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  1. Liberté1789, ce dont tu parles n'est pas un génocide, reprend la définition du mot tu verras. Cela dit, il est vrai que les alliés ont commis des atrocités. Je crois que c'était une stratégie pour démoraliser l'adversaire, tout comme la bombe atomique sur Hiroshima. La Shoah est par contre un génocide, d'ailleurs, pas que contre les juifs, contre les homosexuels aussi, quoique je ne sais pas s'ils en ont tué autant en proportion. Mais bon, génocide ou pas, je trouve que le nombre de personnes est plus parlant, parce qu'un être humain est un être humain et a de la valeur qu'il soit juif, pas juif, blanc, noir, vert ou rose. Tout à fait, avec le racialisme, ce qui est contradictoire avec le nationalisme, qui en principe devrait traiter de manière égale tous les citoyens.
  2. Oui enfin, sauf que la quasi-mafia est au pouvoir en France depuis De Gaulle (cf néocolonialisme et Françafrique) Sinon, je soutiens l'idée patriote raisonnable. Il faudrait qu'on fasse le ménage. Les crapules au pouvoir ne vont pas partir toutes seules.
  3. Les nazis sont dans la pensée collective les méchants ultimes, assimilés à des monstres horribles, et le nazisme est associé au terme national-socialisme. Mais ce qu'on reproche au régime nazi, est-ce le national-socialisme ? Les nazis mettent au sommet la race allemande, et lui donne toute priorité. Or le nationalisme considère qu'il faut traiter de la même façon toutes les personnes de la nation. Le nazsime n'était donc pas du nationalisme mais du racialisme. D'autre part, le projet d'Hitler était de faire un empire de l'Eurasie, voire plus. Le projet nazi n'est donc pas nationaliste, il est impérialiste. L'autre mot dans national-socialisme est socialisme. C'est une chose qu'on met peu en avant, mais à ces débuts, le nazisme était socialisant, ce qui a séduit les gens qui était dans la privation. Plus tard, les composantes socialistes, notamment certains leaders, ont été éliminées. Le peuple a été aussi séduit par l'idée nationaliste parce que l'Allemagne devait payer de lourdes réparations, et par réaction, le nationalisme était bien vu. C'est au nom de la sécurité nationale qu'Hitler a justifié les guerres impériales, tout comme le fait la maison blanche pour l'impérialisme américain. En France, le nationalisme sert à recruter pour soutenir les dictatures, la stabilité des régimes permettant le bon fonctionnement des multinationales. Le nationalisme est donc une façon de recruter les gens pour des projets en réalité d'empire. Pour résumer, le nazisme était racialiste-socialiste-impérialiste. Ce qu'on lui reproche, ce n'est pas le socialisme, mais le racialisme et l'impérialisme. Les nazis et ceux qui les soutenaient étaient viscéralement opposés aux communistes. Ils reprochaient aux bolchéviques d'avoir pourchassés et exécutés les riches russes et les intellectuels russes qui n'étaient pas bolchéviques. Mais s'agit-il d'une critique du communisme ? En fait, les horreurs en URSS sont essentiellement l'oeuvre d'une minorité. La révolution de février était une révolution populaire, mais ce qu'on a appelé la révolution d'octobre était en fait un coup d'Etat, la prise de pouvoir par les bolchéviques qui ont pris les contrôle des conseils et ont supprimés les assemblées trop démocratiques. Cette centralisation dictatoriale du pouvoir est appelée léninisme. Ce n'est pas du communisme, le système était même très inégalitaire. Il est étonnant que les deux régimes "nazis" et "communistes" se soient tellement reprochés des choses qu'il faisait chacun. Que ce soit l'élimination physique des opposants politiques, les prétentions socialisantes ou la création d'un homme nouveau... les points communs sont nombreux. Les nazis étaient aussi opposés aux riches, mais ils confondaient riches et juifs. Pourtant, il est clair que parmi les riches, il y a des juifs et des non juifs, et parmi les juifs, il y a des riches et des pauvres. Ceux qui volent les pauvres, ce sont les riches ! N'est-ce pas aussi simple que cela ? Une telle vérité fait-elle tellement peur par ce qu'elle porte d'énergie révolutionnaire ?
  4. Cela ne veut rien dire. C'est comme la notion d'identité, on tourne en rond.
  5. Encore faut-il démontrer que le CO2 est un mal. Ce n'est pas encore chose faite (et à mon avis, cela ne le sera pas puisque je crois que ce n'est pas le cas). Un mal pour qui ? pour quoi ?
  6. Vive le développement durable et le commerce équitable, et mettons en prison les crapules du GIEC et leur théorie fumeuse sur le CO2. Vive le pétrole, mais arrêtons de travailler à 100 km de chez soi. Vive le nucléaire, mais arrêtons d'embaucher des intérimaires pour s'en occuper.
  7. existence

    Le problème du féminisme

    Il y certes les caractéristiques morphologiques, mais il y a aussi les caractéristiques psychologiques. Un homme se sent juste homme ou bien se sent plus ou moins femme, et une femme se sent juste femme ou bien plus ou moins homme. Alors, on peut s'attendre à ce que tous les hommes ne cultivent pas des activités "masculines" et vice-versa.
  8. existence

