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Sortir de l’entre-soi blanc : neuf pistes pour refonder le mouvement écolo

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Marcuse

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Membre, 25ans Posté(e)
Marcuse Membre 1 138 messages
Mentor‚ 25ans‚
Posté(e)

Les personnes racisées et leurs combats sont trop souvent écartés de l’écologie française majoritaire. Voici 9 outils pour comprendre cette « centralité blanche », et en sortir.

« Combien de fois vais-je arriver dans un meeting comme celui-là et me retrouver l’un des seuls Noirs de la salle ? » Le 24 juin 2024, lors d’une soirée organisée par Reporterre sur le thème « L’écologie contre l’extrême droite », Malcom Ferdinand a ressenti ce qu’il appelle un « malaise familier ».

Parmi les 150 personnes réunies, il était l’un des rares hommes noirs. Ce sentiment, écrit-il dans le livre collectif Terres et libertés — Manifeste antiraciste pour une écologie de la libération, lui est devenu coutumier après seize ans passés dans les milieux écologistes, politiques et universitaires : « L’écologie politique française opère au sein d’espaces structurés autour de la blanchité. »

Dans ces mouvements qui se veulent porteurs d’un monde nouveau, l’entre-soi continue de produire ses effets : invisibilisation, déni, sentiment d’illégitimité. Comment, dès lors, contrer cette « normalisation de l’exclusion des voix non blanches », selon les mots de Malcom Ferdinand ? Comment dépasser l’autocritique rituelle de ce manque pour transformer les manières mêmes de s’organiser ?

https://reporterre.net/Sortir-de-l-entre-soi-blanc-neuf-pistes-pour-refonder-le-mouvement-ecolo

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Membre, 62ans Posté(e)
MadeleinedeProut Membre 6 028 messages
Maitre des forums‚ 62ans‚
Posté(e)
Il y a 10 heures, Marcuse a dit :

Les personnes racisées et leurs combats sont trop souvent écartés de l’écologie française majoritaire. Voici 9 outils pour comprendre cette « centralité blanche », et en sortir.

« Combien de fois vais-je arriver dans un meeting comme celui-là et me retrouver l’un des seuls Noirs de la salle ? » Le 24 juin 2024, lors d’une soirée organisée par Reporterre sur le thème « L’écologie contre l’extrême droite », Malcom Ferdinand a ressenti ce qu’il appelle un « malaise familier ».

Parmi les 150 personnes réunies, il était l’un des rares hommes noirs. Ce sentiment, écrit-il dans le livre collectif Terres et libertés — Manifeste antiraciste pour une écologie de la libération, lui est devenu coutumier après seize ans passés dans les milieux écologistes, politiques et universitaires : « L’écologie politique française opère au sein d’espaces structurés autour de la blanchité. »

Dans ces mouvements qui se veulent porteurs d’un monde nouveau, l’entre-soi continue de produire ses effets : invisibilisation, déni, sentiment d’illégitimité. Comment, dès lors, contrer cette « normalisation de l’exclusion des voix non blanches », selon les mots de Malcom Ferdinand ? Comment dépasser l’autocritique rituelle de ce manque pour transformer les manières mêmes de s’organiser ?

https://reporterre.net/Sortir-de-l-entre-soi-blanc-neuf-pistes-pour-refonder-le-mouvement-ecolo

Un manque d'investissement de la part d'une communauté noire peut-être?

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Membre, Posté(e)
williams Membre 4 062 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Déjà je trouve que c'est un drôle de thème « L’écologie contre l’extrême droite ». Car ceci voudrait dire que ce sont les personnes de l’extrême droite qui vont en l'encontre de l'écologie alors qu'il n'y a aucun lien. Aussi bien des personnes de la droite, de la gauche… réagissent contre ou pour l'écologie. C'est tout mélanger. Puis c'est aussi bien des gens blancs que noirs que… qui réagissent contre ou pour l'écologie comme nous pouvons tous voir.

Modifié par williams
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Membre, scientifique, Posté(e)
Répy Membre 24 670 messages
scientifique,
Posté(e)

Je n'ai pas trouvé les neuf pistes annoncées !

Par ailleurs je trouve la gauche et les écolos complètement dogmatiques. Dès que tu n'adhères pas entièrement à leurs thèses, tu es un révisioniste ou un réactionnaire ou même un facho ! Il faut adhérer à 100% à leurs thèses pour être "toléré" !

Pourtant chez les écolos il y a des gens sincères, grandement soucieux d'écologie.

iI y a aussi des bobos qui vivent confortablement dans la société capitaliste dont ils dénoncent les excès .

Enfin il y a les bataillons de gauchistes qui n'ont rien à voir avec l'écologie mais qui font du militantisme d'ultra gauche rêvant du "grand soir" comme lors des meetings d'il y a un siècle !

Comment le parti des écologistes peut-il élire des "représentants" faisant une synthèse de ces diverses catégories hétéroclites ?  

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