Viol ou non, je ne sais pas.

pour son interet?mais quel interet?

ça n'a aucun sens a mon avis

c'est pour cela que j'ai des doutes, je ne suis sûr de rien dans cette affaire ; mais je me répète : la consultation d'un psy peut être envisagée même en dehors du cadre d'un viol, un psy ne juge pas -contrairement à d'autres qui ont posté récemment, dont emma, tynola, toi....

ELFE SYLVAIN Cela ne serai pas la premiere fois qu'une personne accuse à tord une autre de viol.

Mais attention je ne dit pas qu'elle ment, je ne me permettrai pas.

Je comprend simplement les doutes de chacun.

mais relis le titre du topic:viol ou non je ne sais pas"

c'est clair non?

c'est un doute et non une accusation

Je n'ai rien dit de tel, je comprend le doute, c'est tout.

Tu sais il y a des gens tordus, si elle veut tester la crédibilité de son histoire, c'est une bonne solution. On lui fait remarquer les zone d'ombre, elle voit les reaction de chacun et en anonyme il y a tout interet lorsque c'est faux.

Je vais peut etre chercher un peut loin...

seulement vous tombez dans le panneau : vous répondez viol/pas viol , il vous faut absolument une réponse à cette question

moi je ne pense pas que cette question soit la plus importante ici.... faut voir si ça l'empêche de vivre, de s'épanouir sexuellement avec son nouveau partenaire par exemple, si ces faits l'incitent à se replier sur elle-même, à s'isoler, si elle est perturbée quoi.... sinon la question (viol ou pas ?) est réduite à un intérêt purement scolaire ; et alors, dans ce cas, je répondrais : oui il y a viol (d'ailleurs le deuxième fait qu'elle rapporte me fait curieusement songer à une ancienne jurisprudence : la femme croyait avoir fait l'amour avec son époux -dans l'obscurité- pour se rendre compte au petit matin qu'il s'agissait en réalité du voisin.... euh, ben oui, un tribunal a eu l'occasion de se prononcer sur un cas comme ça ^^)

non franchement faut pas pousser..... nous ne sommes pas des juges sur ce forum, et elle n'aurait pas à se sentir humiliée si elle décidait de poster elle-même les messages, sa personnalité ne se résume pas à ça

Je n'ai rien dit de tel, je comprend le doute, c'est tout.

Tu sais il y a des gens tordus, si elle veut tester la crédibilité de son histoire, c'est une bonne solution. On lui fait remarquer les zone d'ombre, elle voit les reaction de chacun et en anonyme il y a tout interet lorsque c'est faux.

Je vais peut etre chercher un peut loin...

j'ai pensé la même chose

J'y pense très souvent, ça me bouffe quotidiennement.

faut voir si ça l'empêche de vivre, de s'épanouir sexuellement avec son nouveau partenaire par exemple, si ces faits l'incitent à se replier sur elle-même, à s'isoler, si elle est perturbée quoi....

Ben, ça me parait clair :blush:

et pourtant..... sa réaction (son deuxième message) m'a fait songer à une fille ordinaire..... il paraît que c'est une forumeuse active, d'après Dolph, donc j'imagine que si elle a besoin d'une oreille attentive, elle peut au moins compter sur quelques ami(e)s virtuel(le)s -ce topic ici est trop superficiel pour que je me fasse une bonne idée ^^

donc j'imagine que si elle a besoin d'une oreille attentive, elle peut au moins compter sur quelques ami(e)s virtuel(le)s

Si tu te sens coupable de quelque chose, tu crois que c'est facile de le dire, même à ses meilleurs amis ? Elle n'a pu dire que le deuxième acte à son ami. Pensant que le premier était de sa faute. C'est ça qui la mine. C'est sa question : est-ce que j'ai mérité ce que j'ai subi ?

