre en 1986, dans le quartier de SoHo, son Pop Shop, etc. illustrés par lui même, comme autant d'¿uvres « au détail ». Cette démarche très controversée dans les milieux artistiques est néanmoins fortement appuyée par ses amis et son mentor Andy Warhol. Son travail l'amène à collaborer avec des artistes tels que Madonna, Grace Jones, Timothy Leary ou encore William S. Burroughs.

En 1988, il apprend qu'il est infecté par le virus du sida. Il s'engage dès lors fortement dans la lutte contre cette maladie, mettant tout son art et sa notoriété au service de cette cause et de sa visibilité. Il crée à cet effet la Keith Haring Foundation^[1] en 1989 qui est chargée de venir en aide aux enfants et de soutenir les organisations qui luttent contre le sida.

Sa peinture est proche du mouvement de la figuration libre. Son ¿uvre, tel un langage figuré et volubile sur des sujets universels, reste comme l'une des plus importantes de la fin du XX^e siècle.

Keith Haring meurt des complications dues au sida à l'âge de 31 ans, en février 1990.

Le marché de l'art a très vite récupéré le phénomène Haring, l'artiste a cependant toujours cherché à démocratiser l'¿uvre d'art et à miner son statut élitiste.

Keith Haring a laissé une ¿uvre où l'innocence cache une réelle inspiration, comme si l'artiste n'avait jamais voulu grandir et qu'il regardait le monde avec des yeux d'enfant pour mieux parler des adultes.

En regardant les différents docs que tu as mis, notamment le dernier sur Keith Haring (par rapport aux autres) est ce que tu fais une distinction entre Graff et Tag?

Pas vraiment :blush:

Je ne connais pas l'ethimologie du mot "tag"

Mais il y a pléonasme dans mon intitulé "graffiti vandale"

"graffiti" est un mot italien qui designe les inscriptions sur un support qui n'est pas prévu à cet effet (sur une table, un vêtement, un mur ...)

Maintenant, on associe un graph à quelque chose d'artistique (graphiquement)

et le tag au côté vandale de la chose

J'ai passé mon bac d'arts plastique sur le theme du "blues urbain" avec toutes les appropriation et mises en scène de lieux illustrées par des graffitis en mettant "tag " et graph" dans le même panier .. Les professionels qui m'ont donné un 18/20 n'avaient pas l'air d'y voir d'inconvenients

Il y a une distinction à faire selon toi ?

Balèze le topic, ya des truc vraiment cool !

20 ans de graff a Paris

Profecy, Rappeur/Dessinateur (il a notemment rapé avec Rock'n Squat dans des morceaux très engagés : "France à Fric" ...)

Son crew la GrimTeam, dont je ne trouve pas grand chose sur le web

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Et une p'tite vidéo qui n'a rien à voir

"Talking about my Generation" :blush: cette chanson prend tout son sens dans cette vidéo!!

NPA NPF

(encore des Parisiens ?

(Musique

Necro sur la 1ère

Tunisiano sur la 2nde...)

...

Eh bien toi qui a bossé là dessus, me suis toujours demandé quel était le sens du 'tag' que je différencie (dans mon esprit et peut-être faussement) du graph' :

Pour moi le 'tag' c'est la signature d'un type... C'est donc plus un rapport à l'égo et à la défiance (sociale, autorité... j'en sais rien ^^)... Bref plutôt le côté plus péjoratif de cet art avec l'aspect dégradation. Bref, pour le dire franchement : le truc qui me gonfle ^^

Le graph' en revanche, me semble déjà moins "kéké spirit" avec une expression plus fouillée, le goût pour un esthétisme urbain... voire l'embellissement (ouais carrément ^^). Bref, le truc qui me parlerait davantage ^^

Mes questions sont donc celles-ci :

- les 'taggeurs' (ma définition perso sera à corriger si besoin) sont-ils les mêmes que les 'grapheurs' ?

- quels sont les sens du 'tag' (tel que je le décris plus haut hein) ? les revendications (s'il y en a ?) ?

- une dégradation inesthétique (dans mon esprit : le tag. C'est mon regard hein, cela n'engage que moi) peut-elle être considérée comme de l'art ?

Voila, je pose les questions à l'expert ^^

Salut Magus,

comme je l'ai déjà repondu, je ne pense pas qu'il y ai de difference à faire entre graff - un racourci du mot latin graffiti qui signifie "ecriture sur un endroit non prevu à cet effet (mur, table, vêtement...)" - et tag ..

Tu ecris graph , rapprochant ainsi le mot au graphisme (à la création géometrique d'image), et à l'idée d'art qu'on en a.

Le 'Tag' doit etre un equivalent saxon du mot 'graffito' (je ne me suis pas penché sur la question)

Celà dit, je comprend ton idée de différencier les "beaux" graff appliqués, artistiques des simples signatures ... qui pourtant sont pour moi à mettre dans le même panier.. La degradation n'est pas le but premier; il s'agit de poser son blase (son pseudo), sur le plus grand nombre d'endroit possible afin de marquer son territoire (c'est là l'origine du tag) et d'être respecté des autres graffeurs.

Tout dépend ensuite du savoir faire du graffeur (on ne commence pas de suite en faisant des fresques magnifiques) .; Tous les graffeurs sont passés par la signature sur des bornes electriques ou des poubelles ..

Je vais emettre une reserve sur ton avis: Je trouve des signatures plus artistiques que certains gros graffitis

Exemple:

et

Même si dans le deuxième cas, le mec à passé beaucoup plus de temps et de peinture, Le premier reste plus esthetique (c'est là un avis perso )

Et la valeur vandale est la même dans les deux cas

Donc

- les 'taggeurs' (ma définition perso sera à corriger si besoin) sont-ils les mêmes que les 'grapheurs' ?

Oui, même si chacun a son style, et à des niveaux et savoir faire différents

- quels sont les sens du 'tag' (tel que je le décris plus haut hein) ? les revendications (s'il y en a ?) ?

Les graff revendicatifs n'ont pas vraiment de valeur artistique ou autre concept de "delimitation du territoire" propres au tag

- une dégradation inesthétique (dans mon esprit : le tag. C'est mon regard hein, cela n'engage que moi) peut-elle être considérée comme de l'art ?

Biensur :D L'esthestisme est subjectif et ce n'est pas le but de l'Art ("Dans son duel avec l'etude du Beau, l'artiste hurle de frayeur avant de s'avouer vaincu" Beaudelaire ... Ce n'est pas parceque c'est moche que ce n'est pas de l'art)

Voilà

ai je bien repondu à tes questions ? :D

Est ce que pour vous aussi il y a un temps anormal de chargement de la page quand vous repondez à ce topic?

ça commence à me saouler

Tag n'a rien a voir avec l'art, en Anglais to Tag, ca veut dire marquer, etiqueter, donc en Francais, quand tu "tag" un mur blanc avec tes couleurs chatoyantes ( ca c'est du vandalisme, mais c'est surement un autre sujet ) ca veut dire que tu "marques" ta propriete.