Les 20 films préférés de Jean Bambois

euh au vidéo club il y a peut etre mieux à louer que time cop non?

Tu l'as vu, ou bien tu as des préjugés parce que Van Damme joue dedans ?

16. My Dinner With Andre

(1981, Louis Malle, USA)

Je continue ma liste avec cet OVNI cinématographique signé de la main du grand Louis Malle. "Mon dîner avec André", comme son nom l'indique, consiste entièrement en une longue conversation dînatoire entre André Grégory et Wallace Shawn. Ce n'est pas très cinématographique, c'est même de l'anti-cinéma, mais qu'est-ce que c'est bon. On se régale de la conversation hautement philosophique et initiatique entre André et Wallace, sur des sujets tels que la nature de la réalité, le théâtre d'avant-garde, et la vie à New York à la fin des années 70. Au programme : culture, intellect, repartie et bons mots.

Je connais pas , mais pourquoi pas ?

Tu l'as vu, ou bien tu as des préjugés parce que Van Damme joue dedans ?

je l'ai vu...

en quoi ça change la qualité pitoyable de film?

(mettre van damme au coté de louis malle...on aura tout vu.)

Le cinéma, ce n'est pas seulement Louis Malle, c'est aussi les films américains, les série B, et tout le toutim. L'un ne va pas sans l'autre. Van Damme existe parce que Malle existe, et inversément.

15. L'aventure c'est l'aventure

(1972, Claude Lelouch, France)

Une liste des vingt meilleurs films est incomplète sans film de Claude Lelouch. Voilà donc cette omission (temporaire) réparée. Outre une réalisation brillante et fidèle à lui-même, Lelouch réunit ici un casting de rêve, avec, outre Ventura et Brel, des noms tels que Johnny Hallyday, Aldo Maccione, Yves Robert, Elie Chouraqui, et même un jeune Michel Drucker. Si ce casting vous fait saliver... foncez au vidéo-club, et bon appétit.

euh tu n'as pas de films avec des vampires, des loups garous etc

non

Le cinéma, ce n'est pas seulement Louis Malle, c'est aussi les films américains, les série B, et tout le toutim. L'un ne va pas sans l'autre. Van Damme existe parce que Malle existe, et inversément.

van damme existe parce que louis malle existe?

mais t'es de la famille de van damme ou quoi pour sortir des phrases pareilles?

non, mais aprés je suis tout a fait d'accord avec ton message: en effet, dans le cinéma il y a des grands films (louis malle pourquoi pas), et il y aussi des daubes monumentales (van damme en est un sacré représentant), c'est vrai oui.

c'est du cinéma, mais deux cinéma totalement différent.

euh tu n'as pas de films avec des vampires, des loups garous etc

non

En fait, si, j'ai mis un succulent film de vampire sur ma liste. Et ça viendra plus tard, un peu plus haut dans le classement.

Une nuit en Enfer ...c'est le must

van damme existe parce que louis malle existe?

mais t'es de la famille de van damme ou quoi pour sortir des phrases pareilles?

non, mais aprés je suis tout a fait d'accord avec ton message: en effet, dans le cinéma il y a des grands films (louis malle pourquoi pas), et il y aussi des daubes monumentales (van damme en est un sacré représentant), c'est vrai oui.

c'est du cinéma, mais deux cinéma totalement différent.

je ne prend en aucun cas la défense de qui que ce soit mais les films de van damme ou steven seagal (que je prefére largement) ne sont pas de grand films en effet, aujourd'hui ça se raproche plus des navets, mais quand ces films sont sorti au cinéma à l'époque cela faisait un carton! qui n'a pas été "fan" sérieux on les a tous vu quand même leurs films

Jean Bambois, ici présent, va établir pour vous une liste complète, documentée et précise de ses vingt films préférés. Cette liste prendra la forme d'un compte à rebours.

Cinéphile et spectateur d'à peu près 6.500 films de son vivant, Jean Bambois est une autorité en la matière. Sa liste ne cherchera pas à être "objective" : il s'agit de ses films préférés, et non des films préférés des autres ou des films les plus importants de l'histoire du septième art.

Jean Bambois conseille vivement aux ciné-ignares d'en prendre de la graine, et aux autres de se régaler.

