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  1. mme supermarché deuxième version en PDF.pdf
  2. mme supermarché deuxième version en PDF.pdf
  3. mme supermarché deuxième version.doc
  4. L'argent est tout sauf un moyen commode d'échange, c'est le moyen de s'assurer: du pouvoir, de la notoriété, du savoir, du plaisir(bon marché), de la sécurité, de l'intouchabilité, de s'acheter des vertus, des valeurs, de l'impunité ..... Supprimons l'argent et tout système d'échange tel que troc ....
  5. Commentréagir, comment s’en sortir ? Ilfaut brider la cupidité humaine, s’offrir la possibilité de raisonner sanselle, supprimer le nerf quil’alimente à savoir : l’argent. Etc’est cette idée simple qu’il suffirait de mettre en œuvre pour que toutretrouve du sens et de la qualité, ilsuffit de supprimer l’argent. Plusd’argent donc plus de cupidité, c’est simple. Cetteidée est développée dans le petit texte qui suit, intitulé : « MmeSupermarché » Titre :Mme Supermarché Comme à l’accoutumée MmeSupermarché s ‘en va dans son grand magasin favori (vous savez celui ou lavie est plus jolie). Ce matin la, elle arrivetoujours à l’ouverture, y règne une ambiance particulière, elle n’y prête pasattention concentrée qu’elle est sur son rituel quasi religieux d’achats,toujours les mêmes produits (lessives, conserves, légumes conditionnés, painsindustriels, poulets élevés en batterie ….) Son circuit terminé, elle nerencontre pas, à son grand étonnement ce matin là, les quelques amis avec quielle parlotte toujours des mêmes sujets induits par les médias (vous savez ceuxqui donne la parole aux auditeurs) Elle se dirige vers lescaisses, pas de caissières !! seul Mr Costaud assure la sécurité et luiexplique que tous les produits sont désormais gratuits et ceci à volonté. Quoua !!! (à la Coluche)s’exclame t-elle, déstabilisée, énervée, presque contrariée elle se fait répéterpar l’homme aux biceps qui fidèlement récite sa leçon. Elle rentre chez elle plusvite que d’habitude et alarme Mr Grossevoiture, son époux, et son fils Supervidéo. Tous trois repartent illicoavec les deux voitures vides (sièges arrières retirés), et les remplissent àsaturation et recommence ainsi cinq fois le voyage. Ceci prend toute la matinée,ils alertent alors (seulement) le reste de la famille et amis, lesquelsconfirment que cela se passe également dans les autres magasins :électroménager, concessionnaires automobiles, boutiques de vêtements,informatique …. Ils soulignent cependant lapanique engendrée, bousculades et bagarres ça et là. Toute la ville est eneffervescence pendant plusieurs jours et même les nuits (certains essayent devoler ce qui sera gratuit le lendemain). Cette boulimie de bien être(soi-disant) se propage à toutes les couches sociales, certains telle MmeHypermarché (meilleure amie de Mme Supermarché) ne sait plus ou entasser lesproduits, elle casse même un téléviseur en l’empilant sur les dix déjà présentsdans sa chambre. Qui a donc eu cette idéesaugrenue à laquelle tous les marchands adhérent puisque celui qui fait payern’a évidemment plus un seul client, d’ailleurs les mots marchands et acheteursne veulent plus rien dire. Mr Grossevoiture et sescopains, logiques et pragmatiquement fainéants, en concluent qu’il n’est plusutile de travailler, seuls les gouvernants du pays continuent, pour ne pasperdre leur pouvoir, à assurer leurs fonctions mais lesquelles au juste ? Les denrées alimentairesdiminuent rapidement, les stocks familiaux si facilement acquis s’épuisent. Les intellectuels de touspoils, les médias qui veulent conserver leur chère influence (on ne saitjamais, si tout redevient comme avant) n’arrêtent pas totalement leurs activités,les idées les plus folles circulent : l’effort est vain, la valeur travailn’existe plus, le monde s’écroule …. Il faut bien manger et boirecependant, Mr Champdeblé et ses comparses agriculteurs reprennent en premier eten autarcie leurs cultures et élevages. Un nouveau troc s’installesur les produits de première nécessité. Mr Grossevoiture n’entendspas pour autant diminuer son niveau de confort (climatisation, chauffage,carburant, lit télécommandé, home vidéo…) Il en discute avec sescopains Philosof et Scientic qui proposent la solution évidente, à savoircontinuer ainsi sans argent mais en reprenant le travail. Attention dit Philosof,chacun devra travailler mais dans son domaine d’excellence et ainsi trouverason bien être. Génial dit Scientic, les progrèsn’iront plus à l’encontre de l’humanité puisque le profit financier auradisparu et la recherche avancera très vite. Alors vint le temps de laréflexion : si on cultivait, élevait que le nécessaire pour bien vivre etsi en plus tout restait accessible à tous et gratuitement ? Mais attention ! il nefaudrait pas que l’on mange des produits frelatés, ni artificiels mais biensélectionnés et surtout le plus naturels possibles. Evidemment il ne peut enêtre autrement, il ne manquerait plus que ça que l’on s’empoisonne gratuitement ! Oui mais et ceux (lesfainéants) qui préféraient jadis travailler dans leurs bureaux bienchauffés ! Et bien