La flatulence est elle un signe de bonne santé?

il y a 14 minutes, Atipique a dit :

Il ne faut pas, c'est très dangereux!

Mon mari avait connu quelqu'un qui avait cette fâcheuse habitude quand il était bourré; des brulures au 3eme degré la lui ont fait perdre.

C'est peut-être de là que vient l'expression:"Avoir le feu au c..

Il y a 1 heure, Atipique a dit :

Il ne faut pas, c'est très dangereux!

bonjour, 

à qui le dites-vous ... mais c’était tellement marrant !

c'est certain que cela présente des risques de brûlures ( ça sentait bien souvent le poil cramé ) mais il semblait avoir la dextérité due à une longue habitude  ( il n'avait pas besoin d'être bourré pour le faire ) . 

c'est que le méthane, ça brûle bien .

il faut dire que l'on était jeune et que jeune rime bien souvent avec c** !

bonne journée.

Il y a 4 heures, pic et repic a dit :

t mettait le feu à ses gaz

alors ça c'est bien un truc de mecs , je ne vois pas une femme le faire

A toutes fins utiles  = le code postal de Saint André-Le-GAZ   38490  en Isère   

il y a 1 minute, G2LLOQ a dit :

A toutes fins utiles  = le code postal de Saint André-Le-GAZ   38490  en Isère   

.

Le 28/09/2025 à 11:25, Talon 1 a dit :

" Chacun aime bien l'odeur de ses selles ". Montaigne

Pas forcément. Mais ça existe encore, mais c'est de moins en moins fréquent, le " tabou ", la honte, relativement à la défécation et aux excréments, s'exacerbe au fil du temps. C'est complétement prouvé. Au fil du temps, les gens s'isolent, s'enferment, de plus en plus. Avant les grands travaux d'urbanisme du XIX° siècle qui apportent l'assainissement dans les grands villes (je parle de l'Europe, et où le choléra, etc., font des ravages devenus chroniques, périodiques, dans des villes devenues énormes), il y avait des " vuidangeurs " (1), ils passaient leur temps à ramasser les ordures en ville, tout simplement jetées dans la rue, et allaient les revendre à la campagne comme engrais (à l'époque, au moins, tous les déchets étaient " bios ",    ). Dans les quartiers aisés, on s'assurait de leur " fidélité ", on payait bien pour une excellente prestation, etc. Au fil du temps, les autorités (villes) commencent à prendre les chose en main. Dans la moindre ville, il y avait un ou des lieux d'aisance publique. Il suffisait de poser sa main sur le ventre et de demander : " C'est où ? " Ça défilait toute la journée. A l'époque, le matin, quand on ouvrait sa porte, on avait le réflexe de jeter un oeil avant de faire un pas, et on rasait les murs, les gens balançait tout par la fenêtre, les gens prévenaient, mais il y avait toujours des distraits. Aux théâtres, il y avait des seaux, etc. Au Moyen Age, on peut voir un Seigneur, un Roi, etc., recevoir quelqu'un alors qu'il se soulage.

(1) On fera appel aux " vuidangeurs "  pendant la Révolution pour emmener les corps des guillotinés. Le marché est le suivant : ils sortent les corps de la ville, creusent les fosses communes, et en échange, tout ce que porte les exécutés est à eux. Même des linges souillés à l'extrême sont " recyclés ". Sauf en cas d'épidémie, dans les fosses communes du Moyen Age, il n'y a que des os. Tout, absolument tout, est récupéré.

Il y a 18 heures, maddy a dit :

alors ça c'est bien un truc de mecs , je ne vois pas une femme le faire

bonjour,

ça , c'est sûr ...du moins à ma connaissance !

bonne journée.

Il y a 15 heures, Neopilina a dit :

Pas forcément. Mais ça existe encore, mais c'est de moins en moins fréquent, le " tabou ", la honte, relativement à la défécation et aux excréments, s'exacerbe au fil du temps. C'est complétement prouvé. Au fil du temps, les gens s'isolent, s'enferment, de plus en plus. Avant les grands travaux d'urbanisme du XIX° siècle qui apportent l'assainissement dans les grands villes (je parle de l'Europe, et où le choléra, etc., font des ravages devenus chroniques, périodiques, dans des villes devenues énormes), il y avait des " vuidangeurs " (1), ils passaient leur temps à ramasser les ordures en ville, tout simplement jetées dans la rue, et allaient les revendre à la campagne comme engrais (à l'époque, au moins, tous les déchets étaient " bios ",    ). Dans les quartiers aisés, on s'assurait de leur " fidélité ", on payait bien pour une excellente prestation, etc. Au fil du temps, les autorités (villes) commencent à prendre les chose en main. Dans la moindre ville, il y avait un ou des lieux d'aisance publique. Il suffisait de poser sa main sur le ventre et de demander : " C'est où ? " Ça défilait toute la journée. A l'époque, le matin, quand on ouvrait sa porte, on avait le réflexe de jeter un oeil avant de faire un pas, et on rasait les murs, les gens balançait tout par la fenêtre, les gens prévenaient, mais il y avait toujours des distraits. Aux théâtres, il y avait des seaux, etc. Au Moyen Age, on peut voir un Seigneur, un Roi, etc., recevoir quelqu'un alors qu'il se soulage.

(1) On fera appel aux " vuidangeurs "  pendant la Révolution pour emmener les corps des guillotinés. Le marché est le suivant : ils sortent les corps de la ville, creusent les fosses communes, et en échange, tout ce que porte les exécutés est à eux. Même des linges souillés à l'extrême sont " recyclés ". Sauf en cas d'épidémie, dans les fosses communes du Moyen Age, il n'y a que des os. Tout, absolument tout, est récupéré.

Nos ancêtres déposaient les déchets corporels en limite du village, car ils croyaient qu'on pouvait les repérer à l'odeur. Cela s'appelait une soule.

Les Grecs avaient des latrines privées et publiques, et des chaises percées.

Les foulons, pour nettoyer et teindre es vêtements, utilisaient l'urine humaine et payaient une taxe instaurée par Vespasien : l'argent n'a pas d'odeur.

A Paris, la population utilisait le système du « tout à la rue ».

Dans les riches appartements, on utilisait des chaises percées ou des installations à vase mobile. Ces meubles étaient appelés selle nécessaire, selle aisée, chaire à retrait. D'où l'expression « aller à la selle ».

Les fosses publiques ne furent étanches qu'à partir de 1809.

Ce sont les Anglais qui donnèrent l'exemple des « privés » ou «  waters closets », fermés à clé et pourvus d'eau par l'intermédiaire de citernes recueillant l'eau de pluie.

Il y a 2 heures, Talon 1 a dit :

A Paris, la population utilisait le système du « tout à la rue ».

Je m'intéresse excessivement au XVIII° (il a un peu pris le relais de l'Antiquité, j'ai eu une longue période XVII° à cause de Descartes) à cause des Lumières, de Sade. Et donc en même temps, j'apprends plein de trucs, avec l'Europe, la France, du XVIII°, je me débrouille bien.

Il y a 2 heures, Talon 1 a dit :

Ce sont les Anglais qui donnèrent l'exemple des « privés » ou «  waters closets », fermés à clé et pourvus d'eau par l'intermédiaire de citernes recueillant l'eau de pluie.

Je ne savais pas. En Angleterre, je suis désolé, le " frenchbashing ", c'est culturel. En Angleterre, il y a eu du P.Q. avec le lys bleu des rois de France !!