    Le problème du féminisme

    Faut pas pousser non plus.
  9. Il faudrait commencer par arrêter le système néocolonial. A ce sujet, les explications de Loïk Le Floch Prigent, qu'on essaye de faire payer pour les autres tout en gardant le système, sont explicites : http://www.ina.fr/ardisson/tout-le-monde-e...prigent.fr.html
  10. existence

    Le problème du féminisme

    Tu fais ton troll, là.
  11. Attends sfc, tous les franc-maçons ne sont pas des crapules !
  12. L'Afrique est un cas particulier pour lequel le remaniement des frontières aurait un intérêt. Mais faire une union avec les crapules d'aujourd'hui, c'est direct vers une grande dictature africaine, qui serait sans doute un partenaire intéressant pour nos élites européennes et américaines (oui parce que bon si vous croyez qu'il y a encore une différence entre nos élites et les élites américaines ou anglaises...)
  13. existence

    Le problème du féminisme

    C'est intéressant. Cela supposerait que les comportements humains sont basés sur une réflexion intellectuelle. Mais par définition, si on est bête, c'est qu'on ne réfléchit pas. Pas d'accord pour la bêtise donc, mais bien entendu si on formule par des concepts le machisme, on aboutit à des préceptes erronés, c'est bien possible, même si je vois pas trop le cheminement. La domination de la femme, ce n'est pas un précepte vrai ou faux.
  14. existence

    Le problème du féminisme

    Ok, donc un féminisme pas anti-autoritaire milite pour une hiérarchie avec un mélange d'hommes et femmes. Mais à ce moment-là, cela ne règle pas du tout le sort des femmes en Afrique, étant donné que ladite hiérarchie, avec au sommet l'Elysée, organise des dictatures et la misère dans ces pays, ce qui est un frein pour le développement et par conséquence de l'éducation des hommes et des femmes, et donc un frein pour l'émancipation des femmes.
  15. existence

    Le problème du féminisme

    Oui, moi j'attends la démonstration, parce que là c'est pas très convaincant.
  16. existence

    Le problème du féminisme

    Ok pour la théorie. Dans la pratique, une femme peut aller voir ailleurs, chercher un homme plus compréhensif. Bon bien sûr, s'il y a plus de femmes égalitaires que d'hommes égalitaires, il y a un déséquilibre de l'offre et de la demande, pourrait-on dire.
  17. existence

    Le problème du féminisme

    Dans la théorie oui, dans la pratique, ce n'est pas toujours le cas. C'est la même problématique que le gens qui critiquent un pouvoir pour en prendre la place. Par exemple, les communistes-léniniste vont critiquer la domination du capital, mais veulent mettre en place la domination d'une minorité pour instaurer l'égalité, promettent-ils. Oui c'est une façon de résumer la chose. Mais je trouve alors qu'on mélange l'individuel et le collectif. Au niveau d'un couple, cela a un sens, une femme pouvant être féministe, c'est-à-dire revendiquer l'égalité dans le couple. De même un homme peut revendiquer l'égalité. A ce moment-là, ces deux personnes peuvent bien s'entendre. Mais après, cela devient ambigu. Est-ce qu'on parle de penser comment les autres couples doivent s'organiser, ou bien de la culture ? Il me semble que la culture est imprégné autant de choses venant de femmes que venant d'hommes, les deux genres étant en interaction, tout se mélange au niveau culturel, me semble-t-il, et puis c'est le résultat des choix individuels d'organisation. Dans tout cela, la seule chose qui pose problème à mon avis, ce sont les normes, qu'elles soient patriarcales, matriarcales ou égalitaires. C'est déjà un point de vue révolutionnaire pour une féministe.
  18. existence