qu’ils y retournentmais à condition que ce soit des services nécessaires, l’ANPE ne se justifie plus. Il faut bien que lesgaragistes et autres carrossiers réparent nos véhicule flambant neufs, quoiquesi les fabricants si remettent à leurs chaînes, on pourrait avoir toujours desvoitures neuves dés le moindre petit accro ou dés la première panne, il faudraquand même que certains s’occupent à recycler toute cette ferraille. Pourquoi pas les anciensvoleurs et gendarmes car ils n’auront plus rien à voler donc on ne pourra plusrien leur reprocher ( remettez chacun dans l’ordre). Les travaux publics euxpourraient bien entendu s’y remettre mais attention il faudra commencer pardétruire les péages et élargir les routes Les chirurgiens auront peutêtre toujours quelques accidentés de la route pressés de courir après le temps(les vieux réflexes sont tenaces) L’espoir que les chercheursenfin libérés de leurs satanés budgets nous trouveraient bien quelques remèdesmiracles pour toutes ces saloperies de maladies et qui sait si elles nediminueraient pas par une meilleure qualité de vie (produits alimentairessaints, moins de stress…) Il faudrait toujoursquelques enseignants (des bons) pour reformer les tètes des futurs chercheurs,chirurgiens, mécaniciens, vendeurs (excuser c’est une erreur) et encore biend’autres professions (seulement les indispensables) Et l’essence ! heinl’essence ! Ah le voilà le défaut dans la cuirasse de cette utopie ! Pas sure, car la qualité devie ne passerait plus par le gain en tout genre et les idées de remplacement nemanqueraient pas (moteur électrique ….) puisque ne l’oublions pas rien ne nouspresserait : il suffirait de produire seulement en fonction de nos besoins(les premiers temps d’émoi collectif avec nos 20 postes informatiques dans lamaison seraient bien loin à présent et ainsi d’éviter le gaspillage (d’ailleursce mot disparaîtrait du vocabulaire) Attention il ne faudrait pasoublier de se reposer, le comble serait que nous n’en sentions plus lebesoin ! C’est que nous deviendrions de plus en plus exigeants pour nousmême, pardi. Mr Grossevoiture, toujourssoucieux de son petit univers douillet y trouva également son compte car toutela nourriture frelatée qu’il mangeait par plaisir serait aussi la plus sainepossible, en effet il n’y a plus rien à gagner donc consommons le meilleur. Deux anciennes relations peufréquentables Mr Volalatire et Mr Banquier s’inquiétèrent fortement par voie deconséquence de même que Mr Jean d’arme et Mr Pub. En effet toutes ces professions(non métiers) disparaissaient de fait. Que faire ? et bientravailler à rendre ma voiture encore plus confortable et performante réponditMr Grossevoiture ; pourquoi pas ? Ou bien écrire des livres,réaliser des émissions télévisées plus intelligentes. Et les jeux d’argent !!mon dieu (existait-il encore ?), ces fameux jeux plus que débiles supposésapporter le bonheur, ils n’avaient plus qu’à « se rhabiller ». L’épanouissement (oubonheur) résidait à présent dans le fait d’exercer un travail qui produiseseulement le nécessaire et cela le mieux possible puisque nous en étions lespremiers bénéficiaires mais également à fournir le superflu, à redéfinir,autant que désir le souhaiterait. Les gouvernants sentantleurs raisons d’être diminuer puisque les notions de classes sociales, économiemondiale, partage des richesses….disparaissaient se réunir lors d’une énormeassemblée mondiale afin d’y réfléchir. Dans leur groupe ladépression s’installa rapidement, en effet le seul domaine qu’il restait éventuellementà contrôler était de traquer les « tir au flanc »qui ne voulaient pastravailler mais même ceux la, étaient en nombre négligeable puisqu’à présent letravail n’était plus imposé mais choisi, le médecin avait la mêmereconnaissance (aucun salaire) que le garde champêtre ou le berger (eh ouicertains métiers très utiles revenaient) Même Mr Mandarome, grandgourou devant son éternel déprima Et s’il y a trop de bergerset pas assez de médecins rétorqua MrLeprésidentdelagrandenationimpéraliste certain alors de tenir la faille à cenouveau système qu’il ne contrôlait plus. C’est tout simplementrépondit Mr Lechefdelapetiterépublique qu’il y a certainement moins de gens malades. Plusieurs crises de nerfss’en suivirent dans cette honorable assemblée. Mr Grosserépubliquebananière dit alors : il faut trouver celui qui a eu cette idée ou encore l’auteurde ce texte et le tuer. A l’unanimité, cetteproposition fut approuvée par vote démocratique. c. T
  6. Pas tous mais 80% environ
  7. Quelle honte d’entendre et de voirune « pistoise » dont le vocabulaire doit se résumer à 50 mots deFrançais et autant d’anglais(au collège, ça suffit) interpeler un si grandpenseur devant le sourire entendu de Pujadas. Elle ne mérite même pas une fessée,ça lui ferais bien trop plaisir (bien qu’elle n’ait passé l’âge idoine quedepuis peu à la voir pérorer ainsi) J'oubliai, on se sert les coudes n'est ce pas Mlle CHaouiya !
  8. Bonjour, avez vous bien lu mon texte?

  9. bonjour, avez vous lu mon texte?

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