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La souffrance


acquamarine

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Membre, Posté(e)
acquamarine Membre 184 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

L'homme a besoin de souffrir pour avancer dans l'existence!

Qu'en pensez vous?

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Membre+, Fervent utopiste, 38ans Posté(e)
mdr Membre+ 5 594 messages
38ans‚ Fervent utopiste,
Posté(e)

l'homme n'a pas besoin de souffrance, mais elle est omniprésente, c'est aussi par la souffrance que se traduit les sens, c'est juste inévitable.

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Invité christeleon
Invités, Posté(e)
Invité christeleon
Invité christeleon Invités 0 message
Posté(e)

La souffrance est lié à plusieur choses et en fonctions de la personne:

On peux souffrire d'une blessure physique (dû a un coups , une coupure , une maladie, ...).Elle sert car elle signale à notre corps , qu'une anomalie s'est présent. Si on saignait de l'aorte , on aurait bien besoin de la douleur pour nous prévenir.

La souffrance psycologique est un systéme (pour moi) qui permette de nous remettre en question. On peux prendre un acte involontaire qui a pus nuire à autruis (par exemple , se promener avec un couteau suisse).

Si par cette acte , on blesse , on a des remord et on réfléchie à son acte pour mieu contrôlé ses gestes.

C'est par les erreurs que l'on apprend à ne plus se tromper.

Bon cette exemple ne prend pas en comte les malades mentaux.

Soufffrir est un systéme de prévention utile.

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Membre, 36ans Posté(e)
markich Membre 3 722 messages
Mentor‚ 36ans‚
Posté(e)

D'aprés ce que j'ai appri dans la vie, ya deux moteurs à l'Homme, la joie et la souffrance.

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Membre, Peace & love, 49ans Posté(e)
mats Membre 2 395 messages
49ans‚ Peace & love,
Posté(e)

Je ressent la souffrance comme un signal d'alarme me poussant à réagir pour inverser le cours des choses.

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Membre, Posté(e)
anhdo Membre 3 481 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
L'homme a besoin de souffrir pour avancer dans l'existence!

Qu'en pensez vous?

C'est à cause de ses désirs ! :blush:

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Membre, Peace & love, 49ans Posté(e)
mats Membre 2 395 messages
49ans‚ Peace & love,
Posté(e)

oui, essayer de réaliser un certain idéal de vie, du moins percu comme tel

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Membre, 56ans Posté(e)
Sabine2 Membre 1 521 messages
Baby Forumeur‚ 56ans‚
Posté(e)
L'homme a besoin de souffrir pour avancer dans l'existence!

Qu'en pensez vous?

Je ne pense pas, on n'a pas forcément besoin de souffrir pour avancer

on peut avancer dans la joie et la sérénité

après parle tu de souffrance physique ou morale ??

:blush:

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Membre, Peace & love, 49ans Posté(e)
mats Membre 2 395 messages
49ans‚ Peace & love,
Posté(e)

morale

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Membre, 36ans Posté(e)
markich Membre 3 722 messages
Mentor‚ 36ans‚
Posté(e)
après parle tu de souffrance physique ou morale ??

:blush:

souffrance morale? Je connais la souffrance physique et mentale mais morale.

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Membre, 56ans Posté(e)
Sabine2 Membre 1 521 messages
Baby Forumeur‚ 56ans‚
Posté(e)

Bonsoir Markich

".......

La souffrance physique n'est pas la seule souffrance qui affecte les hommes et les animaux. Il existe une forme de souffrance qui n'a pas de lien direct avec la douleur physique provoquée par un accident, une maladie, un déséquilibre ¿

Cette souffrance est qualifiée de souffrance morale.

15004258_p.jpg

Je vais essayer de déterminer, dans les lignes qui suivent, les causes de ce type de souffrance.

Lorsqu'un événement familial me touche et que je suis séparé d'un être cher avec un décès par exemple, je ressens un sentiment de déchirement comme si la personne disparue était un peu moi-même. Ma vie, tout à coup, devient plus triste, je perds mon optimisme, mon entrain. Manger, travailler, vivre en un mot, tout devient pénible. Il va falloir de nombreuses semaines pour retrouver un équilibre et une joie de vivre. Et pourtant rien n'a touché, ni endommagé mon corps ; seuls des sentiments et des pensées négatives me traversent. ...."

Par contre souffrance mentale, je ne vois pas ce que c'est !!

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Membre, Peace & love, 49ans Posté(e)
mats Membre 2 395 messages
49ans‚ Peace & love,
Posté(e)

les deux mots désignent sans doute la même chose

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Membre, 46ans Posté(e)
Stefan124 Membre 440 messages
Baby Forumeur‚ 46ans‚
Posté(e)

Non, Cautionner la souffrance est inadmissible. Même si on passe forcément par la souffrance, il vaut mieux qu'elle soit psychologique.

Un individu qui sait qu'il cause une souffrance insupportable, ou même qui essaye de le faire, et qui ne se repend pas, est dangereux pour la société.

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Membre, Posté(e)
acquamarine Membre 184 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

On se remet bien souvent d'une souffrance physique, d'une souffrance morale, Jamais!!!!!!!!!

La souffrance psychologique fait des traces indelebiles.Ce qui nous tue pas nous rend plus fort.

Apres en avoir tiré les leçons, on, avance.......

