PandoraGirl

La plupart des gens en ont rien à secouer des jeux paralympiques. Les seuls qui vont réserver leurs places si cela se fait sont les membres de la famille de ceux qui participent. Quelle hypocrisie. Diffuser quoi sérieux ? C'est juste glauque le Téléthon olympique.

"L’expression sonne comme une insulte. Ou comme un compliment, c’est selon. Ça sent le soufre, la pédanterie bon marché, le mépris revendiqué. L’anarchisme de droite n’est pas une école de pensée. C’est une famille recomposée introuvable voire impossible. L’anarchiste de droite est d’autant plus difficile à reconnaître qu’il ne se définit pas comme tel. Anarchiste ? Il se moque de tout, à commencer par lui-même. Tâte plus du salon feutré que le pavé. De droite ? Rien ne l’agace autant que les snobs et les bourgeois. Le confort n’est pas sa quête. L’anarchiste de droite n’occupe pas une position facile. Les uns lui reprochent d’être plus de droite qu’anarchiste ; les autres d’être plus anarchiste que de droite. Dans le fond, lui-même ne sait pas trop où il se situe. On appartient à l’anarchisme de droite essentiellement par tempérament. Ces hommes libres ont peu de goût pour le suivisme, ont coutume de théoriser par eux-mêmes, quitte à s’attirer quelques inimitiés...Alliant la verve, le style, ces esprits ne se célèbrent pas dans un anticonformisme de façade ; ils ne cessent d’analyser, de contextualiser et de dialectiser des phénomènes grotesques, qui à force de nous noyer, ont fini par apparaître souhaitables au plus grand nombre. Armés d’un subtil cocktail de cynisme, de perfidie et d’élégance, ils dégomment les démagogies. Chacun, dans son art, a su s’affranchir des carcans et des conservatismes pour transcender sa vérité. L’anar de droite déteste tout ce qui finit en « isme », à part peut-être l’individualisme.Il n’aime pas les étiquettes, mais est surtout mécontent de celles qu’on lui applique, facho, réac, cynique, nihiliste.. Le fait est que sa liberté de pensée a tendance à l’ostraciser, quitte à être classé, il finit souvent du coté de l’extrême droite, ce qui le ferait hurler, ou marrer ; c’est selon...Il a ses marottes ; Le matérialisme vautré de notre époque, la technocratie, le snobisme, l’attention au collectif, l’affirmation d’une égalité, l’exaltation de notre sempiternelle perfectibilité. Ils aiment à tirer sur tout ce qui bouge, tout ce qui se costume en « avant-garde », esthétique, intellectuelle, politique. Le moderne quoi. S’il est une notion qui lui est étrangère c’est celle de société, un de ces noms qui vous obligerait à croire au collectif. Compassion et empathie sont moqués. L’humanité figurerait plus volontiers dans son vocabulaire. Même si elle apparaît souvent pauvre, sinistre et sordide. Le capitalisme n’est pas dénoncé en lui-même, mais il est coutume d’afficher telle volonté de bouffer du bourgeois, de casser du ploutocrate. Au fond, ils reprochent à la bourgeoisie de ne pas se comporter en aristocrates. Au fond, ce n’est ni le social, ni l’économique qui rapprochent une certaine droite intellectuelle de l’anarchisme, mais la morale, une conception exigeante de l’homme, de sa dignité, de son honneur." ---> Parfois bourrus, souvent misanthropes voire solitaires, ces personnages intriguent, amusent, énervent aussi de temps en temps mais ne laissent jamais indifférents. Ils détestent les idées toutes faites, la moraline et l’esprit de groupe. En un mot, ils sont irrécupérables, dans tous les sens du terme.

C 'est joliment dit.

Moments délicieux n'est-ce pas ? Quand tu penses que beaucoup n'ont pas connu cela et ne connaîtront jamais cela. Tellement occupés à aller s'abrutir ailleurs, formatés aux contraintes, à la connerie, l'énergie bouffée.. Nous sommes des privilégiés, des putains de bourgeois qui n'ont rien d'autre à foutre que se promener et rêvasser.. Le prolo lui n'a pas le temps il travaille.

C 'est vrai que se fondre dans la masse et s'exprimer de concert bien au chaud au milieu de troupeau ça c'est fun. Difficile de se faire remarquer, se différencier, bref d'exister, les troupeaux n'intéressent personne.

Les vacances sont terminées, enfin il était temps. J'en avais marre de me lever à l'heure que je voulais, manger à l'heure que je voulais, penser ce que je voulais, me balader à la montagne ou aller à la mer.. Faire du sport, prendre soin de moi, observer les oiseaux, les papillons. Avoir cette expression d'homme heureux qui se lisait sur mon visage.. J'avais presque l'air d'un niais d'après mes collègues de travail (que j'aime tendrement et affectueusement) tellement je semblais heureux, bien dans ma vie, ce n'est pas normal. J'étais complètement déconnecté de cette fameuse "vie sociale" Dès demain je reprends le travail, je me recadre à coups de burin dans le corps et dans le crâne. Je suis tellement heureux d'avoir une vie sociale que j'ai presque envie de l'offrir à d'autres.

Chacun de nous a une vie sociale. Et puis c'est quoi exactement avoir une vie sociale ? Parce que si c'est ce à quoi je pense, c'est plus une VDM que l'on assume ou pas..

Un connard facho, prétentieux en moins sur terre. 88 ans , on ne va pas chialer ! Maintenant la bataille du grattage de pognon va débuter. Son pote Jean-Marie le Pen tient toujours, doit être triste..

Les coins sombres c'est ton fantasme ? Ton prochain rêve sera peut-être d'y être coincée au sens propre et figuré avec un membre du forum.

Ah ouais d'accord, tu en es là...

Il te faut une explication précise ? Tiens en guise d'invite : Les rêveries du promeneur solitaire" de Jean-Jacques Rousseau.. Allez j'en ai assez dit.. La flemme pour le reste. Je suis déjà suffisamment sympa de descendre à la cave...

Débile, simplet... les rêves c'est durant le sommeil, à l'inverse des rêveries.