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Grenouille Verte

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Tout ce qui a été posté par Grenouille Verte

  1. C'est de la pure provocation, c'est comme aller sur un forum catholique dire que le satanisme est mieux que le catholicisme, ou dire sur un forum UMP "vive le Karl Marx".
  2. Maintenant qu'il est mort, on peut bien lui faire dire ce qu'on veut. J'adore ces citations sans la source. :smile2: :smile2: :smile2: Aurais-tu peur qu'on conteste l'authenticité de la citation ? Ou pire, aurais-tu peur qu'on découvre le contexte de la citation (si elle est authentique) ?
  3. L'interprétation des CGU reste très subjective. Pour avoir modéré ailleurs, j'ai pu constater qu'il existe plusieurs manières de les interpréter. Il y a les modérateurs interventionnistes, qui vont "corriger" le moindre écart en interprétant les CGU de manière très restrictive (voire en étendant très largement leur champ d'application), et les modérateurs plus libéraux, avec une interprétation stricte des CGU, refusant d'intervenir quand les CGU ne le demandent pas explicitement. Voici un exemple de règle à l'interprétation subjective (je l'ai prise sur Forumfr, mais des équivalents existent dans d'autres forums) : ForumFr n'étant pas la vitrine d'un parti politique ou d'une religion particulière, nous n'accepterons aucune propagande. Un sujet pro-Mélenchon ou faisant la pub pour un de ses discours est-il de la propagande ? Un sujet pro-catholique est-il de la propagande ? Un sujet pro-Moon est-il de la propagande ?
  4. Le + ou le - est mis en fonction de l'appréciation d'un post. De plus, personne (en dehors surement de l'administrateur) n'est en mesure de savoir qui a mis un + ou un -. Il me semble que les modérateurs le savent, c'est en tout cas ce qui a été annoncé il y a un temps par l'administration du forum.
  5. Cher Simplicius, vous ne comprenez pas que le problème se pose bien avant.La question n'est pas tant la nature d'une convention internationale, que de comprendre ce que dit cette convention en particulier. C'est sur ce point que nous ne sommes pas d'accord. Vous prétendez que le texte de la convention dit quelque chose, je prétends qu'il dit autre chose. En particulier, je prétends que ce texte n'utilise qu'une définition locale à la convention du mot génocide et n'impose aucune définition du mot génocide. Je trouve votre position absurde. Ce n'est pas parce que c'est une convention internationale qu'elle dit forcément ce que vous voulez lui faire dire. Aucun texte n'interdit aux lois d'un pays de donner des définitions absurdes ou débiles aux mots "crime", ou "génocide" ou "meurtre". Les pays ne le font pas par sens des responsabilités.
  6. Non.Je sous entend que la convention n'impose aucune définition du mot génocide, qu'elle n'impose que de considérer certains actes comme des crimes. La convention choisi d'appeler ces crimes "génocide", mais laisse aux pays membres la possibilité de définir autrement le génocide, ou d'appeler ces crimes différemment. La portée juridique d'un texte ne vient pas de ses définitions, mais de son effet. Ici, le texte condamne des actes, le texte a donc une portée juridique indépendemment de la définition de génocide. Vous voudriez nous faire croire que le seul intérêt de ce texte est de définir le mot génocide ? Mais dans ce cas là, ce texte n'aurait aucune réelle portée juridique ! Il serait bien minable d'écrire une convention juste pour définir un mot, qui plus est un mot qui se traduira différemment dans les différentes langues. Il est absurde qu'une convention écrite en plusieurs langues serve à définir un mot. Non, le but et l'effet de cette convention est de condamner des actes, chose nettement plus importante que d'écrire les dictionnaires des différents pays signataires. Lisez au lieu d'écrire des énormités. Le droit des contrats n'a rien à voir avec le droit international, mais par contre, les deux disciplines vous utiliser les mêmes tournures de phrases, le même style d'écriture juridique.