Bien sur ce n'est pas facile, pour nous, de juger, ne connaissant pas tout entièrement. Mais sur le peu qu'elle a dit, pour ma part, elle n'a pas à se sentir coupable :blush:

en gros, à son ami elle en dit trop ou pas assez..... son ami n'est pas présenté sous son meilleur jour ici, c'est le moins qu'on puisse dire, on dirait un gros macho... un mauvais esprit en déduirait qu'elle ne lui a raconté la seconde partie de l'histoire que pour faire vibrer sa fibre machiste......

c'est bien d'être sceptique... mais faut peut être voir à pas tomber dans la parano :blush:

d'après ce que j'ai compris si elle poste en anonyme c'est pour avoir des réactions qui ne sont pas de "complaisance" du fait de son statut de membre actif, mais aussi parce qu'elle ne veut certainement pas être stigmatisée par la suite (qu'on ne la prenne pas en pitié, qu'on ne la réduise pas à la nana du topic viol ou pas viol et qu'on ne la juge pas surement aussi)

il y a aussi évidemment une question de peur, de honte peut être, car elle ne sais pas comment elle doit considérer cette histoire... c'est terrible d'être dans l'incertitude d'un viol, elle doit se poser mille questions! et c'est aussi très certainement pour les mêmes raisons qu'elle n'ose pas le raconter à son homme... et non parce qu'il serait je ne sais quel "gros macho" comme tu dis château_musée

apparemment elle avait déjà résolu la question avant le topic puisqu'apparemment elle lui a raconté la seconde partie.....

on pourrait considérer ce topic comme l'expression de son besoin d'être confortée dans sa vision des choses (c'est d'ailleurs fréquent ^^)

Château_musée soulève des questions justes sur le texte (la façon dont la chose est amenée dans le récit, les mots et la syntaxe choisis, les tentatives de justification, les quelques incohérences...).

Je pense que si château avait raison, la mascarade aurait assez duré et il serait de bon goût de tomber les masques, parce qu'on parle quand même de la souffrance que des gens endurent au quotidien. Et en faire un récit érotique est plutôt carrément malsain. De mon point de vue.

Mais si château a tort, cela n'aide en rien Anonyme. Mais, hormis consulter un psy qui a les compétences pour régler ce problème, demander l'avis d'internautes forumeurs, d'aussi bonne volonté soient-ils, n'est pas forcément la solution. Je me pose parfois la question du réel impact que des posts plus ou moins anonymes peuvent avoir dans le processus de "guérison" des gens.

je m'étais pourtant juré de ne plus intervenir ici.... néanmoins, je me fends d'une réponse par rapport à ta question sur l'impact des posts de forumeurs anonymes : cela aide, il me semble, en ce sens que la personne peut avoir grâce à ces posts la sensation d'être normale.... cette notion de normalité, si décriée souvent, mais pourtant si importante puisqu'elle fait partie intégrante de la manière dont on se perçoit nous-mêmes, du moins lorsqu'on ne se complait point dans une auto-marginalisation volontaire et dont on retirerait orgueil....

voila bon, je crois que j'en ai terminé avec ce sujet, franchement, je regrette ma lourdeur, d'ailleurs, même si l'originalité de mes réponses explique le fait que j'ai éprouvé le besoin de me justifier un peu.... enfin bon, ça c'est fait, mon point de vue a été bien compris, je pense, sauf par les gens de très mauvaise foi m'enfin ça on n'y peut rien..

je m'étais pourtant juré de ne plus intervenir ici.... néanmoins, je me fends d'une réponse par rapport à ta question sur l'impact des posts de forumeurs anonymes : cela aide, il me semble, en ce sens que la personne peut avoir grâce à ces posts la sensation d'être normale.... cette notion de normalité, si décriée souvent, mais pourtant si importante puisqu'elle fait partie intégrante de la manière dont on se perçoit nous-mêmes, du moins lorsqu'on ne se complait point dans une auto-marginalisation volontaire et dont on retirerait orgueil....

voila bon, je crois que j'en ai terminé avec ce sujet, franchement, je regrette ma lourdeur, d'ailleurs, même si l'originalité de mes réponses explique le fait que j'ai éprouvé le besoin de me justifier un peu.... enfin bon, ça c'est fait, mon point de vue a été bien compris, je pense, sauf par les gens de très mauvaise foi m'enfin ça on n'y peut rien..

