Des mots pas piqués des hannetons

Quand je faisais une demande " délirante " à mon père, je comprenais que la demande était " délirante " grâce à une réponse bien spécifique, sans même me regarder, il disait : " Je vais en causer à mon cheval ". Je crois c'est répandu dans certaines régions. Ça me laissait pantois, ça me sciait les pattes, et je me cassais, en me demandant en quoi c'était délirant,     Un peu plus tard, ado, il y a eu une variante très intéressante : " Et pourquoi pas une plume dans le cul ? ". Voilà, je vais y aller,   .

Il y  aussi : " Minute papillon ", je crois que je l'ai vu au dessus.

J'ai regardé plusieurs  explications sur l'origine de cette expression, et, celle-ci me semble la plus probable.

Si vous avez d'autres sources ?

Il m'arrive de l'employer parfois, mais je ne suis pas souvent énervée! 

"Courir sur le haricot

Extrait: "...Tentons de déconstruire "courir sur le haricot". Au XVIe siècle, le haricot était aussi un terme d’argot pour parler du gros orteil.

Il l’était encore au début du XXe siècle, selon L’Argot au XXe siècle par Aristide Bruant (1901). Cette association provient peut-être de l'importance de l'agriculure dans notre économie, à l’époque.

Par ailleurs, en ce temps-là, "courir quelqu’un" avait pour emploi populaire de vouloir dire exaspérer, agacer, déranger quelqu’un.

Au XIXe siècle, un autre verbe, "haricoter", signifiait spéculer avec mesquinerie dans les affaires. Celui qui haricotait pouvait ergoter sur les moindres détails de la transaction, sûrement au point de compter les haricots. Quelqu’un de très énervant, donc..."

https://www.caminteresse.fr/insolite/pourquoi-parle-t-on-de-courir-sur-le-haricot-lorsque-quelque-chose-nous-agace-11199102/

à 2minutes 50: "...au printemps il y a toujours quelques z'hannetons qui traînent"

comme les z'haricots, zé beau la langue française!

Il y a 12 heures, Neopilina a dit :

Quand je faisais une demande " délirante " à mon père, je comprenais que la demande était " délirante " grâce à une réponse bien spécifique, sans même me regarder, il disait : " Je vais en causer à mon cheval ". Je crois c'est répandu dans certaines régions. Ça me laissait pantois, ça me sciait les pattes, et je me cassais, en me demandant en quoi c'était délirant,     Un peu plus tard, ado, il y a eu une variante très intéressante : " Et pourquoi pas une plume dans le cul ? ". Voilà, je vais y aller,   .

Il y  aussi : " Minute papillon ", je crois que je l'ai vu au dessus.

Pas de papillon au-dessus!

En parler à son cheval est une réponse ironique à une demande absurde!

J'en ai d'ailleurs une bien à moi: J'en parlerai à mon hippocampe, il est amarré au port...(de l'absurde dans l'absurde)

Il y a 6 heures, picenboule a dit :

Pas de papillon au-dessus!

O.K. Pour ceux qui connaissent pas : " t'attendras un peu ".