  7. Vous faites la même erreur que précédemment. Votre raisonnement est en résumé : Vous affirmez que la Convention dit quelque chose Comme vous trouvez que la Loi française est différente vous dites que la hiérarchie des norme impose votre vision de la convention Mais le problème n'est pas là. Le problème est que la convention ne dit pas ce que vous lui faite dire. Voyez-vous à quel niveau se situe le problème à présent ?
  8. Je pense que vos chiffres sont optimistes. Si on additionne FN (pas représentés) + Verts (peu représenté) + Modem (insuffisamment représentés) + tous les petits partis non représentés à cause du "vote utile", on doit arriver à nettement plus de 50%. En plus, le parti radical a disparu (ou presque) avec la Vème république, il représentait avant un bon tier des voix, à comptabiliser dans le pourcentage de français non-représentés.
  9. Et bien non. Une définition peut être : soit globale, auquel cas elle s'applique aux autres textes de loi soit locale à un texte, c'est à dire valable uniquement "dans cette convention" ou "dans ce contrat", auquel cas elle ne s'applique qu'à ce texte et à lui seul, et n'est pas valable dans les autres textes qui pourront, éventuellement, utiliser des définitions différentes. C'est une construction juridique très courante qu'on retrouve très régulièrement dans les contrats. Vous confondez deux choses : la portée de la convention la portée de la définition Les deux n'ont strictement rien à voir. Une convention internationale peut utiliser des définitions locale (c'est-à-dire valable uniquement pour elle-même) ou globales. Ici, le choix a été fait en faveur d'une définition locale, ce qui autorise les différents pays à avoir une autre définition du concept de génocide. La seule chose que les pays signataires doivent accepter est d'appliquer la convention. Au final, j'affirme que cette convention n'impose aucune contrainte sur la définition du mot génocide. Elle ne contraint qu'à condamner et poursuivre certains actes, appelé dans la convention (mais pas forcément ailleurs) génocide.
  10. Que ce soit un seul homme (le premier ministre) ou une assemblée qui détienne ce pouvoir, ça change tout. La troisième république était multipartite, et pas bipartite, il y avait donc de vrais débats à l'assemblée pour convaincre les autres camps, car aucun camp ne pouvait décider seul. Je trouve que la situation actuelle où on donne tous les pouvoirs à un seul parti peu démocratique.
  11. D'où viennent ces chiffres ? J'ai démontré que vos précédents chiffres étaient bidons (vous mélangiez la pollution liée à la vie animale et la pollution humaine). Ces chiffres là ne seraient-ils pas du même acabit ?
  12. Visiblement vous ne comprenez pas le problème. Pour que la hiérarchie des normes interviennent, il faudrait que la convention impose une définition de "génocide", ce qui n'est pas le cas. C'est explicitement précisé dans l'article II que cette définition ne vaut que pour cette convention et pas pour les autres textes. La convention utilise le mot génocide dans un sens particulier, local, et laisse à chaque pays le soin de définir le mot "génocide" dans ses textes de lois. Il n'est pas contraire à la convention de donner un autre sens au mot génocide, ce dont la France ne s'est pas privé d'ailleurs, car le dernier texte de loi voté ne fait pas référence à cette convention.
  13. C'est une définition locale au texte, tout comme il existe des définitions locales aux contrats. Reprend les contrats de licence des logiciels que tu as installé sur ton ordinateur, tu verras que ces contrats posent aussi des définitions locales.Ces définitions locales : servent à comprendre de quoi on va parler ne sont valable que dans le contrat (ou la convention, ou tout autre texte à valeur juridique) En réalité, je me demande quel est, pour vous, le sens de l'expression "Dans la présente Convention,". Retirer cette expression (ce que vous faites) change le sens du texte. Le principe quand on interprète un texte de droit est qu'on n'a pas le droit d'enlever les bouts de phrase qui dérangent. Une simple définition locale à la convention est suffisante pour savoir de quoi on parle. Inutile de créer une définition globale qui pourrait interférer avec d'autres textes de loi. Cette définition est donc valable dans la convention, mais pas dans les textes de lois des pays signataires ni même dans les autres conventions. Si tu as fait du droit des contrats, tu comprendras que la définition juridique locale d'une convention est l'équivalent des définitions juridiques locales des contrats. Si tu as fait de la programmation, tu comprendras que la définition juridique locale est l'équivalent en droit de la définition d'une variable locale. Si tu as suivit des cours de psycho, tu comprendras que la définition juridique locale est l'équivalent des définitions spécifiques à un cas particulier et non-valables ailleurs. Si tu as fait de la philosophie, tu comprendras que la définition juridique locale est l'équivalent des définitions locales et propres à certains philosophes (comme dans l'éthique de Spinoza qui commence par des définitions valables dans l'éthique, mais qui n'ont pas la prétention d'être valable ailleurs). Si tu as as fait des maths, tu comprendras que la définition juridique locale est l'équivalent du "Soit x tel que..." qui n'est valable que dans le texte en cours, pas ailleurs (personne n'a jamais reproché aux profs de maths de définir x différemment à chaque exercice). La cour applique cette convention, hors, dans cette convention (et nulle part ailleurs), cette définition est valable. C'est une définition locale, valable uniquement pour ce texte.