Je ne sais pas si tu y répondras mais tant pis ^^

Outre le sentiment de normalité, et c'est peut-être lié, la fonction du forum est aussi de dédramatiser l'évènement sans être jugé (ou du moins par des "entités" inconnues, i.e. personne quoi). Ensuite, j'imagine que ça dépend des cas, il est possible de prendre un forum comme une véritable thérapie mais ce serait le cas d'un forum pour une communauté restreinte, où chacun se "lâche" plus, et où les gens sont tous de bonne foi.

oui tu as raison, je pense ; sauf s'agissant des communautés restreintes... crois moi c'est pire

C'était le seul point sur lequel j'étais sûr et certain ^^. Mais bon, comme tout, il doit y avoir des exemples et des contre-exemples. Et ca doit dépendre de quelle communauté on parle.

Bonsoir à toutes et à tous.

J'écris ce message en tant qu'anonyme, pour plusieurs raisons, que je ne citerai pas. J'espère simplement qu'après lecture de ce sujet, vous comprendrez un temps soit peu pourquoi je souhaite rester dans l'anonymat.

Il y a maintenant 3 ans et demi, j'ai été au mariage de ma s¿ur. A cette occasion, j'ai vu mon oncle, que je n'avais pas vu depuis longtemps. Il a vu que j'avais un piercing à la langue, et m'a dit : "ça me ferait vraiment plaisir que tu viennes me voir chez moi". Il a été assez lourd et insistant toute la soirée, mais je me suis dit que de toute manière, je ne le reverrais pas avant un bon bout de temps.

Bref, quelques jours après ce mariage, il m'ajoute sur copainsdavant, il dit qu'il aimerait bien que je vienne passer des vacances chez lui. Il m'a gavé de messages pendant toute une année.

Résultat : il y a 2 ans et demi, j'ai accepté d'aller chez lui, et je lui ai dit que je ne voulais pas qu'il se passe des trucs entre lui et moi. Message auquel il n'a pas répondu. Et je n'aurais jamais dû accepter d'aller chez lui.

Je suis donc allée chez lui. Arrivée à la gare, il me serre fort dans ses bras, ça me gave déjà. Sur le trajet entre la gare et chez lui, il pose sa main sur ma cuisse et me dit "je suis vraiment content que tu sois venue". Là, je flippe. Je me dis que j'aurais jamais dû venir, car il va tout tenter. Je le sens.

Arrivée chez lui, il me serre encore dans ses bras, et là il me fait la bise et essaye de m'embrasser sur la bouche. J'ai des frissons à repenser encore et toujours sa langue sur ma joue. Pfff. ( :blush: ).

On passe à table, ça se passe plutôt bien. Puis je lui demande si je peux téléphoner à ma mère pour lui dire que je suis bien arrivée. Sauf que le téléphone n'est pas sans fil, et il est dans sa chambre. On monte donc à l'étage, j'appelle ma mère. Pendant ce temps, il se met sur son lit, allume sa télé, zappe jusqu'à trouver un film porno, et se met à se masturber.

Tétanisée, je raccroche, en faisant croire au téléphone que tout allait bien. Et voir ce porc se masturber, ça m'éc¿urait, mais ça m'excitait en même temps. Je me dégoûte moi-même en pensant que j'étais excitée.

Il a commencé à me chauffer, je me suis laissée faire. Puis on a eu un rapport (que je ne voulais pas), mais on l'a eu. Et j'ai même jouis. Qu'est-ce que je m'en veux.

