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Protection judiciaire de la jeunesse : la fabrique de la souffrance psychique

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Marcuse

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Membre, 25ans Posté(e)
Marcuse Membre 1 108 messages
Mentor‚ 25ans‚
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Fin de l’été 2025, Mme Simonot, contrôleure générale des lieux de privation de liberté, demande en urgence la fermeture de l’établissement pénitentiaire pour mineurs (EPM) de La Valentine à Marseille. Son rapport, glaçant, a révélé au grand jour une double crise : celle des éducateurs de la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), épuisés par des moyens dérisoires et un manque criant de reconnaissance, et celle des mineurs placés, dont les conditions de vie se dégradent au rythme des restrictions budgétaires. Dans des structures parfois vétustes, sous-dotées en personnel et en projets éducatifs, les jeunes cumulent précarité affective, parcours scolaires interrompus et perspectives d’insertion toujours plus lointaines. Pendant ce temps, les éducateurs, en première ligne face à cette détresse, voient leur mission réduite à une gestion de l’urgence, au détriment de l’accompagnement individuel qui fait le cœur de leur métier. Entre l’abandon des mineurs et l’épuisement des professionnels, la PJJ est-elle encore en capacité d’assurer sa mission de protection et de réinsertion ?

https://frustrationmagazine.fr/pjj

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