Poésie d'un adolescent

c'est dans la construction des phrases et dans le vocabulaire :blush: sais tu que quelque fois la prose serait plus appropriée.si tu écrivais prosé ton histoire serait trs intéressante aussi et ton langage passerait mieux.tu écris tellement abrupte que ta poésie manque de coulant j'aime par contre beaucoup les idées

c'est dans la construction des phrases et dans le vocabulaire sais tu que quelque fois la prose serait plus appropriée.si tu écrivais prosé ton histoire serait trs intéressante aussi et ton langage passerait mieux.tu écris tellement abrupte que ta poésie manque de coulant j'aime par contre beaucoup les idées

Oui, mais j'aime m'exercer aux alexandrins, je trouve que l'on peut trouver un certain rythme dans les syllabes. Et puis, à force d'écrire peut être serais moins lourd en versification. Il faut travailler avant bien des choses, je pense pas que cela soit différent. Sinon, oui, j'ai déjà écris pas mal de prose, mais je privilégié ces derniers temps la 'chanson' à la poésie dans ce genre là.

Pour le vocabulaire, j'apprends, chaque jour des mots.

Et la construction des phrases, j'avoue parfois être un peu plus confus en cherchant rimes ou nombres de syllabes. :blush:

peut tre réfléchis tu trop au dépend d'une musique qui pourrait te venir intituivement :blush:

Les chansons restent des textes, et ne sont pas forcément possible à mettre en musique. :blush:

C'est de la prose dans tout les cas.

je parle de la musicalité des mots :blush: et des phrases par la mme occasion

Je réfléchis et pense qu'à une seule chose, surement à tort. :blush:

oui tu te polarises sur le choix des mots et en oublie la musique :blush:

Certainement, mais j'ai un avis pessimiste sur la vie alors que la seule chose à laquelle je pense est positive, pour moi. :blush:

D'ailleurs, je me suis attiré les ennuis prévus, j'ai pas été déçu.

à propos de tes devoirs d'hier? :blush:

ou avec celle qui a ton coeur?

Le devoir maison, je l'ai copié en moitié ce matin,avant le cours, en espérant qu'il soit juste. Voilà où mon 'intelligence' me traine. Mais je parlais plutôt de la réunion parents professeurs, un vrai festival... Sans parler de quelques chose que je viens d'apprendre : deux exclus dans la classe... On a eu droit à la visite de la proviseur.

Pour mes notes, mes parents demandent des notes, et pour cela, du travail. Hors, le travail, j'en fournis aucun à moins d'être motivé. Mais n'ayant absolument aucune motivation et aucune raison de me battre à vivre ou à préparer mon avenir, j'en suis là, à m'attirer les emmerdes. :blush:

Celle qui semble avoir pris mon coeur n'a pas encore réussis à me décevoir.

faut te ressaisir mon petit :blush: tu n'as que du travail à fournir et vu ton intelligence tu n'as pas trop à te casser la motivation mme les gens qui travaillent ne l'ont pas toujours demande à tes parents,et pourtant chaque matin les travailleurs vont au turbin c'et une question de respect déjà pour soi

faut te ressaisir mon petit tu n'as que du travail à fournir et vu ton intelligence tu n'as pas trop à te casser la motivation mme les gens qui travaillent ne l'ont pas toujours demande à tes parents,et pourtant chaque matin les travailleurs vont au turbin c'et une question de respect déjà pour soi

Me ressaisir? A quoi bon? J'ai du travail à fournir et une fainéantise à nourrir. Mon intelligence n'existe pas, pas plus que je n'existe. La motivation, je me doute bien que les travailleurs ne l'ont pas tous les jours, mais moi, je n'ai vraiment qu'un maigre morceau qui arrive à me garder envie. :blush:

Sinon, j'ai aucun respect pour moi même, j'ai toujours valorisé les autres à moi même, quand c'était possible.

tu ne comprends pas ce que je te dis :blush: tu n'aurais pas un fond dépressif? le rspect de soi ce n'est pas valoriser les autres par son existence ,c'est briller par sa présence pour soi tu n'existe pas pour toi mème sous tes airs rebelles

Mes veines s'emplissent vite d'adrénaline,

L'amertume que m'offre la vie est très fine,

Mon exaltation ne cesse de me frapper,

L'erreur fait de moi un homme sans dignité.

Je ne mets pas en doute la véracité

De chacune des raisons que vous avancez,

Mais mon corps a choisi une autre vocation,

Une bêtise que je soutiens sans aucune passion.

Le c¿ur cessant de garder son rôle de guide,

Bien que morbide, son absence est une bride,

Ma nature se voit contrainte de changer,

Mon existence devient un poids pour mon pied.

Que faire quand notre nid se voit bousculé?