Puis la journée est passée, on s'est baladé. On parle de tout et de rien. Puis il commence à me dire que quand ma s¿ur (qui s'est mariée) avait mon âge, il couchait avec elle, ils faisaient des partouzes, elle couchait avec des mecs devant lui, et elle adorait ça. (Soit disant).

Arrivé à la tombée de la nuit, il me demande si je veux dormir avec lui, chose que je refuse catégoriquement. Je vais donc dormir dans la chambre de mes neveux (qui ne sont pas là), en chemise de nuit.

Dans la nuit, quelque chose me réveille. C'était mon oncle qui était en train de me pénétrer. Toujours tétanisée, je n'ai absolument rien dit, faisant celle qui dormait. Il a même éjaculé en moi, et (!) quel éc¿urement. Il est parti, et j'ai pleuré toute la nuit.

Le lendemain, heureusement, on a vu mes neveux donc il n'a pas eu l'occasion de tenter quoique ce soit.

Depuis ce jour, je l'ai revu une fois, chez mon père, et il me faisait des propositions oralement, que j'ai refusé. Et là, je me sentais beaucoup plus en confiance chez mon père. Puis je ne l'ai plus jamais revu, et je n'en ai aucune envie.

A ce jour, je me sens salie. Je me dis violée, mais j'ai honte de la première "partie" de ce qu'il s'est passé vu qu'on est deux à avoir eu le rapport. Et que j'ai jouis. Je ne réussis pas à dire à mon compagnon ce qu'il s'est réellement passé, il ne connaît que la deuxième "partie" de l'histoire. Et je m'en veux.

J'y pense très souvent, ça me bouffe quotidiennement. Je n'ai pas envie d'en parler dans ma famille car c'est une famille qui a subi de nombreux chocs, qui est assez déchirée comme ça, et limite je passerai pour la "fouteuse de merde".

Je n'attends rien de spécial en ayant conté ce passage. Il fallait juste que ça sorte.

Merci de m'avoir lue.

Plusieurs émotions...

Déjà l'impression que justement tu attends quelque chose...

On ne dit pas par hasard...

Surtout sur un forum...

L'impression que tu étais en quelque sorte fascinée par cet homme...

Par le désir dont il t'entourait...

Tu dis que déjà la première fois tu ne voulais pas...

Et je te crois...

Mais as-tu réellement dit ton "non"...

Ou l'as-tu intériorisé...

L'as-tu gardé en toi comme dans ta famille on semble en avoir l'habitude...

Tu avais le choix de ne pas y aller car tu préssentais un peu ce qui allait arrivé...

Et tu y es allé quand même...

C'est de cela que tu te sens coupable...

De ton désir aussi...

De ton plaisir...

Du fait que cela soit ton oncle...

De ce qu'il a dit sur ta mère...

Tu te sens coupable...

C'est un peu ta famille et son histoire qui fait peut-être que tu t'es fait victime...

Quasiment de plein gré en pensant "non"...

Le coeur humain est compliqué...

Le tien...

Le nôtre...

Tu as besoin d'aide...

Tes mots ici ne te libéreront pas de ce "noeud" d'émotions...

Passé, présent et futur sont liés...

Il faut en quelque sorte faire le ménage dans sa tête, son coeur, sa vie,...

Un ami a lu et il ne croit pas en ton histoire...

Qu'importe en fait...

Tes mots veulent dire que tu ne vas pas bien...

Et si elle est vrai...

Quelque part...

D'écrire ici...

Tu as déjà fait un pas...

A toi de voir si tu fais le suivant...

Encore des choix à faire...

Pour toi...

Pour lui...

Pour ta famille...

Et pour ta vie de couple...

La vie est faite de choix...

Il faut les assumer ensuite...

Douloureusement parfois...

Et ne crois pas que tu sois seule dans ton cas...

D'autres aussi...

Se sont senties coupables à la place de leurs bourreaux...

C'est ce qui fait la force des "bourreaux"...