  14. « Un homme qui est né dans un monde déjà possédé, s'il ne peut obtenir de ses parents la subsistance qu'il peut justement leur demander, et si la société n'a pas besoin de son travail, n'a aucun droit de réclamer la plus petite portion de nourriture et, en fait, il est de trop. Au grand banquet de la nature, il n'y a pas de couvert vacant pour lui. Elle lui commande de s'en aller, et elle mettra elle-même promptement ses ordres à exécution, s'il ne peut recourir à la compassion de quelques uns des convives du banquet. Si ces convives se serrent et lui font place, d'autres intrus se présentent immédiatement, demandant la même faveur. Le bruit qu'il existe des aliments pour tous ceux qui arrivent remplit la salle de nombreux réclamants. L'ordre et l'harmonie des festins sont troublés, l'abondance qui régnait auparavant se change en disette, et le bonheur des convives est détruit par le spectacle de la misère et de la gêne qui règnent dans toutes les parties de la salle, et par la clameur importune de ceux qui sont justement furieux de ne pas trouver les aliments sur lesquels on leur avait appris à compter. Les convives reconnaissent trop tard l'erreur qu'ils ont commise en contrecarrant les ordres stricts à l'égard des intrus, donnés par la grande maîtresse du banquet... » Thomas Maltus. C'est visionnaire, il prévoyait déjà qu'avec une trop grande population on devrait se priver de nourriture, même s'il ne prévoyait pas encore qu'on devrait se priver de viande.
  15. Mais lisez donc le texte de la convention : On remarque donc : Il suffit qu'une seule des conditions de la convention de l'ONU soit remplies pour qu'on puisse parler de génocide au sens de la convention. Cette définition de génocide est locale au texte, et n'est pas une définition juridique qui serait valable dans les Lois des pays signataires par exemple.
  16. Ben si. Tu peux répéter la même chose dix fois mais cette convention est universellement admises comme définition juridique du crime de génocide Relis le texte de la convention, elle ne prétend pas définir le terme de génocide, mais propose une définition locale, valable uniquement dans le texte de la convention, mais pas ailleurs. En particulier, cette définition locale n'est pas valide dans les autres textes juridique. Qui plus est, vous prétendez que "cette convention est universellement admises comme définition juridique du crime de génocide". Sur quoi se base cette affirmation ? La France, par exemple, ne se base pas sur cette définition dans la nouvelle loi contre la négation de génocides... C'est tellement universel que chez nous ce n'est pas la définition retenue ! :smile2: :smile2: :smile2:
  17. Au risque d'énoncer une évidence, une lapalissade, les conventions internationales n'ont pas pour but de définir le sens des mots. Cette convention ne définit rien, elle est là pour condamner certains actes particuliers et demander aux états contractant de lutter contre ces actes, comme par exemple l'extermination de sous-populations.
