Scipion0610

Lesquels ? Ceux qui crient aux pseudo juges rouge lorsqu'ils sont condamnés, ce qui met en danger l'état de droit pour sauver leur petite personne ? Les premiers à contester la justice française, ce sont eux.

Tandis qu'en Colombie, Mexique, Bolivie, l'état règle le problème ?

Il faudra changer le nom du concours. Il n'a visiblement plus grand chose d'européen. Le Deutsch vision ?

C'est bien, tu connais des citations (La culture, c'est comme la confiture: moins on en a et plus on l'étale). Et sinon, sur le fond de ce qu'a dit Jimmy45?

Je suis d'accord mais est-ce que la loi française fait la différence entre une révision de la Constitution (c'est à dire une modification de la constitution actuelle) et l'écriture d'une nouvelle Constitution? Prévoit-elle ce cas de figure?

Je dirais qu'un gouvernement composé de diverses forces politiques serait plus représentatif. Des experts, ça peut être intéressant mais comment sont-ils nommés et par qui?

Je pensais plutôt à une Constitution qui diminuerait fortement les pouvoirs du président ou qui diviserait son pouvoir entre plusieurs personnes. Pour la simple et bonne raison qu'il n'est pas démocratique de confier des pouvoirs démesurés à une personne seule soutenue par une minorité de la population.

Ce qui n'est pas étonnant, Genève étant très ouverte sur l'international du fait des différentes organisations qui y siègent. Sans compter que la richesse de la ville est historiquement dû à l'immigration et qu'elle a une longue tradition d'accueil. Ceci dit, les étrangers qui subissent le plus de racisme à Genève sont de loin les frontaliers (les français donc). Il y a même un parti politique d'extrême droite (le MCG,) qui s'est construit quasi exclusivement sur la haine des frontaliers.

C'est intéressant mais qui possède les entreprises en Syldavie ? Le public j'imagine. Un privé n'ayant que peu de moyens financiers pour investir. Ce que tu décris fonctionne donc dans un système communiste.

On peut voir ça comme ça mais si c'est le cas: la démocratie n'existe pas et n'a jamais existé.

Bah le problème là c'est plutôt le manque flagrant de déontologie de bon nombre de journalistes.

Personnellement je ne mettrais pas dans le même panier calomnies et critiques. Pouvoir critiquer son gouvernement est un des fondement de toute démocratie.

Ok... et cette simplification change quoi au fait qu'un président élu sera calomnié et critiqué par ses contemporains (le sujet du topic que tu as créé)?

Je veux bien mais qu'est-ce que ça change à la problématique que tu soulèves ?

C'est à dire? Je ne vois pas bien ce que ça change... un président (un maire, un député, etc...) n'en sera pas plus soutenu..