Ils détruisent la personne avec presque leurs aides...

Femmes battues, violées...

Hommes aussi...

Enfants...

Qui continuent d'aimer et de protéger ceux qui les font souffrir...

Le coeur humain fait que souvent on se sent coupable de ce que l'on nous fait subir...

Ou que parfois on s'autopunie en faisant les mauvais choix...

Je viens de recevoir des nouvelles qu'on me demande de vous faire partager.

Les années passent, la douleur est toujours présente.

Bises a toi jeune fille, en espérant que tu finisses par trouver la force d'en parler.

Bonjour,

Cela fait maintenant longtemps que je ne suis pas venue ici donner des nouvelles. Grâce à certains conseils donnés sur ce sujet, j'ai réussi à en parler oralement à deux amies de très bonne confiance (j'ai même appris qu'il est arrivé le même genre de chose à l'une de ces deux personnes, ... ça fait froid dans le dos).

Alors comment cela avance dans ma vie ? C'est le néant. J'ai des hauts et des bas, et encore une fois cette année, je suis dans la période basse. Le 14 juillet, cela fera 5 ans que j'ai été salie. Oui c'est le mot juste. Et quand je récapitule tout ce qui a pu se passer dans ma putain de vie, je me dis que "destination finale" n'est pas tant que cela un film de fiction. A la différence que ce n'est pas la mort qui me cherche, mais bien la souffrance intérieure profonde.

Bien qu'en apparence je puisse paraître une fille qui arrive plus ou moins à sortir la tête de l'eau, j'ai intérieurement l'impression d'avoir pourri ma vie. Ou de me l'être fait pourrir, plus exactement. Récapitulons ? Un nudiste qui m'a gardé une journée entière lorsque j'avais un peu moins d'une dizaine d'années. A la même période, une tentative d'enlèvement ratée (mais cela, j'en ai parlé à ma mère quelques années plus tard... mais je ne saurai jamais si elle a cru à mes dires ou non, et je n'ai pas envie de lui en reparler, du moins je ne vois pas comment je pourais aborder le sujet). A la même période encore, l'un de mes cousins (qui a 10 ans de plus que moi) s'amusait à faire du "frotti".

A peine âgée de 14 ans, un connard qui abuse de moi pendant 2 ans, parce que je l'aimais comme une demeurée, et qu'il a fini par même me proposer de l'argent contre "ses prestations", selon ses dires. J'ai fini, à mes 16 ans, par l'envoyer chier.

Puis à mes 20 ans, ça.

...

Voilà, un résumé de ma vie pourrie. Ma vie salie depuis le début de mon existence. Parfois il m'arrivait / il m'arrive de rêver (de fantasmer ?) de me faire violer. J'ai honte et je me dégoûte. Est-ce le destin ?

Tout va mal, je vais au plus mal, je n'ai envie d'en parler à personne. Je passe mes journées à penser à ça, au lieu de me concentrer sur mon travail. Et le soir je pense encore à cela, au lieu de combler mon chéri.

J'ai été pourrie toute mon existence dans ce domaine et j'ai l'impression de pourrir tous ceux qui m'entourent. Je déteste ma vie. Je me déteste.

Je pars demain en week-end, un week-end où on est censés s'amuser à plusieurs. Où on est censés faire la fête. Où je suis censée être heureuse. Au lieu de cela, je pleure dans mon coin, ne sachant que faire ni ce que je vais devenir. Je sens que mon moral va pourrir ces deux prochains jours.

La "date anniversaire" de cet évènement approche, et j'ai mal, de plus en plus mal, de devoir penser à ça...

Je ne sais pas si j'attends des réponses de votre part, je ne sais pas pourquoi au final, j'ai écrit ce message. J'avais besoin de le dire...

Houlala... C'est pas la joie. Il va falloir un gros travail pour ne pas rester éternellement "la fille violée" à tes propres yeux. Bon courage !