  18. Le texte intégral de cette convention est disponible sur internet. Je constate que vous avez omis une morceau de phrase qui en change complètement le sens. Je cite le vrai texte : "Dans la présente Convention, le génocide s'entend de l'un quelconque des actes ci-après, commis dans l'intention de détruire, ou tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel :" La convention n'entend pas définir le mot génocide en général, mais ne donne qu'une définition locale, valable uniquement dans le texte de la convention. Pourquoi ? Parce que sinon elle fermerait la porte à une définition différente dans une convention ultérieure. Euh ! Là je ne sais que répondre. Comment dire ? C'est un texte adopté par l'ONU et qui est de droit positif. Cette convention est appliquée par la Cour pénale internationale. Une incrimination est évidemment définie par le texte même qui en fait mention, sans que le texte ne dispose spécialement être une référence éternelle et immanente. C'est donc bien un texte de droit positif qui difinit, rédigé à un instant T, et non une révélation divine. Elle est susceptible d'évolution bien sûr, voire d'abrogation, comme tout texte juridique. Néanmoins, sa portée est, pour l'heure, internationale et de plus grande valeur que les actuelles définitions concurrentes. Vois-tu un texte qui la supplante ? Je signale simplement que cette convention ne prétend pas définir le concept de génocide. POINT.
  19. Tout à fait, la révolution a été une forme de libéralisation. Robespierre était en fait un libéral.
  20. Le texte intégral de cette convention est disponible sur internet. Je constate que vous avez omis une morceau de phrase qui en change complètement le sens. Je cite le vrai texte : "Dans la présente Convention, le génocide s'entend de l'un quelconque des actes ci-après, commis dans l'intention de détruire, ou tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel :" La convention n'entend pas définir le mot génocide en général, mais ne donne qu'une définition locale, valable uniquement dans le texte de la convention. Pourquoi ? Parce que sinon elle fermerait la porte à une définition différente dans une convention ultérieure.
  21. On vous a donné des sources (dont l'article d'Eolas) qui montre que l'Institut pour la Justice a travesti la réalité dans un but idéologique.
  22. Robespierre faisait partie de la petite bourgeoisie, le but premier des massacres étaient d'éviter le retour de la monarchie anti-libérale.
  23. Vous ne répondez pas au réel problème : pourquoi l'avoir retiré ? Est-ce : parce que des découvertes scientifiques ont montré que ce n'est pas une maladie mentale ? ou pour se conformer à la nouvelle vision morale de l'homosexualité ? Mon avis est que nous sommes dans le deuxième cas, que les deux faits suivants ne reposaient sur aucune preuve scientifique : avoir classé l'homosexualité comme maladie mentale avoir retiré l'homosexualité des maladies mentales En réalité, la psychiatrie ne sait rien sur l'homosexualité, et est incapable de classer objectivement les maladies mentales, elle se réfère donc à l'avis de la société, quand la société condamne l'homosexualité, la psychiatrie en fait une maladie, quand la société change et tolère l'homosexualité, la psychiatrie la retire de la liste des maladies. Il n'y a aucune objectivité là dedans. La trisomie 21 est une maladie génétique. On n'utilise pas la psychiatrie mais le génie génétique pour la détecter (et éventuellement les critères physiques). Pourquoi ? Simplement car les critères psychiatriques sont subjectifs, on préfère alors utiliser des critères objectifs. Qui plus est, votre argument est biaisé : si la psychiatrie était objective, ça devrait marcher pour toutes les maladies, pas seulement certaines. J'ai cité le contre exemple de l'homosexualité qui montre la non-objectivité de la psychiatrie. Pour que la psychiatrie soit objective, il faut qu'elle le soit pour toutes les maladies. Pour qu'elle ne soit pas objective, il suffit d'un contre-exemple. Citer des exemples dans lesquels les critères de la psychiatrie marcheraient peut-être (car vous ne nous dites pas en quoi il marcheraient, et on a vu que pour la trisomie 21, ça marchait pas en fait) n'est pas en soi un argument. C'est un peu comme un astrologue qui dit qu'une fois il aurait prévu juste, oubliant tous les autres cas.
  24. Ce serait bien, mais malheureusement, il y aura toujours des contraintes vestimentaires très fortes, ne serait-ce que pour aller travailler. Allez devant une banque, vous verrez de nombreux costard-cravates, combien sont portés volontairement ?
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