Que dire contre de si simples préjugés?

Fuir tous les soucis est un funeste blasphème,

Leurs reproches sont des poignards à très long terme.

hello ! encore un petit post ici... je reprend un post de la page 2 mais j'ai tout lu !

il me semble que tu as plus de rage en toi que ça... je suis d'acc avec Coeur bleu, c'est un peu lourd parfois. je te donne un exemple...

Le c¿ur cessant de garder son rôle de guide,

Bien que morbide, son absence est une bride,

le participe présent ici, ainsi l'accumulation de verbes, c'est un peu relou. c'est ce genre de tournures, ou des termes uèn peu anciens comme «funeste blasphème». mais sinon le poème est clean... trop clean !

le vers suivant aurait un peu plus de punch à mon goût si «bien que morbide» et «son absence est une bride» étaient intervertis. enfin, ce n'est que mon appréciation personnelle, c'est toi qui décides de ce que tu veux exprimer et de comment il faut l'exprimer.

je me permets tout de même de rajouter : l'alexandrin a une certaine majesté, c'est une forme assez naturelle... mais elle a son côté un peu ronflant. ce que tu veux exprimer est, me semble-t-il, un peu plus explosif, un peu plus bruyant que ça... je te conseille donc comme coeur de faire un petit pas hors de la propreté ; tu es trop sage dans ton expression. casser un vers, ça donne un effet plus parlant. si tu tiens aux alexandrins, tu peux t'essayer aux rejets, contre rejets et autres tortures délicieuses du Douze.

sinon, il me semble que tu mets ta parole en boîte. tu dis : «je vous dis <quelque chose>». moi, je préfèrerais que tu me dises «ça», directement ! tu vises un affect, une couleur, un goût : vas-y, balance ! j'aimerais bien que tu bouscules un peu ma quiétude, j'aimerais que ça me pète à la gueule, que ça m'imprime, que ça me giffle !! à force d'être trop poli, on en devient lisse. trouve donc les mots qui décrivent ce que tu ressens, exactement ; si ce sont des gros mots, si les phrases ne sont pas achevées, si ça ne colle pas avec les règles de grammaire ou que ça molleste l'alexandrin, eh bien la grammaire, la phrase, l'alexandrin et la bienséance n'ont qu'à aller se faire foutre ! ce ne sont pas des préoccupations à avoir... j'ai bien lu des poèmes constitués exclusivement de signes de ponctuation... enf in bref : si pour t'éclater tu dois exploser la langue, vas-y de bon coeur !

enfin, je trouve que tu devrais fouiller plus du côté des images. plutôt que de dire ce que tu ressens ou ce que tu penses comme tel, trouver l'expression imagée de cet affect ou de cette idée serait plus percutant. au début on galère mais plus ça va et plus les images arrivent clairement. un exercice très enrichissant !

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pas d'avenir ? mais nous en sommes tous là. certaines circonstances t'en rendent peut-être plus conscient que les autres, mais l'urgence est malgré tout la même pour chacun... on peut ne voir le futur que comme l'opportunité de visiter un lieu intriguant... :blush:

pas d'avenir ? mais nous en sommes tous là. certaines circonstances t'en rendent peut-être plus conscient que les autres, mais l'urgence est malgré tout la même pour chacun... on peut ne voir le futur que comme l'opportunité de visiter un lieu intrigant... :blush:

Bien cette phrase... Je peux ajouter: "des ou une personne"?(mal dite mon expression, je n'en trouve pas d'autre à cet instant)

tu ne comprends pas ce que je te dis tu n'aurais pas un fond dépressif? le rspect de soi ce n'est pas valoriser les autres par son existence ,c'est briller par sa présence pour soi tu n'existe pas pour toi mème sous tes airs rebelles

Un fond dépressif, je pense oui. :blush:

le participe présent ici, ainsi l'accumulation de verbes, c'est un peu relou. c'est ce genre de tournures, ou des termes uèn peu anciens comme «funeste blasphème». mais sinon le poème est clean... trop clean !

le vers suivant aurait un peu plus de punch à mon goût si «bien que morbide» et «son absence est une bride» étaient intervertis. enfin, ce n'est que mon appréciation personnelle, c'est toi qui décides de ce que tu veux exprimer et de comment il faut l'exprimer.

je me permets tout de même de rajouter : l'alexandrin a une certaine majesté, c'est une forme assez naturelle... mais elle a son côté un peu ronflant. ce que tu veux exprimer est, me semble-t-il, un peu plus explosif, un peu plus bruyant que ça... je te conseille donc comme coeur de faire un petit pas hors de la propreté ; tu es trop sage dans ton expression. casser un vers, ça donne un effet plus parlant. si tu tiens aux alexandrins, tu peux t'essayer aux rejets, contre rejets et autres tortures délicieuses du Douze.