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Membre, 45ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 45ans‚
Posté(e)

Mmm on peut se remettre d'une souffrance morale, si, quand même, heureusement. ^^

Ceci dit, notre société tolère bien plus facilement la souffrance morale que la souffrance physique.

Une souffrance physique qui nous empêche de dormir, on va de suite voir le médecin, et des hôpitaux prennent soins de nous.

Une souffrance mentale qui nous empèche de dormir, c'est presque "normal", c'est "pas grave". "on n'est pas des chochottes..."

Alors que les symptômes sont les mêmes pourtant.

Sinon, pour répondre à la question, je pense que la souffrance n'est pas un besoin, mais qu'elle provoque un plaisir, et un désir. Celui de triturer sa plaie, par exemple.

Ou celui de l'amoureux transi qui va se "torturer" tous les soir et se faire tout les scénarios possibles pour se faire souffrir.

Enrayer la boucle du masochisme est extrêmement difficile, seuls quelques sages y arrivent.

Pour ma part, je pense qu'une de nos quatre pulsion primaire est une pulsion de mort, sois tourné vers sois même (auto-destruction, masochisme... ou le plaisir qu'on éprouve à se torturer à faire du sport, pour une conséquences plus positive...), sois tourné vers les autres (agressivité etc...)

Un moyen simple d'enrayer le cercle de la souffrance tournée vers sois même, c'est de basculer dans la souffrance qu'on inflige aux autres.

C'est moins moral, et moins accepté par nos sociétés, mais c'est quand même vachement courant et affligeant de banalité ^^

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Invité KARBOMINE
Invités, Posté(e)
Invité KARBOMINE
Invité KARBOMINE Invités 0 message
Posté(e)
La souffrance psycologique est un systéme (pour moi) qui permette de nous remettre en question.

C'est par les erreurs que l'on apprend à ne plus se tromper.

Je ressent la souffrance comme un signal d'alarme me poussant à réagir pour inverser le cours des choses.
Je ne pense pas, on n'a pas forcément besoin de souffrir pour avancer

on peut avancer dans la joie et la sérénité

je suis assez d'accord avec tout ça... la crise, l'instant critique, c'est le moment où l'on commence à se remettre en question, c'est à dire aussi le moment où l'on met de mots sur ce qu'on est, ce qui était resté caché parce que trop évident ; on le saisit et souvent, l'image, le reflet qu'on a est peu reluisant. à ce moment on a de bonnes chances de changer, et de s'améliorer. ceci dit, tant que ce n'est pas fait, l'insatisfaction, les remords, bref des éléments de souffrance viennent nous troubler, la plupart du temps.

en d'autres termes, pour évoluer il faut mettre des mots sur ce qu'on est ; comme on n'évolue que quand l'image est insatisfaisante, alors on peut ,dire que cette opération de définition de soi menant à une évolution est en elle-même déplaisante.

de plus, entre le moment où l'on a constaté qu'on était imparfait et le moment où l'on a réussi à se dépasser, généralement on fait des petits essais, pas forcément concluants du premier coup... et puis par définition aussi, c'eest une période où l'on ignore ce qu'on est, ce qui est très difficile à vivre, convenons-en. d'où une seconde source potentielle de souffrance...

ceci dit, deux remèdes existent :

1- quand le reflet est déplaisant, se réjouïr de l'avoir vu, car c'est un premier pas vers une amélioration. (voir le verre à moitié plein donc, positiver.)

2- quand l'angoisse de se retrouver face à un soi non identifié monte et se fait sentir, respirer et se détendre, accepter que l'on est vivant et donc mouvant.

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Membre, 45ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 45ans‚
Posté(e)
En d'autres termes, pour évoluer il faut mettre des mots sur ce qu'on est ; comme on n'évolue que quand l'image est insatisfaisante, alors on peut ,dire que cette opération de définition de soi menant à une évolution est en elle-même déplaisante.

Mmm je ne serais pas aussi catégorique.

Je me sens parfois bon quelque part, et j'ai envie d'aller plus loin.

Certes il y a nécessairement insatisfaction si on a envie d'aller plus loin, mais ça n'est pas nécessairement une souffrance. D'autant que je ne suis pas toujours insatisfait dans ce cas (Je cherche et creuse où je pourrait trouver une insatisfaction ^^ pour pouvoir après vouloir m'améliorer encore. Je suis maso et je l'assume :blush: )

Mais d'un coup, je ne suis plus d'accord avec moi même... la souffrance, dans ce cas, proviens du passé, pas du présent, c'est ce qui m'a troublé. Mais cette souffrance est tout de même rappelé au présent par la mémoire. On se sent alors sur le bon chemin par contraste, et on peut alors avoir envie de continuer...

Ceci dit, classiquement, j'ai tendance à définir la souffrance psychologique autrement. Plutôt comme la dégradation d'un état. (et non pas la progression)

ça peut nous faire bouger, réagir, (ou pas) et ainsi lutter contre cette force de non-agir qui est toujours un peu présente en nous.

Mais pour moi, la souffrance est déjà passé quand on a commencé à évoluer.

(C'est la disparition de la souffrance qui me montre une évolution.

La volonté d'évoluer n'est pas suffisante.)

Bien que je suis d'accord sur le fond, le plaisir, le désir et la souffrance sont indissociable physiologiquement.

On ne peut donc jamais trouver l'un sans l'autre.

Après, je me demande si cette recherches des causes et conséquences ne serait pas des constructions abstraites pour tenter d'expliquer ces sensations paradoxales simultanée.

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