que faire contre la recidive?

bonsoir!

une question de société simple a force de voir, lire, et entendre toujours la meme chose:

qu'est ce qu'il faut faire contre une personne qui en est a la nième fois qu'elle commet le meme crime/delit? (voler, tuer, se droguer)

et surtout ma question est de savoir pourquoi rien n'est fait?

manque de moyens financiers, de volonté politique?

il ya t-il une fatalité a cela?

j'ai vu recamment un gars qui etait un fou qui a essayer d'emflammer un immeuble , d'agresser ses habitants etc ... aujourd'hui il a tué une personne de 60 avec avec un couteau de chasse ou un truc du genre ... que faire ? franchement pour moi les gens qui recidivent , pourrissent la vie des autres ou en tuent , on les prend et on les balance c'est tout ce ne sont que des dechets qui pourrissent notre monde . Je n'aime pas dire des choses comme ca mais quelqu'un qui va defoncer un pauvre gars de 60 ans avec un couteau de 20 cm de long faut pas exagerer on le descend c'est tout.

mon point de vue peut paraitre monstrueux , mais n'est-il pas plus monstrueux de relacher quelqu'un qui ira tuer peut etre un enfant ?

on construit une ville totalement isolee du monde entouree d'un haut mur de et d'un sous sol de beton , avec une surveillance aerienne pour qu'il n'y ai pas d'evasion .

on les lachent a l'interieur de cette ville pour perpette .

comme cela ils ne pourront plus nuire a la societe et les bobos fermeront leur gueule car on aura pas applique la peine de mort .

je sais mon idee ressemble a quelques films ; mais bon .

ps : les bobos qui continueront a ouvrir leur gueules sous pretexte des droits de

l'homme ,on les y met aussi.

Pour le crime la pédophilie le viol , pour moi je rétablirai la peine de mort , moins il y aura ce genre de monstre plus le monde sera meilleur .

Pour les autres délie moins grave le vol la drogue le retour en prison avec les peines maximum , mais la justice c'est de la merde .

qu'est ce qu'il faut faire contre une personne qui en est a la nième fois qu'elle commet le meme crime/delit? (voler, tuer, se droguer)

Déjà, avant de s'attaquer à un problème, il faut le mesurer, l'analyser pour le comprendre.

Les causes de la récidives ne sont déjà pas les mêmes suivants les délits.

Ensuites, a-t'on déjà les réponses à ces simples questions :

- combien y'a t'il de récidives en France, suivant les types de délits ? Combien cela représente de cas dans le nombre total de ce type de délit ?

- chez les condamnés, toujours par types de délit, quelle est la proportion de ceux qui récidivent ?

Ensuite, il faut bien évidemment voir l'origine de cette récidive.

Pour les pédophiles, les violeurs, on sait qu'il n'existe quasiment aucun suivi médical véritable, en prison ou après. Je me trompe peut-être, mais j'ai l'impression que l'on n'a jamais vraiment rien fait dans ce domaine, à part les emprisonner en pensant qu'un trouble mental de cet acabit passait avec le temps, sous les barreaux.

Pour d'autres types de délits, tels que la petite délinquance, la prison actuelle a même souvent l'effet inverse : elles transforme des petites frappes en grands délinquants. Il y a là également une copie à revoir : la prison, telle qu'elle est actuellement, n'est pas efficace (ou en tout cas seulement le temps de la peine, déplaçant le problème, voire l'amplifiant, dans le temps).

Ensuite, il faut aussi, pour lutter contre la récidive, comprendre ce qui a déjà mené au premier délit.

Si les causes, le contexte qui ont "motivés" le premier délit sont toujours d'actualité, la récidive n'est en aucun cas enrayée.

Il faut donc, pour lutter efficacement contre la récidive, lutter de même efficacement contre la primo-délinquance, tout du moins ses causes.

Le problème est donc bien plus large que le simple socle judiciaire. C'est également une question de société.

Il n'existe pas de méthode "miracle" particulière.

et surtout ma question est de savoir pourquoi rien n'est fait?

manque de moyens financiers, de volonté politique?

Les deux je penses (le premier découlant du second d'ailleurs :blush: ).

Mais aussi de proposer de véritables mesures qui soient réfléchies, et pas uniquement spectaculaires, ou dans le but de satisfaire instantanément des peurs que l'on a par ailleurs exacerbées.

il ya t-il une fatalité a cela?

Je pense qu'on ne peut pas empêcher la récidive (à moins de tuer tout être humain dès son premier délit, quel qu'il soit ... je ne suis pas fervent partisan de cette solution, surtout qu'elle n'enraye pas pour autant les "primo-délits").

Je ne pense pas non plus que l'on puisse faire disparaître la criminalité. Mais on peut déjà commencer par l'enrayer, en s'attaquant à ses causes (et pas uniquement s'y opposer lorsqu'elle s'est déclarée).

Je suis totalement d'accord avec Pheldwyn, comment peut-on espérer résoudre un problème sans même le comprendre ?

Je prend la pédophiles comme exemple car on la ressort très souvent, on l'accommode à toutes les sauces et personne ne sait quoi que ce soit sur cette déviance. Pensez vous sincèrement que les pédophiles contrôlent leurs envies sexuelles, qu'ils ont choisi d'avoir cette "tare" ? On prétend pouvoir soigner ces gens à grand coup de médicaments, étrange on disait pareil de l'homosexualité. Je ne cherche pas à escuser le viol, sur enfant ou non, mais il faut garder à l'esprit que les gens qui perpétuent ces actes ne le font pas par choix réel, beaucoup d'entre eux ont subi des attouchements sexuels dans leur enfance.

En ce qui concerne la petite délinquance, le manque d'effectif dans la police est une légende. Il y a des policiers/gendarmes, ils sont tout simplement mal employés. Combien de flics font des contrôles radars tous les jours ? Ces personnes ne seraient-elles pas mieux employés à un autre endroit ? Je n'ai rien contre les radars, je ne conduis pas.

En ce qui concerne l'exemple cité par Evil-Aerix, cette personne aurait dû être psychiatriquement suivit, les "fous" ne sont pas responsables de leurs actes, le "descendre" ne servirait absolument à rien.

La France ne sait pas gérer les schzizophrènes/... et résultat on les relache alors que leur place est dans un institut psychiatrique. Dans ces cas de figure c'est le système qui est à blâmer.