A tout de suite.

schaller

14. Nattvardsgästerna (Les Communiants)

(1962, Ingmar Bergman, Suède)

C'est l'histoire d'une église à moitié vide et d'un prêtre qui doute sur sa foi. Le prêtre reçoit la visite d'une ancienne amante, qui lui confesse son amour mais aussi qu'elle pense qu'il ne l'aime pas. Dans un plan fixe de six minutes des plus audacieux, l'amante regarde la caméra et lit une lettre qu'elle lui a écrite. Elle y mentionne l'anecdote où un jour, défigurée par une mauvaise crise d'eczéma, le prêtre l'a rejetée pour son apparence repoussante. Le prêtre finit de lire la lettre et s'endort. Ensuite, un homme dépressif vient le trouver pour obtenir des conseils. Mais le prêtre, dépressif lui aussi, admet qu'il n'est en fait même pas croyant, et l'homme se suicide peu après. S'ensuit un questionnement radical sur l'existence de Dieu entre les différentes protagonistes. Filmé en noir et blanc dans des décors des plus minimalistes, avec un jeu d'acteurs subtil et nuancé, voici un grand film, dur à regarder mais d'une profondeur et d'une humanité inouïe.

14. Nattvardsgästerna (Les Communiants)

(1962, Ingmar Bergman, Suède)

C'est l'histoire d'une église à moitié vide et d'un prêtre qui doute sur sa foi. Le prêtre reçoit la visite d'une ancienne amante, qui lui confesse son amour mais aussi qu'elle pense qu'il ne l'aime pas. Dans un plan fixe de six minutes des plus audacieux, l'amante regarde la caméra et lit une lettre qu'elle lui a écrite. Elle y mentionne l'anecdote où un jour, défigurée par une mauvaise crise d'eczéma, le prêtre l'a rejetée pour son apparence repoussante. Le prêtre finit de lire la lettre et s'endort. Ensuite, un homme dépressif vient le trouver pour obtenir des conseils. Mais le prêtre, dépressif lui aussi, admet qu'il n'est en fait même pas croyant, et l'homme se suicide peu après. S'ensuit un questionnement radical sur l'existence de Dieu entre les différentes protagonistes. Filmé en noir et blanc dans des décors des plus minimalistes, avec un jeu d'acteurs subtil et nuancé, voici un grand film, dur à regarder mais d'une profondeur et d'une humanité inouïe.

...non merci... ....

Continue

je passerai mon chemin sur celui également

En clair vous voulez que je vous conseille les films que vous allez de toute façon voir... Vous ne voulez pas vous ouvrir à l'inconnu.

non quelques films me disent bien mais pas tous

14. Nattvardsgästerna (Les Communiants)

(1962, Ingmar Bergman, Suède)

C'est l'histoire d'une église à moitié vide et d'un prêtre qui doute sur sa foi. Le prêtre reçoit la visite d'une ancienne amante, qui lui confesse son amour mais aussi qu'elle pense qu'il ne l'aime pas. Dans un plan fixe de six minutes des plus audacieux, l'amante regarde la caméra et lit une lettre qu'elle lui a écrite. Elle y mentionne l'anecdote où un jour, défigurée par une mauvaise crise d'eczéma, le prêtre l'a rejetée pour son apparence repoussante. Le prêtre finit de lire la lettre et s'endort. Ensuite, un homme dépressif vient le trouver pour obtenir des conseils. Mais le prêtre, dépressif lui aussi, admet qu'il n'est en fait même pas croyant, et l'homme se suicide peu après. S'ensuit un questionnement radical sur l'existence de Dieu entre les différentes protagonistes. Filmé en noir et blanc dans des décors des plus minimalistes, avec un jeu d'acteurs subtil et nuancé, voici un grand film, dur à regarder mais d'une profondeur et d'une humanité inouïe.

euh ça me dit rien du tout suivant

j'attend le haut de classement parce que pour le moment ça me dit rien tes films

C'est que c'est pas gratuit le vidéo club, j'vais pas dépenser des sous inutilement si ya de bons films après

C'est vrai que risquer quelques euros pour voir des chefs-d'oeuvre, je ne sais pas si ça en vaut vraiment la peine !

Nous sommes déjà dans le "haut" du classement, puisqu'il s'agit de mes 20 préférés parmi les quelques 6500 que j'ai vus. C'est dire si c'est haut.