    Le problème du féminisme

    Non non, si on considère une sorte d'opposition à la hiérarchie, dans le champ politique c'est la mouvance qui correspond. Oui, les deux ne sont pas contradictoires comme cela.
  19. De mon point de vue, le féminisme attaque à tort le machisme, le considérant comme une oppression de la femme. L'oppression de la femme est de refuser d'envisager que la femme ait des aspirations et de refuser l'existence de sa volonté. Or le machisme n'est pas cela. Il consiste à considérer que la volonté de l'homme a la priorité sur le volonté de la femme. Dans une telle situation, la femme peut faire valoir ses aspirations auprès de l'homme, et avoir ses volontés. En mettant son homme en avant, la femme se place sous sa protection. C'est là qu'on peut faire un parallèle avec le politique : les citoyens se soumettent à l'état pour obtenir sa protection. Mais bien entendu l'état peut imposer une coercition à l'encontre de l'intérêt du peuple. Le même problème peut se poser avec le machisme : l'homme peut imposer trop de coercition, faisant valoir uniquement son intérêt. Si le machisme peut être utilisé pour dissimuler une oppression, il n'est pas l'oppression. Je ne crois pas qu'on puisse s'ingérer dans un couple basé sur le machisme, parce que une telle construction du couple est un choix, un arrangement le plus souvent inconscient passé entre l'homme et la femme. De la même façon, il existe des couples où la volonté de la femme est prioritaire. De la même façon, s'ingérer dans ces couples n'est pas légitime. Le féminisme pose comme idéal obligatoire une relation égalitaire entre l'homme et la femme. C'est aller à l'encontre du choix des amoureux, avec un paradoxe d'imposer autoritairement une relation démocratique entre l'homme et la femme. D'autre part, le féminisme se dit politique, mais propose de mettre des femmes politiques au pouvoir, c'est-à-dire en laissant la domination de l'état. Un féminisme cohérent serait favorable à l'anarchisme, ou en tout cas à une démocratisation des institutions, par la participation directe aux décisions, par référendum et par la révocation possible des élus etc. Enfin, le féminisme peut servir à dissimuler des ambitions de faire passer la volonté de la femme en premier, ce qui est bien sûr possible, mais devrait dépendre du choix des partenaires, pas d'une norme autoritaire. Il est légitime qu'il existe des couples machistes, des couples démocratiques, et des couples où la volonté de la femme est prioritaire. Le problème du féminisme est de juger immoral le premier type, dans une perspective anti-autoritaire polarisée et de ne pas être cohérent dans ses actions politiques avec le principe démocratique. Je pense même que c'est contre productif pour l'émancipation de la femme. Et vous, pensez-vous qu'on doivent forcer les couples à être démocratiques ?
  20. Ben voilà, tu parles de quelque chose de réel. Toute la propagande sur le "CO2 qui réchauffe la planète et qu'on est tous coupable", tu peux la jeter à la poubelle. Par contre, la question des ressources, c'est la vraie question qui est enrobée dans cette propagande. Je ne sais pas si vous avez déjà vu ce rapport, qui date de décembre2004, qui étudie les scénarios pour le futur jusqu'à 2020, rassemblantun grand nombre d'analyses, une sorte de synthèse mondial du point devue américain. Bien entendu, il en critique nullement le rôle desétats-Unis, mais il fournit des considérations très crues, comme parexemple l'approvisionnement en pétrole ou bien les troubles sociauxéventuels en Chine. Ce rapport a été présenté en français par AlexandreAdler, l'historien qui passe sur la chaine Histoire, qui semble avoirfréquenté le Bilderberg en 2003. L'article de Wikipédia sur le rapport : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mapping_the_Global_Future Pour télécharger le rapport (Pdf, en anglais) : http://www.foia.cia.gov/2020/2020.pdf On y apprend que les élites craignent des ruptures dans l'approvisionnement en pétrole. On comprend alors le pourquoi de cette politique interventionniste pour aller mettre la "démocratie" dans les pays producteurs de pétrole afin de stabiliser la fourniture du pétrole.
  21. Je note que les messages que tu considères les plus importants sont ceux qui vont dans ton sens, à savoir celui de l'alarmisme réchauffiste culpabilisant.
  22. Il est bien beau à faire des leçons de morales quand officieusement il soutient le système de Françafrique, avec la monstruosité qui va avec. Les apparences, les relations publiques, ça ça compte pour lui. Les faits, mesurés vraiment, et pas juste à l'intérieur de l'hexagone, là il s'en moque.
  23. L'argument est intéressant. Effectivement, elles pourraient ne plus oser sortir du tout, ou bien envoyer balader leur traditions. On voit que la loi anti-burka manquerait de subtilité.
  24. En tout cas, c'est le seul argument sérieux. Elles portent une burqa ce qui les exclut des relations hors de leur communauté. En empêchant la communication elles se retrouvent enfermées dans leur communauté, et là elles sont dominées puisque c'est une principe dans la religion musulmane. On pourrait dire que c'est pareil avec la chrétienté, mais bon, moins vu qu'elles peuvent communiquer avec des personnes non chrétiennes. Si on considère que ces femmes sont libres, alors leur empêcher de porter la burqa dans la rue n'a aucun sens. Elles sont déjà obligées de l'enlever à l'école ou au travail, ça fait déjà beaucoup. C'est plus de la défense de valeur républicaine alors, mais de l'autoritarisme de la majorité. Il s'agit d'une forme d'ingérence dans leur vie, qu'on ne peut que soutenir parce qu'elles seraient obligées, malgré elles, à porter la burqa par leurs méchants maris. C'est là qu'on arrive à une absurdité, parce que le féminisme est pour la liberté de la femme, mais justement là, on leur interdit.
  25. lol aussi "etc." Oui j'attendais la réponse... eh ben non pas de réponse. Ah ben là je dis pas le contraire, mais je me demande s'il n'est pas au courant qu'il joue le jeu du pouvoir pour faire passer l'air de rien des lois "utiles" à la surveillance des citoyens. Ben oui, pour le moment, les caméras ne nous embête pas trop, mais ça pourrait devenir très gênant. Si on ne veut pas de caméras de surveillance, faut sortir de chez soi et qu'on se rencontre, ne plus rester cloitrer chez soi, parce que comme ça c'est sûr qu'on va finir avec des caméras partout, à moins qu'on mette des trucs biométriques partout ou bien des puces RFID dans le bras de tout le monde.
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