sinon, il me semble que tu mets ta parole en boîte. tu dis : «je vous dis <quelque chose>». moi, je préfèrerais que tu me dises «ça», directement ! tu vises un affect, une couleur, un goût : vas-y, balance ! j'aimerais bien que tu bouscules un peu ma quiétude, j'aimerais que ça me pète à la gueule, que ça m'imprime, que ça me giffle !! à force d'être trop poli, on en devient lisse. trouve donc les mots qui décrivent ce que tu ressens, exactement ; si ce sont des gros mots, si les phrases ne sont pas achevées, si ça ne colle pas avec les règles de grammaire ou que ça molleste l'alexandrin, eh bien la grammaire, la phrase, l'alexandrin et la bienséance n'ont qu'à aller se faire foutre ! ce ne sont pas des préoccupations à avoir... j'ai bien lu des poèmes constitués exclusivement de signes de ponctuation... enf in bref : si pour t'éclater tu dois exploser la langue, vas-y de bon coeur !

enfin, je trouve que tu devrais fouiller plus du côté des images. plutôt que de dire ce que tu ressens ou ce que tu penses comme tel, trouver l'expression imagée de cet affect ou de cette idée serait plus percutant. au début on galère mais plus ça va et plus les images arrivent clairement. un exercice très enrichissant !

Merci, en premier lieu, pour ton exemple.

Pour le reste, je vais voir ce que je peux faire, mais comme déjà dis, je préfère la chanson quand c'est en prose.

J'ai des choses à dire, pas forcément impossible, mais disons que je suis de nature calme, donc même si j'ai un air énervé et 'marre de tout', ce n'est que sur le bout de votre écran. :)

En relisant ce sujet, je me demandais si il y avait eu une évolution.

La majorité ( ou la totalité ) de mes anciens interlocuteurs ici ne sont plus sur le forum, mais peut être trouverais-je d'autre personne?

Sinon voici le texte. En le mettant, je prends quand même un risque, car, j'ai un doute sur la compréhension de ce que l'on peut en tirer( si toute fois, il y a, pour vous, quelques chose à en tirer).

Si quelqu'un peut me laisser une critique, je la prendrais positivement.

étant là pour corriger mes possibles erreurs. :blush:

Le voyageur

Dans le plus beau des mondes était venu un étranger,

Il semblait humain, mais personne ne le reconnaissait.

De sa race il en était le blason, voyageur de l’inconnu

Accablé par la chaleur qui le collait tel une sangsue.

Magique. Tel était le paysage merveilleux des créatures

Répugnantes pour cet homme exemplaire, soyez en sur.

Quelques ignorances plus tard, des salutations

Se firent à coup d’insulte dans cette vague de frustration.

Les bêtes, aussi laides peut on l’être, dévisageaient l’humain.

Ce dernier, aussi fier qu’un homme de haut rang, défiait en vain

La supériorité des habitants qu’il venait déranger en cette soirée.

Faible et niais, sa victoire était assurée dès son jugement fais.

Un homme ne peut être inférieur à l’horreur de la nature,

A l’erreur dans sa splendeur que même le plus discret azur

Paraissait avoir abandonné pour l’obscurité d’une nuit.

Mécontent, il marqua son autorité d’une voix abasourdie.

Les affreux se répugnèrent face à son égocentrisme,

S’emparèrent de son petit corps miteux, quel sadisme!

Sa dépouille fut bénéfique à la survie des enfants.

Irrespectueuses sont les créatures d’un monde repoussant.

Pourquoi ce sort si injuste pour un explorateur innocent,

Maudit par le rêve d’une découverte digne des grands?

Injustice ou manque d’altruisme, le dénouement est le même :

Les sots finissent mangés quand ils jouent naïvement avec l’extrême.

Cela fait un moment que je n'ai rien mis alors, plutôt que de créer un nouveau sujet, je vais poursuivre sur celui-ci.

Dès lors que la lumière se laisse percevoir,

Le petit matin prend l'allure d'un espoir.

Ce même espoir que tous les êtres diurnes

Regrettent ardemment à l'arrivée du soir.

L'aube devient ainsi le parfait métronome,

Celle qui se prête à la diction des dogmes.

Car qui irait contredire cette mère taciturne

Qui nous retire de nos rêves d'hommes?

Surement pas moi, pauvre esclave du jour.

Et puisque je serais probablement pour toujours

Incapable de vivre dans un monde nocturne,

Autant en profiter, quitte à devenir sourd.

j'aime bien la strophe du milieu ; la première et la dernière me plaisent moins, voire pas du tout

Et bien tu vois, moi c'est parfaitement l'inverse. C'est justement celle du milieu qui me plait le moins.

Mais merci de ton avis.